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the day has arrivedjackie & Aidan
Tout était très différent de ce que je m’étais imaginée et ce n’était pas pour me déplaire. La frustration s’était envolée et la proximité de nos corps ne rendaient pas moins le moment intense. Nous étions proche, très proches l’un de l’autre et tout ceci me plaisait. « Enfin une parole sensée Stevensen ». Un sourire s’afficha doucement tandis que mon regard ne bougeait pas. Je sentais les mains habiles et douces du Lowell se poser sur moi et instinctivement je fermais les yeux à ce contact. Ses mains m’avaient manqué, cette proximité, cette relation. Aidan avait pris une grande place dans ma vie et le sentir de nouveau à coter de moi me faisait du bien. Il retira doucement ma robe qui tomba à mes pieds prétextant : « Il faut enlever ta robe sinon tu vas attraper froid » mon sourire s’allongeait doucement. « Tu as raison, on devrait s’occuper de ce pantalon aussi » dis-je avec un petit sourire au coin alors qu’il m’attira contre lui pour m’embrasser. Mes mains s’enroulèrent autour de lui collant davantage mon corps contre le sien et prolongeant se baiser passionnément. Dans un élan de fougue, je plaquais doucement le jeune peintre contre le mur. « Tu m’as manqué Norrington » dis-je entre deux baisés avant de descendre mes mains sur son pantalon. « Retirons tout ça » dis-je en chuchotant à son oreille avant d’embrasser doucement le cou du Lowell. Le mariage était loin, peut-être un peu trop finalement après tout nous n’étions pas à l’abri d’un coup d'État.
(Invité)
Tout le tourment semble enterré, définitivement aspiré dans ce corps contre le sien, cette peau contre la sienne et Aidan a l'impression de respirer à nouveau. Il doit bien se rendre à l'évidence que sa dernière addiction en date est bien surprenante et inédite. Son sourire s'étire lorsque Jackie décide de s'attaquer à son pantalon, le Lowell l'aidant à retirer le tissu superflu, les deux étant ainsi en sous-vêtement et la Cabot ne pouvant que contempler le désir que nourrit le jeune homme à son égard. Ses prunelles célestes rencontrent les siennes. « Tu m'as manqué aussi Jackie-Elie Stevensen. » lui dit-il doucement et prononçant son nom entier consciemment pour appuyer le sérieux de ses propos. Ses lèvres rencontrent à nouveau les siennes, ses mains parcourent la silhouette familière, et le moment semble suspendu hors du temps, peut-être un peu trop... Jackie l'a plaqué contre le mur et Norrington attrape la jambe de la jeune femme pour la coller contre à lui. Son corps désire prendre possession d'elle presque tout de suite, comme pour rattraper le temps, mais le temps justement... file, et défile. « Jackiiiiiiie ! T'es où ?? Jackiiiiiie ! » La voix de la mère Stevensen résonne dans le jardin quand c'est pas l'un, c'est l'autre et Aidan pose son regard sur sa complice tandis que la silhouette maternelle approche dangereusement de l'endroit. Il va falloir trouver un plan ou affronter la vérité. Au choix.