(flashback) EMRYS&NEMESIS ● It's a surprise honey.

IT'S A SURPRISE HONEY
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Plus je le regardais et plus je m'imprégnais de sa présence, plus je me rendais compte à quel point il m'avait manqué. Je ne pouvais presque pas détacher mon regard de lui. L'espace de ces quelques minutes partagées me rendait plus sereine que jamais. Nous en étions donc à prendre des nouvelles l'un de l'autre. Lui s'inquiétait de mon bien-être vis à vis de mon choix de transfert. Et moi de savoir où il en était. Il avait alors attiré mon attention sur son domaine de prédilection, sa pure passion. L'écriture. C'est quand-même marrant l'air de rien qu'on ai choisit le même domaine d'études. L'Histoire je veux dire. Si tu te lance à ton premier roman je veux être ta première lectrice hein. J'étais ravie pour lui qu'il fasse réellement ce qu'il désirait. Je ne pouvais pas souhaiter mieux pour lui. Il alla alors me chercher un verre et dans un même temps curieuse comme je l'étais, je lui demandais où en était ses amours. Ben oui d'une c'est important aussi et de deux j'étais curieuse et puis un peu jalouse aussi. Oui de la jalousie parce qu'il m'arrivait de jalouser les personnes qui avait pu être proche de lui physiquement alors que de mon côté j'étais aussi loin. Je le vis se retourner vers moi. Il y avait donc bien une fille dans ses pensées, en ligne de mire. Une fille différente me disait-il. Je le laissais revenir vers moi, buvant ses paroles. Il ne semblait pas être en couple d'après ce que je comprenais, il avait même peur de faire mal...Tu as déconné? Comment ça déconné? Lui demandais-je alors un peu étonnée par ses dires.

Je ne comprenais pas pourquoi elle parlait ainsi mais très vite, je voyais mieux. Elle n'avait clairement pas compris surement ou surtout, j'avais cru en avoir parlé avec elle mais non, je m'étais caché de tous ça. J'avais zappé ma propre cousine dont j'étais si proche au niveau de ma notoriété déjà acquise sous un autre nom ? Je demeurais alors honteux quand elle m'apprit simplement qu'on était dans la meme filière, me le rappelant seulement et en me disant qu'elle voyait bien être la première lectrice de mon roman ... raté ! Je grimaçais et pris ma tete entre mes mains, navré. J'étais persuadé de t'en avoir parlé ... Je me raclais la gorge, baissant le regard, un regard triste. J'ai déjà publié ce roman, y'a plus d'un an et il a très bien marché, il est reconnu, je suis reconnu sous le nom d'Alexander Sairachaz ... J'avais si honte que je rougissais comme un tomate, rouge comme une tomate, c'était clair. Je restais ensuite silencieux allant me prendre un verre d'eau, ma gorge étant sèche de stresse surement puis je l'écoutais anxieuse me dire qu'elle ne comprenait pas en quoi j'avais déconné. Je me lançais, toute manière au point où j'en suis : Je dois te dire que je suis sorti encore avec Eliah et je l'ai demandé en fiancaille en Novembre dernier mais j'ai fais ça sur un coup de tete pour faire taire les gens mais là, après j'ai eu une courte histoire que je croyais bonne mais surement prise pour pas être seul ... Charlie Freeman un mec mais c'était faux du coup, j'ai fait n'importe quoi là mais y'a Charlie, une fille Lowell, ma première fan, ma petite chérie qui me fait un drole d'effet ... dis-je en souriant béat.

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Voilà que je le regardais un peu pantoise suite à ses dire de publication, je me rappelais qu'il m'avait raconté il y a quelques temps déjà qu'il s'était lancé dans l'écriture d'un roman mais, il ne m'avait pas dit qu'il s'était fait publier sous un nom d'emprunt. Pour le coup j'avais raté son tout premier succès. Assise à coté de lui, je lui assenais une petite tape derrière la tête. Ah ben tiens c'est malin, espèce de poisson rouge que tu es. Tu me fais des cachoteries maintenant. Puis mon visage se fendit d'un sourire, je ne lui en voulais pas. Par contre, j'allais devoir combler mes lacunes en me procurant un exemplaire de son roman. J'irai l'acheter dès demain, que je puisse voir de mes propres yeux ce que ça donne. lui dis-je alors. Je ne pourrais de toute manière pas en vouloir à Emrys plus d'une heure sans craquer. Nous étions trop proches et il était tout pour moi. Nous en étions alors venu sur sa vie sentimentale. Je savais pour l'ambivalence de mon cousin pour les deux sexes mais, j'avais parfois tendance à l'oublier. Il était tellement séduisant que je l'imaginais toujours entouré de filles. Je pinçai alors les lèvres un peu. Ce ne sont que des erreurs de parcours, on en fait tous Em'. L'amour c'est quelque chose de compliqué et de totalement imprévu. Alors comme ça tu craques pour une Lowell, va falloir me la présenter cette rivale dans ton cœur. Tu as l'air d'en pincer sacrément pour elle. finis-je par lâcher. Oui je l'avoue savoir d'autres personnes si proches de lui me rendait un peu jalouse. Un manque de proximité entre lui et moi devait en être la cause puisqu'il ne s'agit pas de jalousie amoureuse ici.

Elle devait m'en vouloir ma jolie blonde mais elle devait comprendre que j'avais eu du mal à assumer meme auprès de mes frères, de tous a vrai dire et si Charlie ne m'avait pas trouvé, je ne l'aurais surement jamais révélé à personne. Je n'avais jamais été à l'aise avec l'autre moi complètement dont une partie était clairement montré par l'arrogance osée avec mon père. Je la voyais déconfite mais très vite, elle prit avec humour en m'accusant de ne pas l'avoir mise au courant avant de me dire qu'elle l'achèterais bien vite. Je me levais alors et courrais chercher un de mes exemplaires (toujours en avoir deux chez soi) et je lui donnais simplement : Pour me faire pardonner, tu n'auras pas besoin de l'acheter ... et en lui donnant, je souriais, étrangement poussé dans ma fierté alors que je le posais dans ses bras. J'étais trop heureux en fait et ce qui me fit encore plus bizarre c'est de me dire qu'elle avait du le voir sans penser que c'était moi, ça me rendait fou et fier. Je la voyais toujours perplexe à l'écoute de mes histoires comme si ça la chiffonnait mais encore plus quand je parlais de garçon car les gens avaient tendances à oublier ma bisexualité quoique j'étais vraiment très hétérosexuel ; faut le dire ! Elle voulait être présente pour moi alors je ne pouvais que comprendre son tas de questions comme ça de but en blanc. Elle ne voulait pas mâcher ses mots mais m'aider certainement : Ce ne sont que des erreurs de parcours, on en fait tous Em'. L'amour c'est quelque chose de compliqué et de totalement imprévu. Alors comme ça tu craques pour une Lowell, va falloir me la présenter cette rivale dans ton cœur. Tu as l'air d'en pincer sacrément pour elle. Elle me rassurait et ça faisait du bien de l'avoir de nouveau auprès de moi pour jouer les voix rassurantes. Je tortillais mes doigts, anxieux de devoir répondre à ce genre de chose quoi. Parfaitement conscient néanmoins de la folie de mes expériences des derniers, j'avais enchainé les bourdes en y repensant. Je rougissais lègèrement quand il parlait de Charlie en faisant le constat du fait que j'en pinçais pour elle et je répondais : Bon, c'est pas faux effectivement mais s'il te plait, ne flippe pas encore par rapport à ça ... dis-je en la prévenant gentiment avant de lui demander timidement : Mais toi, un petit homme qui te suit ou pas ? Dis-je en imaginant que surement elle était venue ici avec son petit ami ou avait une proie.

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C'était assez étrange de me dire que mon cousin avait été publié, que son livre avait marché du tonnerre et qu'il était reconnu sous un nom d'emprunt, oui bon j'avais toujours su, je m'étais toujours doutée qu'un jour ou l'autre, il concrétiserait son rêve, sa passion. Mais, tout ça sans que je ne m'en doute, c'était assez paumant mais, j'étais ravie pour lui, aux anges même. Quand on adore quelqu'un comme je l'adore, on ne peut que se réjouir pour lui et non lui faire la tronche parce qu'il a oublie de vous le dire. Alors que je parlais d'aller me procurer son bouquin, il se leva et revint très vite avec un exemplaire de son roman. Posé dans mes bras, je regardais son premier "petit bébé" rapidement avant d'en ouvrir la première page. Puisque j'ai l'honneur de connaitre son auteur, je veux une petite dédicace du grand monsieur qui l'a pondu. dis-je tout sourire en lui tendant le livre. Oui, il faut bien profiter de ses avantages non? Et puis il n'allait pas me refuser ce petit privilèges n'est-ce pas? J'espère que j'aurai la primeur sur ton prochain roman hein sinon gare à tes fesses Emrys Zacharias. dis-je avec une pointe d'humour dans la voix. Une fois cette étape passée, je déposais le roman à coté de moi en ayant promis de le lire très vite et de lui donner mon avis de lectrice. Je bu quelques gorgée de mon verre en écoutant mon cousin me parler de ses derniers rebondissements amoureux. J'apprenais donc qu'il avait remis le couvert avec Eliah avant de craquer pour un autre jeune homme et de finalement craquer pour une petite rousse d'Harvard. Je ne sais pas trop pourquoi cela me fait toujours cet effet-là, celui de la pointe de jalousie. Sans doute parce qu'aussi fusionnel qu'on ai été, nous avons longtemps été séparés et que je déplorais le fait de ne pas avoir vécu toutes les étapes de sa vie avec lui. Une idiotie selon moi. Il me rabrouait un peu alors, je croisais les bras et prit une petite moue boudeuse mais, exagérée. Comment ça ne pas m'emballer tout sous-entends que je suis jalouse? Puis j'éclatais de rire, bon il n'avait pas tord, je l'étais un petit peu. Un petit copain tu veux dire? Moi? Non non, je suis célibataire depuis presque deux ans. Oui bon, disons que sentimentalement parlant j'avais pas beaucoup de chance contrairement à ce que l'on pourrait croire.

Je sais qu'elle m'en voulait un peu au fond parce que c'est vrai que j'aurai du lui faire part de ma publication. Néanmoins, ça n'avait pas été fait, c'était pas possible de retourner en arrière alors voilà. C'était déjà ça que je mette tout en œuvre pour avoir son pardon et d'ailleurs, elle fut bien réceptive car directement, elle demanda un autographe et je levais les yeux au ciel en rougissant. Ça gêne souvent faut le dire donc je ne pouvais que rougir sur ce coup. Je la regardais avec un sourire en coin en prenant le livre qu'elle me tendait de nouveau et attrapant un feutre noir dans le corbeille sur la table basse, je griffonnais mon autographe personnalisé, très mignonne qui disait tout mon amour en signant à la fin par mon acronyme. Je lui faisais alors un clin d'oeil. Évidemment, elle demande la primeur sur le prochain livre et je rigolais parce que malheureusement, le brouillon que j'avais envoyé à l'éditeur avait déjà été consulté - evidemment - par Charlie. je portais ma main à mes lèvres avant de dire ; Oups, je l'ai déjà envoyé et Charlie l'a déjà lu ... dis-je en baissant le regard honteux d'avouer cela mais ne voulant pas me la faire à la malhonnête. Je la regardais ensuite en pleine attention face à mes déboires amoureux mais surtout commencer à prendre son air vexée de mes nombreuses aventures et très lègèrement jalouse. Je grimaçais sentant que ça ne plaisait pas du tout et qu'elle marquait déjà les noms dans son carnet de personnes à tuer. Elle prit donc sa moue étrange et je levais les yeux au ciel alors que déjà, elle se marrait en me demandant si je sous entendais qu'elle était jalouse. Je ne fis qu’acquiescer, lasse. C'est alors qu'elle fit genre de ne pas comprendre avant de faire la meme chose par rapport à ma demande, me disant que ça faisait deux ans qu'elle était seule après une longue réflexion et je ne pus m'empecher de dire : Bon, ça ne va pas, je vais te trouver un loulou à gérer moi tu vas voir ! Avais-je dit en rigolant. Je souriais à pleine dent et repris : Non mais comment ils font pour pas voir que t'es formidable ?

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J'étais ravie qu'il me dédicace son premier roman, quand il me le rendit après avoir apposé sa marque dessus, je fis légèrement passer mes fins doigts sur la signatures. J'étais très fière de lui, un peu comme aurait du l'être un parent de son enfant. Le fait qu'il réussisse ce pourquoi il se pensait voué, me rendait heureuse. Après tout, tout ce que je souhaitais pour lui c'était qu'il le soit. Il me dit alors que je n'aurai une fois de plus pas la primeur sur ses écrits, je ne râlais pas, je ne lui en voulais pas... Mais, le fait de voir qu'il était déjà même avancé dans l'écriture d'un nouveau roman me remettait en pleine figure cette longue absence prolongée que j'avais eu en vivant si loin de lui. Mais, c'était fini non? Maintenant, j'étais là et bien là. Rien ne pourrait plus nous séparer. Du moins, je l'espérais. Je fis donc une légère petite moue réprobatrice passagère. Sans lui faire aucune remarque mais, j'étais de plus en plus intriguée par cette fameuse Charlie. Elle devait être exceptionnelle pour qu'il la laisse entrer autant dans sa vie. Va vraiment falloir que je connaisse cette "Charlie" hein. Il avait grimacé, je ne savais pas si cette pseudo jalousie que j'avais lui pesait parfois. C'était assez difficile a expliquer, bien évidemment je ne nourrissais pas de sentiments glauques envers mon cousin, non ce serait vraiment pas catholique mais, c'était plus un soucis de proximité, d'appartenance, Emrys avait toujours été comme une partie de moi. Il m'avait alors posé la question, mes amours mon dieu. Pas que je sois vraiment à plaindre mais, ma dernière histoire avait été assez marquante. La rupture difficile. Une belle histoire au début, qui avait duré au moins 3 ans avant qu'il ne rompe avec moi pour s'engager à l'armée. Je préférai éviter ce passage de ma vie. Je ne pu m'empêcher de sourire. Oh je suis certaine que tu y arriverais. Ben tu sais disons que les mecs ne voient qu'une seule chose en moi... dis-je un peu plus sérieuse mais, très certainement gênée. Je changeais alors de conversation. Alors, que dirais-tu de me faire visiter un peu le coin? demandais-je avec le sourire.

Je m'en voulais clairement d'avoir priorisé Charlie par rapport aux bouquins mais elle avait toujours mis tellement de ressources pour m'aider et toujours cru en moi que ça avait été presque trop naturel à chaque fois. Je l'adorais et je l'aimais presque maintenant donc ça devenait compliqué de ne pas la mettre en priorité. Du coup, j'appréhendais sa réaction connaissant d'ailleurs son éternelle jalousie. Elle avait touché plusieurs fois la douce écriture sur son exemplaire puis elle avait demandé à connaitre cette fameuse Charlie et dans son ton, je comprenais qu'elle avait peu de mal à digérer la priorité qu'avait donc cette fille. Je grimaçais et me tapais sur les doigts machinalement pour lui montrer que je comprenais bien son malaise. Nous parlions des mecs et il semblait que ça ne marchait pas du tout pour elle ; ma pauvre chérie ! Je voulais vraiment l'aider car elle méritait le mieux mais elle semblait contrarié de tous ça... ce qui fut confirmé quand elle fit le constat que le mec ne voyait que certaines choses chez elle et je tapais du poing, légèrement énervé de me rendre compte qu'on la jugeait sur les apparences. Je ne rétorquais rien ne voulant pas la peiner mais un sourire s'afficha sur son visage et elle me demanda donc : Alors, que dirais-tu de me faire visiter un peu le coin? Je souriais, follement heureux et me levais rapidement en allant vite fait prendre des affaires plus descentes en la faisant attendre quelques secondes, ma veste et hop, je l'attrapais par le bras en trombe : Allons-y ! Devant la porte, je me rappelais que les motos l'avaient fasciné alors je n'hésitais plus : Tu veux faire un tour en moto et je te stoppe à mes endroits incontournables ? Dis-je en souriant profitant pour caresser son bras affectueusement.

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Oui c'est vrai cela me déstabilisait un peu de savoir qu'il donnait la priorité à une autre, alors que nous avions toujours partager cette passion pour la lecture, les romans, l'écriture, l'imagination... Mais, je n'étais pas venue rejoindre mes cousins pour leur faire la tête à tout bout de champ non plus. Alors je préférais lui passer cette petite erreur sans faire de nouveaux commentaires. Le plus important à mes yeux restait le fait qu'il réussisse dans ce qui le passionnait, le transportait. J'étais heureuse pour lui et c'est ce qui comptait le plus après tout. Oh bien entendu j'étais curieuse de voir qui était cette mystérieuse jeune femme qui semblait lui dérober son palpitant. Puis n'ayant pas très envie de parler de ma vie amoureuse, dont le néant était en fait la plus grosse partie, j'avais rapidement changé de sujet pour lui supposer de m'emmener visiter un peu. Je n'avais encore rien vu quasi de Cambridge puisque dès ma sortie de l'aéroport et ma venue en ville, un mesquin dérobeur de sac m'avait parasité la joie de me retrouver sur les même sol que mes cousins. Ce ne fut que grâce au concours d'un jeune homme brun dénommé Loukas que j'avais pu récupérer toutes mes affaires. D'ailleurs, il faudrait que je pense à remercier ce jeune homme. Il accepta et alla rapidement se changer, il m'entraina alors subitement par le bras. Il semblait ravi de cette idée et tant mieux. C'est parti. dis-je en le suivant et en m'agrippant à son bras, heureuse de passer quelques heures avec lui. Stoppés près de la porte mon regard s'illumina alors qu'il caressait doucement mon bras. Tu rigoles? Evidemment que j'adorerai ça. Grisés par la vitesse, plus pratique que la voiture d'ailleurs, j'étais toujours partante pour un tour en moto. Je ne lui disait clairement pas non, j'étais plus que tentée.

Elle semblait totalement heureuse à l'idée qu'on soit enfin réuni. Son idée d'une visite de la ville me ravissait au plus haut point franchement. Je ne pouvais que dire oui à sa demande ce qui ne fit que la faire plus sourire encore qu'au début de nos retrouvailles mais l'idée de la moto la motivait bien. je pris alors les casques, lui en passant un et nous descendions donc l'appartement jusqu'au parking sous-sol où se trouvait mon beau et magnifique bébé qu'elle ne connaissait pas encore et je ne pus m’empêcher dès qu'on fut devant de lui dire : Regarde moi ce beau bébé !? Avais-je suggéré en riait et montrant ma fierté d'une belle acquisition et création puisque j'avais pu l'avoir en rassemblant des pièces au garage de superbes motos. Je me foutais le casque sur la tete puis je grimpais, démarrant avant de l'encourager en disant : Bon tu grimpes bichette ? Avais-je dit en m'exclamant, excité comme tout de l'emmener sur ma propre moto. Là, nous démarrions au quart de tour et hop, une fois dehors, on pouvait rouler comme jamais, tous les deux alors qu'elle me tenait par la taille vers le centre où elle pourrait tout regarder sur notre passage.

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