VALENTHÉO ❥ let's be a moment in the w.c.

Coincés dans les toilettes en compagnie de Valentin, celui-ci nous sauva la vie car il s’avéra qu'il avait été beaucoup plus malin que moi et qu'il avait prit son téléphone avant d'aller se soulager. Si le fait de défoncer la porte principale ne donna rien en un principe, celui-ci eut la bonne idée de demander à son meilleur ami, le frère d'Emrys que je ne connaissais pas de venir l'aider. Au moins, nous pouvions espérer que cette histoire aurait une bonne fin. Mais selon moi, puisque Priape était un bon ami d'Elia, il ne devait pas me porter dans son cœur. « C'est pas son genre, et puis il m'aime tellement qu'il va forcément venir d'une seconde à l'autre ! » Il me fit un clin d'oeil et je ne me sentais pas du tout rassuré. Quand une voix retentit derrière la porte, je retenais mon souffle. J'avais hâte de sortir de la. « Tu vois ?! Et t'inquiète je t'embarque avec moi en dehors de ce trou pourri que sont les toilettes ! Ouep je suis là ! Tu peux essayer de tirer la porte de toutes tes forces ? » Il tapa contre la porte et je me préparais à l'enfoncer à mon tour. « Lequel j'dois remercier ? Toi pour ta force morale ou ton ami pour être venu à notre secours ? » Me mettant à rire, je me préparais à enfoncer de nouveau la porte avec lui. « Faudrait pas non plus qu'il se la prenne en pleine tronche. » Jetant un dernier coup d’œil à Valentin pour lui lancer le feu de départ, je me mis à gueuler : « Prêt ? Trois...Quatre...douze ! » Qui comptais comme ça de nos jours ? Je m'en fichais mais j'éspèrais juste quand je me mis à courir, que Priape était prêt.

Quelques secondes seulement après avoir cogné contre la porte en l’appelant, j’entendis la voix de mon meilleur pote me répondre. Confirmation : Val était bien là. Sa question m’arracha un petit rire : est-ce que je pouvais tirer la porte de toute mes forces ? Ca ressemblait bien à mon ami ça, on risquait de tout casser. Je me penchai quand même un instant vers la poignée en appuyant dessus tel Macgyver, histoire de m’assurer si il n’y avait pas une solution moins violente pour l’extraire de sa prison. Mais le mécanisme semblait bloqué. Donc, oui pas le choix, il allait falloir y aller comme des bourrins. Une autre voix s’éleva, demandant si j’étais prêt, probablement Théo...  « Ouais allez y les gars. » La voix de l’ex d’Elia se fit de nouveau entendre pour le décompte. Tiens, son amnésie lui avait fait aussi fait oublier comment compter ? Je ne perdis pas de temps et tirai avec toute ma force sur la porte. Elle vacilla dangereusement avant de sortir de ses gonds par la violence du choc avant de s’écrouler de l’autre côté. Ils n’avaient pas du y aller de main morte de l’autre côté. J’eus juste le temps de me décaler in extremis pour éviter de me faire assommer. « J’accepte les cartons de remerciements, les chèques, les bouteilles de champagne… » lançai-je avec ironie aux deux garçons avant de reporter mon regard vers le sol. « Qu’est-ce qu’on fait ? On la repose dans l’encadrure en espérant que personne ne remarquera rien ? »

Bal de fin d'année

Priape était arrivé assez vite pour venir nous aider à nous sortir de là et je sentais déjà l'air frais de la liberté frôler nos visages. Pas de quartier pour cette porte qui avait voulu nous retenir prisonniers ! Je ne pus m'empêcher de rire de plus belle quand Théo me demanda qui de nous deux il devait remercier. Bouarf juste les deux ! Disais-je sur le ton de la déconnade avant qu'il ne me fasse me rendre compte que si on poussait de toutes nos forces et qu'on défonçait la porte, Priape risquait de se faire écraser. Aussi je le prévenais donc direct après que Théo ait compter de façon délirante et que Priape nous ait fait part qu'il était prêt Fais gaffe à la porte tout de même si on y va trop fort ! Oui parce que pas sûr qu'on y arrive, même si à trois ce serait fort de ne pas réussir à la débloquer. On fonça alors de nouveau dans la porte, et cette fois-ci, elle céda à nos trois forces, tellement que j'ai bien cru qu'on avait écrasé mon meilleur pote. Mais il était aussi vif qu'un vif d'or puisqu'il l'avait évité de justesse. Mais on avait l'air bien con pour le coup. Je la regardais à terre, puis l'encadrement des toilettes quand Priape nous fasse part de sa connerie Merci mon pote ! Disais-je en lui donnant une tape sur l'épaule, avant qu'il ne rajoute la question du siècle. Ce serait une bonne idée de piège, vous voulez pas écraser un type ? Disais-je pour déconner encore plus, parce qu'il est clair qu'il valait mieux la laisser sur le côté pour éviter d’assommer qui que ce soit.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH

HRP:

Valentin me disait que je devais remercier les deux et je souriais avec un signe de tête me promettant silencieusement, que c'était ce que je comptais faire. Nous étions sauvé par le gong là non ? Puisque le meilleur ami de Valentin nous donnait son accord pour pouvoir enfoncer la porte, l'on s’exécuta et d'un coup d'épaule plus de poigne de la part de ledit Priape, celle-ci termina son blocage au sol. « J’accepte les cartons de remerciements, les chèques, les bouteilles de champagne… » Je réalisais alors un grand sourire pendant que Valentin remerciait son meilleur ami. « Je crois qu'on te doit une fière chandelle. Puis autant me présenter dans les formes, je suis Théo. » J'étais persuadé qu'il me connaissait que de nom comme moi je ne le connaissais que de vue. En même temps, j'étais aussi le colocataire de son frère et je ne le connaissais même pas personnellement. « Qu’est-ce qu’on fait ? On la repose dans l’encadrure en espérant que personne ne remarquera rien ? » Je jetais alors un coup d'oeil aux dégâts que nous avions fait. N'allions-nous pas avoir des problèmes à cause de ça ? « Ce serait une bonne idée de piège, vous voulez pas écraser un type ? » Me tournant vers Valentin, je réalisais un sourire en coin. Personnellement j'y collerais bien le président des Dunster, mais je me retenais de le dire, ne voulant pas déjà donner une mauvaise impression au nouvel arrivant. « Du moins, on pourrait commencer par signaler ceci ? » Je désignais la porte d'un signe de tête. « Dans tous les cas merci Priape de nous avoir prêter main forte. » Je songeais qu'il était désormais l'heure de retourner à la fête, avant que quelqu'un ne remarque notre absence prolongée.

Les deux winthrops étaient enfin libre, la porte gisant devant nous sur le sol. Valentin s’avança jusqu’à moi, me donnant une tape sur l’épaule tout en me remerciant et je lui souris. Puis, Théo le suivit et se présenta officiellement à moi. Bien sur je le connaissais déjà, parce que j’avais beaucoup entendu parler de lui, que ce soit par Valou, par Elia ou encore par le biais de mon frère. « Priape. Débloqueur de porte. » me présentai-je à mon tour au jeune homme avec une note d’humour. Puis la question du devenir de la fameuse porte se posa. Bien que la proposition de Val soit alléchante, la solution que proposa Théo ensuite était surement plus sage. « J’imagine qu’on trouvera un moyen plus raisonnable de se débarrasser de nos ennemis ce soir… » plaisantai-je en adressant un clin d'oeil à mon meilleur ami, ignorant encore que plus tard dans la soirée j'allais surement regretter de ne pas avoir ce fameux piège à disposition pour assommer certaines personnes... Théo me remercia pour le coup de main. Jamais je ne refuserais de venir en aide à Valentin, alors pour moi cela avait été tout naturel de venir à leur rescousse. « Y’a pas de quoi, j’ai l’habitude de voler au secours de ce grand dadet ! » assurai-je en riant et en passant ma main dans les cheveux de Valou pour le taquiner.

HJ ::

Je venais donc de rencontrer le fameux Priape, ami de mon ex-fiancée, frère de mon colocataire et meilleur ami du gars avec lesquels je venais de rester coincé dans les toilettes. Dire que tout me prédestinais à le rencontrer, et pourtant, c'était seulement maintenant alors qu'il avait endossé la cape du super-héros pour venir nous délivrer que j'avais enfin l'honneur de le rencontré. « Priape. Débloqueur de porte. » Se présentant ainsi de cette façon-là, m'arracha un sourire en coin. Si j'avais été plus proche de lui, j'aurais sûrement gueulé comme une groupie pour le remercier. Proposant alors d'appeler quelqu'un pour s'occuper de la porte plutôt que de la laisser ainsi ou de la remettre ni vu ni connu normale pour que quelqu'un se la prenne en pleine poire, Priape approuva mes dires. « J’imagine qu’on trouvera un moyen plus raisonnable de se débarrasser de nos ennemis ce soir… Y’a pas de quoi, j’ai l’habitude de voler au secours de ce grand dadet ! » Réalisant un sourire face à ce qu'il avait dit sur Valentin, celui-ci répliqua : « J'avoue, coupable ! Je fais trop de connerie heureusement qu'il est là ! Et si on retournait à la soirée ? Enfin après avoir trouvé un responsable évidemment ... » Me mettant alors à rire, je répliquais à mon tour. « J'crois qu'en ce moment nous sommes tous coupable de réaliser pas mal de conneries. » Et j'étais un expert. Souriant, j'approuvais ensuite les dires de Valentin. « Oui, il est temps de retourner par la-bas, et surtout prévenir que ces toilettes vont manquer d'intimité. » Sans porte ça allait être compliqué. Tapant alors l'épaule de Valentin, je repris. « Au plaisir de passer de charmants moments en ta compagnie ! » Il ne manquait plus qu'à repartir vers la piste de danse...

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