(flashback) diavery + whatcha say

diamantika & avery ★
i know that means something to you

Les cours viennent de se terminer. Pour être plus précis c'est l'année qui vient de se finir. Les partiels sont passés et pour faire bref, nous sommes officiellement en vacances. La plupart des étudiants vont partir au summer camp pour profiter de l'été comme il se doit. De mon côté, j'vais rejoindre ma famille à Chicago. Ils me manquent énormément. Il faut que c'est ma première année à Harvard et que c'est extrêmement bizarre de ne pas devoir les supporter H24. J'abandonnais mon sac sur le sol de ma chambre, regardant encore une fois la pièce. Bientôt, j'vais partir d'ici. J'vais certainement changer de chambre l'année prochaine et même si je serai toujours à la Winthrop... bah ça me fait bizarre. J'm'attache quand même rapidement. Je me laissais tomber sur mon matelas et pris mon portable dans les mains comme à mon habitude. Diamantika est censée venir ici pour qu'on passe notre journée ensemble. Je ne sais pas exactement ce qu'on va faire. On verra bien hein. Mais dans tout les cas, ce soir je serais célibatire.

Avery & Diamantika ★
you know that means something to me

J'étais paisiblement endormie, je rêvais d'une petite citrouille malheureuse ayant perdu son amour lors de la récolte saisonnière et cette dernière avait pleuré toutes les larmes de son sexy corps de citrouille. Comme-ci le champ était contre elle, elle se fit attaquer par de géantes abeilles finissant aujourd'hui par être la plus moche des citrouilles, personne ne voulait plus d'elle, elle termina alone forever and ever toute sa vie pleurant toujours la mort de son lover. Vous parlez d'un magnifique rêve hein ? Cela n'avait même rien d'un rêve, c'était du gros n'importe quoi. Fort heureusement, je fus interrompue par mon réveil et dieu soit loué !. Ouvrant les yeux, je m'étirais longuement avant de zieuter ma montre et de me rendre compte que j'allais me faire sermonner par Avery si je ne me dépêchais pas de montrer le bout de mon nez. Rapidement je fis ma toilette à la façon Flash et même mieux ! Bah quoi ? Bientôt ils enverront flash à une retraite obligatoire et me prendront à sa place, en gros titre, "Flashy girl" ! La fille la plus rapide de l'univers, eh ouai, eh ouai... Bref une fois prête, parfumé et sexy comme toujours, j'attrapais mon sac direction la winthrop house. Une nouvelle année venait de s'écrouler, vive les vacances, les maillots de bains, la plage et tout le tralalala!. Cependant, cette année je n'irais pas au summer camp, je voulais m'organiser une road trip entre copines et puis ça tombait bien puisqu'Avery devait rendre visite à sa famille. Ce soir avant qu'il ne parte, j'avais prévu de lui dire ce que je ressentais réellement pour lui, ça me pesait trop lourd, jn'arrivais même plus à dormir, vous voyez, je rêve même de citrouille malheureuse. Une fois devant sa porte, je l'ouvris, car j'avais une double des clés tout comme lui en avait une des miennes. Refermant la porte, j'arborais déjà sur le visage, un air tout triste, effrayé et en mode Loïs Lane qui attend d'être secourue par son superman. Je le rejoignis sur le matelas, m'asseyant à cheval sur lui et jouant à tapoter le bout de mes deux index l'un sur l'autre. « J'ai fait un vilain cauchemar, une citrouille qui a perdu son amoureux et pis qui s'est fait piquer par tout pleins d'abeilles, résultat, elle est d'venue la plus moche des citrouilles et termina alone pour toujours ! C'est tristounet... » Disais-je en posant ma tête sur son torse. « Moi veux grosss câlin tite suite. » Diamantika ou l'art de se sortir indemne en prenant par les sentiments. N'empêche que j'étais toute mignonne avec mon air de petite fifille accompagné de mes yeux en mode chat potté. Je ne faisais pas les choses à moitié attendez, ce n'est pas pour rien que j'prennais des cours d'art théâtral ein.

diamantika & avery ★
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Diam’ arrivait peu de temps après que j’me sois installé sur le lit. Même si elle était en retard de quelques minutes je ne me voyais absolument pas lui faire de réflexions à ce sujet  vu que je suis le gars qui est toujours en retard huhu. J’abandonnais mon portable sur ma table de chevet et me redressais un petit peu pour voir la jeune femme. Elle avait l’air comme effrayé et triste. Que pasa ? Sans que j’dise quoi que ce soit, elle s’installa à cheval sur ma personne.  « J'ai fait un vilain cauchemar, une citrouille qui a perdu son amoureux et pis qui s'est fait piquer par tout pleins d'abeilles, résultat, elle est d'venue la plus moche des citrouilles et termina alone pour toujours ! C'est tristounet... » Si ce n’est que ça… Je fis un fin sourire en contemplant son visage. « Ouais, c’est très triste » En vrai, c’est juste un rêve alors osef. Elle posait sa tête sur mon torse. « Moi veux grosss câlin tite suite. » Mon sourire s’agrandit doucement. Je posais mes bras sur elle pour la réconforter comme elle me l’avait demandé. « C’était qu’un rêve… les citrouilles ne tombent pas amoureuses » Réaliste = Avery. En parlant de ça, j’ai l’impression que Diam’ fait de plus en plus de références et l’amour … et ça m’fait flipper. Gosh, si elle tombait amoureuse de moi ça serait vachement … embêtant ? « Ca va mieux ? » demandais-je en retirant peu à peu mes bras de son corps.

Avery & Diamantika ★
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De toute façon avec mon super visage mignon, Avery ne pourrait jamais m'en vouloir trop longtemps. Je gardais ma tête sur son torse jusqu'à sentir ses bras se presser et serrer mon corps. J'étais bien ainsi, j'adorais m'enivrer de son parfum, de son odeur, j'étais simplement aux anges et je ne voulais pas m'en défaire. « C'était qu'un rêve... les citrouilles ne tombent pas amoureuses » J'avais envie d'éclater de rire, heureusement que les citrouilles ne tombent pas amoureuse sinon ou allait le monde, mais surtout, dans quel monde serions nous ?. Je me retiens vraiment rire même si je n'ai pu empêcher un large sourire de s'étirer sur mes lèvres. « Ça va mieux ? » Délicieusement mieux qu'il y a cinq minutes. Ses bras étaient musclés et si réconfortant, je me demande pourquoi je ne lui ai pas fait mien à la minute où nos lèvres se sont touchées. Il retira ses bras de mon dos et je me redressais le laissant s'asseoir, mais toujours avec moi à cheval sur lui. « Ça va beaucoup mieux...puis Osef, c'est qu'une citrouille !. » Disais-je en rigolant. Je me demandais comment voyait-il, allait-il vraiment digérer ce que je lui avouerais ce soir, ressentait-il la même chose ? En tout cas, je ressentais un truc de sa part lorsqu'il m'embrassait, c'était toujours intense, on croirait qu'il y mettait de l'amour, je me trompais peut-être, pas étonnant que je me trompe aussi. Peut-être qu'il adorait juste mes lèvres. « Après le câlin c'est le bisou !. » Sans attendre qu'il m'embrasse, je pose mes doigts sous son menton et je l'attire jusqu'à mes lèvres. Sauf qu'au moment où ils allaient se toucher, je déviais mes lèvres jusqu'à son oreille où je lui murmurais chaudement d'une voix rauque et sensuelle. « T'es privé de baisers jusqu'à ton retour de Chicago, tu crois pouvoir tenir jusque là sans toucher mes lèvres ?. » C'était une petite taquinerie, moi-même je n'étais pas certaine de pouvoir tenir jusque là. J'aimais beaucoup trop chaque partielle de son corps pour devoir m'en priver. Reculant ma tête pour lui faire face, je me mordillais la lèvre inférieure avant de reprendre en passant mes bras autour de son cou. « Et alors ? Qu'est-ce que tu nous as prévu pour cette journée ? Où alors tu comptais nous laisser guider par le vent ?. » Conclus-je accompagné d'un petit sourire.

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« Ça va beaucoup mieux...puis Osef, c'est qu'une citrouille !. » Tutafé. Les citrouilles et même tous les légumes ne peuvent pas tomber amoureux. Sinon, on pourrait faire un remake de Roméo & Juliette avec une carotte et une patate : ‘l’amour impossible dans le potager’. « Après le câlin c'est le bisou !. » Je me redressais pour être en position assise sur le lit et sans dire un mot j’approchais mon visage du sien. Néanmoins sans que je puisse réagir elle déviait son visage vers mon oreille. « T'es privé de baisers jusqu'à ton retour de Chicago, tu crois pouvoir tenir jusque là sans toucher mes lèvres ?. » Elle est sadique, c'est pas possible. Un sourire amusé s’étirait néanmoins son mon visage. « Pourquoi j'suis puni ? » demandais-je avec une fausse mine outrée. Il faut dire que j’ai envie de profiter de la douceur de ses baisers durant cette dernière journée. Diamantika se mordillait la lèvre, comme si elle venait de gagner face à moi. Tss.  « Et alors ? Qu'est-ce que tu nous as prévu pour cette journée ? Où alors tu comptais nous laisser guider par le vent ?. » Honnêtement… je n’ai absolument rien prévu. Comme elle le dit, je pensais nous laisser guider par le vent. Après tout l’improvisation c’est une manière de vivre, nan ? J’haussais les épaules, pris sa taille entre mes mains et la fit basculer sur le lit de sorte à c’que je puisse me retrouver au dessus d’elle. « On pourrait déjà commencer par retirer ma punition ? » Je pinçais mes lèvres en scrutant son beau visage. C'est qu'elle est vraiment vraiment sexy. Je ris doucement avant de venir l’embrasser tendrement. Avery 1, Diamantika 0. Il n’empeche que ses lèvres vont atrocement me manquer pendant ses prochains jours. Je reculais mon visage pour avoir une vue d’ensemble sur la jeune femme. « Sinon, on peut se faire un ciné .. éventuellement ? » demandais-je sans vraiment être convaincu. « Ou alors on reste enfermé ici, tout les deux, pendant tooooute la journée ? » Ca relève du défi, je suis d'accord, mais qui n'aime pas les défis ?

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Le jour où j'avais maté Gnoméo et Juliet, vous savez ? Roméo et Juliette version nain de jardin ? J'avais complètement explosé de rire, alors tout était possible, n'importe quoi pouvait devenir Roméo et Juliette, même les citrouilles et les patates. Je venais de priver Avery de bisous, mais au fond, je n'allais pas pouvoir tenir longtemps de toute façon. « Pourquoi j'suis puni ? » Bonne question !. Je posais un index sur mes lèvres fixant le plafond y donnant l'air de réfléchir. « Ummm....J'sais pas en fait, cette envie de te priver de bisous m'est venue sur un coup de tête !. » Ah, j'avais peut-être oublié de vous préciser que j'étais aussi taré qu'un taré ?. Ouai, mais ça Avery le savait déjà. La question est, qu'allons nous faire pendant toute cette journée ?. Le winthrop me saisit par la taille renversant la position se retrouvant ensuite au-dessus de moi. « On pourrait déjà commencer par retirer ma punition ? » Bonne idée, mais je n'eus le temps de répondre qu'il kidnappa déjà mes lèvres pour un long et tendre baiser que je prolongeais en passant une main dans sa nuque histoire d'intensifier encore plus le baiser en le plaquant davantage contre mes lèvres. Non seulement il allait me manquer, mais en plus ce sera verry verry verry verry hard sans ses lèvres que j'adorais mordre, ah tien, d'ailleurs lorsqu'il mit fin au baiser avant qu'il ne recule je lui mordillais sensuellement sa lèvre inférieure avant d'afficher mon plus beau sourire d'innocente. « Avoue que ça te manquera, mes lèvres aux goûts de fraises et en forme de cœur hein ?!. » Comme les siennes me manqueront aussi, rhalalalalala j'étais vraiment tombé amoureuse ? Comment aurais-je le courage de lui dire le fond de ma pensée ?. « Sinon, on peut se faire un ciné .. éventuellement ? Ou alors on reste enfermé ici, tout les deux, pendant tooooute la journée ?. » Okey, deux choix vraiment tentants, lequel choisir ? Regarder un film en sa compagnie c'était intéressant, mais rester enfermer ici toute une journée avec lui était plus qu'intéressant. « Am, stram, gram, pic et pic et colégram, bour et bour et ratatam, am, stram, gram pic dam ! Mais comme le roi et la reine ne le veulent pas, ça ne sera pas le ciné !. » J'éclatais de rire avant de reprendre. « Bah quoi ? Jn'arrivais pas à me décider. » Je fis semblant de siffloter en roulant des yeux riant de nouveau. « Avoue quand même que t'as balancé l'idée de rester ici touuuuuuteee la journée juste pour profiter pleinement de moi avant ton voyage, genre monsieur aimerait me faire des choses pas très catholiques ein ?. » Je fronçais les sourcils, regard pervers, sourire aux lèvres. Et puis finalement d'un petit coup de rein, je renversais de nouveau la position me retrouvant au-dessus d'Avery. « Et comme j'ne vais pas t'voir avant la fin des vacances, j'te donne tous les droits sur moi, j'ferais tout ce que tu voudras durant cette journée, absolument tout !. » Et comme j'adorais les défis, celui-ci en était un que je relèverais sans hésiter. S'il avait des fantasmes à réaliser, des trucs à me demander, n'importe quoi, je m'exécuterais.

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« Ummm....J'sais pas en fait, cette envie de te priver de bisous m'est venue sur un coup de tête !. » Elle a des envies bizarres…, mais son côté folle voir complètement tarée la rend vachement attachante. Et c’est sans parler de son petit sourire victorieux et amusée qui la rend d’autant plus sexy. Je la  fis basculer sur le lit, brisant par la même occasion la règle d’abstinence qu’elle avait installé entre nous quelques secondes auparavant. « Avoue que ça te manquera, mes lèvres aux goûts de fraises et en forme de cœur hein ?!. » J’hochais la tête doucement gardant ce même petit sourire sur le coin des lèvres. « Tellement, j’me demande comment je vais bien pouvoir survivre sans elles » Je ris doucement rompant une nouvelle fois l’espace entre nos visages pour embrasser ses lèvres plus furtivement cette fois-ci. « Am, stram, gram, pic et pic et colégram, bour et bour et ratatam, am, stram, gram pic dam ! Mais comme le roi et la reine ne le veulent pas, ça ne sera pas le ciné !. » J’éclatais de rire avec elle en entendant cette musique. C’est de cette manière qu’on choisissait qui était le méchant dans les jeux de cours de récré… et ma malchance légendaire faisait que j’étais toujours désigné. J’ai fait un retour en enfance pendant quelques secondes. « Bah quoi ? J’n'arrivais pas à me décider. » - « Pas besoin de te justifier tu sais » Je ris doucement en la voyant siffloter en l’air. « Avoue quand même que t'as balancé l'idée de rester ici touuuuuuteee la journée juste pour profiter pleinement de moi avant ton voyage, genre monsieur aimerait me faire des choses pas très catholiques ein ?. » Je mordillais ma lèvre inférieure pour ne pas rire une nouvelle fois. Diamantika nous fit basculer une deuxième fois sur le lit de sorte à ce qu’elle reprenne le pouvoir sur moi. Je me redressais légèrement à l’aide de mes avants bras sans pour autant être à la hauteur de la jeune femme. « J’ai absolument pas pensé à ça, très chère » En vrai … j’y ai pensé, mais elle le sait très bien. Mais admettons que quelqu’un ai placé une caméra ici ou qu’ils y ai des petites fourmis cachés dans un coin de la chambre … bah au moins elle ne prendront pas pour un pervers, vous voyez ? J’assure ma réputation dans le monde des insectes. Enfin bref je m’égare. « Et comme j'ne vais pas t'voir avant la fin des vacances, j'te donne tous les droits sur moi, j'ferais tout ce que tu voudras durant cette journée, absolument tout !. » C’est une bonne chose à savoir. Un large sourire s’étirait sur mes lèvres. « Vraiment tout ? Ca voudrait dire que je suis le roi aujourd’hui ? » Nouveau pincement de lèvres. « Ca m’va ! » finissais-je par répondre. « Alors... hm... embrasse moi comme si s’était la dernière fois » Bawai, faut bien s’faire plaisir de temps en temps. Du bas du lit, je scrutais le visage de la jeune femme en attendant ce fameux baiser.

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« Tellement, j'me demande comment je vais bien pouvoir survivre sans elles » Bonne réponse ! Je l'attendais fort bien celle-là. Mon sourire s'illumina davantage. Je venais de ploufer comment une petite gamine de cinq, mais osef, j'restais tout de même mignonne et ma folie faisait mon charme. « Pas besoin de te justifier tu sais. » Je le savais, mais sait-on jamais hein. Une nouvelle fois de plus, je tenais les rennes me retrouvant au-dessus de lui alors qu'il se redressait légèrement. « J'ai absolument pas pensé à ça, très chère » Ah ouai ? Pourtant ça se lisait carrément sur son visage. « Et tu mens très mal, très cher !. » C'est limite s'il n'avait pas envie de me manger sérieusement, je pouvais le lire dans ses yeux. Après l'avoir fait une proposition qu'il ne m'arrivait jamais de faire, car oui, j'étais vraiment une tête dure et mon égo ne me le permettrai jamais et puis en général, c'est moi qui donnais les ordres. Mais là, j'avais fait une petite exception décidant de faire de lui, le roi de cette journée. « Vraiment tout ? Ça voudrait dire que je suis le roi aujourd'hui ?. Ça m'va ! » C'est exactement cela, il avait tout compris et maintenant j'attendais ses ordres ou ses demandes. D'ailleurs, je n'eus le temps de confirmer sa petite conclusion qu'il passa déjà à l'attaque me demandant de l'embrasser comme-ci c'était la dernière fois. Bon, j'étais loin de me douter qu'effectivement cette journée serait la dernière fois que je l'embrasse. Je posais mes deux mains sur ses joues tandis que mes yeux vont de ses yeux à sa bouche, puis à nouveau ses yeux. J'avance lentement mon visage, je l'incline sur la droite, nos souffles se mêlent à celui de l'autre et ma main droite glisse lentement jusqu'à sa nuque. Puis ma bouche se presse à la sienne avec avidité, comme si quand je ne l'embrassais pas, je n'arrivais pas à respirer. Ma langue se pressait à la sienne avec urgence. Ma bouche le dévore, je soupire entre nos baisers de plus en plus ardent, de plus en plus chaud, de plus en plus fougueux. Je l'embrassais de toutes mes forces, de tout mon saoul, comme-ci c'était la dernière fois. Mes doigts gambadent sa nuque pour finalement remonter dans les petites mèches de ses cheveux que je tire avec douceur alors que mes cuisses se resserrent autour de ses hanches. Il n'ira nulle part. Après quelques minutes, je mets fin à ce baiser pour pouvoir reprendre mon souffle et en retirant mes lèvres, au passage je lui mordais sa lèvre inférieure avec appétit. « Alors ? Le roi est-il satisfait de ce baiser ?. » Murmurais-je en me mordillant les lèvres et en le dévorant du regard.

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« Et tu mens très mal, très cher !. » Oui. C’est l’un de mes plus grands défauts malheureusement. Je n’arrive pas à mentir depuis que je suis mome. Maiiis de toute manière mes yeux me trahiront toujours. Je suis carrément en train de la manger du regard. Après m’avoir dit que je serai le roi de la journée, que je pouvais lui proposer n’importe quoi et que sa réponse sera toujours positive, je lui demandais de m’embrasser comme si c’était la dernière fois. Une idée qui aurait pu la surprendre d’avantage, mais aucune once de curiosité baignait dans ses prunelles. Toujours assis sur moi, Diamantika s’inclina légèrement vers mon visage en laissant une main se glisser sur ma nuque. Mon regard avide dévorait chaque parcelle de son visage et ce dans les moindres détails. Nos souffles se mêlaient entre eux augmentant ainsi mon envie de rompre l’espace être nos deux bouches. Chaque secondes me semblaient une éternité, pour qu’enfin, à ma plus grande joie Diamantika finit par poser ses lèvres sur les miennes. Comme demandé précédemment son baiser était plus fougueux et intense qu’à la normale. Lui rendant avec joie ce dernier, je glissais mes mains dans son dos pour la serrer contre moi. Après plusieurs minutes collées l’un à l’autre, Diamantika se retira de mon visage. « Alors ? Le roi est-il satisfait de ce baiser ?. » Je ris doucement en humidifiant mes lèvres pour une raison inconnue. « Très satisfait ouais » Un large sourire s’était dessiné sur mon visage et ce dernier se cessait de s’agrandir au fil des secondes. « Et tu crois que le roi aurait le droit à un strip-tease ? » Je me mordillais la lèvre inférieure pour ne pas rire. « Et surtout n’oublie pas que tu n’as pas le droit de refuser »

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J'attendais fièrement le résultat de mon baiser même si j'étais confiante, je voulais tout de même avoir le verdict. « Très satisfait ouais » Et bingo ! Ça c'était dans la poche. « Et tu crois que le roi aurait le droit à un strip-tease ? » Je fronçais les sourcils en me redressant légèrement alors qu'un petit rire naquit. « Et surtout n'oublie pas que tu n'as pas le droit de refuser. » N'était-il pas en train de profiter de son statut de roi là ? J'avais imaginé tout sortes de scénarios, mais qu'il me demande un striptease, m'étais sorti de la tête. Quoi qu'il en soit, je n'allais pas me défiler. « Ô mon roi, vos désirs sont des ordres !. » Déclarant tout en descendant du lit pour m'incliner devant lui telle une servante devant son roi. Pour commencer, j'allumais sa mini stéréo choisissant pendant quelques minutes de la bonne musique parmi ces cds. Et ce sera le fameux You Can Leave Your Hat On. La musique lancée, je commençais mon petit show. Tout d'abord, je commence à me déhancher tout en me collant de tant à autre au mur afin d'exécuter des mouvements plus sensuels. J'me détachais les cheveux en les secouant un petit peu avant de me remettre à danser. Je m'attaquais tout d'abord à ma chemise que j'enlevais petit à petit, descendant et remontant sensuellement contre le mur, une fois enlevé, je la balançais au visage du Winthrop en rigolant et m'approchant de lui par la même occasion afin de danser en égarant mes mains contre son torse tirant un peu sur sa chemise sans pourtant la lui retirer... fallait bien faire aussi monter la température. Je me frottais quelques instants sur lui tout en dansant et puis je reculais de nouveau afin de m'attaquer à ma jupe que je fis descendre lentement la tourbillonnent dans les airs d'abord avant de la jeter sur Avery, laissant maintenant dévoiler mes sous-vêtements. Je dansais encore un petit moment et me rassis sur lui afin de danser de nouveau. Je lui lançais un sourire complice, attrapant ses mains que je posais au niveau de l'agrafe de mon soutif. « Mon roi doit s'faire plaisir aussi !. » Concluais-je en me mordillant la lèvre, le laissant dégrafer mon soutif. Cependant, je me levais complètement le regardant d'en haut tandis que j'étais aux éclats de rires. Je laissais glisser doucement mon soutif le long de mon corps, faisant ensuite glisser lentement ma petite culotte. La chanson se terminait et je stoppais malheureusement ma danse, courant jusque dans la salle de bain de sa chambre pour m'emparer d'un de ses peignoirs, l'enfiler, l'attachant et retournant auprès du jeune homme. « J'ferais une bonne stripteaseuse hein ?. » Riais-je en plongeant sur le lit et me m'allongeant à plat ventre.