Are you really this guy? [Konrad]

La session avait été vraiment difficile. Disons que de se replonger dans les études 4 ans plus tard, c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Heureusement que j'ai de la facilité à apprendre, car je n'aurais jamais réussis à passer au travers. Aujourd'hui, c'est une belle journée. Le soleil est à son zénith, la chaleur est agréable et tout cela occasionne une humeur débordante d'énergie. J'ai donc décidé d'évacuer mon bonheur en magasinant un peu ici et là. L'école étant enfin terminé, je me disais aussi que payer mes efforts en vêtements, c'était une bonne manière de me féliciter. Je remercier les conseillères qui m'avaient fortement aider dans mes achats tout quittant la boutique le sourire aux lèvres. Je retirai mes lunettes de soleil de sur ma tête pour les installer devant mes prunelles aveuglées par les rayons du soleil. Au même moment en tournant un coin de rue, je croisai un mec vraiment canon. Je restai de marbre, continuant mon chemin, jusqu'à ce que sa silhouette et son visage ne revienne hanté mes pensées. Lui par-dessus moi dans nos petites tenues d'Adam et Ève, me souriant avec ce sourire charmeur qui m'avait fait vibré il y a de cela quelques années. Je m'arrêtai d'un coup, avalant difficilement ma salive. Je me retournai en retirant mes lunettes pour mieux le voir. Il s'était aussi retourné... Ce qui augmentait l'exactitude de mes pensées. « Konrad?... Est-ce que c'est toi? »

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Koney † Are you really this guy ?

C'est vrai qu'aujourd'hui il faisait vraiment beau à Cambridge, j'avais pas cours cet aprem, pas de partiels en vu alors j'en profitais pour sortir. J'en avais profiter pour retoucher un de mes tatouages au Redemption, et en sortant je remettais mes lunettes de soleil sur le nez, il faisait vraiment chaud, j'étais en jean et en marcel et j'avais quand même chaud, enfin bref, chez moi il fait frais, je pourrais me poser et fumer un splif sans soucis. Et en tournant dans un coin de rue, une blonde dans mon champ de vision, très mignonne, courbes attirantes et j'en passe, totalement mon style de fille, j'avais un petit sourire aux lèvres quand on se croisaient mais à peine deux pas de fait, qu'elle m'interpellait, elle connaissait mon prénom. Je me retournais aussitôt, elle insistait en me demandant vraiment si c'était moi Konrad, j'enlevais mes lunettes de soleil , les foutre sur ma tête, elle avait enlever ses lunettes elle aussi et bizarrement elle me disait vraiment quelque chose C'est moi ouin pourquoi on se connait ? lui demandais-je même si j'essayais de me rappeler et un flashback assez torride d'une partie de jambe en l'air avec ce même visage me revenait Abbey ! criais-je presque me souvenant La vache t'as pas changer toujours aussi bombe sexuelle. je riais légèrement m'approchant d'elle pour lui taper la bise, c'était bizarre de ne toucher que ses joues, même après quatre ans sans la voir, elle était à cette époque, ma petit drogue.

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Non mais il déconne ou quoi? J'écarquillai les yeux lorsqu'il me demanda si on se connaissait. Je me retins pour ne pas lui lancer sur un coup de tête un petit: Bien sûre qu'on se connait, on a déjà couché ensemble bon nombres de fois aussi, tu te souviens maintenant!? Mais j'entrouvris la bouche seulement. Disons qu'après 4 ans d'absence, c'est normal qu'il ne me replace pas aussi facilement. De toute manière, une fraction de seconde plus tard, il prononça mon nom, me lançant un compliment sur mon allure avant de me faire la bise. J'esquissai un petit sourire en l'analysant de la tête aux pieds. « T'es pas mal non plus tu sais! Toujours aussi charmeur et attirant... » Je lui fis un clin d'oeil avant de perdre graduellement mon sourire, sentent soudainement un petit mal aise. « Au fait... Je suis vraiment navré d'être partie... Sans rien dire...» Notre relation était si merveilleuse que de devoir partir sans lui en informer le pourquoi du comment m'avait quelque peu déchiré le coeur. Alors je me sentais fort redevable sur ce mauvais coup.

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J'avais vraiment du mal au premier abord à me souvenir d'elle, mais quand elle enlève ses lunettes de soleil et de pouvoir voir son visage, un flashback d'elle et moi me revient, un souvenirs particulièrement charnel puis je criais presque son prénom en me souvenant d'elle, elle l'aurait surement mal prit si je n'avais rien dis, en même temps ça fait quatre ans. Je me rapproche alors d'elle, déposais mes lèvres sur chacune de ses joues avant de la complimenter sur son physique toujours resté autant à mon goût et j'avais le droit au même genre de compliment sortant de ses lèvres Comme quoi on a pas tant changé que ça en quatre ans. je riais légèrement puis alors qu'elle partageait mon rire, je la vis s'arrêter pour s'excuser d'être parti comme une voleuse à cette époque, c'est vrai qu'elle et moi si à la base c'était une addiction l'un à l'autre purement porté sur le sexe, on a su s'attacher l'un à l'autre assez fortement et devenir particulièrement des amis très proches en plus de nos ébats charnels et c'est vrai que ça m'a fait vraiment bizarre de la voir disparaitre du jour au lendemain. Non y a prescription t'en fais pas, en plus on venaient de coucher ensemble ce jour là, t'es parti vachement tôt, y doit y avoir un string à toi toujours posé dans le fond de mon armoire. je riais après avoir sorti cette phrase.

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J'éclatai de rire lorsqu'il mentionna avoir peut-être encore un de mes string dans son armoire. « Y'a pas à dire, t'es toujours aussi marrant aussi! » J'esquissai un charmant sourire avant de me rappeler qu'il était capable de me faire rire quand je n'allais pas. C'était l'ami parfait! « Alors... Qu'est-ce que t'es devenu? T'as terminé les études? T'as une copine? Tu travailles? » Ça fait beaucoup de questions, mais je suis vachement curieuse de savoir ce qui est advenue de mon ancien compagnon de nuit.

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Bonne chose à savoir, même après quatre ans j'arrive à la faire rire aussi spontanément avec mes conneries. Je riais aussi confirmant ses dires Ouais et toi tu restes toujours autant fan de mon humour de merde. puis l'interrogatoire commençait, je sortais mon paquet de blondes de ma poche T'en veux une ? demandais-je en prenant une que je portais à mes lèvres, l'allumant et lui répondant après avoir rangé mon paquet et mon zippo Alors je suis en septième année d'arts visuels et de sport autant dire que c'est la galère, euh.. je taff toujours dans mon trafic quoi, tu sais bien, ça arrondis mes fins de mois et non toujours célib mais bon, ça tu t'y étais déjà faite à l'époque. je tirais une taffe sur ma clope avant de lui demander à mon tour de ses nouvelles Et toi alors ?.

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Je refusai gentiment sa proposition envers la clope. J'ai arrêté de fumée il y a ça belle lurette! Je restai surprise de le voir toujours au même niveau de vie. J'ai tellement évolué en 4 ans que je suis toujours débité lorsque les autres me parle de leurs vies d'étudiants. En faite, je dois avouer les jalouser un peu pour tout le plaisir qu'ils peuvent se procurer alors que moi je dois jouer la mère à chaque soir en rentrant de Harvard. Je me grattouillai la nuque, mal à l'aise au retournement de question. Il fallait bien que je m'y attende. « Eh bien... Je poursuis mes études en éducation scolaire. Moi j'arrondis mes fin de mois en travaillant comme réceptionniste dans un centre de réadaptation physique...» Je lui fis un clin d'oeil en guise de taquinerie pour continuer mon discours: « Et le soir, à mes temps perdus... J'élève ma fille. » Et c'est à ce moment précis qu'habituellement, les mecs prennent leurs jambes à leur coup pour filer.

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Elle ne fumait plus apparement, elle avait pas mal évoluée et tant mieux pour elle, c'était cool de la trouver aussi attirante et sexy et de savoir qu'elle n'est plus la même dans sa façon de faire et dans sa façon de penser que comme il y a quatre ans. Je lui en apprenais plus sur ce que je faisais maintenant et je la sentais gênée de parler d'elle mais elle se lançait quand même, je tirais une taffe sur ma clope l'écoutant et lorsqu'elle me disait qu'elle élevait sa fille, je toussais légèrement Ah ouais ? Ta une fille ? qu'est-ce que je pouvais bien dire maintenant ? C'est pour ça que t'es parti en me laissant comme une merde ? je disais ça neutrement, je le prenais pas mal mais je voulais juste savoir.

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Je mordillai ma lèvre inférieur lorsqu'il toussota sous l'effet de surprise. Je promenai mes yeux sur le trottoir, incapable de soutenir son regard. Seulement, lorsqu'il me demanda si c'était pour cette raison que j'étais partie sans le prévenir, je me renfrognée quelque peu. « J'avais mes raisons de partir de Cambridge... Et encore heureuse que tu te ne soucis pas d'être le père. » J'haussai les sourcils en croisant les bras, sourire malin sur les lèvres. Je n'ai jamais trompé personne. Je ne devais rien à Konrad et un soir, après avoir trop picolé avec Marshall, on est passé à l'acte et BOUM... Il m'a mis en cloque. « Moi qui croyait que ça aurait été la première question que tu m'aurais posé... »

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Koney † Are you really this guy ?

C'est vrai que ça m'avait surpris de savoir qu'elle avait une fille, même beaucoup, la preuve je toussais en tirant sur ma latte. Je savais pas trop quoi dire du coup je donnais cette raison comme prétexte de son départ mais elle restait mystérieuse avant de me dire que je ne lui ai pas demander si j'étais le père, je souriais Ouais je sais que j'le suis pas. elle aurait vraiment pensé que ce soit la question que je lui demanderai en premier mais avec elle, à chaque fois c'était capote Tu prenais la pillule, je te le demandais à chaque fois puis je mettais aussi une capote à chaque fois alors j'avais pas de raison de m’inquiéter après je peux te le demander, c'est moi le père ? bon si elle me disait que oui,, je sais pas du tout ce que je ferai, vraiment pas.

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