(+diego) drague à la cafétéria ?

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Chose à savoir, Ariana oui c'était une vrai emmerdeuse, du genre emmerdeuse de chez emmerdeuse, tout le monde vous le dira, mais elle était aussi assez joueuse, fallait pas non plus trop se fier à se première impression sur la jeune femme. Elle était complètement trempée, les cheveux tout emmêlée, elle était plus que pas sublime ce qui la dérangeait particulièrement. « Je te signal que c'est pas moi qui a failli nous tuer hein! » bah oui, elle l'aurait pas pousser à grand courant disons le ainsi. Enfin, elle finit par atteindre le bord et resta un moment à contempler Diego qui enlevait son chandail, une fille à bien le droit de regarder, une chance qu'elle avait pas un gros chandail aujourd'hui, en tout cas, elle, elle se sentait pas à enlever son chandail, fallait qu'elle obtienne un peu plus avant ça. « je vais te pousser à l'eau plus souvent si tu fais toujours ca. » ben quoi ? Faut bien en profiter pour rire, surtout que lui il riait bien d'elle. « arrête de te mentir, ma voix est comme une douce mélodie à tes oreilles. »

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« je vais te pousser à l'eau plus souvent si tu fais toujours ca. » Je n’avais pas tout de suite, remarqué, qu’elle me regardait. Apparemment, la vision qu’elle avait sous les yeux, lui plaisait. « La prochaine fois, ce sera toi qui sera dans l’eau la première » La défiant du regard, je laissais apparaitre un sourire moqueur sur les lèvres. « arrête de te mentir, ma voix est comme une douce mélodie à tes oreilles. » Elle était fière de sa connerie. Me rapprochant d’elle, je mettais fin à la distance entre nos deux corps. « ça ressemble plus à un cris de souris » Depuis le début de notre rencontre, on ne faisait que ce provoquer. Pourtant, nous avions trouvé le moyen de nous retrouver dans un endroit isolé. « D’ailleurs, on ne t’a jamais appris, que ce n’était pas prudent de suivre des gens que l’on ne connaissait pas ? »

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Bien sur Ariana se trouvait hilarante, elle se trouvait toujours la meilleure dans tout après tout et l'humour ne faisait pas exception, mais faut dire qu'elle se dépassait là. Elle se laissait aller, enfin, elle contrôlait la situation aussi, si elle n'avait pas voulu être là, elle ne le serait pas. « Bonne chance pour ça. » Elle le défiait aussi, parce que Ariana était une fille de défi, elle avait de l'ambition et elle aimait quand les gens qui l'entourait en avait, que se soit ses proches ou ses ennemis, elle détestait avoir des ennemis faibles, elle s'en lassait bien trop rapidement. Enfin, lui, elle l'aimait bien, il jouait, il faisait pas que subir. Finalement il s'approcha et Ariana le laissa faire en le regardant dans les yeux. C'Était quand même mieux comme situation qu'en plein milieu de la cafétéria. Sa remarque la fit tout de même rire. « Plus qu'une fois même, je voulais pas de garde du corps, on a résolu le problème assez vite, gps dans le bras, beaucoup moins dérangeant je te jure. » Elle disait ça à la blague, mais c'était vrai, après tout, les tentatives de kidnapping c'était pas nouveau pour les Kennedy et fallait d'une façon ou d'une autre protéger Ariana. Elle fit un pas en avant, s'approchant un peu plus. « Donc là si j'ai bien compris, on dois attendre après ton chandail pour qu'il sèche, parce que môsieur peut pas se promener avec un chandail mouillé. » Ce qui déplaisait pas du tout à Ariana.

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Me rapprochant d’elle, je lui disais que ce n’était pas très prudent de suivre un parfait inconnu. « Plus qu'une fois même, je voulais pas de garde du corps, on a résolu le problème assez vite, gps dans le bras, beaucoup moins dérangeant je te jure. » ça non plus, ce n’était pas prudent. Il ne fallait pas révéler un truc pareil. « ça peut toujours se retirer » Lui ferais-je peur ? Allez savoir. Cela dit, je gardais toujours un couteau suisse sur moi. C’était vachement utile ses machins là. Mon père m’en avait ramené un au cours de son voyage en suisse et depuis, je ne m’en étais pas séparé. La jeune femme faisait un pas en avant, se rapprochant un peu plus de ma personne. « Donc là si j'ai bien compris, on dois attendre après ton chandail pour qu'il sèche, parce que môsieur peut pas se promener avec un chandail mouillé. » Encore cette histoire de t-shirt. « Ça te perturbe tant que ça ? » Je marquais une pause, avant de reprendre la parole. « Et oui, on va attendre, mais si tu veux rentrer à pied, vas-y » Un rictus sournois, prenait forme sur mes lèvres, alors que je me retrouvais à quelques centimètres d’elle.

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Ariana avait appris à cerner les gens qui lui voulait du mal, ce mec, il ne lui en voulait pas. Il ne semblait pas du moins, il aurait probablement déjà fais son move en conséquence et ils ne seraient plus là à papoter tout bonnement au bord d'une rivière. Il l'aurait attaqué, demandé une rançon quelque chose et il aurait pas fait ça avec une moto. « Mouais, tu fais pas très convaincant comme méchant Kidnappeur. » Ariana ne s'était jamais fait prendre en soit, mais y avait des gens qui avaient tout de même tenter leur chance, elle en avait vu un une fois, mais a cette époque, elle avait Cyril comme bodygard et il avait mit fin à la chose assez rapidement merci, Ariana en était même pas traumatisée. Finalement, elle se moquait un peu lui avec son chandail et elle fit les gros yeux. « Moi ? Perturbé, hey franchement tu peux enlever ton chandail quand tu veux, la vue est assez plaisante t'inquiete pas pour moi. » Elle était franche, elle ne tournait pas autour du pot, comme d'habitude quoi, c'était Ariana. Elle aimait jouer, mais elle sentait qu'avec lui valait mieux être le plus directe possible. « Ah non, je rentre pas à pied c'est certain, t'as pas vu les souliers que j'ai! » Ouais, elel allait pas marcher en talon haut si loin. D'ailleurs, elle en profita pour enlever ses souliers pour avoir les pieds nue dans le gazon tout pres de la rivière. Il était encore plus grand comme ça bordel. Elle le regardait dans les yeux pour finalement s'avancer un peu, elle s'amusait là, ses orteil touchaient même ses souliers.

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« Mouais, tu fais pas très convaincant comme méchant Kidnappeur. » Il fallait se méfier des apparences ! A moins, qu’elle est un super pouvoir et pouvait voir mes attentions. Un léger rire s’échappait de ma bouche, tandis que je l’observais. Elle continuait de me parler de mon fameux chandail, à croire, que cela, la perturbait. « Moi ? Perturbé, hey franchement tu peux enlever ton chandail quand tu veux, la vue est assez plaisante t'inquiète pas pour moi. » En général, les nanas aimaient bien mon corps et cela ne me dérangeais absolument pas. Au moins, je pouvais tirer mon coup tranquille et me casser, tout en m’assurant qu’elles n’ont gardées en mémoire, que mon physique. « Ah non, je rentre pas à pied c'est certain, t'as pas vu les souliers que j'ai! » Je baissais mon regard vers ses pieds. Bordel, comment elle avait fait pour ne pas se casser une cheville avec. Surtout dans l’herbe. Sous mes yeux, Ariana retirait ses chaussures. De ce fait, je pus constater à quel point, elle était petite. Encore une fois, elle se rapprochait de moi, mettant fin au peu de distance qu’il y avait entre nous. Qu’est-ce qu’elle cherchait à faire ça ? J’avais bien ma petite idée, mais je me méfiais d’elle. C’était le genre de jeune femme qui pouvait jouer avec vos nerfs, en vous faisant croire des choses. « J’suis sûr que tu trouveras un chauffeur en faisant du stop » J’avais baissé d’un ton, plongeant mes yeux verts dans les siens. Je ne m’en étais pas rendu compte tout de suite, mais cette fille, avait un sacré pouvoir d’attraction. J’étais un homme et comme tout homme qui se respecte, je devais avouer qu’elle était attirante.

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Bon d’accord, il pourrait bien être un tueur à gage ce type, il était grand et musclé et en plus il était assez attirant pour qu’ariana le suive de son plein gré. Il avait un peu raison, mais en même temps, son instinct ne l’avait jamais trahi cette belle Kennedy et elle comptait encore dessus. Il n’avait l’air ni d’un tuer, ni d’un kidnappeur, d’ailleurs, il aurait pas perdu de temps pour avoir son argent tant qu’à elle .Enfin, Ariana n’avait pas peur de lui et tout ce qu’elle voulait c’était jouer un peu, parce qu’elle avait des choses à oublier. Elle sentait ses orteille dans l’herbe et ça lui faisait du bien, au bout du compte, elle n’était pas tellement déçu d’être aller dans l’eau avec cette chaleur. Elle était tout près de Diego et franchement, elle se la jouait un peu fille facile alors qu’elle ne l’était pas, mais sa remarque de chauffeur ça la fit rire. « j’ai déjà un chauffeur, il est un peu dangereux, mais comme il est mignon je m’y fais. » Elle lui fit un petit clin d’œil et s’approcha encore un peu plus de lui, malgré qu’elle soit plutôt petite et puis d’un coup, elle alla s’asseoir dans l’herbe en rigolant, en se la jouant un peu plus difficile que prévu. Elle se laissa tombée dans l’herbe, son chandail lui collait à la peau, mais avec un peu de chance il sècherait au soleil. « Alors Monsieur Diego, y a des choses que je dois savoir sur toi ? » Elle s’était relevé un peu sur ses coudes en le regardant dans les yeux avec la même intensité qu’il avait prit pour regarder dans les siens y a quelques secondes. Après tout, elle ne savait pas grand-chose de lui.

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« j’ai déjà un chauffeur, il est un peu dangereux, mais comme il est mignon je m’y fais. » C’était moi le chauffeur mignon ? Passant ma langue sur ma lèvre, je la regardais avec amusement. « La passagère n’est pas mal non plus, quoi qu’un peu chiante » Ce n’était là qu’une provocation avec l’unique but de la taquiner. Jusqu’à maintenant, nos joutes verbales n’étaient pas méchantes. La jeune femme se rapprochait un peu plus de moi et pendant un instant, je crus qu’elle en demanderait plus, mais ce ne fus pas le cas. Au lieu de ça, elle me fuyait et partait se réfugier dans l’herbe chaude. Bien. Un peu de chasse ne devrait pas me faire de mal. « Alors Monsieur Diego, y a des choses que je dois savoir sur toi ? » Alors, qu’elle s’appuyait sur les coudes, le soleil venait illuminer son corps, révélant ses atouts à la lumière. Ses cheveux bruns avaient à présent, pris une teinte plus claire. Durant ce bref moment, je dû reconnaitre qu’elle était très belle. M’approchant d’elle, je m’asseyais dans l’herbe. « Tout dépend de ce que tu veux savoir » lui disais-je en tournant mon visage vers elle.

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Biensur le jeune homme ne pu s’emp¸echer d’envoyer un pique à la jolie ariana, qui franchement, ne retint que le compliment. « Au moins ta passagère elle essait pas de te tuer. » Ouais, c’était pas elle qui avait causé un accident de moto et failli les foutre à l’eu avec l’engin. Enfin, d’accord c’est elle qui l’avait poussé à l’eau tout habillé, mais il l’avait mérité amplement et elle n’était pas du tout déçue du résultat après tout. Ariana c’était mise à jouer avec le feu en s’approchant plus que dangereusement et elle avait envie d’en demander plus, mais finalement, elle aimait trop jouer pour la chose. Elle était assise dans le gazon et baignait dans le soleil, elle était plus que bien et Diego lui demanda ce qu’elle voulait savoir exactement, elle haussa les épaules doucement. « Je sais pas, des trucs essentielles genre tes parents viennent d’où, ta nourriture préféré, le nom de ton premier animal. » Fallait surtout qu’elle sache d’où venait ses parents pas question de faire des choses avec un garçon de bassa classe, elle avait des principes, mais elle avait camouflé le tout quand même.

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M’asseyant à ses côtés, je lui demandais ce qu’elle désirait savoir sur moi. S’il y avait bien un truc que je ne comprenais pas, c’était ce besoin qu’éprouvaient les gens de tout savoir dès la première rencontre. Comme si la vie d’une autre personne les importait. Moi-même, j’étais un petit peu curieux, mais je pouvais amplement me passer de détails. Généralement, je ne posais jamais de questions, sauf si c’est pour mieux cerner la personne qui me fait face. « Je sais pas, des trucs essentielles genre tes parents viennent d’où, ta nourriture préféré, le nom de ton premier animal. » Quels genre de personne demande des informations sur les parents d’une tierce personne ? Non, parce que je ne voyais pas l’intérêt. A moins qu’Ariana fait comme la plupart des bourges : elle s’assure de ses fréquentations. « Ce sont des immigrants Espagnol. Ils sont fermiers au Texas » Je gardais un visage impassible pour ne pas trahir ma supercherie.

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