Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[Prue & Drew] What a beautiful night - Page 2
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[Prue & Drew] What a beautiful night

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••• WHAT A BEAUTIFUL NIGHT, ISN’T IT ? •••



Small Village in KENYA
Prudence & Andrew






Drew avait eu un sourire amusé lorsque la jeune femme lui avait murmuré qu’il lui fallait se faire pardonner et aussitôt cela dit, elle s’était mise sur ses jolies jambes. Et ni une ni deux, elle avait disparu de son champ de vision. Rentrant dans son jeu, le jeune homme s’était légèrement étiré avant de se mettre à la poursuite de sa compagne… Il n’avait guère mis du temps pour la retrouver, étant assez rapide en course à pied – merci aux petits footings matinaux – et dès qu’il avait été à sa hauteur, il l’avait prise dans ses bras afin de la transporter jusqu’à un arbre où il l’avait plaqué délicatement avant de l’embrasser avec une fougue hors du commun avant de lui demander s’il était tout pardonné. Il avait rajouté qu’il la trouvait à croquer dans sa robe et en rajoutant le petit qualificatif de « ma chérie ». Il ne l’utilisait jamais d’ordinaire sauf lorsqu’il jouait avec sa partenaire… Très souvent, il employait ce petit surnom lorsqu’il s’apprêtait à faire l’amour avec une fille mais aujourd’hui, dans l’obscurité africaine, ce surnom avait un tout autre sens. Elle lui dit qu’elle était flattée si elle était sa chérie maintenant puis elle partit dans un rire qui lui donna des sensations jusqu’à présent inconnues mais qu’il commençait à connaître avec Prue… Etait-elle réellement ce qu’on pourrait appeler « une chérie » ? Il lui sourit tout en réfléchissant à sa petite question existentielle. La réponse était évidente et elle se trouvait devant ses yeux : il ne voulait pas la perdre et sa présence à ses côtés lui était devenu indispensable. Et ne serait-il pas temps à ce qu’il se lance dans cette nouvelle entreprise ? Etait-il prêt à perdre son indépendance au profit d’une relation avec la jeune femme qui se trouvait actuellement dans ses bras ? Il se pencha pour l’embrasser passionnément avant de la regarder droit dans les yeux afin de lui dire d’une voix légèrement rauque : « Oui tu es ma chérie… Si tu veux de moi… Prue, j’aimerais qu’on tente notre chance… Aimerais-tu être officiellement ma petite amie ? »
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Alors que la brise nocturne faisait virevolter quelques mèches de mes cheveux, mon souffle se coupait. L’atmosphère était chargée d’une étrange électricité, tandis que ma question continuait de flotter entre nous. Mes yeux se perdaient dans l’océan des siens, tentant de desceller ce qu’il ressentait. Les choses étaient soudainement devenues sérieuses. C’était inexplicable et à la fois, naturelle comme si cela devait arriver. S’emparant de mes lèvres. Son baiser était différent et emplis d’un sentiment nouveau. Fermant les yeux, je savourais chaque seconde. Au fond de moi, je savais que c’était le commencement de quelque chose. Reprenant notre souffle, il profitait de cette pause pour me dire enfin ce qu’il voulait : « Oui tu es ma chérie… Si tu veux de moi… Prue, j’aimerais qu’on tente notre chance… Aimerais-tu être officiellement ma petite amie ? » Cessant de respirer, je l’observais avec de grands yeux. Etais-je prête à me redonner à un homme ? Réussirais-je à ne pas fauté cette fois-ci ? Au plus profond de mon être, je ne désirais qu’une chose : lui. Cela avait commencé avec notre rencontre, mais cette nuit dans sa voiture, m’avait fait prendre conscience, que je ne pourrais plus jamais m’éloigner de lui. J’avais besoin de le sentir près de moi. Si donner ma liberté était le prix à payer pour être avec lui, j’étais prête à accepter. Cela serait sans doute difficile au début. Je n’avais jamais été réellement exclusive. Même en me fiançant, je ne m’étais pas sentie privé de liberté. Mon esprit vagabondait toujours, mais cette fois-ci, je voulais que tout ce passe bien. Il était tout ce que je voulais et il me connaissait mieux que personne. Je voulais qu’il soit mien comme je serais sienne. Le monde cessait de tourner et en un seul murmure, je réussissais à dire les mots qui me faisaient tellement peur. « Oui…Je crois que je suis prête.. » 
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Des longues secondes passaient alors qu’il venait finalement de lui avouer ce qu’il souhaitait pour eux deux. En effet, alors qu’ils étaient bien calés contre l’arbre ils s’étaient embrassés avec une ardeur nouvelle comme chacun d’eux souhaitait mettre dans leurs baisers échangés tous les sentiments qu’ils ressentaient à l’heure actuelle. Puis profitant de la fin du baiser pour reprendre leur souffle, le jeune homme l’avait fixée intensément avant de pouvoir sortir les mots qu’ils souhaitaient dire, non sans une certaine crainte dans la voix même si elle était très bien dissimulée. Il craignait qu’elle ne s’effarouche lorsqu’elle comprendrait qu’il était très sérieux lorsqu’il lui demandait de leur donner une chance pour qu’ils puissent finalement devenir un couple. Les secondes qui passaient le temps qu’elle retrouve l’usage de la parole parurent comme étant une éternité pour le jeune anglais, néanmoins ils gardaient ses yeux bleus azurs fixés sur les siens d’un vert qui brillait tant dans la nuitée africaine. Se perdant dans le vert si pur des prunelles de sa belle Dunster, il laissa ses pensées vagabonder au loin essayant de savoir ce que l’avenir leur réservait à tous les deux : parviendraient-ils à être un vrai couple comme tout le monde ? Il l’espérait beaucoup même cela serait très dur au début étant donné le fait qu’ils étaient tous deux totalement des phobiques des relations sentimentales… C’étaient des électrons libres mais aujourd’hui, Drew avait décidé de changer les règles du jeu en lui demandant officiellement de devenir sa petite amie… Il revint dans le monde réel juste à temps pour qu’il puisse entendre sa réponse… Qui était positive ! Elle était prête ?! Il n’en revenait pas mais il en était très heureux et pour le montrer, il l’embrassa fougueusement et entre deux baisers, il lui murmura : « Tout se passera bien, je te le promets… ». Plongeant son regard dans le sien, il se tut quelques secondes pour apprécier sa beauté et se dire qu’elle venait d’accepter d’être sienne. Il ferait tout pour qu’elle soit heureuse, il avait trop peur de la perdre… Elle avait toujours été la personne qu’il voulait en réalité et même si elle était bien plus âgée – deux ans c’était rien du tout en fin de compte – il avait toujours été attiré par elle et secrètement, il avait toujours voulu être son petit ami ; aujourd’hui c’était donc chose faite et il ne gâcherait pas cette chance qu’il avait. Il lui sourit d’un air radieux avant de lui demander : « Veux-tu venir au bal de fin d’année avec moi ? »
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Je venais d’accepter d’être sienne. A présent, je ne pourrais plus agir librement sans avoir des conséquences en retour. Encore chamboulé par ma propre réponse, je n’opposais aucune résistance lorsque ses lèvres prenaient possession des miennes. « Tout se passera bien, je te le promets… » Les battements de mon cœur s’accélérait, alors qu’il me promettait une chose que je savais impossible à tenir. Il ne voulait pas me faire de mal et je le croyais, mais on ne pouvait pas promettre à long terme. Posant ma main sur son torse, je l’empêchais de venir m’embrasser une nouvelle fois. « Ne promet pas… » Je relevais mon regard vers lui. Il était majestueux et son regard me laissait sans voix. Il était difficile de s’imaginer qu’avant tout cela, nous avions eu une relation purement amicale et sexuel. Pourtant, aujourd’hui, tout était différent entre lui et moi. Nous étions plus proches que jamais et quelque part par-là, c’était difficile à accepter sans se poser des questions. Est-ce que nous serons à la hauteur ? « Veux-tu venir au bal de fin d’année avec moi ? » Un sourire lumineux apparaissait sur son visage. Un sourire à en perdre le souffle. Il venait vraiment de me demander de rendre publique notre relation ? Posant ma main sur son visage, je caressais sa joue du bout du pouce. « Oui » Me rapprochant de lui, je l’embrassais tendrement sur les lèvres, m’imprégnant de se souvenir. « On peut dormir ensemble sans se cacher maintenant ? » disais-je malicieusement.
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Il n’arrivait toujours pas à croire qu’elle avait réellement accepté d’être officiellement sa petite amie et je crois bien que le jeune homme allait mettre un peu de temps pour comprendre que c’était véridique. Qu’importe, il était heureux qu’elle l’ait fait et intérieurement, il jubilait et ce malgré le fait que son esprit était totalement chamboulé. D’ailleurs, je me demandais si notre héros avait réfléchi aux conséquences qui résulteraient de sa demande… Quoique s’il avait réellement osé lui demander de sortir avec lui, c’était parce qu’il était prêt à assumer les conséquences de ses actes. En réponse à son approbation, il l’avait de nouveau embrassée avec passion tandis qu’entre deux baisers, il venait à lui dire que tout allait bien se passer et il le promettait. Sa réaction par rapport à ce qu’il venait de lui promettre ne lui avait guère échappé parce qu’il comprenait ce qu’elle ressentait puisqu’il le ressentait aussi… Il était toujours très difficile de faire des promesses à long terme dans une relation parce qu’on ne savait jamais ce que l’avenir nous réservait ! Drew l’avait parfaitement compris et c’était l’une des raisons pour lesquelles il fuyait toujours les engagements jusqu’à ce jour. Parce que la fille qui se trouvait dans ses bras et plaquée contre cet arbre était spéciale et elle en valait la peine… Il s’était promis de tout faire pour que leur toute nouvelle relation se passe bien. Qu’importe avec un sourire radieux jusqu’aux oreilles, il lui avait demandée de l’accompagner au bal, ce qui voulait dire également qu’ils allaient officiellement rendre publique leur relation. Il attendait patiemment sa réponse tandis qu’elle venait poser sa main douce sur son visage – il frissonna à ce contact – et tout en lui caressant la joue avec son pouce, elle lui murmura un oui qui le fit sourire encore plus radieusement. Elle acceptait d’être sa cavalière et en plus, ils iraient en tant que couple officiel : c’était le jackpot ! D’ailleurs, même s’ils n’étaient pas encore ensemble comme maintenant, elle était la seule personne qu’il souhaitait avoir à ses côtés pour le bal. Elle venait l’embrasser subitement et avec tendresse… Il lui rendit son baiser avec la même ardeur et il ne put s’empêcher de rire légèrement lorsqu’elle lui demanda s’ils pouvaient dormir ensemble sans se cacher désormais… Toujours hilare et les yeux brillants de malice, ainsi que de désir, il l’embrassa de nouveau avant de répondre d’un ton amusé : « Hum oui on n’a plus besoin de se cacher maintenant ! Quoique je ne pense pas qu’on dormirait beaucoup… ». Il la regarda avec un sourire coquin, ses yeux azurs brillant des flammes de son désir pour elle… Il vint l’embrasser avec ardeur essayant de lui faire comprendre ce qu’il avait l’intention de lui faire là maintenant !

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Est-ce que c’était tout ce que nous avions à faire ? Est-ce que cela voulait-il vraiment dire que nous étions ensemble ? J’avais du mal à en prendre conscience. Cela c’était passé si rapidement. En quelques minutes, j’avais accepté d’être sienne et d’être sa cavalière. C’était beaucoup plus que je ne pouvais me le permettre. Jusqu’à maintenant, j’avais refusé toute demande de relation sérieuse. Depuis le mois d’aout, j’étais célibataire et j’avais voulu profité de ma liberté, me promettant de ne jamais me remettre en couple, avant plusieurs temps. Pourtant, je venais de briser cette promesse dans les bras d’Andrew, qui n’était nul autre qu’un ami d’enfance avec qui je couchais de temps en temps. C’était beaucoup d’élément à retenir. Avec un léger amusement, je lui demandais si ce soir nous pourrions dormir ensemble sans se cacher. Peut-être voulait-il que cela soit secret, du moins, jusqu’à ce que l’on s’habitue. « Hum oui on n’a plus besoin de se cacher maintenant ! Quoique je ne pense pas qu’on dormirait beaucoup… » Ses yeux reflétaient une lueur malicieuse et emplis d’un désir sombre. « Voyez-vous cela. » Je n’eus pas le temps d’en dire plus, car il venait de m’embrasser avec une certaine impatience. Je faisais courir une main sur son torse, avant d’empoigner le tissu qu’il portait. Resserrant mes jambes autours de lui, je l’attirais un peu plus à moi. Puis, entre deux baisers, je disais quelques mots, plongeant mes yeux dans les siens. « Tu sais que je ne suis pas silencieuse avec toi » Je savais être silencieuse, mais pas avec lui. C’était beaucoup trop intense pour que je me taise. Lorsque mon corps était à sa merci, il me faisait perdre totalement le contrôle.
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Il avait réussi même s’il n’arrivait pas encore à y croire… Il venait de demander à Prudence d’être sa petite amie parce que leur relation avait pris un chemin qu’ils ne pouvaient plus ignorer désormais et même s’il rêvait qu’elle lui dise oui, il ne s’attendait pas du tout à ce qu’elle réponde oui sans hésitation. Est-ce qu’elle aussi avait passé des nuits à rêver d’eux et à réfléchir sur ce qui pourrait être le mieux pour eux ? On dirait bien que oui parce que tout comme lui, elle était prête à laisser tomber sa liberté, sa vie de célibataire pour être avec lui… Il était si heureux ! Et d’ailleurs, dans la foulée, il lui avait demandé d’être sa cavalière au bal et encore une fois elle avait accepté sans hésitation. Après qu’elle lui ait répondu par l’affirmative, elle avait demandé s’ils pouvaient dormir ensemble cette nuit, ce à quoi Drew avait répondu avec un brin de malice qu’ils n’avaient plus besoin de se cacher désormais même s’ils ne dormiraient pas beaucoup. Elle avait commencé à répondre mais il l’avait faite taire en l’embrassant avec fougue essayant de lui prouver par ce baiser qu’il avait énormément envie d’elle…Elle s’était mise à promener sa main douce sur son torse puis d’un geste impatient, elle l’avait attiré à elle en empoignant son tee-shirt et en resserrant ses jambes autour de lui. Il approfondit leur baiser laissant librement sa langue rencontrer celle de Prue pour faire la danse de l’amour. Leur baiser s’était interrompu pour qu’ils puissent reprendre leur souffle et la jeune femme en avait profité pour lui dire qu’elle n’était pas silencieuse avec lui… Il lui sourit d’un air espiègle, les yeux brillants toujours de malice et d’un désir fou… Il se pencha pour l’embrasser dans le cou puis il lui souffla à l’oreille : « Hum… Moi je préfère quand tu n’es pas silencieuse ! ». Il lui sourit d’un air très coquin tandis qu’il laissait l’une de ses mains s’infiltrer sous la robe de sa petite amie. Il se mit à la caresser avec douceur tout en la regardant avec toujours les yeux brillants et un sourire énigmatique… Il descendait et remontait ses caresses s’attardant souvent au niveau de son ventre, puis il descendit finalement jusqu’à sa petite culotte mais il s’arrêta à la limite en souriant d’un air espiègle… Il l’embrassa passionnément tout en la caressant lentement sa peau à la limite de la petite culotte de sa petite amie.
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Son sourire déclenchait une délicieuse chaleur au niveau de mon intimité. Il venait embrasser mon cou. Fermant les yeux, je savourais se contact, lorsque ses lèvres me chuchotèrent quelques mots : « Hum… Moi je préfère quand tu n’es pas silencieuse ! » Sa main glissait en-dessous le tissu de ma robe, caressant ma peau sensuellement. Plusieurs frissons s’emparaient de mon corps, alors qu’il laissait sa main en suspens en bas de mon ventre. Mon dieu, il était en train de me torturer. « Ça t’amuse ? » Ma voix se perdait dans l’obscurité nocturne. Décidé à prendre ma revanche, je faisais glisser une de mes mains, le long de torse pour arriver à la lisière de son pantalon. Il voulait jouer ? Très bien. Je pouvais en faire de même et être beaucoup plus rapide. Je le regardais innocemment en battant des cils comme une pauvre petite idiote. « J’aime bien te toucher ici » J’avais encore du mal à réaliser que nous formions un couple, du moins, que nous allions apparaitre comme telle. Au cours de ses derniers jours, j’avais eu la sensation de lui appartenir. Sauf une nuit. Une nuit ou je m’étais abandonné dans les bras d’un autre juste pour me convaincre que notre relation n’était que purement sexuelle, mais je m’étais trompé. Andrew était plus qu’un simple ami. Ce que je ressentais pour lui avait pris énormément d’ampleur. Il était le seul homme à m’avoir fait ressentir cet étrange sentiment. Même James ne m’avait pas fait ressentir autant d’émotion. Il me ressemblait énormément, mais Andrew représentait plus à mes yeux. Si James apprenait notre relation –bien qu’il soit reparti à Yale-, je savais qu’il allait me le faire payer. Le pire, serait qu’il dise à mon père, la vraie raison de notre rupture.
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Il n’arrivait toujours pas à croire sa chance actuellement parce qu’il était officiellement le petit ami de la jolie brune qui se trouvait dans ses bras et qu’il ne cessait d’embrasser alors qu’ils étaient contre un arbre depuis quelques minutes. Et au fut à mesure que le temps avançait, son désir pour elle venait à augmenter… Jamais il ne cesserait de la désirer, elle était si belle qu’il ne pourrait s’en lasser. Elle était tout ce qu’il avait toujours rêvé chez une fille d’ailleurs et maintenant elle était sienne ! Il allait vraiment tout faire pour que leur relation fonctionne au mieux, même s’il savait que ça serait très difficile au départ puisqu’ils étaient tous deux des anciens phobiques des relations sentimentales… La dernière relation de Drew s’était soldée par un échec des plus cuisants même si aujourd’hui, entre son ex et lui, leur relation s’était un peu détendue depuis qu’ils s’étaient parlés le soir de la vente aux enchères des Cabots ! Il ne fallait pas qu’il se mette à penser à Jasmine maintenant… Il était bien trop occupé à faire mumuse avec Prue ; il venait de passer l’une de ses mains par-dessous sa petite robe afin de pouvoir la caresser tout doucement. Il la sentait frissonner alors qu’il venait de descendre sa main jusqu’à la lisière de sa petite culotte. Il la caressait tout doucement à cet endroit mais sans aller plus loin… Elle lui demandait si ça l’amusait… Il n’avait guère répondu mais son sourire malicieux était très éloquent tout de même. Il ne cessa de sourire qu’elle venait prendre sa revanche en faisant la même chose que lui… Et alors qu’elle le caressait à la lisière de son pantalon, elle lui murmurait qu’elle aimait le toucher ici. Il s’approcha doucement d’elle afin de lui souffler à l’oreille : « Moi aussi j’aime quand tu me touches à cet endroit… ». Il l’embrassa dans le cou avant de léchouiller derrière son oreille puis il revint face à elle la fixant droit dans les yeux alors que sa main baladeuse vint se faufiler dans sa petite culotte mais il se mit à caresser le haut de son intimité avec un doigt, le laissant doucement se promener sur sa peau lisse… Il l’embrassa longuement, passionnément tout en la caressant de cette façon… « Ta peau est si douce… On dirait de la porcelaine ! »[/color]
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« Moi aussi j’aime quand tu me touches à cet endroit… » Je me mordillais la lèvre, soupirant d’aise, alors qu’il me touchait avec ses lèvres. La main qui se trouvait sous ma robe, continuait son chemin, glissant vers mon intimité avec lenteur presque dévorante. D’un doigt, il caressait à l’endroit le plus réceptif. Haletante, je m’accrochais davantage à lui, grâce à une de mes mains qui étaient placés sur son épaule. Sa main continuait ses caresses, remontant vers ma peau. Ses lèvres se scellèrent au mienne dans un long baiser. « Ta peau est si douce… On dirait de la porcelaine ! » Il était si attendrissant dans ses mots. Aucun homme ne réussissait à mélanger compliment et sexe en une seule fois. Du moins, pas avec moi. Le clair de lune, venait illuminer mon sourire, renforçant le pétillement de mes pupilles. Je venais embrasser ses lèvres, caressant sa langue avec la mienne dans un mouvement chaste et doux. Cette nuit, semblait être irréelle. Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressentie autant de bonheur. Ce n’était pas une joie abrupte, mais une joie douce et chaleureuse qui vous soulevait le corps. Ma main à la lisière de son pantalon, remontait sur son ventre, caressant ses abdos. Enserrant un peu plus mes jambes autours de lui, je relevais son haut de mes deux mains cette fois-ci. Derrière lui, la lumière lunaire, accompagné la silhouette de son corps, renforçant la beauté de son être. « Tu es tellement beau Andrew… » Mon murmure était presque inaudible, alors que je me perdais dans l’océan de ses yeux.
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