Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« Il n'y a qu'une seule chose plus désagréable que de faire parler de soi : c'est ne pas faire parler de soi.» - Page 2
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« Il n'y a qu'une seule chose plus désagréable que de faire parler de soi : c'est ne pas faire parler de soi.»

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[justify]Je n'aimais pas ce ricanement, cela ne me rassurais pas. Je plissais légèrement des yeux, cela ne s'annonçait pas aussi bien que je le pensais. Décidément la justice n'était que trop corrompue. Je la regardais faire, ranger son arme et son insigne mais je n'avais pas anticiper son attaque alors, je restais légèrement choqué en me laissant faire. C'est sur que face à elle, je n'étais pas aussi agile et puissante mais je savais me défendre un minimum. Je commençais à me débattre peu à peu mais étant flic, elle savait ce qu'elle faisait. J'aurais bien pu lui donner un coup de tête mais elle l'aurait esquivé avec succès.

« Franchement, lâche moi.»

Je bouillonais de l'intèrieur, il fallait absolument qu'elle arrête sinon j'exploserais et quand j'explose ce n'est pas à motié. Mais elle persistait la garce alors sans réellement prendre conscience je crachais des paroles en russes, des gros mots, l'insulter de tous les noms sans savoir qu'elle en comprenait le sens. J'essayais de me défaire de son étreinte mais rien à faire, elle savait ce qu'elle faisait. Rouge de colère, je décidais finalement de lui écraser mon talon aiguisé sur son pied sans pitié ! Elle cria légèrement de douleur. Je me retournais et la poussa violemment en posant mes mains sur son buste.

« ESPECE DE GARCE !»

A ces mots dit en russe, je m'approchais tel un félin qui essaye de piéger sa proie mais elle était perspicase et se jeta sur moi.
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La demoiselle voulait que je la lâche ? Ce n'est pas comme ça que ça marche, elle commence les hostilités, avec ses petits airs supérieurs .. Je voulais la voir hors d'elle. Soudainement j'ai perdu toute concentration, alors que je m'y attendais le moins la jeune femme commenta à proférer des insultes en russe, elle m'injuriait violemment sans penser une seconde que je pouvais le comprendre. Son talon enfoncé subitement dans mon pied me ramena à la réalité, prise sur le fait, je ne pus contenir totalement ma douleur, elle me poussa alors. « Espèce de garce » .. Vous savez ce que Nelson Mandela disait ? Quand vous parlez à quelqu'un dans une langue qu'il comprend cela va à son cerveau, si vous lui parlez dans sa langue maternelle, cela lui va droit au coeur. C'était exactement ça, on m'avait souvent considérer comme une gârce mais l'entendre en russe ça avait une certaine classe, ça m'allait droit au coeur, et ça me renforçait pour la suite. Alors qu'elle s'approchait, je me suis vivement approchée d'elle. J'ai envoyé mon poing directement sur son nez. Il était certain qu'elle ne s'y attendait pas. Peu de gens avec qui je me battais s'attendaient à ce que je frappe directement au visage. « Petite conne présomptueuse .. A qui tu croyais faire face » Ces mots articulés en russe retiendraient surement son attention. Je ne savais pas encore si elle saignait du nez, il n'était certainement pas cassé, mais sait-on jamais, j'aime beaucoup laisser des traces. J'attendais qu'elle relève la tête. « Ne crois pas que je vais t'épargner ! Tes premières insultes m'ont été droit au coeur et tu ne te débarrasseras pas de moi facilement, alors remonte tes manches gamine ! » Toujours lui parlant en russe, je la fixais déterminée, priant pour qu'elle n'abandonne pas.
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Russe dans l'âme je n'allais certainement pas m'incliner devant elle, peut être dans ses rêves les plus profond. Ma main calée sur mon nez, j'avais toujours la tête baissée. La vache, elle n'y est pas allé de main forte mais ce n'était pas la douleur qui me faisait peur. Je relevais la tête, le nez en sang. Mon regard topaze se posa sur elle et un rictus malsain vint s'orner sur le coin de ma lèvre. En plus, elle comprenait le russe. C'était gagné. Alors je continuais mon discours en russe, ce qui intriguait quelques peu les gens dans le bar.

« Une bonne leçon te ferais pas de mal ! »

J'approchais et empoignais son cou que je serrais. Au passage, je plantais mes ongles sur sa peau douce en la regardant. Personne n'avait levé la main sur moi, ni même mes parents. Alors ce n'était pas une pauvre garce qui allait m'avoir. Mais comme je le pensais, elle était doué au combat à main nue, en même temps elle est flic.Elle empoigna mon poignet comme je le pensais mais dans un élan de rage je lui envoyais une gifle de mon autre main libre. Le bruit fut aussi strident et aigui qu'une sonnerie. D'ailleurs la marque se former. Et sans plus attendre, je la poussais vers la table de billard; lui faire manger la poussière était dans mes projets. Mais elle réussit à s'éloigner, un sourire mesquin sur ses lèvres. J'étais folle de rage. Je n'aime pas qu'on sourit lorsque j'agresse mais elle le comprit aussitôt. Je pris la chaise et lui envoya dans la figure en crachant des jurons toujours en russe.
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La jolie demoiselle saignait du nez, c'était le genre de truc qui me motivait encore plus, qui me donnait vraiment envie de la voir à terre. Elle me menaça alors en russe. « Une bonne leçon te ferais pas de mal ! » Je me foutais totalement de ses menaces, cette fille c'était un poids plume, qu'est ce qu'elle pouvais bien me faire ?! A ce moment, elle s'approcha de moi et enserra ses mains autour de mon cou. Quelle saloperie, je sentais ses ongles s'enfoncer dans ma peau. Elle se croyait certainement douée pour le combat à mains nues, mais moi c'était mon boulot. J'avais été entrainée pour ça, non seulement à l'académie de police, mais aussi suite aux nombreuses altercations que j'avais connu. Alors que je tentais de l'empoigner pour me libérer de son étreinte, celle-ci m'envoya une gifle puissante. Elle avait réussit à me sonner un peu, je n'avais même pu calculer son prochain coup. Elle m'envoya dans la table de billard. Passant machinalement ma main sur ma lèvre j'ai alors senti que celle ci était ouverte. En me relevant, j'ai aperçu mon reflet dans une des glaces du bar. J'avais non seulement la lèvre fendue, mais aussi l'arcade droite d'ouverte. Elle m'envoya une chaise dans la tronche tout en continuant à hurler en russe. J'ai alors, dans un élan de réactivité, saisi la chaise au vol, la plaquant sur le sol.
Elle n'allait pas commencer à me chauffer .. Pour lui faire plaisir je lui adressai alors ces mots en russe. « Sérieusement ?! C'est quoi ton problème ? C'est parce que tu as tellement envie de te faire une de tes camarades de chambre que tu me lançais des jolies insultes homophobes ? » Mes paroles étaient certainement pire que de lui rire au nez pour elle. J'avais envie de voir ce qui la poussait vraiment à vouloir m'en mettre une, ce qui l'énervait vraiment. « Allez, avoue le qu'au fond t'attends que ça de mettre ton nez entre les cuisses d'une de tes amies. » C'était tellement drôle de jouer avec ses nerfs, depuis longtemps j'aurais pu lui pointer mon arme sur la tempe et l'emmener au poste avec les menottes. C'était plus sympa d'attendre que j'en ai marre de jouer avec elle. « Tu peux me le dire, ma belle, je ne le dirais à personne. » Elle devait très bien se douter que je me fichais d'elle mais bon, on ne sait jamais, si elle me prenait vraiment au sérieux, ça ne ferait que mettre du piquant dans notre petite dispute.
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Je me débattais n'écoutant même pas ses conneries sortirent de sa bouche de vipère. Je n'aimais pas qu'on me résiste, qu'on me réponde. Le fait déjà qu'elle me frappe avait éveillé en moi une certaine rancune. J'ancrai mon regard noir dans le sien avec une mine de dégout et j'essayais de la pousser mais évidément, elle était flic. Les plaquages, le combat à main nu elle connaissait. Je me mordillais la lèvre infèrieure en hurlant limite de me lâcher.


« Enlève tes sales pattes de moi, dégage ! Mais dégage je te dis ! »


Elle ricanait fière de pouvoir me controler. Mais je n'avais certainement pas dis mon dernier mot. J'arrêta quelques secondes en reprenant mon souffle et d'un geste précause je frappais ma tête contre la sienne sans pitié. Elle renversa la tête en arrière en m'insultant. Je ricanais à mon tour et me redressa tant bien que de mal. Mais quoique je fasse, elle avait de l'avance.

Mais je n'allais pas me battre sans courage. Car le vrai courage c'est savoir que tu pars battu d'avance, et malgrè cela, agir quand même et tenir jusqu'au bout. Ma tête me tournait attrocement, j'avais l'impression que j'allais tomber à tout moment. Je n'eus le temps de répliquer que je tombai sur le sol comme une feuille morte les yeux fermés. J'entendais les voix dans ma tête bizarremement et j'avais mal à la tête.
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Après m'avoir envoyer un franc coup de tête, la jolie russe tomba à terre. Elle semblait totalement sonnée, plus vraiment maitre d'elle-même. Elle ne pouvait plus se défendre, c'était normalement le véritable bon moment pour l'achever. Mais alors que je me penchais au dessus d'elle, mes saletés de principes reprirent le dessus. Frappée une fille au sol ça n'avait rien de gratifiant pour une flic. J'avoue en pas toujours faire des choses gratifiantes pour quelqu'un portant ce genre d'insigne mais là ce n'était vraiment pas une chose que je pouvais faire. M'installant à semi-califourchon au dessus d'elle je la fis se retourner face contre terre. Rejoignant ses mains dans son dos, je lui passais les menottes. « Alors comme ça ma belle, on a perdu son avantage. On est totalement désemparée, sonnée, on ne peut plus bouger .. » lui susurrais-je à l'oreille. Je me suis mise de coté, l'aidant alors à se relever, la tirant par les menottes. Je l'appuya alors contre le bar, histoire de ne pas risquer qu'elle tombe à terre à nouveau, toujours dos à moi. « Tu vois ce que ça fait de vouloir jouer aux grandes ? Ça fini mal .. Tu es totalement assommée, tu tiens à peine debout, tu as les menottes aux poignets. Je t'avais dit que j'aurais toujours le dessus. » ajoutais-je. « Vas-y, essaie de me convaincre de ne pas t'emmener au poste, essaie de me convaincre de ne pas salir grandement ton casier judiciaire. Porte plainte si tu veux, je gagnerais encore. Petite conne .. » finissais-je avec une pointe de rire dans la voix. Elle s'était attaquée à beaucoup plus gros qu'elle, et je crois qu'elle n'avait pas vraiment calculer comment ça allait finir.
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Ses paroles résonnaient dans mon oreille alors que je tentais veinement de ne pas retomber, inconsciente. Je me battais intèrieurement pour ne pas que mes paupières se ferment mais la tention était bien trop puissante.. Cependant ses paroles me restaient en travers de la gorge.« Alors comme ça ma belle, on a perdu son avantage. On est totalement désemparée, sonnée, on ne peut plus bouger .. » alors avec d'une voix aussi faible et misérable, je cracha amèrement.

« Va te faire foutre..»

Même si j'avais perdu la partie, j'étais encore bien trop fière et je ne m'excuserais pas. Elle demandait à ce que je me justifie, je ne dirais rien, je resterais stoique. Elle me poussa contre le comptoir ce qui eut le don de me sortir de ma torpeur, légèrement secoué. Mon regard se posa sur le barman qui grimaçait légèrement. Je ne l'écoutais plus, qu'elle m'arrête mais elle entendra parler de moi. Déjà sentir ses sales pattes sur moi me révulsait alors je me débattais avec le peu de force qu'il me restait.
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Elle essaye de se débattre tant bien que mal, m'envoyant me faire foutre, mais rien n'y faisait. Son petit air suffisant commençait à m'insupporter ardemment. Merde quoi, j'en avais marre de son ton prétentieux et de son air supérieur. Je l'ai violemment retournée face à moi, maintenant toujours une pression sur elle pour la garder collée entre le comptoir et moi-même. Je m'approchais le plus près possible de son visage, nos lèvres s'effleurant presque. Je savais que ce genre d'attitude était typiquement ce qui la ferais s'énerver encore plus. Je passa une main dans ses cheveux finissant par frôler légèrement son visage. « On peut lire au fond de tes yeux que tu t'inquiètes, que tu as peur de ce qu'il peut arriver, alors vas y, dis le .. » Quitte à me prendre un coup de tête, de pied ou je ne sais quoi d'autre, je me lança quand même. Je l'embrassa alors sans réelle délicatesse, si la jeune russe le pouvait je crois qu'elle me tuerait sur place. Elle ne s'attendait certainement pas à mon geste. Passant ma main derrière elle je vins finalement défaire ses menottes, lui donnant pas l'occasion un coup dans l'épaule pour la secouer un peu. Ça avait été trop facile, je lui laissais une chance de prendre sa revanche, si encore elle tenait debout. Je n'avais pas envie d'être obligée de l'emmener à l'hôpital ..
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Elle m'avait fait sacrément mal, ça faisait bien longtemps que je n'avais pas connue une douleur aussi profonde et étrangement, ça m'avait fait du bien. La taper, me défouler sur elle, mais face à un flic qui connait son métier je n'étais pas évidément de taille. J'aurais pu passer au dessus, attendre quelques années avant que ma haine se dissipe pour elle mais elle venait de le faire. Ce geste qui me répugner le plus. Déjà qu'un homme c'était limite s'il me touchait alors une femme, les chances étaient casi-impossible.. jusqu'à ce soir. Bien que j'étais sonné, je restais figé en sentant ses lèvres effleurer les miennes, sa voix résonnait dans ma tête comme une sonnerie stridente :« On peut lire au fond de tes yeux que tu t'inquiètes, que tu as peur de ce qu'il peut arriver, alors vas y, dis le .. », mais le pire moment ce sont ses lèvres contre les miennes. Bien que j'étais attaché, je n'allais pas me laisser faire. D'un geste de rage, je lui mordais la lèvre si violement que je sentais son sang contre mes lèvres. Je plongeais mon regard de haine et de dégout dans le sien.


« SALE GOUINASSE DE MERDE ME TOUCHE PAS, TU VAS LE PAYER. »


A ces mots, je lui crachais fièrement dans la figure sans m'arrêter, en continuant sans cesse. J'aurais pu lui lever la main dessus mais je ne sentais plus mes poignets, je voyais seulement les traces qu'elle m'avait faite.
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Cette saleté de gamine m'avait violemment mordu la lèvre au cours de ce court baiser. Passant ma langue sur mes lèvres, je pus sentir le goût amer de mon sang. M'essuyant alors du revers de la main la bouche je ne la lâchait pas des yeux. Cette saloperie me mettait hors de moi, mes poils se hérissaient tant elle affichait fièrement cet air hautain sur son visage. Mais elle ne cessait de poursuivre dans la provocation, s'enfonçant de plus en plus, ne présageant vraiment rien de bon. « Sale gouinasse de merde me touche pas, tu vas le payer. » Je m'attendais à ce qu'elle me frappe mais non, elle préféra me cracher au visage, encore et encore. Et il n'en fallait pas beaucoup plus pour faire disparaitre l'once de pitié et de valeurs qu'il me restait. Elle était peut-être faible, mais ce n'était qu'une petite merde présomptueuse qui ne méritait rien d'autre qu'être remise en place. D'un geste je craquai mes doigts de la main droite et allai alors lui asséner brutalement mon point directement dans la face. Elle pouvait saigner, avoir quelque chose de casser, cracher une ou plusieurs dents, perdre connaissance, ou je ne sais quoi d'autre, je n'en avais plus rien à faire. « Ferme la petite conne ! Encore une seule réflexion plus haute qu'une autre, et je te jure que c'en est fini pour toi. Essaye encore une fois de me cracher dessus ou de me frapper et je ne retiendrais plus aucun de mes coups. » Elle ne pouvais plus abandonner, on ne pars pas quand le combat devient décisif. Et puis je commençais à avoir un peu cerné le personnage, je doute que ce soit son genre d'abdiquer.
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