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(+ Hyppo) Kill Bill... le retour

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« Est-ce que ça te montre à quel point j’ai pas le choix ou faut en prime te faire un dessin ? » répliqua-t-elle sans se démonter une seconde. Elisandra s’assit pourtant, écoutant les doléances de son ex avec attention alors que son cœur était mis au supplice par tant de froideur. « Waw, quel homme d’affaires… pour ton information, j’ai pas besoin de coucher avec le client, je sais réguler mes besoins physiologiques et je ne suis pas assez conne pour me vanter de ce que je vais faire ici… c’est histoire de retomber sur mes pattes, point final. J’accepte tes termes. Je commence quand ? »
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« Je suis un homme d’affaires rien de plus rien de moins » rétorquais-je avec indifférence. Cela faisait bien longtemps que les sentiments n’avaient pas rythmé mon existence. Quatre années. « Je n’ai jamais sous-entendu que tu étais diminuée mentalement… As-tu un endroit où dormir ? Sinon, je peux te donner un logement de fonction » lui demandais-je comme s’il était naturel que je propose cela à mes employés. Cela ne l’était pas, je lui offrais ni plus ni moins qu’un appartement tous frais payés pour être certain de pouvoir la garder à l’œil. Après, ce serait tout bonnement le hasard si cet appartement sera sur le même pallier que le miens. Qui sait, je pourrais toujours sous-entendre que je lui ai accordé cet appartement simplement pour qu’elle puisse voir son fils plus souvent. Manipulateur ? Oui.

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« Rien de plus rien de moins ? Pas sûr. T’as l’air d’être un homme à femmes aussi » arqua-t-elle un sourcil avant de laisser échapper un petit rire libérateur. Il valait mieux cela que de pleurer ou hurler, n’est-ce pas ? « Non je viens de quitter l’hôpital, je ne sais pas encore où je vais dormir. S’il y a un logement de fonction je ne dis pas non, ça m’évitera des frais et puis de passer des heures dans les transports » avoua-t-elle en hochant la tête d’un air entendu. « Quelqu’un peut me le montrer que je m’installe ? Par contre tu m’as pas dit quand je commençais » redemanda-t-elle avant de se lever, ne tenant littéralement pas en place deux secondes.
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« Je n’ai fréquenté personne en quatre ans. Ma relation avec Serena n’avait pour unique but d’offrir une présence féminine à Archie. Après si tu te demandes si j’ai couché avec des femmes en quatre oui ? Oui. Des relations exclusivement sexuelles » me justifiais-je presque. J’étais loin de ma grande carrière de coureur de jupons. Je n’avais connu que quatre femmes. Une par an. Un soir sur trois cent soixante-cinq pour oublier que je crevais de solitude. « Accordé. Il faut que tu passes à la comptabilité et à la DRH pour qu’on te fasse ton contrat. Après, je t’amènerai visiter l’appartement » lui signalais-je avant de la conduire au bon service où Mona travaillait. « Chou’ tu m’amènes une nouvelle protégée ?! Viens donc voir maman Mona, je vais m’occuper de toi… Quant à toi Chou’, quel choix désastreux tu as fait en choisissant Serena. Rassure-moi et dis-moi qu’elle n’est pas la femme de cette année… Dire que tu t’accordes une seule nuit par an pour te donner l’impression que tu n’es pas seul. Alala cette femme qui possède ton cœur, elle a bien de la chance qu’après quatre années, tu continues de l’aimer autant ! » lâcha-t-elle sur un ton badin tandis que je palissais à vue d’œil. « Mona ! Vie privée bon sang » marmonnais-je comme un enfant prit en flagrant délit pour mieux retourner à mon bureau comme si j’avais le diable aux trousses.

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« Ta vie privée ne me regarde pas, tu es bien libre de faire ce que tu veux tu sais, je n’ai pas mon mot à dire » le coupa-t-elle car vraiment, Elisandra n’avait aucune intention d’en entendre davantage. Il comblait sa solitude dans le nombre de bras qu’il voulait après tout, qui était-elle pour lui en vouloir ? Hélas, personne. Mais ce fut pire lorsque la fameuse Mona l’accueillit pour ainsi dire à bras ouverts pour mieux la pousser à écarquiller les yeux. « Pas sûr qu’il l’aime autant, votre « chou » aime bien surtout son boulot apparemment » plaisanta-t-elle avant de laisser cette femme adorable faire son contrat et de limite paniquer en s’apercevant qu’elle pouvait à peine tenir un stylo pour signer. Sa main tremblait tellement que c’en était douloureux… « Je vais y arriver, mais je vais juste prendre l’air une minute » s’excusa-t-elle pour mieux se ruer vers la porte de service et faire les cent pas yeux fermés, respirant bruyamment, le corps tremblant. Vive la crise de panique.
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« Oh si il l’aime profondément. Vous savez, je le connais depuis qu’il a quatorze ans…Je n’ai jamais vu un homme aimait autant une femme mais la pauvre enfant est dans le coma depuis quatre longues années » lui avait répondu Mona. Heureusement que j’ignorais tout de leur conversation sans quoi j’aurais très certainement viré cette femme pour mieux la réengager par la suite. Mona était comme une mère pour moi et pour cette femme, j’étais prêt à tout même à supporter qu’elle se mêle de ma vie à tout bout de champ. Le besoin de fumer fut rapidement plus fort que moi et je me retrouvais sur la terrasse. La porte y menant s’ouvrit alors brusquement et je contemplais ce fantôme du passé pour mieux m’approcher et commencer à lui masser les épaules comme je le faisais par le passé quand elle était stressée par ses examens. « Respire calmement, cela va passer » murmurais-je d’une voix presque douce.

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« J’y arrive pas, j’y arriverai pas » répétait-elle alors qu’elle craquait complètement, malgré le massage d’Hyppolite. De longues larmes s’écoulaient le long de ses joues et son corps tremblait telle une feuille morte, demeurant aussi douloureux que lors de toute sa rééducation. Elisandra avait perdu quatre ans de sa vie et même aujourd’hui, elle ne parvenait pas à signer un pauvre contrat. « Ca va aller tu peux retourner à ce que tu étais en train de faire » se retourna-t-elle en essuyant précautionneusement ses larmes, tentant un dernier baroud d’honneur.
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« Tu y arriveras. Tu as toujours réussi à obtenir ce que tu voulais dans la vie, ce n’est pas pour renoncer à présent » lui dis-je avant de l’attirer dans mes bras comme pour la soulager de sa détresse. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas étreint le corps d’une femme de cette façon. Mes rapports étaient toujours charnels et mécaniques, sans aucune passion. A peine l’acte était-il fini que je me rhabillais et disparaissais de leur vie aussi vite que j’y étais entré. « Essaie de te calmer, il n’y a personne d’autre que nous ici alors personne pour voir que tu as un moment de faiblesse » murmurais-je en caressant son dos. Il n’y avait bien qu’avec elle que je me montrais aussi tendre et prévenant –même Archi n’avait pas autant de câlin de ma part. J’en étais incapable, comme amputé de cette faculté. Cette femme était la seule à me rendre aussi humain.

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« Tu sais ce que ça fait d’avoir l’impression que ton cerveau veut une chose mais que ton corps est incapable de la fournir ? » lui demanda-t-elle avant de le serrer aussi fort qu’elle le put contre elle, Elisandra trouvant cette étreinte des plus salvatrices. Elle ne demandait pas mieux, d’ailleurs. Pendant un mois, elle s’était battue toute seule pour réapprendre à marcher et se remuscler… alors que cela change lui faisait du bien, tellement de bien. « Si, toi tu me vois. Mais heureusement que ta blonde me voie pas je vais me faire défoncer sinon ! J’arrive même pas à tenir un pauvre stylo bordel que c’est pathétique… mais ton employée elle débloque, elle m’a sorti que tu m’aimais encore et qu’elle ne t’avait jamais vu aimer quelqu’un comme tu m’aimais moi. »
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« Tu sors d’un coma d’une longue durée… Accorde toi un peu de temps » lui conseillais-je en glissant mes doigts dans ses cheveux pour lui masser le cuir chevelu. Elisandra était bien trop dure avec elle-même, elle devait apprendre à se montrer patiente et indulgente envers elle-même. « Si elle tient à sa vie et à son travail, je ne lui conseille pas de t’attaquer »lâchais-je tout de même assez froidement. Personne n’avait le droit de lever le moindre petit doigt sur cette femme sans en subir mon courroux et autant dire que ce dernier serait des plus atroces. « De tout de manière, Serena ne m’est plus utile. A présent, Archibald va retrouver sa mère, il aura donc toute la présence maternelle dont il en droit de mériter »ajoutais-je avant de me crisper contre elle. « Est-ce si difficile à croire ? Mona a toute sa capacité mentale de réfléchir et d’émettre des hypothèses. Elle est la personne qui me connait le mieux sur Terre »

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