JESSIE & KALEB Ϟ Harcèlement et obstination

C'est fou comme le mal peut sentir si bon, comme je peux en avoir tant envie, moi qui ne prend jamais de grand risque, qui reste ce que je suis sans jamais m'aventurer dans l'inconnu, et voilà que cette diablesse me rendait assez chèvre pour me faire changer du tout au tout en acceptant sa folle invitation à s'envoyer en l'air. Mais qu'est-ce qu'il me prend sérieux ? Je ne me vois pas pour autant faire demi-tour vu qu'elle me rend taré et j'ai besoin de lui faire un peu de mal tout en me satisfaisant aussi d'une autre manière. Trop étrange mais je n'avais pas le temps de penser à tout ça, parce que après m'avoir agacé une autre fois avec ses remarques agaçantes, elle me fit savoir qu'elle ne pouvait pas attendre la fin de la soirée, encore moins le temps de se rendre chez l'un ou l'autre et elle devait bien sentir que ça risquait d'être dur pour moi aussi. Le pire dans tout ça, c'est qu'elle m'excitait encore plus à me dire qu'elle voulait que je la prenne sur mon bureau, tout ce qui allait avec à vrai dire, sa façon de parler, tout. Une fois le dernier baisé échangé je lui répondais tout en la déposant sans délicatesse à terre Ma salle de cours. Disais-je simplement avant de partir le premier sans prendre le temps de lui adresser la moindre tendresse et encore moins lui prendre la main. Faut pas abuser non plus, je ne l'apprécierais jamais et je ne ferais que la sauter, et seulement ce soir, je ne me rabaisserais jamais à son niveau.

Sa salle de cours .. J'allais prendre mon pied ce soir, je n'étais pas déçue. Je le regardais me déposer au sol sans délicatesse, chose qui me fit sourire, encore plus lorsqu'il commença à partir sans même m'attendre, je m'en fous, du moment qu'il m'envoie au septième ciel. À vos ordres monsieur Grygorenko. Disais-je d'une voix coquine afin d'exciter davantage le beau blond que je suivais sans rechigner dans les couloirs de l'université, matant sans gêne son postérieur que je croquerais bien. Mais j'étais bien trop excitée pour attendre que monsieur se décide à marcher plus vite, alors une fois arrivée près des casiers des étudiants, je le dépassais pour lui bloquer le chemin et attraper son costard dans la paume de mes mains afin de le coller contre les casiers. Je plongeais mon regard dans le sien sans pour autant l'embrasser, puis sous une pulsion d'envie j'arrachais son costard faisant vaciller les boutons au sol, dévoilant son corps parfait au grand jour. Je me mordais les lèvres avant de les poser sur son corps pour y déposer des baisers sensuels et j'avais bien envie de le torturer pour m'avoir fait attendre si longtemps, je léchais donc son corps musclé avec un sourire de garce sur le coin des lèvres pour revenir jusqu'à ses lèvres. L'embrasser ? Non, je me contentais d'un simple clin d’œil aguicheur avant de reculer doucement jusqu'à sa salle de cours, agitant mes fesses devant lui pour l'exciter davantage. J'entrais dans sa salle de cours sans l'attendre. Une fois à l'intérieur je retirais simplement ma culotte à dentelle avant de m'asseoir sur son bureau et l'agiter avec ma main lorsqu'il entra à son tour dans la salle, sans effacer ce sourire aguicheur de mon visage.

Totalement agacé mais surtout carrément excité par la brune diabolique, j'étais parti en direction de ma salle de cours sans l'attendre parce que je savais très bien qu'elle allait me suivre parfaitement, l'offre n'était pas renouvelable, ni échangeable, alors autant qu'elle se bouge si elle me voulait vraiment. Ca me faisait d'ailleurs une drôle de sensation d'être autant désiré et j'ai bien peur d'en prendre goût. Mais d'un coup elle me plaqua contre les casiers et m'arracha mon costard pour venir glisser sa langue le long de mon torse. C'était carrément pas désagréable et je dois bien avouer que je n'avais pas ressenti cette envie et cette sensation depuis bien des années. Je n'arrivais même pas à la toucher, je la laissais simplement faire pour qu'au final elle parte en se dandinant dans ma salle, retirant sa culotte et s'asseyant sur mon bureau. Putain j'en restais bloqué et bouche bée tellement j'étais impressionné de lui faire un tel effet et de sentir qu'elle avait surtout cette emprise sur moi qui m'empêcher de faire demi tour. Je me suis donc précipité jusqu'à elle, fermant la porte derrière moi à la volée, ne voulant pas perdre une seule seconde pour aller attraper ses jambes, les écarter d'un coup, la rapprochant de moi, pour ensuite faire glisser mes mains le long de ses jambes tout en remontant sa robe, et je ne pouvais pas quitter mon regard de ce spectacle, parce qu'elle avait des jambes de déesse et ça m'excitait davantage.

Une fois assise sur son bureau, je me mordais les lèvres avec envie quand il s'approcha vivement de moi, me collant un peu plus contre lui avant de caresser mes jambes, remontant petit à petit jusqu'à ma robe. Putain qu'il m'excite à me regarder et à me toucher comme ça. Je caressais son torse, mais je ne pouvais plus rester comme ça, de marbre, non j'avais bien trop chaud. Je vais t'aider beau-blond. Murmurais-je avec un petit sourire en coin. Je poussais doucement son torse avec ma main pour pouvoir me lever du bureau. Une fois debout je retirais doucement ma robe, très doucement pour le torturer légèrement en dandinant du bassin. Je laissais ensuite tomber ma robe le long de mes jambes, me retrouvant simplement vêtue de mes talons hauts. Je donnais un petit coup de pied pour vers vaciller ma robe au loin avant de revenir d'un pas décidé vers Kaleb, cette fois-ci je le poussais un peu plus violemment pour le faire s'asseoir de force sur sa chaise. Mon Dieu que j'avais envie de le bouffer, d'arracher son jean et qu'il me prenne sur la table, mais autant en profiter encore un peu avant de passer au concret, puis j'ai aussi envie qu'il prenne les devants, qu'il me montre qui est le vrai mâle, qui domine. Je venais donc m'asseoir de nouveau à califourchon sur lui, mais cette fois-ci entièrement nue. J'embrassais tout d'abord son torse, petit à petit en remontant vers son cou pour y déposer un baiser qui se transforma bien rapidement en un suçon, je marque mon territoire. (a) Une fois ma marque déposée, je revenais doucement jusqu'à ses lèvres, sans pour autant les embrasser, je me contentais de murmurer avec un sourire aguicheur. Tu devrais faire gaffe, tu vas finir par devenir accro. Soufflais-je près de ses lèvres avant de passer mes bras autour de son cou, venant enfin bouffer ses lèvres avec envie.

J'aurais pu la prendre aisément, comme ça, en ouvrant juste mon pentalon, histoire d'aller plus vite en qu'on en finisse, mais non elle n'était pas de cet avis, elle voulait retirer sa robe et je me demande comment c'est possible d'être encore plus excité par une femme à mesure qu'on la découvre. Je profitais à fond du spectacle et j'ai bien cru que j'allais péter une durite tellement elle commence à me rendre totalement dingue à force de me faire languir de la sorte. Une sorte de plaisir sadique. Elle finit ensuite par me pousser violemment sur ma chaise pour venir à califourchon sur moi, chose qui n'arrangeait évidemment pas mon cas tellement elle était sexy à faire toutes ces choses que je n'aurais jamais cru capable de m'arriver un jour. Alors qu'elle venait m'embrasser sur mon torse et dans mon cou, je caressais son corps d'une façon bien sauvage tellement j'avais envie d'elle, j'avais terriblement envie de la prendre maintenant et tout de suite, et ça se déclencha quand je compris qu'elle était en train de me faire un suçon dans le cou. Manquait plus que ça sérieux ! Mais elle était revenue vers mes lèvres pour me faire part que je risquais de devenir accro. Plutôt crevé et je lui disais alors sur un ton plus de défi que de total accord Aucune chance. Jusqu'à ce qu'elle vienne m'embrasser toujours aussi sauvagement et en profiter pour nous redresser et la mettre sur mon bureau et défaire mon pantalon pour le descendre parce que j'en peux juste plus d'attendre, attrapant l'une de ses mains pour la faire glisser dans mon caleçon, ne me croyant pas du tout capable de faire une telle chose un jour, mais elle me tourne la tête dans un mauvais sens j'ai l'impression. Rien à faire, j'ai juste envie d'elle et merde !

J'avoue que le torturer me faisait jubiler, je me vengeais en quelque sorte de m'avoir fait attendre tout à l'heure, même si au fond de moi, j'ai tellement envie de lui qu'il aurait pu me prendre tout de suite. J'avais des frissons rien qu'en sentant ses caresses sur mon corps, le sexe sans sentiment amoureux, c'est tellement plus bon, surtout quand le mec en face vous excite à un point inimaginable. Cependant il semblait certain de ne pas devenir accro, je le laissait me reprendre les lèvres avant de nous relever et me déposer sur son bureau. Oh que si. Maintenant à chaque fois que tu donneras un cours dans cette salle, tu auras une trique d'enfer en pensant à moi et je serais la seule à savoir te satisfaire. Disais-je avec un large sourire sur les lèvres. Je tiendrais ma promesse, je ne reviendrais plus vers lui pour le harceler, c'est lui qui viendra à moi tellement il aura envie de moi à présent. Finalement je le regardais baisser son pantalon, on allait enfin pouvoir passer aux choses sérieuses, mais je fus surprise quand il attrapa ma main pour la glisser dans son caleçon. Je souriais toujours avant de reprendre sauvagement ses lèvres tout en caressant son sexe doucement, faisant de léger va et viens à travers son caleçon, mais plus il m'excitait à m'embrasser de cette façon, plus j'accélérais mes mouvements. Au bout d'un certain temps j'arrêtais de l'embrasser, continuant encore et toujours de lui procurer du plaisir avec mes va et viens un coup doucement, un coup plus rapide en plongeant mon regard dans le sien, j'attendais juste qu'il se décide enfin à me prendre, à me faire grimper aux rideaux, parce que merde, j'ai de plus en plus envie de lui. J'espère que t'apprécie, parce qu'après c'est à toi de me faire plaisir beau-blond. Disais-je d'une voix sensuelle tout en continuant de le caresser.

Pourquoi fallait-il toujours qu'elle m'agace à chaque fois qu'elle ouvre la bouche ? Pourquoi fallait-il constamment qu'elle se mette à parler, à me contredire, à tout faire pour me mettre hors de moi ? Mais je n'arrivais pas à la repousser, plus maintenant, je m'en foutais de ce qu'elle disait, de ce qu'elle pouvait espérer, parce que au final je sais bien que après cette partie de jambe en l'air tout redeviendrait comme avant et je n'aurais plus jamais envie d'elle. Mais je n'avais pas envie de rentrer dans le débat, juste en elle. Je ne comprenais pas pourquoi j'avais ce besoin, c'était bien la première fois que ça m'arrivait sans sentiment, c'était bizarre mais qu'importe j'ai besoin d'extérioriser ma colère je suppose. Mais je faisais bien des choses qui ne me ressemblaient pas, elle me rendait vraiment chèvre pour le coup et elle se laissait faire, chose dont je n'avais clairement pas douté. Mais quand elle me fit savoir que ce sera à moi de lui faire plaisir par la suite, je savais que j'avais pas envie de ça dure, que je voulais juste me la faire en partir loin d'elle. Je lui retirais donc sa main pour finalement tout enlever, lui écarter les jambes, tout en venant l'embrasser de nouveau pour rentrer sans réellement délicatesse en elle, je n'en avais pas envie, il fallait que ça se termine et vite parce que je ne me reconnais juste pas.

Kaleb n'est pas le genre d'homme qui fait l'amour par plaisir, mais pour donner du plaisir à la femme qu'il aime. Je sais que ce soir je suis une exception et j'espère ne pas devenir accro suite à notre partie de jambes en l'air. Pourquoi ? Parce que même si je ne suis pas amoureuse de lui, je risque de devenir jalouse si un jour une femme parvient à reconquérir son cœur. Alors une partie de moi espérait que ce plaisir charnel allait être une catastrophe pour ne plus jamais avoir envie de lui .. Mais une autre partie de moi meurt d'envie qu'il me prenne. Je continuais alors mes gestes de va et viens avec son sexe jusqu'à ce qu'il vienne m'attraper la main, retirant une bonne fois pour toutes son boxer. Je me mordillais légèrement la lèvre quand il écarta mes jambes avant de venir plaquer ses lèvres contre les miennes et enfin entrer en moi. Aucune délicatesse, c'était sauvage comme je l'avais espéré et à peine en moi je n'ai pu m'empêcher de lâcher un petit cri de plaisir, un gémissement qui allait certainement s'amplifier au fil de l'acte. Je l'embrassais toujours aussi langoureusement, jouant avec sa langue avant de placer l'une de mes mains dans son dos pour le caresser doucement et l'autre sur la table pour prendre légèrement appuis. J'enroulais mes jambes autour de sa taille pour me coller encore plus contre lui et le sentir encore plus en moi. Finalement je lâchais doucement ses lèvres pour m'allonger sur la table afin qu'il puisse me prendre plus facilement tout en l'aidant en me cambrant et en bougeant pour lui procurer encore plus de désir.

J'avais l'impression d'être déjà accro à ça, à elle, et je le sens terriblement mal, parce que lorsque je suis enfin entré en elle, ce fut bien plus qu'un simple soulagement comme j'aurais pu le croire, non c'était une réelle envie d'elle alors que je ne fais jamais ça sans amour et je suis en train de me perdre de plus en plus. Mais je suis juste incapable de m'arrêter, encore moins quand elle finit par s'allonger sur le bureau pour que je puisse encore mieux la prendre, pour que nos mouvements soient plus fluides et surtout plus rapide. Fallait vite que je finisse ça, que j'en finisse avec elle pour éviter toute addiction possible, et c'était parfait parce qu'elle m'avait tant excité que je sentais que ça n'allait pas durer bien longtemps. Mais pas tout de suite, je voulais profiter malgré mon envie pressante de me casser d'ici et loin de ce corps qui est en train de me rendre dingue. J'y allais de plus en plus fort et de plus en plus vite, parce que de toute façon c'était ça qu'elle voulait et je commençais à comprendre pourquoi elle y était tant accro. Tellement que je me surpris de nouveau, en la relevant pour la faire se tourner, attrapant ses cheveux pour venir la bouffer dans le cou pendant que je nous donnais toujours autant de plaisir.

Je me laissais totalement faire, comme si j'étais son jouet et que je lui appartenais, mais ce n'était que partie remise, je comptais bien prendre le dessus à un moment donné, mais je dois avouer que pour le moment c'était tellement bon que je ne voulais rien changer. Il me fit alors me retourner puis me tira les cheveux pour me bouffer le cou, des frisons naissaient de nouveau partout dans mon corps et mes gémissements de plus en plus intenses tellement j'appréciais ce qu'il me faisait. Je bouillais de l'intérieur et j'ai bien l'impression que je vais finir par exploser d'un instant à l'autre. Finalement je le repoussais légèrement pour me retirer de son emprise, je crois que je commence déjà à devenir accro, je ferais mieux de partir maintenant mais c'était trop tard, j'étais bien trop excitée pour faire marche arrière. Je m'avançais vers lui telle une tigresse pour le pousser violemment sur sa chaise pour revenir m'asseoir entièrement nue sur lui. Sauf que je ne lui laissais pas une seconde de repos, j'attrapais son membre pour l'entrer moi-même en moi, passant mes bras autour de son cou pour littéralement prendre le dessus. Cette fois-ci il n'avait rien à faire, c'était à mon tour de le baiser au sens propre. Je bougeais mon bassin telle une sirène, bouffant ses lèvres en gémissements de plus en plus fort.