Someday I will be strong enough to lift not one but both of us | FT AMALIYA

J'attendais qu'il me dit les raisons qui l'ont poussé à partir, ou plutôt ce qui était arrivé à Hope. Je le regardais demander une boisson, j'aurais voulu en demander une, mais le stress que cette discussion me procurait m'empêcherais surement de la boire. Je tentais de le rassurer du mieux que je pouvais pour qu'il se sente en sécurité et pour qu'il puisse discuter avec moi sur un sujet qui semblait être sensible. Je ne pus empêcher mon visage d'exprimer la surprise lorsqu'il m'annonça la maladie qu'avait sa petite soeur... Mais comme cela ce faisait-il ?! Elle qui allait si bien la dernière fois que je l'avais vu à quel moment une telle maladie avait pu tomber sur une personne aussi mignonne que cette petite. Je mis ma main devant ma bouche vue la gravité de la situation. Il est vrai que les maladies ne se contrôlent pas, mais tout de même, c'était de Hope que l'on parlait.

"Mais.. Co.. Comment c'est possible?" Je perdais un peu toute logique. Personne ne sait comment on attrape ses maladies. Ma question était totalement stupide mais j'étais perdue.. sur ce coup-là, je ne savais pas quoi lui dire.. À croire que le destin s'acharnait sur lui le pauvre. Comme il le dit si bien d'abord Sally et maintenant Hope.. je ne savais pas quoi faire. Je me contentais donc de caresser son dos avec la main qu'il venait de libérer.

"Je suis vraiment désolé... Et elle va comment maintenant ?"

J'inspirais remuée pas la nouvelle. Si je savais que c'était aussi grave je ne lui en n'aurais jamais voulu. Le destin pouvait parfois être une vraie garce faisant souffrir plus de gens qu'il n'y devrait. D'ailleurs pourquoi faire souffrir des gens qui n'ont rien demandés à personne? C'est tellement.. Horrible. Je soupirais passant une main nerveuse dans mes cheveux histoire de les remettre en place. J'avais la gorge nouée et les intestins retournés à l'idée de l'imaginer dans un centre hospitalier pour ses soins. Imaginer un enfant souffrir autant, était un calvaire pour moi. Que je sois proche ou pas de lui d’ailleurs. Un léger frisson me parcourra lorsqu'il m'avoua la douleur de la petite. Alors c'est ça la vie, voir devant soi souffrir, partir, les personnes que l'on chérit le plus? Ou qu'ils nous voient eux, quitter ce monde de douleur et de haine en étant impuissant... En faite la vie n'est qu'un cercle infini de douleur mêlé à d'infime moments de joie et de bonheur éphémères. Voilà ce à quoi ce résumait l’existence humaine. Il tentait tout de même de rester fort malgré ce qu'il se passe autour de lui. Et je trouvais ça remarquable. Surtout venant de lui. Lui qu'il y a encore quelques mois était un homme effondré par le deuil et la culpabilité.

"... Il faut qu'elle sente que tu es avec elle.. Je suis certaine que ça l'aidera à aller mieux. C'est dans le pires moment qu'on a besoin que notre entourage soit là pour nous et nous montre que tout vas pour le mieux. Bouge toi et montre lui que malgré tout ça, le monde n'arrête pas de tourner que malgré la douleur qu'elle sent y' des gens qui l'aime et elle finira par se bouger et à aller mieux. C'est une enfant mais elle n'est pas bête. Encourage là du mieux que tu pourras.... Pour le moment c'est le mieux que tu puisses faire pour elle; ne pas baisser les bras. Mais, comment ça tes parents ne t'aident pas ? Ils sont occupés ? "

Denzel ne savait pas comment lui dire que ses parents étaient plutôt sur les nerfs en ce moment. Ils passaient leur temps à se disputer depuis qu'ils avaient apprit pour la maladie de la petite. Ca faisait mal au coeur de Denzel de voir ses parent qui avait toujours été très amoureux se déchirer pour rien. "Disons qu'ils sont un peu à vif en ce moment et qu'ils ont du mal à se contenir ...". Denzel se surprenait à pouvoir se confier aussi facilement à Amaliya. Surtout après ne l'avoir pas vu pendant si longtemps : c'était comme si les mots sortaient tout seul de sa bouche. Un frisson le parcourra parce qu'une image de sa petite soeur à l'hôpital lui revint d'un coup. Denzel repris un verre même si il savait que c'était un peu trop, il commençait déjà à perdre pied et perdre son bon sens. "Tu sais ... Tu sais ce qui me permettrait d’extérioriser tout ça ?"; Denzel regardait Amaliya dans les yeux faignant d'attendre une réponse. "Une danse avec toi" ; il prit la main d'Amaliya doucement, en hésitant un peu au débout puis, il l’emmena sur la piste de danse. Il avait besoin de décompresser deux secondes. Il dansait avec Amaliya à une distance respectable en souriant. Il se sentait bien à ce moment la, il avait l'impression qu'il prenait un peu de temps pour lui pour une fois.

C'est assez étrange . Oui étrange. Il y a encore quelques mois c'était à peine si on réussissait à s'avouer qu'on se connaissait depuis plus longtemps qu'on le pensait et maintenant... Il m'avouait tout ça. Ça me gênait pas ! Bien au contraire. Quelques part j'aimais vraiment la proximité qu'il y avait entre nous. Et j'en avais besoin aussi. Passé du stade toujours accompagné à seule dans une autre ville c'est plus que perturbant croyais moi. Je pense que malgré lui, Denzel était pour moi une sorte d'attache, un point de repère. Maintenant... Je savais que même si j'étais perdue je pouvais toujours revenir vers lui pour retrouver une once de familiarité. Il m'avoua qu'entre lui et ses parents c'était plus trop rose ses derniers temps. Je grimaçais doucement. Je m'imaginais mal sa mère énervée contre qui que ce soit. Mais je n'avais pas assez de souvenir de son père pour me permettre de tirer un jugement sur lui. Déjà à l'époque il travaillait beaucoup. Je soupirais doucement. Comment pouvait-on penser à se disputer qund on avait nos deux enfants qui allait mal.. Je ne savais pas. Mais je ne peux pas juger je n'ai pas vécu une chose similaire. Après tout le père de Sally a bien réussi à tirer un trait sur nous après la mort de sa fille. Alors qu'il est le frère biologique de mon père... Les réactions ne se contrôle pas après tout. Je le regardais d'un air compatissant lorsqu'il reprit une gorgée de sa boisson. Il était vraiment plus fragile qu'il ne le faisait paraître. Il me posait ensuite une question. JE réfléchis un court instant car il ne me laissa pas le temps de proposer quoi que ce soit qu'il y répondit de lui-même. Une danse avec moi ? Cela eu pour effet de me faire sourire. Je ne savais pas que je pouvais servir d'exutoire. en faite, je pense plus que la boisson lui ait un peu trop monté à la tête. Je le suivis pourtant en le laissant faire. C'était bien la première fois que je le voyais dans cet état. C'était amusant et mignon à la fois. Il était un peu gêné et moi aussi d'ailleurs. Pourtant je me laissais aller au rythme de la musique qui nous transportait. Dansant avec lui à une distance convenable. Un peu avant que la musique ne s'arrête je me rapprochais de lui et lui déposait un gentil baiser sur la joue. J'étais persuadé que tout s'arrangerait et dans le pire des cas... Je serais là pour le soutenir. Oui c'est une promesse que je me fait maintenant, je ne le laisserais plus tomber. Pour moi, pour lui... Pour Sally.

Denzel n'aurait jamais pensé qu'une chose pareil arriverait. En faite, dans le fond c'était tout ce qu'il avait espéré d'Amaliya : être en paix avec elle. Il dansait et souriait légèrement ne prêtant plus trop attention à ce qu'il y avait autour. En faite ce qu'il y avait autour il n'arrivait plus à le voir mais il ne le savait pas, du moins il ne savait pourquoi. C'était l'alcool qui commençait à avoir raison de son attention, les quelques verres en trop plus la chaleur qu'il faisait dans ce bar était un peu trop pour lui. Il fut un peu surprit du baiser que la jeune femme déposa sur sa joue furtivement à la fin de la danse, il ne s'attendait pas à cela venant d'elle même si elle avait eut l'air très affectée de la nouvelle dont il lui avait fait part. Denzel et Amaliya retournèrent au bar un moment ou le jeune homme reprit un verre. Ils parlèrent de tout et de rien pendant vingt minutes avant que Denzel ne prenne conscience de l'heure qu'il était et qu'il voulait retourné auprès de Hope. Il proposa de raccompagné Amaliya chez elle très poliment : c'était la moindre des choses après tout, il l'avait emmené jusqu'ici. Il se mit au volant de sa voiture qu'il eut un peu de mal à démarré : c'était la première fois que celle-ci faisait des caprice et Denzel trouvait ça étrange mais il ne s'attarda pas plus que ça sur ce détail. Il s'engagea sur la route qu'il lui paraissait un peu sombre mais encore une fois il ne s'attarda pas sur ce simple détail. Il se tourna vers Amaliya un moment le sourire au lèvres. « Merci pour tout Amaliya. Sally doit vraiment reposer en paix maintenant que les deux êtres qu'elles avait de plus chère se soutienne. » ; au moment même ou le jeune homme eut finit sa phrase il y eut un bruit de klaxon, Denzel donna un gros coup de volant vers la droite et le véhicule finit retourné dans la fausse sur le côté. Denzel perdit conscience un moment et lorsqu'il ouvrit les yeux il était sur un brancard et il voyait sa voiture à moitie en feu. Incapable de parler il pointa simplement la voiture du doigt. Le nom d'Amaliya ne franchit pas la barrière de ses lèvres même si c'était tout ce à quoi il pensait. Il avait l'impression qu'il y'avait énormément de monde autour de lui puis il aperçut un autre camion. C'était pour Amaliya ? Il perdit de nouveau conscience et cette fois lorsqu'il se réveilla il était dans un lit d'hôpital. Il n'y avait personne autour de lui et il avait des tuyaux un peu partout sur lui. Il commença à paniqué, il ne savait pourquoi lui même mais sa respiration et son cœur devenaient fou. Une infirmière vint dans sa chambre dans les secondes qui suiverent accompagné de sa mère qui avait l'air d'avoir pleuré. Mais avant que quiconque ne lui dise quoi que ce soit il retira violemment ses tuyaux. « Ou elle est ? » ; « Calmez vous monsieur Kehanaï. Elle va bien elle a été prise en charge. » ; la petite blondinette tenta de le retenir mais Denzel la repoussa assez brutalement et sortit de sa chambre au grand désespoir de sa mère qui pleurait de plus belle. Denzel ressentait à peine la douleur dans sa cuisse qui venait d'être recousu. Peut-être que c'était parce qu'il l'ignorait , il eut le temps de faire deux trois chambre avant de tomer sur celle d'Amaliya qui avait les yeux à peine ouvert. Denzel resta sur le pas de la porte et pour la première fois depuis longtemps son visage se déforma pour laissé place à un visage torturé de peine. C'était tellement troublant que s'en était beau  ses beau yeux bleu se remplir de larme et il frappa violemment dans le mur. Il n'osa pas marché jusque son lit et de toute façon un homme : un aide soignant assez musclé vint l'éloigné, il le repoussa tellement fort que celui-ci manqua de tomber … « Ca ne sert à rien il ne se laissera pas faire … Laissez le ! » ; c'était sa mère qui avertissait l'équipe soignante du bout du couloir. Elle connaissait Denzel, elle savait comme il pouvait être quand il s'agissait de la santé de ceux qui l'entourait. Elle l'avait vu le jour de la mort de Sally, et les jours qu'il avaient suivit. Denzel essayait de prendre sur lui, mais la culpabilité le rongeait de l’intérieur : c'était à cause de lui et personne d'autre. « Je suis tellement désolé ... » ; il se rapprocha de l'encadrement de la porte les yeux encore humide et il murmura ça tout bas comme si il osait à peine parlé.

Qui aurait pu croire un jour que Denzel et moi danserions ensemble, surtout de la sorte ? Pas moi en tout cas! Je m'amusais incroyablement bien avec lui, mais dans le fond je réfléchissais à tout ce dont nous avions parlé jusque maintenant. À la fin de la chanson on retournait à notre place et on parlait de tout et n'importe quoi, de son travail à l'hôpital, de mon insertion dans l'établissement, de nos amours respectifs... Pour ma part j'ai appris beaucoup de choses sur lui pendant cette soirée. Mais comme dis le dicton "toutes les bonnes choses ont une fin". Et cette soirée avait duré plus longtemps que prévu. Surtout que nous étions tous les deux attendus le lendemain matin. J'acceptais ensuite la proposition de monsieur qui est de me raccompagner chez moi en voiture... Après tout je n'avais pas d'autre choix ma voiture est restée sur le parking et je ne connais pas le transport qui me mènerait rapidement chez moi. Je me levais suivant le jeune brun de prêt. Je ne me disais pas qu'il avait trop bu à cet instant. Après tout il avait l'air d'avoir sa lucidité, les gens bourré ou qui ne tienne pas l'alcool sont facilement reconnaissables et sur le coup il n'avait pas l'air d'être dans l'un de ses cas là. Il me parlait même d'une façon absolument sereine et réfléchis. Mais parfois ce n'est pas l'alcool le plus dangereux sur la route... Quelquefois se sont ces quelques minutes d'inattention involontaire qui nous perdent. Il s'était retourné pour me remercier... Juste pour me dire que Sally devait être fière de nous.. Et il a suffit de ces quelques secondes, de ses quelques petites secondes de compliments pour qu'une voiture nous percute de pleins fouets. Nous faisant faire un tonneau incroyable qui nous sortit de la route. Je ne me souviens pas de tout.. Principalement d'une sorte d'explosion qui vint me briser les oreilles, d'un coup de chaleur violent et de mes cris perçants appelant à l'aide... L'appelant à l'aide, puis... plus rien. Le noir total. Je me réveillais un peu plus tard avec une aide respiratoire autour du nez et de la bouche une perfusion dans chacun de mes bras et une difficulté incroyable de bouger mes membres, sans oublier la douleur que je ressentais au niveau de tous mes muscles... Je commençais à paniquer sans trop comprendre ce qui m'arrivait et je me demandais où était Dez. Mon coeur battait à une vitesse folle, je commençais à faire de l'hyperventilation dûe à mon stress... Merde, ne me dites pas que je vais mourir comme ça alors que je viens de survivre à un accident de voiture?! Mes muscles étaient totalement contractés j'en tremblais tellement. Par chance, deux infirmiers vinrent s'occuper de moi lorsque la machine commençait à biper trop rapidement. Tentant tant bien que mal de calmer cette situation de crise. Après un petit moment je finis par reprendre le contrôle de moi-même. Ils m'ajoutèrent une dose de morphine.. « Denzel....» C'est tout ce que je pus articuler. J'avais tellement crispée les muscles de ma mâchoire qu'il m'était difficile de parler. Mais comme s'il avait entendu mon appel, le jeune homme arriva quelques instants plus tard. Je réussis à peine à tourner la tête vers lui, avec ma respiration de Dark vador. Non... Dez, ne t'en veux pas... Ce n'est pas ta faute... Tu voulais bien faire... Pourquoi faut-il que tu t'accables tout le temps... Je me forçais alors à lever une de mes mains en sa direction pour qu'il vienne vers moi et qu'il la prenne. Ce n'est qu'à ce moment-là que je remarquais les bleus présents sur mon bras... Je n'y fais pas attention attendant que le jeune homme daigne franchir le pas de la porte pour s'installer devant moi.. « ... Je vais bien Dez... Et... Toi ?»

Denzel voyait le bras tuméfié d'Amaliya qu'elle lui avait tendu pour lui faire comprendre de rentrer. Elle avait l'air tellement affaiblis : le jeune homme en avant le cœur qui battait terriblement fort. Avait-elle mal ? Si ou à quel point ? L'avait-on opéré ? Es que ce qu'elle avait été grave ? Il allait même jusqu'à se demander si elle allait mourir . Mais c'était comme ça ! Denzel était tellement habitué à ce que le pire lui arrive qu'il préférait anticiper et être préparer : il ne devait plus jamais se laisser surprendre par la mort ça le tuerait inévitablement.
Denzel s'approcha prudemment du lit et plus ils s'approchait plus il voyait des séquelle sur le corps d'Amaliya. Son visage se tordait de souffrance. « Moi ça va » ; se contenta-t-il de répondre rapidement alors que sa cuisse commençait à sérieusement lui faire mal. Il entendait vaguement l'équipe médical derrière qui parlait avec sa mère de mettre les deux lits dans la même chambre mais il s'en foutait il analysait le corps d'Amaliya. « Je sais pas... Je … Comment ça à pue arriver et je ...Je te promets j'ai rien vu venir Amaliya ...Je ... » ; Denzel essayait de se justifier en vint : ce n'était pas comme s'il était au tribunal ou quoi que ce soit d'autre.

« Hey.. Calme toi... Je sais... » Je prenais alors sa main dans la mienne tentant de le rassurer du mieux que je pouvais. Je voyais bien qu'il boitait un peu. Il n'allait pas aussi bien qu'il voulait me le faire croire. Mais l'idée qu'il ne lui soit rien arrivé de grave suffisait. JE couvrais mon corps du drap que les infirmiers venait de m'apporter voulant limiter la vue sur mes plaies. Quelques instants plus tard, un lit fut apporté dans la chambre et je lâchais le jeune homme pour que l'on puisse l'y diriger. Le regard légèrement hagard je fixais sa mère présente. Le jeune garçon fut ensuite transfusé et on lui injecta une certaine dose de morphine pour le calmer. La douleur que je sentais était tellement forte qu'elle réussi à m’assommer. Le lendemain matin le médecin vient ensuite dans notre chambre et se mit face à Denzel observant avec soin la tonne de papiers qu'il avait en main.
« Bonjour Monsieur Kehanaï. Je me présente, docteur Arnold Lancaster. Je serais en charge de votre dossier pendant toute votre période d'hospitalisation. Vous venez de subir un accident de la route. Votre voiture a été percuté par un véhicule urbain. Par chance aucun traumatisme Grave n'a été relevé. Parcontre lors de la collision un morceau de votre vitre avant est venue se loger dans votre cuisse. Nous avons pu ressortir le bout de verre et refermer la plaies avant qu'elle ne s'aggrave au total 15 points de sutures on était fait. Vous avez également subit une fracture du radius droit. Nous prévoyons de vous opérer dans les plus bref délais. Quant à vous mademoiselle Garcia vous avez subit un traumatisme crânien du rachis cervical, une ouverture au niveau de l'arcade sourcilière, une brûlure au niveau de votre omoplate gauche qui a provoqué une lésion profonde de deuxième degré superficiel. Il n'y aura donc pas besoin d'aide chirurgicale pour votre brûlure et nous pensons même qu'elle est en bonne voie pour ne laisser aucune trace perceptible. L'un comme l'autre avait tout de même subit d'autres blessures mais bien heureusement elles sont superficielles. Nous pensons vous garder en observation pendant quelques jours pour limiter les risques d'une quelconque récidive car durant votre chirurgie vous avez fait une crise assez puissante à laquelle nous ne nous attendions pas. Si vous avez la moindre question mon équipe et moi même serions ravie d'y répondre. »
JE restais bouche-bée, devant tout ses informations. Je ne savais même pas que Denzel faisait de l'asthme. Je regardais dez l'air perdue. Est-ce que cela nous arrivait vraiment ?