Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCHARLIE & EMRYS ♣ J'sais pas ce que t'm'fais bébé, mais t'me fais d'l'effet (a)
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CHARLIE & EMRYS ♣ J'sais pas ce que t'm'fais bébé, mais t'me fais d'l'effet (a)

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J'aimais parfois venir ici, me ressourcer, penser à rien profiter d'un espace grandiose pour moi seul sans un soucis de quoi que ce soit, pour un instant, juste un instant. Je venais aujourd'hui non pour une solitude mais plutôt pour une retrouvaille, une explication, un partage avec ma belle rousse. Je n'avais pas encore d'amour mais un truc en plus me submergeait à chaque instant entre nous et j'avais pas la modestie de dire que je n'avais rien ressenti de son coté bien au contraire, je croyais voir que c'était plutôt le meme sentiment. Je grimpais jusqu'à la scène m'asseyant admirant alors les allées majestueuses en cherchant qu'une chose la silhouette de l'artiste arriver vers moi.
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Elle entendit la porte du Sanders s'ouvrir, quelqu'un entrer. Charlie était déjà là, en coulisses. Il avait suffi qu'elle prétexte devoir répéter pour qu'on lui laisse le champ libre. C'était l'endroit où elle se sentait le mieux sur le campus. Mais aujourd'hui, chose rare, elle était tendue. Observant Emrys quelques secondes, elle finit par s'avancer. Elle n'aimait pas la conversation qui les attendait, mais mieux valait parler clairement. « Emrys. » s'annonça-t-elle en venant s'asseoir à ses côtés. « Ça va ? » La plus vieille manière au monde pour commencer une conversation.
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Je restais assis là, imaginant que sa silhouette apparaitrait devant mes yeux pour embelir encore ce théâtre. Je ne savais pas ce que je lui dirais, je ne savais pas ce que je pensais moi-meme mais je voulais la voir pourtant ce fut derrière moi qu'une personne arriva et je tournais rapidement mon regard la trouvant là. Elle prononça mon nom me faisant alors sourire avant de me demander comment j'allais. Là, je lui répondais : Oui ça va très bien et toi ? Ok j'étais totalement intimidé en imaginant la suite dans la conversation donc rien d'autres ne put sortir de ma bouche.
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Elle ne put qu'hocher minablement la tête. Dans ce lieu de la comédie, où en temps ordinaires elle excellait, Charlie était complètement paralysée. C'était ridicule. Mais il faut aussi comprendre : elle n'avait pas eu ce genre de conversation depuis... Ses 16 ans. Presque dix ans maintenant. S'entortillant les doigts, la rousse finit par se lever et esquisser quelques pas dans la fosse avant de se tourner vers Emrys. Elle revint vers lui, s'assit de l'autre côté, une jambe pendant dans le vide, l'autre ramenée vers elle. Ses yeux fixes dans les siens, ayant décidé d'être un peu courageuse. « Qu'est-ce que tu as voulu me dire que je n'ai pas compris ? » Ils s'étaient un peu expliqués, et elle avait un peu compris. Mais autant reprendre la discussion au cœur de sa problématique.
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Elle hochait que simplement de la tete, ne répondant pas, apparemment réellement intimidée. Je la vis se lever, se balader tandis que je passais mon temps à soupirer de tant d'incapacité à discuter de ce qu'on devait discuter depuis déjà le retour de Hawai facilement ou le milieu du voyage au Kenya, je sais plus. Elle vint enfin se rassoir et je cherchais mon courage. Je voyais sa chambre bouger dans le vide tandis que l'autre était dans ses bras, contre elle. Je la regardais si jolie sans savoir que dire alors qu'elle me demandait signification de mon message. Je toussais comme pour me gratter le gorge et trouver une contenance. Je crois ... que ... enfin ... tu vois je voulais te dire que je ... J'arrivais tout simplement pas, moi, le mec si sur, le mec si fier.
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La bonne nouvelle, c'était qu'Emrys était aussi terrorisé qu'elle. Enfin, ça, c'était une bonne nouvelle pour son égo. Pour les faits, pas vraiment. Sa réponse ne les avançait pas plus que leurs sms et la comédienne ne savait comment réagir. Et elle détestait ne pas savoir comment réagir. D'ordinaire, elle avait toujours un recours à tout, même si c'était parfois exagéré ou décalé. Mais là, là ! Même sa folie habituelle semblait en veille, atrophiée soudainement. Alors elle se frappa mentalement et elle fixa Emrys, le détaillant tout en réfléchissant. Après tout, ce n'était pas si compliqué et ce ne devait pas être si difficiles. Il ne s'agissait que de relations. Pourquoi avoir peur ? Non, elle refusait de se laisser maîtriser par un quelconque sentiment négatif. Elle n'avait pas peur, elle allait parler, elle. « Tu voulais dire qu'on s'aime bien, qu'on s'aime vraiment bien, tous les deux. » dit-elle alors en plantant son regard dans le sien, fermement décidée à entrer dans le vif du sujet. Elle s'était incluse. Parce qu'elle ne pouvait pas nier qu'avec tout le temps qu'elle avait passé avec Emrys ces derniers temps elle… Avait commencé à le voir un peu différemment. Mais dans quelle mesure, elle ne savait pas vraiment, ce n'était pas clair. Elle aurait laissé les choses se préciser sans y penser si le Winthrop n'avait pas abordé le sujet, alors c'était à lui de clarifier sa pensée. « Comment ? À quel point ? » L'Irlandaise avait fini par être directe. Peut-être que sa propre franchise aiderait Emrys à prendre de l'assurance… Ou bien le confonderait encore plus. C'était un risque à double tranchants.
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Je me sentais comme un petit garçon totalement perdu et pommé, incapable de savoir quoi dire ou ne serait-ce qu'un mot. Je souriais pourtant à la belle car elle ne pouvait que m'attirer un sourire sur mes lèvres rien qu'à sa vue. Soudain, je sentais que je devais me resaisir et prenant une forte respiration, je baissais le regard comme pour me concentrer. Là , elle m'étonna, prenant son courage à elle bien à deux mains pour demander si ouais, je disais qu'on s'aiment vraiment bien et je souriais à ses dires, c'était marrant. On sentait ses manques de connaissances, sa gentillesse, ce coté qui me plaisait en réalité à fond. Elle voyait que cette fois c'était moi qui me sentait trop troublé si bien qu'elle me cherchait en poursuivant : « Comment ? À quel point ? » Je ne savais comment le dire et j'avais si peur d'un râteau légendaire que je ne savais guère quoi dire, comment le dire. Je cherchais pourtant dans l’inquiétude que mon esprit pouvait ressentir en apprenant cela. Je crois que j'ai trouvé plus entre nous, des deux cotés mais ça se trouve me suis complètement gouré pour toi ... Avais-je en soupirant montrant une certaine déception car je pensais cela déjà réglé, qu'elle avait pas envie de se trouver avec moi, qu'elle n'en avait rien à foutre de moi et que elle, elle ressentait pas ce petit truc en plus que moi je sentais mais que je ne savais identifié. Je savais que là encore ce n'était pas clair mais je trouvais pas le courage alors je cherchais, je respirais fortement et je balançais, les yeux brillants : ok ... tu me plais charlie ! Là, je me tournais vers elle et prenant son visage entre mes mains par surprise, je déposais un baiser sur ses lèvres, un baiser simple et chaste.
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Emrys aussi semblait se ressaisir petit à petit. Sa première phrase était encore empreinte d'hésitation, mais vu ce qu'il essayait de lui dire après tout, cela se comprenait. Et puis la franchise le gagna, au point qu'elle sentit furtivement ses lèvres sur les siennes. Charlie resta quelque peu interdite. Elle s'attendait à ce qu'il lui dise quelque chose dans ce genre. Mais l'entendre et recevoir un baiser, c'était différent. Néanmoins, la surprise passée, un sourire malicieux se dessina dans le coin de son visage et ses yeux pétillants examinaient le Winthrop. Oui. Elle l'admettait. Il lui plaisait aussi. Mais la force qui l'avait gagnée pour pousser l'écrivain à parler semblait lui faire faux bond, elle était incapable de le formuler. Aussi décida-t-elle de s'en remettre à un autre mode de communication. Son espièglerie coutumière se glissant dans son regard et sa voix, l'Irlandaise fixa de nouveau Emrys. « Réembrasse-moi. » N'attendant pas qu'il se plie à la fermeté de sa voix, elle posa elle-même ses lèvres sur les siennes. Moins chastement que ne l'avait fait le Winthrop. Elle était vierge mais pas vertueuse. Ce fut elle cependant qui coupa court. Emrys lui plaisait. À présent, le jeune homme devait l'avoir compris. Pour autant, elle ne se sentait pas prête à « sortir avec lui ». C'était un entre-deux assez confus , qui compliquait un peu les rapports peut-être. Mais elle se devait d'être honnête, non ? « Je ne t'aime pas. » Elle avait énoncé cela sans brutalité mais elle se rendit compte que cela pouvait franchement porter à confusion, aussi s'empressa-t-elle de préciser : « Je veux dire... Tu m'attires. Mais je ne suis pas amoureuse de toi. Pas encore. Et je ne me vois pas en couple avec quelqu'un qui me plaît simplement. » Peut-être qu'elle était vieux jeu, que maintenant les gens sortaient ensemble dès qu’ils s’attiraient, qu’elle allait passer pour une vieille fille fleur bleue et idiote. Mais elle ne se voyait pas s’afficher en couple avec Emrys dans tout Harvard là, maintenant. Elle avait juste… Besoin de voir si cette attirance était fondée ou si c’était juste que ses qualités de Winthrop étaient justifiées et qu’elle y était sensible. Consciente que ses actes et discours étaient totalement décousus, elle se tut pour laisser Emrys se rendre compte de la situation. Quelle qu’elle puisse être. Charlie n’y voyait pas vraiment clair.
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Et là, ça devenait soudain plus qu'iréel comme si je partais autrepart parce que c'était vachement agréable d'embrasser cette fille que je savais si chaste et non, cochonne comme ces connasses qu'on rencontre chaque jour. Je ne dis pas qu'elles sont toutes des connasses mais vous aurez compris. Je me délectais de se baiser mais rapidement, je rompais la chose et elle me demandais de l'embrasser de nouveau : cela était bon ? Je ne sais pas. Je voulus prendre les devants mais déjà, ses lèvres se posaient sur les miennes et repartaient de plus belles. Je fronçais les sourcils pleins de questionnement. Je ne voulais pas qu'on soit ensemble, juste que je sache si je devais me laisser continuer à m'attacher plus que de l'amitié ou si je devais clairement stopper la chaine. J'attendais une réponse, un indice, je ne sais pas. Mais là, elle me surprit en me balançant un truc bien brute dans la gueule. Elle ne m'aimait pas. Ça avait le mérité d'etre claire... le truc c'est que si elle parlait d'amour uniquement, j'étais d’accord avec le truc mais si elle parlait de tout, bah là en gros, je m'étais pris le râteau du siècle et je m'étonnais d'ailleurs d'autant de force dans un petit bout de chou comme ça. j'ouvrais les yeux grands d'ailleurs et je me sentais le souffle coupé, impossible de répondre. Elle reprit avec plus d'explications : « Je veux dire... Tu m'attires. Mais je ne suis pas amoureuse de toi. Pas encore. Et je ne me vois pas en couple avec quelqu'un qui me plaît simplement. » Je rigolais de libération parce que j'avais eu peur, peur de m'etre fait des idées, d'avoir perdu mon radar à désir surement, je ne sais pas puis elle m'avait choqué. Cette fois, je me sentais mieux et je voulais aussi m'expliquer. Heureusement, elle se tut comme pour me laisser champs libre. Je pris ses mains dans les miennes en la regardant ; Ais-je demandé que tu sortes avec moi ? Dis-je malicieusement. Non, je n'ai rien demandé car là, n'était pas forcément le but ... je voulais juste être clair ... savoir si en gris vallait mieux que je zappe mes pensées ou si au moins, tu avais vu toi aussi ces choses là ... contrairement à ce qu'on pense Charlie ... Je souriais à mon amie, à mon attirée, je crois pouvoir dire et je serrais plus fort ces mains montrant ainsi ma sincérité et les choses éprouvées.
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L'expression choquée qu'Emrys avait eue quand Charlie avait tout à coup dit qu'elle ne l'aimait pas avait fait comprendre à la jeune femme qu'il valait mieux qu'elle réfléchisse un minimum et s'explique avant de parler. Elle craignait que l'écrivain ne soit resté bloqué sur cette phrase sans entendre la suite mais un rire s'échappa de ses lèvres quand la musicienne éclaircit ses pensées et elle se sentit soulagée que le malentendu soit passé. Soulagée aussi quand il lui dit qu'il ne lui avait jamais demandé de sortir avec lui. Oui, c'était vrai, elle avait extrapolé ses propos sans même s'en rendre compte. Elle lui sourit chaleureusement et serra ses mains, espérant chasser définitivement par ces gestes l'effet négatif de ses paroles maladroites. « Désolée, j'ai tendance à... Tout exagérer. » dit-elle en se pinçant les lèvres et baissant le regard, un peu gênée et de sa maladresse et de son imagination excessive. « Tout est clair alors. » dit-elle, le visage plus serein. Elle avait eu peur de le blesser mais puisqu'ils partageaient le même avis sur la chose, elle se sentait libérée d'un poids. « Et... Contrairement à ce qu'on pense... ? » Elle ne savait pas s'il n'avait pas terminé sa phrase ou si elle n'avait pas fait toutes les connexions grammaticales dans ses paroles mais quoiqu'il en soit, elle ne saisissait pas ce qu'il avait voulu dire.
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