Someday I will be strong enough to lift not one but both of us | FT AMALIYA

Elle apaisait incroyablement bien Denzel. Comment cela se faisait-il ? Comment pouvait-elle avoir ce pouvoir ? Il ne le savait pas mais il eu à peine le temps de se le demander qu'il se trouvait déjà assoupi. Il s'était réveillé durant la nuit et avait vu à son chevet sa mère et son père qu'il n'avait pas vu arrivé. Sa mère dormait paisiblement mais son père avait les yeux ouvert et lui avait sourit en lui demandant si ça allait. Denzel hochait la tête de gauche à droite avant de se rendormir. Quand il s'éveilla un médecin vint lui raconter un baratin auquel il avait compris à peine quelques mots. Les parents du jeunes hommes n'étaient pas la, ils devaient auprès de Hope. D'ailleurs si ils les avaient trouvé la tout les deux il les auraient engueuler. Hope était la priorité. « Je m'en veux tellement si tu savait Amaliya... Même quand j'essaie de faire bien tout part en vrille . » ; c'était une phrase qui venait du cœur. Chaque fois que Denzel essayais il avait l'impression que son monde s’effondrait et cela malgré tout ses efforts. « Tu as bien dormis quand même ? »

Je restais choqué par ce que venait de dire le médecin. Il avait tout de même reçu un morceau de vitre en plein dans sa cuisse! Et je n'avais pas vraiment compris ce qu'il avait dit à mon sujet. Le plus important est que je sois en vie. Oh mon dieu... Je regardais Denzel avec tristesse et inquiétude. Le médecin nous regardait un moment attendant surement une suggestion ou une réclamation de notre part, nous n'avions rien de particulier à réclamer il parti alors aussi rapidement qu'il était venu. Je soupirais doucement en pensant au gens que je devais mettre au courant. Avant que la voix de mon compagnon de chambre ne me sort de mes pensées. « Mais non! N'importe quoi.. C'était un accident, tu l'as pas fait exprès... C'était le mauvaise endroit au mauvais moment... » Je ne voulais pas qu'il se sente encore plus coupable . C'était parti d'une si bonne intention. Je ne voulais pas qu'il se torture d'avantage. Je caressais alors gentiment ses cheveux. « Oui oui merci mais vu le taux de morphine qu'on m'a infligé hier je suis certaine que les effets sont encore présent à l'heure actuelle. » Lui dis-je avec un petit sourire avant de prendre le carnet accroché au pied du lit de Denzel, vous savez ce carnet qui indique l'état d'arrivé d'une personne et les problèmes qu'il a subit ainsi que tout ce qu'elle doit subir pendant sa période d'hospitalisation.. JE peux vous dire que c'est pas du jolie, jolie.