Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHIPPOLYTE&JACKIE ❥ rêver, verbe transitif, s'absorber dans la pensée d'une chose que l'on désire vivement. - Page 4
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HIPPOLYTE&JACKIE ❥ rêver, verbe transitif, s'absorber dans la pensée d'une chose que l'on désire vivement.

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Je plais. affirma la Lowell sans aucune pudeur, d'un petit air hautain. C'est pas pour ça que je suis une crevure, comme tu dis si bien. continua-t-elle en papillonnant. Puis vint sa tactique pour séduire la femme parfaite. Oh bah en fait non, il lui rappelait simplement qu'elle l'avais prise pour un autre. Oh, c'est petit ça Hippocampe ! Je t'ai déjà dit que je pensais te connaître, que t'étais un autre.. tu peux oublier maintenant ? soupira-t-elle en se tapant sur les cuisses, un petit sourire quand même sur le coin des lèvres parce que c'était trop bête quand on y repensait.
Ca ne sert à rien, puisqu'il n'y a rien d'invraisemblables que j'ai fait depuis le débuuuut. Alors chuuuut. dit-elle en plaquant son index sur la bouche barbue du jeune homme, fermant les yeux pour intensifier la chose parce que c'est toujours comme ça que ça s'passe dans les séries. Rentrer chez elle, ah oui c'est bien pour ça qu'elle était dans la voiture d'Hippolyte sauf qu'il ne connaissait toujours pas la destination à atteindre. A l'entente du mot nuit, Jackie se mit à bailler, elle allait tomber de fatigue d'ici peu de temps. Une agence d'Escort ? En gros tu me proposes de me prêter un de tes hommes pour avoir une présence dans mon lit mais surtout pour te débarrasser de moi ? J'peux avoir qui je veux quand je veux bonhomme, gardez tes hommes pour les désespérées. fit-elle en se pinçant les lèvres. S'il pensait qu'il pourrait se débarrasser d'elle aussi facilement, il pouvait se mettre le doigt dans l'oeil. J'veux pas d'un hôtel, j'veux pas d'un escort. Alors tu sais quoi, enmènes moi à Central Square, c'est à cinq toutes petites mimi riquiqui minutes d'iciiiii. fit-elle avec un regard implorant, joignant ses mains ensemble sous son menton.
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« Vraiment ? » répliquais-je avec un petit air ma foi très ironique. Je pouvais être une véritable crevure dans mes temps perdus pour reprendre mes propres mots. J’aimais pousser les gens dans leurs derniers retranchements pour voir ce qu’ils avaient dans le ventre. Et puis, je commençais à apprécier le fait d’ennuyer cette femme. Elle avait de drôle de mimiques dans ces moments-là et je me demandais si j’arriverai à toutes les identifier. « Hum… Non ! Et mon prénom est Hippolyte ! » répétais-je inlassablement. Qui sait, un jour, elle finira par pouvoir le prononcer sans l’écorcher, le détourner ou carrément m’en donner un autre. « D’ailleurs, tu fantasmes beaucoup sur ce Aaron… Dois-je conclure que tu as une imagination débordante ou que j’ai un sosie à Harvard ? »lui demandais-je après coup.

J’arquais un sourcil face à sa réponse concernant son comportement invraisemblable. Elle essayait de m’intimider avec ses yeux fermés ou quoi ?! J’attrapais son poignet dans ma main pour éloigner sa main de ma bouche. « Tu es vraiment un curieux personnage »soupirais-je avant de tenter de me débarrasser en douceur d’elle. Ma bonté me perdra un jour ou l’autre quoiqu’il en soit, j’en venais même à lui parler de mon agence d’Escort alors que je m’étais promis de ne pas le faire. Oh je n’avais pas honte de ce que je faisais car il n’y avait rien de mal à vendre une compagnie à un être solitaire. Après tout, en interdisant à mes employés d’avoir des relations sexuelles avec leurs clients, je m’écartais très largement des sentiers communs de la prostitution déguisée. « Je ne parlais pas dans ton lit….Mais oui, c’était l’idée de base »avouais-je avec un léger rictus au coin des lèvres. « Et pour ton information, il n’y a pas des désespérés pour faire appel à des Escorts. Beaucoup d’hommes d’affaires s’adressent à mon agence simplement pour avoir une femme cultivée à leurs bras durant des galas et autres réjouissances du genre » défendis-je néanmoins mes clients et surtout mon business. « Central Square ? D’accord mais il n’y a pas marqué taxi sur mon front non plus ! »


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La jeune femme détourna le regard, toujours son petit air hautin sur le visage. Parfaitement ! dit-elle en regardant un chat qui passait sur le trottoir. Hippolyte, bon sang il avait beau le lui répéter elle ne s'y ferait jamais pour cette fois. Peut-être l'unique fois qu'elle verrait ce beau brun ténébreux en vrai, d'ailleurs. Pourquoi tu n’oublierais pas ? Qu'est ce que tu comptes faire de se souvenir hein ? M'embêter avec jusqu'à ce que nos chemins se séparent ? Même pas peuuur. fit-elle en plissant les yeux, s'approchant un peu de lui avant de se réinstaller au fond de son siège, un peu perturbée par sa question. Au final, y'avait pas de quoi la perturber, c'était une question comme une autre.. mais allez savoir pourquoi elle se sentait mal à l'aise tout à coup. Aaron c'est.. la perfection masculine pour moi. J'pensais pas qu'un mec aussi parfait que lui - physiquement j'entends, parce que t'es pas aussi cooool que lui - existait en vrai. Oh.. mais si t'es tout comme lui physiquement, est-ce que ton... Roh, Jackie se mit à rire nerveusement, plaquant ses mains contre sa bouche pour ne pas rire de plus belle. Il la prenait déjà pour une folle, si elle se mettait à parler des parties intimes du garçon, elle allait vraiment finir sur le trottoir et même si la Lowell House n'était pas très loin, elle préférait faire la route en voiture parce que si elle reposait ne serait-ce qu'un pied par terre, elle tombait.
Un curieux personnage, Jackie prenait ça plutôt comme un compliment. Dans les histoires qu'elle inventait, qu'elle écrivait, qu'elle dessinait, elle adorait inventé des personnages à chaque fois plus curieux les uns que les autres et tout le monde les adorais, alors ouais, ça lui faisait zizir à la miss Alvarez. C'est toujours non, désolée. J'suis pas une femme d'affaire et je n'ai pas besoin d'un homme à mon bras pour faire joli. J'suis bien toute seuleee. menti-t-elle avant de se mettre à chantonner la chanson freedom à tu-tête dans la voiture. En vrai, Jackie en avait marre du célibat qu'elle trainait depuis deux ans et demi mais c'était comme ça, pas d'bol. Alors qu'Hippolyte redemarra la voiture pour prendre la route vers Central Square, Jackie ne pu s'empêcher de le regarder d'un air désolé, sachant pertinemment qu'elle ne l’emmenait pas chez elle et qu'il allait encore râler quand elle lui montrerait la maison de ses parents avec un innocent c'est ici que j'ai habité quand j'étais petite. Du coup, elle se mit à crier dans la voiture. STOOOOP ! J'veux pas que tu râles, parce que quand tu râles t'as une ride qui te rend moche sur le front alors.. ne vas pas à Central Square. supplia-t-elle à nouveau, croisant les bras contre sa poitrine. Toujours pas décidée à rentrer à la LH, elle continua avec de grands gestes de bras. Va où tu veux, ça m'est égal. Puis elle haussa les épaules, l'air complètement détachée.
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Je lui jetais à nouveau un regard en biais. « Je pourrais tout aussi bien porter plainte pour tentative de viol ou harcèlement sexuel. J’ai des témoins » répondis-je avec un sourire légèrement plus sadique. Après tout, j’étais et resterais un étudiant en droit mais pour l’heure, je m’amusais surtout à voir si elle n’avait justement aucune peur à ce sujet. Je crois que je prenais goût au fait de la taquiner, de l’embêter. Jackie allait peut-être devenir un peu comme un nouveau jouet. D’ailleurs, au sujet de ce fameux homme par qui tout était arrivé, je lui posais franchement la question. Réalité ou imagination ?! « Est-ce que mon ?... Que vouais-tu dire de si honteux pour te cacher derrière tes mains ? En somme si je comprends bien, ton Aaron était ta poupée gonflable onirique ? Tu sais, si nous analysions tes rêves, tu pourrais projeter tes désirs d’une véritable relation sur un être purement imaginatif afin d’échapper à des désirs bien réels. En somme, ce que j’essaie de dire, c’est que tu fantasmes peut-être sur quelqu’un de bien réel et que ton cerveau le transforme pour correspondre à tes attentes sans pour autant te choquer en lui donnant son véritable visage » me lançais-je dans une théorie abracadabrantesque. Je n’étais pas très fan de psychologie mais de temps en temps, cela ne faisait pas de mal.

Il n’empêche que cette femme était un curieux personnage et je ne me cachais pas de cette opinion qui ne sembla pas le moins du monde la vexer. Elle refusa à nouveau mon offre d’Escort et je levais les yeux au plafond de l’habitacle. « Bien, bien. Tu devrais peut-être te trouver un homme bien réel et disposait à te combler sexuellement parlant » lui fis-je remarquer –peut-être que cela atténuerait ses envies de sauter au cou du premier inconnu passant et qui aurait le malheur de ressembler à son amant imaginaire. Je sentais néanmoins qu’elle n’allait pas me faciliter la vie surtout quand elle se mit à chanter à tue-tête une chanson. Dieu que j’allais la virer de la voiture si elle continuait mais je freinais brusquement quand elle me cria stop. « C’est pas possible ! On ne t’a jamais dit que de crier à l’oreille d’un conducteur, c’est dangereux ?! Tu mériterais que je te dépose sur une aire d’autoroute »grommelais-je avec la furieuse envie de lui rétorquer que ma ride l’emmerdait joyeusement. « J’aimerai beaucoup rentrer chez moi mais je ne peux pas car j’ai un passager clandestin ! Bon… Je t’accorde une heure de mon temps alors décide toi très vite sur ce que tu veux faire car après, je te jette devant la fac d’Harvard ! »


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Porter plainte ? Contre toi ? Personne n'avait jamais osé, même le gars que tu avais renversé lors de ton accident avait abandonné l'idée d'aller porter plainte face à tes avalanches d'excuses et de regards remplis de tristesse. T'avais même pas besoin de jouer la comédie, être sincère te suffisais amplement. Écoute, si c'est toi qui me passe les menottes, alors file porter plainte. Sinon, j'passe mon tour. fis-tu en tendant les mains jointes vers le garçon, un petit regard malicieux sur ton visage. Bon, Alvarez, faut que tu calmes tes ardeurs. Tu venais de mettre tes mains devant ta bouche pour t'empêcher de partir dans un fou rire, la fin de ta phrase manquante ne manqua pas d'échapper à Hippolyte qui, en plus de vouloir savoir de quoi tu parlais, s'entraîna dans une études psychologique de tes rêves érotiques. Que ton rien du tout ! siflottes-tu en regardant un peu partout autour de toi pour éviter de croiser le regard du jeune homme. Même si ça t'emballais pas plus que ça de savoir ce que voulais dire tes rêves, tu espérais au moins que ça ferait oublier cette fichu phrase au brunet. Bah pourtant, crois moi, je préfèrerais que tout soit réel ! Parce que.. wow quoi ! Et puis je fantasme sur personne. Et puis de toute façon, j'comprends rien à ce que tu dis, c'est trop compliqué.. il est tard, ça doit être ça ! Tu soupires. En fait, c'était certainement pas à cause de l'heure que tu ne comprenais rien, que les mots se mélangeaient. C'était à cause de ton état. T'étais complètement ivre et même si prendre l'air t'avais fait un peu de bien, il n'empêchait que tu étais toujours autant bourrée.

Sa remarque était totalement déplacée, tu ne pu t'empêcher d'ouvrir grand la bouche, montrant combien tu étais choquée. Bon, en fait tu en rajoutais un peu, mais c'était à cause de l'alcool hein. Attends, t'es qui pour m'dire ça ? Si j'ai envie de rester célibataire hein ? Ou aloooors.. j'sais pas. Mais t'es culotté d'me dire ça quand même, beaucoup même ! Pourtant, fallait bien admettre qu'il avait raison : te trouver un bonhomme devenait la chose numéro une sur ta liste de choses à faire. Le célibat t'allait plus que mal. On m'a dit de ne pas parler au conducteur. Crier ? Jamais. dis-tu joyeusement alors que tu venais de lui ordonner de s'arrêter parce que, finalement, tu n'avais pas envie qu'il te dispute après être arrivé devant chez tes parents où tu n'habitais plus depuis des années. Passager clandestin, t'es bien chou mais c'est toi qui m'a proposé de monter à bord pour que tu me déposes chez moi Hippoc.. Hippo ! Puis, il t'accorde une heure de son temps. Tu arques un sourcil. Le patron était-il en train de te proposer un service d'escort ? Grosso merdo, c'était un peu ça. Un homme, pour une heure.. sans aucune relation sexuelle. Arf, c'était vraiment nul ça par contre. Une heure, c'est le minimum pour avoir un escort c'est ça ? J'ai faim, tu crois qu'on peu passer au McDo ? Tu crois que c'est encore ouvert ? Ou Burger King au pire, je sais qu'ils ferment taaaard ! T'aime bien Burger King ? Moi, j'adooore ! Sinon, j'aime bien les sushis aussi, y'a pas un japonais pas loin ? Une avalanche de questions déboula sur le pauvre garçon. D'un côté, il devait s'estimer heureux de t'avoir à ses côtés ce soir : il allait passer une soirée vraiment pas comme les autres.
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J’aurais tout aussi bien pu porter plainte pour harcèlement sexuel mais je crois qu’il y avait pire qu’une femme vous sautant dessus en vous confondant avec un autre. Par ailleurs, Jackie pourrait toujours insister sur le fait que sa consommation d’alcool ne la rendait plus aussi lucide qu’en temps normal –si une telle chose était possible ; Je n’avais donc aucun intérêt à la trainer devant les tribunaux bien que je me savais tout à fait capable de remporter le procès, ma réputation dans le monde des affaires n’étaient plus à faire justement. C’est bien pour cela que mon grand-père faisait en sorte de me préparer pour prendre sa relève lorsque la maladie aurait raison de ses dernières résistances. J’en venais presque à attendre ce moment avec impatience, commençant déjà petit à petit à composer une équipe pour assurer mes arrières. Il était hors de question que je fasse confiance au premier venu pour assurer ma sécurité. « Je ne suis pas policier alors je crains fort que ce ne soit pas moi qui te passe les menottes. A ce sujet, si je porte plainte, personne ne t’arrêtera comme une vulgaire criminelle, tu recevras simplement une injonction du tribunal pour te présenter au procès » lui expliquais-je avec un léger sourire au coin. Elle n’avait absolument rien à craindre car je n’aimais pas les procédures inutiles. Je ne perdais jamais de temps sauf ce soir. Le retour au loft allait être mémorable vu la jalousie d’Elisandra et pourtant, tout en sachant cela, je me lançais dans une interprétation du rêve érotique de Jackie comme si elle n’était qu’un vulgaire sujet d’étude. Je perdais mon temps et j’en venais même à lui accorder une heure.

« Pour qui je me prends ? Pour l’homme avec lequel tu as confondu ton amant érotique et au cou duquel, tu as sauté. Je pense que cela me donne le droit de te conseiller sur ta vie sexuelle » lui répondis-je avec un ton hautain comme à chaque fois que je prenais tous les droits comme argent comptant. « Pourquoi n’obéis-tu pas au commandement de ne pas parler au conducteur dans ce cas ? Laisse-moi deviner, tu ne suis pas vraiment les règles du commun des mortels n’est-ce pas ? » soupirais-je faussement atterré mais le pire, c’est qu’en vérité, je commençais à être vraiment amusé par ce personnage haut en couleur. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle en devienne impertinente mais ce qui me surprit le plus, fut qu’elle arriva au moins à prononcer mon surnom sans l’écorcher. « Oh miracle ! Je peux mourir en paix, elle a enfin appris à prononcer Hippo… mais tu as raison, je t’ai fait monter dans ma voiture dans le but de te raccompagner chez toi comme un gentleman mais tu as tendance à brouiller les pistes depuis tout à l’heure » lui fis-je néanmoins remarquer avant de lui accorder une heure de mon temps. « Non, le minimum, c’est le prix que tu veux y mettre. Ma clientèle est fortunée alors les minutes sont bien plus importantes que les heures mais après, nous avons effectivement des forfaits selon la prestation demandée. Par contre, un McDo ? Il est hors de question que je mette les pieds dans ce genre d’établissement alors ce serait les sushis où rien. Je connais un restaurant qui ferme tard. Allons-y » lui répondis-je finalement avant de prendre la première à droite pour retourner dans Harvard Square.


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Tu soupiras lorqu'il dit ne pas être policier. Quel dommage, tu étais persuadé que l'uniforme lui irait comme un gant et le rendrait encore plus sexy qu'il ne pouvait l'être déjà. D'un autre côté, ça te rassurai parce que tu n'avais pas vraiment envie d'avoir un casier judiciaire, t'étais persuadée que ça ferait tâche sur un CV.

Tu auras le droit de me conseiller sur ma vie sexuelle le jour où tu seras coach sexuel, ce que tu n'es absolument pas si j'ai tout bien compris. Alors non non non non non, rien ne te donne le droit d'me conseiller concernant mon p'tit jardin, eukay ? dis-tu en papillonnant des yeux. T'avais crié, il te l'avait reproché, mais t'en avais rien à faire. Même s'il était fortement recommandé de ne jamais parlé au chauffeur, tu ne l'avais jamais respecter parce que sinon, tu t'embêtais royalement en tant que passager. D'autant plus lorsque tu étais bourrée. Mais tu devines super bien. T'as jamais pensé à te reconvertir en psy ? J'suis sûre qu'en lisant dans les pensées des gens, tu pourrais en aider plus d'un ! dis-tu d'un air faussement épatée. Directeur d'une agence d'escort, coach sexuel ou psy, ce mec avait plein de possibilités devant lui le jour où il déciderait de se reconvertir. Hippolyte laissa sortir sa joie quand tu avais réussi, enfin, à prononcer son diminutif sans l'écorcher. Mine de rien, ça t'avais demandé quelques efforts et de la concentration ce qui n'était pas facile quand tu étais saoule. Rien n'était facile quand tu étais saoule de toute façon. Je brouille les pistes ? J't'ai dit d'entrée que je n'avais pas envie de renter à la Lowell House. Enfin je crois. Du moins, j'l'ai pensé ! Mais t'as quand même insisté pour me prendre dans ta super voiture, alors j'me suis dit que j'allais passer ici, puis là.. et puis maintenant on est là ! Et puis.. oh merde ! Tu plaquas ta main contre ta bouche, réalisant que tu avais lâcher un peu plus tôt l'endroit dans lequel tu habitais. Crotte, crotte, crotte. Finalement, il accepta de passer une heure avec toi et t'avais directement proposer d'aller manger un truc, parce que mourais de faim. T'es sérieux ? T'as jamais mangé au McDo ? J'suis sûre que t'as des apprioris sur ce fastfood, c'est pas si mauvais que ça. C'est même pas mauvais du tout tu sais. Mais bon, j'adoooooore les sushis. J'crois que rien que pour ça j'pourrais devenir japonaise tu sais ? Tu crois que ça m'irait bien les yeux bridés ? fis-tu en tirant sur tes yeux du bout des doigts pour te faire des yeux asiatiques.
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