Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHIPPOLYTE&JACKIE ❥ rêver, verbe transitif, s'absorber dans la pensée d'une chose que l'on désire vivement.
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HIPPOLYTE&JACKIE ❥ rêver, verbe transitif, s'absorber dans la pensée d'une chose que l'on désire vivement.

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S’évader, s’échapper de cette horrible réalité qu’était la sienne. C’est dans cet état d’esprit que Jackie avait quitté sa chambre à la Lowell, habillée d’une petite robe noire à motifs triangulaire et d’un blazer jaune, pour se rendre au Lord Hobo. Installée au comptoir, elle avait tenu la discussion avec le serveur qui tentait tant bien que mal de la draguer, enchaînant les vodkas pomme les unes après les autres. Ce doux breuvage lui avait manqué et la douce sensation qui l’accompagnait tout autant, peut-être même un peu plus. Trois heures s’étaient écoulées depuis qu’elle était arrivée et Jackie était déjà bien alcoolisée, plutôt bien même. Accoudée au comptoir, tenant sa tête dans ses mains, la Lowell ferma les yeux un instant. Rouvrant les yeux à nouveau, elle tourna la tête pour voir les autres personnes qui traînaient dans le bar, à la recherche d’une nouvelle personne avec qui papoter. Et là, il était à côté d’elle. Aaron. Ca y’est, elle rêvait. Aaron, c’était son p’tit fantasme, son idéal masculin avec qui elle filait le parfait amour dès qu’elle rejoignait les bras de Morphée depuis quelques jours. Il l’aimait, elle l’aimait. C’était le rêve parfait et chaque matin, elle espérait que la journée passe vite pour qu’elle puisse retrouver son Aaron. Elle avala cul sec le fond de l’énième verre de vodka puis sautilla toute heureuse vers le garçon, se blottissant dans ses bras. Bonsoir bel ange ! J’suis trop trop trop trop trop trop trop trop trop contente de te revoir. J’ai attendu la journée entièèèère. Mais on a enfin la nuit devant nous ! Elle releva la tête et déposa un bisou sur le menton du garçon, quand même un peu plus grand que lui.
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La soirée était déjà bien avancée quand je sortis du bureau, saluant Mona au passage ainsi que quelques anges, mes employés. Il n’était pas trop tard pour passer boire quelque chose au Lord Hobo. D’ordinaire, je ne fréquentais pas les bars car ne consommant pas la moindre goutte d’alcool, je faisais toujours un peu tâche dans le tableau mais je ne sais pas, j’avais envie de me mêler à la foule. Je poussais la porte de l’établissement, m’imprégnant de l’ambiance avant de me diriger vers le bar où il n’y avait plus qu’une seule place de libre aux côtés d’une jeune femme visiblement bien éméchée à voir son langage corporel. J’aimais étudier les autres, c’était une façon comme une autre de connaitre leurs coups par avance –fin stratège jusqu’au bout des ongles dirait mon grand-père. Simplement prudent répondrais-je laconiquement. J’avais bien trop souffert à cause des autres pour me permettre une telle légèreté. Aussi, je préférais toujours observer mon entourage proche pour être certain de ne pas avoir de mauvaises surprises. Toutefois ce soir, rien ne m’avait préparé à me retrouver avec cette femme dans les bras comme si nous nous connaissions bibliquement. Qu’est-ce que c’était que ce bordel ? Je la toisais du regard, arquant un sourcil avant de poser mes mains sur ses épaules. « Je suis désolé mais je crains fort qu’il y ait une méprise… Vous faites erreur car je ne suis manifestement pas l’homme à qui vous pensez » commençais-je mais la jeune femme ne se laissa pas démonter, embrassant mon menton. « S’il vous plait, cessez de vous montrer aussi familière en ma présence, c’est inconvenant de la part d’une jeune femme » la rabrouais-je légèrement en la forçant à regagner son siège.

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C'était comme si c'était réel : la chaleur qui émanait du garçon, la douce odeur de son parfum, cette agréable barbe de trois jours qui lui allait à ravir. Alors qu'elle avait presque couru pour se nicher dans les bras du jeune homme, celui ci lui répondit qu'elle se trompait certainement de personne. Hein, quoi, comment ? Jackie se mit à rire. Oh, mais t'es un p'tit marrant en fait mon chat ! Malgré tout, il la repoussa, continuant de prétexter qu'il ne la connaissait pas. Le rire de Jackie s'estompa, laissant place à une légère mou. Aaron, pourquoi tu parles comme un riche ? Un sourire malin se dessina sur ses lèvres. Tu veux jouer en fait, c'est ça hein ? Alors t'es le riche et moi j'dois faire quoi ? Elle fit une petite révérence puis fit un tour sur elle même, manquant de tomber à la renverse. Heureusement, son cher et tendre était là et elle se rattrapa à ce qu'elle pu.. son tee-shirt en l’occurrence. Ohoh, excuse moi. L'est pas déchiré j'espère ? Oh puis de toute façon, t'es le riche alors on s'en fiche. Elle plaqua sa main contre sa bouche, essayant de contenir son rire.
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Elle était complétement ivre. Voilà le constat que je venais de faire alors qu’elle continuait de s’offrir à moi de manière à la fois adorable et insolente. Je ne savais pas qui était ce Aaron mais une chose était sûre et certaine, ce n’était pas moi. « Ecoutez, je ne suis pas votre Aaron, je m’appelle Hippolyte et toute cette histoire commence à devenir bien embarrassante pour vous comme pour moi » soupirais-je un tantinet plus froidement que précédemment. Comment faire entendre raison à cette femme qui se méprenait sur la moindre de mes paroles. D’après l’inconnue, nous serions en plein jeu amoureux façon jeu de rôle coquin. « Et puis je ne fais pas le riche, JE suis riche »lâchais-je sur un ton hautain. J’étais fier de la fortune que j’avais réussir à bâtir sans l’aide de mon grand-père. J’avais passé des jours et des nuits à étudier les placements financiers et à présent, ils n’avaient plus aucun secret pour moi comme mon torse pour cette jeune femme qui venait de se raccrocher à mon T-shirt, le déchirant légèrement. Dans un réflexe, j’avais passé un bras autour de sa taille pour la redresser sur ses jambes, l’écartant une nouvelle fois de moi. « Cela suffit maintenant mademoiselle, je vais vous appeler un taxi car visiblement, vous n’êtes plus en état de vous conduire parfaitement en société » lui dis-je tout en dégainant mon smartphone pour appeler une compagnie de taxi. Il valait mieux qu’elle rentre chez elle.

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C'était pas Aaron ? Mais si, ses yeux là, ses cheveux là, ce nez là, cette barbe là, cette bouche là, ce p'tit menton là.. merde mais c'était lui quoi, y'avait pas de doute possible ! Hippo quoiiiii ? grimaça-t-elle en entendant le supposé nom de son Aaron. Elle se mit à rire en imaginant une petite colonie de chevaux de la mer galoper autour de la tête du jeune homme. Woow, on voyait des trucs trop chouettes dans les rêves. D'un air hautin, il affirma être riche, un vrai de vrai, le genre avec des tonnes de dollars dans les comptes en banques, le genre qui te sors des billets comme as, sans jamais les compter. Un riche quoi. La Lowell pouffa de rire. T'es carrément convaincant en plus ! Allez, on fait quoi ce soir ? On prends un jet privé et on file vers les pays chauds ? On prends la limousine et on boit du champagne ? Haaan, plein de champagne ! Le garçon avait beau tenir tête, elle restait persuadée qu'il était celui auquel elle pensait. Le fameux Aaron. Le mec qu'existe même pas en vrai. Enfin.. L'air mielleux qu'elle avait pris laissa place à un air plus agacé. Autant c'était amusant cinq minutes, autant qu'il continue à faire l'ignorant, ça devenait usant. En société.. fit-elle en imitant son air bourgeois. Allez, ça suffit. C'est mon rêve, c'est moi qui commande. Et là c'est plus marrant du touuuuut. Plus du tout du tout ! Alors tu vas ranger ton téléphooone, et puis on va faire un truc trop cooooool ce soir, cette nuit. Oooh, et puis tu vas arrêter de faire comme si tu te rappelais pas de moi. Jackiiiiiie ! Jackie et Aaron c'est pour la nuiiiiiiit ! Elle applaudie comme une gogole sur ces dernières paroles. Elle se tapait de drôles de délires dans ses rêves visiblement.
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Ce n’était pas possible, cette femme avait été un morpion dans une vie antérieure pour être aussi collante ? Un morpion sur une mule, voilà ce qu’elle était : aussi collante que bornée et en prime, elle allait me faire la gueule parce que je ne répondais pas favorablement. Le problème, c’est que je n’étais pas le plus patient des hommes et que si pour l’heure, je faisais preuve d’une gentillesse excessive, cela n’allait pas durer très longtemps. « Je crois que vous avez suffisamment abusé de l’alcool pour boire du champagne » lui répondis-je en secouant la tête. J’appris au passage qu’elle s’appelait Jackie et qu’elle aimait particulièrement se donner en spectacle. « Ecoutez Jackie, je ne suis pas Aaron et vous êtes en plein délire »commençais-je avant de soupirer et de l’attraper par le bras pour la conduire en dehors du bar –non sans avoir déposé un tas de billet pour payer ses consommations. Je la trainais donc dehors, espérant qu’un bon bol d’air frais lui ramènerait les idées à la normale. « Est-ce que cela va mieux ? »lui demandais-je en l’observant avec méfiance. Je craignais toujours qu’elle se jette à mon cou ou quelque chose dans ce goût-là. « Ce serait guère prudent que je vous laisse à la merci du premier homme dans votre état. Donnez-moi votre adresse que je puisse vous ramener » lui dis-je en attendant qu’un taxi veuille bien passer dans la rue où nous nous trouvions pour la raccompagner chez elle.

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Jackie ne se rendait pas compte à quel point elle était sous l'emprise de l'alcool. Pour elle, tout allait bien dans le meilleur des mondes parce qu'en général dans les rêves, y'a jamais de problèmes. Dans les bons rêves, les cauchemars c'est trop pas la même chose. Alors quand ce type qu'elle prenait pour l'Aaron de ses rêves lui lâcha qu'elle avait suffisamment bu, elle se mit à rire, pensant à une nouvelle blague. Puis il continua, il était pas Aaron. Elle nageait en en plein délire visiblement et il avait raison. Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, il l'attrapa par le bras, la traînant à l'extérieur du bar. La nuit était tombée depuis quelques heures et les températures également. C'était drôle, les sensations semblaient carrément réel. Elle avait froid, alors que d'habitude lorsqu'elle rêvait, elle n'arrivait pas à sentir ces choses là. Si ça allait mieux ? Elle pouffa de rire, croisant les bras pour garder sa chaleur corporelle. Bah j'ai froid quoi. Mais t'es qui si t'es pas Aaron ? demanda-t-elle en arquant un sourcil. Franchement, elle comprenait plus rien. Ouais je sais, t'es Hippoquelquechose, maaaais.. pourquoi t'es plus Aaron ? C'est plus drôle, j'veux changer d'rêve, toi t'es pas marrant. soupira la jeune femme en shootant dans un caillou qui tomba dans une bouche d'égout non loin d'ici. Je m'en vais pas avec n'importe qui non plus hein ! Et puis arrêteeee de vouloir me ramener à tout prix chez moi roh lalaaaa ! Elle tapa du pied puis se mit à marcher maladroitement le long du trottoir, pensant très très fort à Aaron, comme s'il allait apparaître devant elle, en vain. Quelques mètres plus loin elle s'arrêta puis fit demi tour sur elle même puis marcha d'un pas décidé vers le garçon. Réveille moi ! J'arrive à rien contrôler, j'arrive même pas à faire que tu sois Aaron et pas Hippotruc. fit-elle avec sa petite mou. Décidément, elle n'arriverait pas à prononcer son prénom tant qu'elle ne serait pas sobre.
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L’idée du siècle s’imposa à moi et je la menais rapidement vers l’extérieur espérant un sursaut de lucidité de sa part dès lors que le léger vent de ce soir, ne vienne caresser sa peau. Jackie ne tarda pas à se plaindre et je levais les yeux au ciel, me demandant bien pourquoi la déesse mère me punissait en me collant une femme capricieuse comme Jackie entre les pattes. J’avais dû faire quelque chose qui l’avait fortement agacé mais quoi ?! Bonne question. « Hippolyte, ce n’est pas compliqué à retenir bon sang ! » m’emportais-je légèrement, juste un haussement de la voix. Je ne supportais pas lorsque les gens écorchaient mon prénom ou le détournaient. Elisandra le faisait suffisamment à mon goût lorsqu’elle me surnommait hipopotamus –comme si j’avais la tête d’un restaurant ?!; « Jackie, je n’ai jamais été cet Aaron de malheur, vous confondez le rêve et la réalité visiblement »m’agaçais-je. La demoiselle décida tout bonnement à ce moment-là de me fausser compagnie aussi vite qu’elle était arrivée et je me retenais de ne pas me cogner la tête contre le premier mur se trouvant à ma portée. Non, je n’allais pas m’énerver et lui courir après pour la trainer par les cheveux dans le premier taxi qui passerait près de nous. Je n’en avais que faire qu’une femme totalement ivre se promène dans les rues de Cambridge inconsciente de son état de proie idéale pour tous les pervers passant dans le coin. Je la vis s’arrêter quelques mètres plus loin pour mieux revenir vers moi en me suppliant de la faire se réveiller. « Hippolyte ! » martelais-je pour que cela rentre dans sa tête. « Je ne vais quand même pas m’abaisser à frapper une femme »soupirais-je en me parlant à moi-même. Je secouais la tête pour lui pincer le bras. « Voilà, consciente que vous ne rêvez pas ?! Maintenant, on va prendre un taxi et je vous ramène chez vous »grommelais-je en perdant le peu de patience que j’avais.

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Pas compliqué, pas compliqué.. facile à dire quand on est sobre et puis qu'on l'connait son prénom. Dès lors que Jackie était bourrée et qu'elle voulait prononcer à prénom de plus de deux syllabes, c'était fichu. Alors l'hippocampe, fallait pas trop qui s'énerve parce que Jackie n'arrivait pas à prononcer son prénom. Tu te s'rais appelé Aaron, j'aurais pas eu de problèmes avec Hippotoi ! protesta-t-elle, comme si c'était de sa faute à lui d'avoir un prénom aussi farfelu. Elle confondait les rêves et la réalité ? Non, c'est pas possible, Aaron elle se l'était inventé de toutes pièces, elle en avait fait son idéal masculin. Tu peux pas exister, c'est moi j't'ai inventé. Donc ça peut pas être la réalité. Alors j'confonds rien du tout. Euuuuh comment on dit déjà ? Ah, CQFD ! fit-elle en levant fièrement le doigt. Après s'en être allée quelques mètres plus loin, elle était revenu au près du charmant garçon, bien décidé à ce qu'il la réveille pour qu'elle puisse mieux se rendormir et retrouver l'Aaron, le vrai, le drôle, celui qui sait qui elle est. Hippol.. Hippol.. Hippol.. AAH. Mais j'y arrive paaaas ! Au pire, j'peux t’appeler Pol' ? C'est plus court, puis c'est plus facile à dire quand même j'trouve. fit-elle en claquant plusieurs fois ses bras contre son petit corps. Elle arqua un sourcil quand il parla de frapper une femme. Quoi, mais elle avait jamais demander ça Jackie hein, elle voulait jusqu'il la réveille, en faisant un truc qu'on peut faire dans les rêves, genre de transformer en cauchemar, ou claquer des doigts.. mais pas la frapper ! Finalement, il la pinça. Aïe ! Mais.. ça fait mal idiot ! pesta-t-elle en grimaçant, le pinçant sur le bras en retour, deux fois ! Et bim. Recommence jamais ça sinon la prochaine fois j'.. Puis elle s'arrêta, réalisant soudainement qu'elle ne rêvait pas. Et que ce Pol' était bien réel, et qu'elle se tapait l'affiche à la prendre pour un mec qu'elle s'était imaginé dans ses rêves. Cela expliquait pourquoi tout lui semblait si réel, sa chaleur, son odeur, le froid.. tout ! Parce que c'était réel. Elle plaqua ses deux mains contre sa bouche, reculant de quelques pas jusqu'à heurter le mur. Oh merde. Oh merde. Oh merde. Je rêve pas. Oh merde. Alors tu.. et puis je.. Oh merde. Allez, encore une fois. Oh merde. Non mais elle voulait pas rentrer avec lui du coup, c'était déjà trop la honte. Puis elle voulait pas rentrer du tout même, Caleb allait la tuer s'il la retrouvait en mode hangover, empestant l'alcool. Alors, hm.. ça gaze ? dit-elle en se grattant la tête. Nul. Nul, nul, nul ! Mais qu'est-ce-que t'es censé dire à un mec qui ressemble à s'y méprendre à ton idéal masculin, avec qui tu fais des choses pas très catho' dans tes rêves et en plus que tu viens de prendre pour ce type là ? Partir en courant ? Bah ouais, avec quelques grammes d'alcool dans chaque bras et une attelle, elle n'aurait pas été bien loin la Jackie.
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Hippolyte. Bon sang, il ne fallait pas sortir des grandes écoles pour savoir retenir un prénom de plusieurs syllabes ! Etait-elle idiote ou l’alcool nuisait-il grandement à ses facultés mentales ?! J’hésitais entre l’agacement et l’exaspération mais autant dire que je me décidais d’opter pour les deux tant elle totalement bornée. « Bon sang ! Par les dieux de l’Olympe, êtes-vous simplement idiote ou totalement ivre ?! Je commence à me demander si vous n’êtes pas les deux. Je ne suis ni Aaron ni même le fruit de votre imagination alors cessez donc de vous donner en spectacle de cette manière » m’agaçais-je en massant l’arrête de mon nez. Je ne devais surtout pas la taper mais l’idée même de la prendre par les épaules pour la secouer comme un prunier était des plus tentantes, je devais bien le reconnaitre. « Hippolyte !! Non vous ne pouvez pas m’appeler ainsi. Nous ne sommes pas intime » continuais-je de bouillir comme une cocotte-minute. Quel était ce surnom débile ?! Pol’ ?! Sérieusement. Je terminais tout de même par la pincer pour lui montrer que j’étais bien réel. « La prochaine fois quoi ?! Je ne suis pas certain que vous soyez en mesure de me faire une quelconque blessure mademoiselle » soupirais-je tandis qu’une certaine lucidité était en train de lui ramoner le cerveau et lorsqu’elle me demanda si ça gazait, je crois que l’on m’aurait dit que c’était la fin du monde, je l’aurais cru sans poser de question. « Rassurez-moi et dites-moi que vous n’êtes pas comme ça au naturel ?! Enfin peu importe, où est-ce que vous habitez que je puisse vous ramener et mettre derrière nous ce triste épisode ?! »lui demandais-je avec un soupçon d’impatience dans la voix. Est-ce que je désirais m’en débarrasser ?! La réponse était sans conteste : oui.

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