Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTHEORYS ► T'es pas un pokemon pour rien mon doudou ? (A) - Page 3
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THEORYS ► T'es pas un pokemon pour rien mon doudou ? (A)

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Le calme plait ? Surement pas, nous avions pleins de choses à se dire. Je ne savais réellement pas quoi lui dire de peur de le vexer. Franchement, vous savez dire à son pote que c'est un fou meme si à vos yeux, c'est gentil, ça ne l'est pas forcément pour lui. Je souris quand je vois qu'il ne prend pas mal mes petits piques gentillets en réalité. Je suis pas mécontent de pouvoir encore rire malgré nos distances de ces derniers temps et ravi de le retrouver assez similaire en caractère qu'avant. D'ailleurs, il se demande comment j'ai fais pour ne pas fuir et je tape dans son épaule en disant, amicalement : Bah parce que t'es mon pote, mon chat ! Je souriais donc. Quand bien sur, je dus choisir ma méthode, ma stratégie pour obtenir super Charlie, je choisissais le bisou. Hop ! Il me félicite et me tape l'épaule. Là, on débute une tout autre conversation et je suis déjà mort de rire au premier mot ; « Au fait..T'sais tout à l'heure dans le couloir avec Demyan, Roxanna et Wyatt...t'as dit que tu voulais ou que t'avais voulu -peu importe- te taper un de tes meilleurs potes..puis après t'as avoué que c'était moi... » Je souris, un petit sourire pervers à la limite. Il se tortille comme un enfant pris entrain de faire une bêtise. Je suis trop choqué. Il n'aurait jamais réagi aussi bizarrement avant, il n'aurait pas réagi toute manière. Tout timide, je sais ce qu'il veut savoir mais je le laisse patauger dans la semoule. J'adore son petit air tout mignon à avoir peur de ce que je vais lui révéler et je suis fou de joie, quand il demande alors. Je souris et le fait mijoter en évitant son regard, juste avant de le capter à nouveau. Je touche doucement ses joues, les caressant avant de dire, provocateur ; t'aimerais le savoir ? Dis-je en lui faisant un petit clin d'oeil. Je me lève et joue au mac qui fout le suspens. Je tourne, virevolte, marche encore et encore puis je touche mon menton, pensif en le regardant d'un air vif et assuré. Je crois simplement que nous avons joué à nous bruler les ailes, en buvant, dansant comme des gigolos dans l'appartement, se lançant des défis ... tu m'as provoqué avant de chanter pour moi que j'étais incroyable ... et tu m'as ... Donnant l'impression que je vais continuer je coupe court comme pour couper son souffle et lui donner l'envie de croire au pire. Je me marre doucement.
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Si l'on chercha tout d'abord à enquiquiner l'autre, ce ne fut pas le cas quand la discussion prit une tournure des plus sérieuse, parlant tout d'abord de Charlie et de ce que le jeune homme devait faire pour la conquérir, jusqu'à Elia et ma propre cavalière que je ne marchandais point. Quand mon second meilleur ami décida que l'idée du baiser était la meilleure option, je le félicitais d'avoir choisi une réaction semblable à la mienne, car pour moi il était clair, net et précis que je ferais exactement la même chose. Mais avant cela, je lui demandais à l'aide d'une question rhétorique pourquoi il vivait avec un fou dans mon genre et n'avait pas encore déménagé, celui-ci me colla une claque sur l'épaule. « Bah parce que t'es mon pote, mon chat ! » Hum, lovely. Je lui fis un sourire avant de me rendre compte que j'avais une question à lui poser. Quand nous nous étions retrouvés dans le couloir avec d'autres de nos camarades, Emrys avait réalisé quelques suppositions qui m'avait réellement fait flipper. Et je me rendais alors compte que j'avais besoin de réponses à lesdites questions. « T'aimerais le savoir ? » Me disant cela, mon colocataire avait entrepris de me toucher la joue et je claquais sa main à l'aide de la mienne comme dans une brève tentative de lui dire 'à bas les pattes'. Il semblait prendre un malin plaisir à me torturer et sans m'en rendre compte, la panique faisait désormais partie intégrante de mon fort intérieur. Avalant difficilement ma salive, je priais déjà. « Évidemment du gland. » Que de vulgarité ! Réalisant un clin d’œil, celui-ci se leva et commença une série de cent pas qui me laissèrent perplexe. «  Je crois simplement que nous avons joué à nous brûler les ailes, en buvant, dansant comme des gigolos dans l'appartement, se lançant des défis ... tu m'as provoqué avant de chanter pour moi que j'étais incroyable ... et tu m'as .. »Tu m'as quoi connard ? Avais-je envie de lui gueuler, mais je me retenais. Allais-je cry a river ou juste throw up tout l'alcool que j'avais bu ce soir ? Je savais qu'il le faisait exprès juste pour m'enquiquiner mais je voulais savoir. Je n'avais aucune patience et je n'aimais pas du tout les surprises. Et celle là promettait juste d'en être une bien bonne. « Tu veux que je t'offre une pelle pour que tu puisses m'achever tout de suite avec ou bien ? » Non mais ! D'ailleurs je me voyais pas lui chanter qu'il était incroyable ni même danser comme des gigolo. J'allais m'évanouir. « Je suis vraiment con parfois, sérieux... » J'allais pas non plus le supplier ...

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Touchant sa joue, presque sensuellement, je rigolais d'avance de voir dans ses yeux la haine de ne rien savoir : c'était si plaisant. Je le voyais rougir de la situation et surtout me taper la main pour me dire de ne pas le toucher. Je suis déjà mort de rire intérieurement et c'est fou de voir son impatience si soudaine. Il avait ensuite montré sa capacité à être vulgaire. Je grimaçais tout en continuant mes petits coups de suspens. Je marchais dans le long de la pièce ne sachant pas vraiment du coup ce qui serait le mieux : lui mentir ou non ? je ne peux pas faire ça, ce serait ridicule en plus. Je souris en voyant qu'il s'impatiente réellement. J'avais donc débuté la narration jusqu'à bien sur me stopper net pour faire durer le plaisir, de son espoir, de sa peur, de sa folie que peur provoquer. « Tu veux que je t'offre une pelle pour que tu puisses m'achever tout de suite avec ou bien ? » Tant de violence dans ses mots pour si peu, je me marrais tout seul en le regardant sans couper court à nos folies de regards. Croyait-il que j'avais peur ? Je n'ai pas peur de lui et encore moins de le faire espérer ? mouhahaha. Et voilà qu'il entreprenait de s'insulter de con. Je le regardais en grimaçant, levant un mon sourcil d'inquiétude et d'incompréhension ne comprenant guère qu'il s'insulte sans vraiment de raison. Là, je souriais en secouant la tete, lasse de ses comportements mais toujours adorable, je le trouvais. Là, je repris la parole sans honte : Tu m'as embrassé ... je t'ai provoqué en disant que tu étais nul ... du coup, tu m'as bien mieux embrassé en faisant genre de me tripoter le cul mais c'était rien mon petit Théo et t'inquiète, y a rien entre nous ... je souriais et me mettais à rire tant j'étais soulagé de lui avoir dit mais aussi de voir sa tete parce que c'était vraiment hilarant mais là, l'idée me vint de le faire suer encore parce que j'adorais ça alors en marchant plus loin, face à lui qui me regardait décomposé, je dis d'une voix provocatrice : Tu n'es tellement pas mon type ... dis-je ironiquement, presque dégouté par son physique, imaginant très bien qu'il ne supporterait pas cela et qu'il était bien trop fier pour accepter.
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Je ne savais plus vraiment comment réagir pour le coup. Emrys se foutait royalement de ma gueule, je pouvais parfaitement le voir mais de la à me laisser imaginer le pire, c'était vraiment cruel. D'ailleurs, je ne me privais pas pour lui montrer que j'étais réellement anxieux avec la suite des événements. Du moins, sur ce qu'il avait prévu de me raconter. Que ce soit des mensonges ou pas. Je flippais oui. Et pas qu'un peu. Si j'aurai pu, j'aurais littéralement fait dans mon froc, mais plutôt me couper la langue que de lui avouer. S'étant levé afin de faire les cents pas et de ce fait, me stresser encore plus, mon soit-disant meilleur pote, prenait bien tout son temps avant de me dire la suite. « Tu m'as embrassé ... je t'ai provoqué en disant que tu étais nul ... du coup, tu m'as bien mieux embrassé en faisant genre de me tripoter le cul mais c'était rien mon petit Théo et t'inquiète, y a rien entre nous ... » J'ai fait quoi ? Terre ouvre-toi. Je ne voyais pas du tout pourquoi j'aurais cherché à prouver quoique ce soit à un type qui disait que j'embrassais mal. De un parce que je me contrefoutais de ce que les gens pouvaient penser de moi, de deux, car justement c'est un type. Frissonnant, je me pris la tête en les mains. « Heureusement... » Je rompais mes fiançailles et c'était justement pas pour me rendre compte que finalement j'aimais les entrejambes. « Tu n'es tellement pas mon type ... » Pas son type ? Alors qu'il avait limite crier le contraire dans les couloirs lorsque nous buvions de l'alcool ? Je secouais la tête avec un sourire. « Tant mieux, je suis rassuré alors. Non franchement...Entre meilleurs potes on couche pas ensemble...Tu m'as vraiment fait flippé spèce de couillon. » Me mettant à rire, je me détendais. « Vivre en colocation apparemment ça ne me réussi pas du tout...Je fais que de la merde. » Oh oui, prouvait à mon meilleur pote que je savais embrasser, ça rentrait pas dans mes critères. Mais il était bien trop tard pour ressentir du dégoût d'avoir toucher un homme et valait mieux Emrys je supposais, qu'un inconnu.
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C'était tout marrant de se rendre compte de la flipette qu'était mon meilleur ami franchement. Je ne savais pas du tout ce qu'il pensait intérieurement mais en tout cas, un fort soulagement de l'extérieur et je le comprenais car au delà du fait qu'il était pas dégueulasse, je ne touchais pas à mes amis et beaucoup moins aux mecs qu'aux femmes qui plus est. Évidemment, quand j'annonçais qu'il n'y avait rien entre nous, je ne pus que rire en voyant mon ami souffler face à un dénouement plus convenable, de plaisir d'entendre ça et dire qu'heureusement. Je le regardais faisant mine de me sentir vexer d'un tel affront puis je poursuivais ma marche devant lui, stressant. Bien sur, il me regardait bizarrement et ça ne faisait que me faire rire plus encore. Il souriait toujours quand meme et c'était plus qu'agréable parce que je supporte pas quand mon ami boude, c'est généralement très fort quand ça arrive. « Tant mieux, je suis rassuré alors. Non franchement...Entre meilleurs potes on couche pas ensemble...Tu m'as vraiment fait flippé spèce de couillon. » Je rigolais et lui donnais une tape sur l'épaule, vraiment trop mort de rire, c'était étonnant de l'entendre dire ça mais j'étais totalement daccord en réalité ; ce serait comme coucher avec Jasper en fait ! J'ouvrais les yeux grand choqués de la penser là, ça n'arriverait évidemment jamais et tout sourire, mon colocataire me fit part de ce qu'il trouvait incroyable, notre colocation surtout lui en tant qu'insupportable coloc et je me tordais presque de rire tout en arrangeant ma veste de costume. Là, je revenais me poser à ses cotés pour lui dire : Tu vas pas rentrer toi ce soir, non ? Dis-je en imaginant qu'il trouverait soit sa cavalière soit une gazelle à emmener dans sa voiture pour baiser un coup. Là, je me marrais en imaginant Theophyl débarquer avec ses cionquantes miss là et commencer à nous faire défiler dans la maison. Je me verrais bien donner les numéros pour ma part. Je rigolais bêtement avant de reprendre : Au pire, tu partages... dis-je en rigolant.
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Il m'avait vraiment foutu les jetons ce con et il m'avait vraiment pas raté. C'était pas très sympa de sa part mais bon. Je n'allais pas non plus vomir pour un deux trois baisers échangés et quelques caresses par-ci par-là. J'étais quand même assez soulagé de l'intérieur, je devais le reconnaître. Néanmoins, il poursuivait sa façon de marcher assez stressante et je me rendais compte que j'avais encore envie d'une clope. Mais je devais me contrôler. Je fumais beaucoup trop ces derniers temps et je devais sûrement mettre le frein à main. Il se mettait n'empêche à rire par mes propos avant de venir se rasseoir à mes côtés. « Tu vas pas rentrer toi ce soir, non ? » Je tournais alors mon visage vers lui avec un petit sourire en coin. « Tu as deviné...tu es perspicace. » Plus que moi ça c'était certain. « Au pire, tu partages... » Je secouais la tête. « Si tu es en manque et n'as rien sous la main, je veux bien te dégoter deux-trois p'tis culs. » Qu'est-ce que j'avais avec cette phrase moi, hein ? Je marquais une pause avant de rire et de me lever. « Allez viens on rentre mon cochon, sinon je recommence et je te pelote les fesses. » Me mettant encore plus à rire, je commençais à rentrer dans la salle de bal.


FIN
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