JESSIE & KALEB Ϟ Harcèlement et obstination

Evidemment, je m'attendais à ce qu'elle ne se laisse pas faire, qu'elle ne se laisse pas dominer jusqu'au bout, vu comment notre relation avait commencé, il était évident que c'est loin d'être une femme soumise, et malheureusement pour moi ça a le don de m'exciter et de me rendre encore plus fou. Je la laisse faire parce que quel homme refuserait de se faire prendre par une femme de la sorte, qui ne rêve pas de se faire violer ?! J'ai le malheur de penser à ça et je me haie pour ça, parce qu'elle m'excite encore plus et que j'ai l'impression que je ne serais jamais satisfait d'elle et de son corps. Putain ça fait trop chier. Mais voilà je suis pas foutu de la dégager et de me barrer loin d'elle non, je la laisse faire, je profite de son déhanché de fou, je lui donne des coups de rein aussi de temps en temps pour la faire crier encore plus tout en la gardant contre moi, avec une main dans ses cheveux qui la tenait toujours alors qu'on arrêtait pas de s'embrasser. Cette histoire va mal finir j'en suis sûr. Parce que non, j'ai plus envie que ça s'arrête.

J'en ai marre de ces mecs qui veulent me traiter comme une princesse au lit, j'ai pas envie qu'on me fasse l'amour, je veux que ce soit sauvage, intense et autant le dire qu'avec Kaleb, ça l'était au-delà de mes espérances. Je m'attendais à ce qu'il se repousse rapidement, mais non il se laissait faire, m'embrassant fougueusement ce qui avait le don de m'exciter encore plus. À chaque coup de rein de sa part, un cri de plaisir s'échappait de ma gorge, c'était tellement bon et à présent j'aurais bien du mal à m'en passer. Je continuais de me déhancher sur lui, ne quittant ses lèvres que pour crier de plaisir. Après quelques minutes de pur plaisir à dominer ce grand blond musclé, j'arrêtais progressivement mes mouvements pour l'embrasser avant de mordiller doucement sa lèvre, me levant une bonne fois pour toutes. J'étais presque à bout de souffle, mais j'en voulais encore, je voulais qu'il me prenne une dernière fois pour le bouquet final. Je marchais à reculons sans le lâcher du regard, me touchant moi-même avec un sourire provocateur pour l'exciter davantage.

Le fait de lui donner autant de plaisir, de l'entendre autant crier alors que n'importe qui pouvait nous voir et l'entendre, et bien ça rendait de plus en plus fou d'elle comme si je ne serais jamais assez rassasié d'elle, et ça durait tellement, c'était tellement intense, je la bouffais tellement que j'arrivais même à oublier la haine que j'avais envers elle. J'aimais vraiment lui donner autant de plaisir, tellement que ça m'en donnait aussi des tonnes, chose que je n'ai jamais ressenti aussi fort de toute ma vie. Même s'il est vrai que je n'ai connu que deux femmes au lit, c'est donc assez logique. Je ne savais faire que l'amour romantique jusqu'à ce soir. Je récupérais peu à peu mes forces pendant que je sentais qu'elle s'épuisait et je sentais que j'allais vite reprendre le contrôle et j'aimais ça, surtout quand elle se retira pour reculer et me provoquer une dernière fois alors que je restais assis à la mater, chose qui me fit me lever assez rapidement pour venir l'attraper, lui prendre les jambes et les faire passer autour de ma taille et la ramener sur mon bureau pour la prendre de nouveau, bien violemment, bien fortement et rapidement pour finir en beauté parce que j'en pouvais plus, parce que même si j'aurais voulu que ça dure plus longtemps, toutes les bonnes choses ont une fin et je vais pouvoir enfin me débarrasser d'elle ... Enfin, je crois.

Cette fois-ci je me laissais entièrement faire, je souriais en me sentant une nouvelle fois décoller du sol avant de l'embrasser de nouveau, me retrouvant une dernière fois sur son bureau, le sentant entrer de nouveau en moi, me procurant un plaisir immense. Un bien bel orgasme s'empara de moi pour le bouquet final, j'aurais aussi voulu que ça dure plus longtemps, mais je n'aurais pu espérer mieux. Une fois son affaire terminée, je restais contre lui, l'embrassant fougueusement une dernière fois, avant de descendre mes lèvres jusqu'à son torse y déposant une multitude de baisers, je terminais finalement par me relever, essoufflée, mais totalement comblée. Je ne disais absolument rien, il s'attendait certainement à ce que j'ouvre une nouvelle fois ma gueule, mais je me contentais simplement de me rhabiller, finissant par enfiler ma robe. Une fois de nouveau vêtu je me tournais vers lui, souriant légèrement avant de venir kidnapper furtivement ses lèvres et de simplement partir, lui envoyant un petit clin d’œil pour le laisser en plan dans sa salle de cours. Je lui ai fait une promesse, je ne reviendrais plus vers lui pour le harceler, même si très franchement après cette partie de jambes en l'air, la seule envie que j'ai, c'est de recommencer avec lui. Mais je suis certaine que lui aussi et qu'il finira lui-même par venir réclamer mon corps. (a)

Je crois bien que c'est la première fois que je prend autant mon pied et que je n'ai pas envie d'en finir. Mais il y a un moment donné où je vais finir par exploser. Mais comme à mon habitude, je faisais surtout attention au plaisir de la femme avec qui je partageais ce moment et je me surpris à me donner à fond pour lui donner son orgasme, et dès qu'elle l'eut je m'en suis légèrement voulu, mais pas le temps de m'en vouloir, fallait que j'en finisse moi aussi. Ce fut à son tour de me surprendre puisqu'elle était incroyablement "câline" pour une femme qui aime se faire baiser, je trouvais ça particulièrement bizarre mais je n'allais pas m'en plaindre, je la laissais faire, surtout parce que aussi je suis un peu paumé dans ce qu'il venait de se passer, comme si je redescendais sur terre d'un seul coup, tellement que j'avais un peu mal au crâne. Je la regardais s'habiller puis partir, ne sachant ni quoi faire, ni quoi dire. Je me sentais accro et ça me faisait peur, parce que oui je voulais pas qu'elle parte aussi vite, je voulais la garder pour pouvoir recommencer encore et encore. Mais je me suis bien retrouvé comme un con seul dans mon bureau, nu comme un ver. Je me suis écroulé sur mon fauteuil, totalement exténué et blasé par ce que je venais de faire.