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Jackie & Aidan ☼ Then you go and cut me down

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Il comprenait ce que Jackie lui exposait parce qu'il ressentait tout simplement la même chose. Il lui était difficile voir pénible de rester dans la même pièce qu'elle sans la toucher, la câliner, mais elle s'était éloignée, troublée par l'union de leurs parents et il fallait accepter ça. « On ne peut pas fuir, ce sont nos parents et quoi qu'on fasse, ils débarqueront toujours dans notre vie, d'une façon ou d'une autre. » Sans parler de la dépendance financière concernant leurs études, mais ça, Aidan était prêt à s'en affranchir si il en était question. Le problème semblait surtout résider dans le fait que le lien qui les unissait était bien trop puissant pour qu'ils osent l'assumer pleinement. « Du temps, du temps, tu crois qu'ils ont quelque chose à foutre eux ? Maintenant ou dans dix ans, ce sera pareil pour eux, sauf si on espère qu'ils divorcent. » Sa voix était froide, assurée, Aidan était une personne agréable mais il était capable de beaucoup de froideur lorsqu'il était tourmenté, et l'attitude de Jackie ne faisait que nourrir son trouble. Il s'approcha de la Cabot impulsivement, saisit sa taille et l'attira à lui, ne lui laissant pas le temps de réfléchir, il posa ses lèvres sur les siennes et lui donna un baiser passionné. Il relâcha ensuite son étreinte. « Dis-moi que tu ne ressens rien et j'abandonne. » dit-il catégorique. Aidan la poussait à bout et ce sciemment, mais il ne pouvait pas se torturer plus longtemps.
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La réalité était bien triste. Ma vie était devenue un sacré bordel, loin de la petite vie paisible et tranquille que j’avais encore il y a quelques mois. « On ne peut pas fuir, ce sont nos parents et quoi qu’on fasse, ils débarqueront toujours dans notre vie, d’une façon ou d’une autre » Je me mis à soupirer, il avait raison. J’avais beau ne pas apprécier ma mère, elle restait celle qui m’avait donné naissance, celle que j’avais vue pour la première fois. Je finis par dire : « Je sais, je sais Norrington » dis-je en évitant de croiser son regard. « Du temps, du temps, tu crois qu’ils ont quelque chose à foutre eux . Maintenant ou dans dix ans, ce sera pareil pour eux, sauf si on espère qu’ils divorcent. » divorcer pouvait-être la solution. Ma mère attendait beaucoup des hommes, elle pouvait même paraître impitoyable. Mon père en avait fait les frais alors que j’étais dans mes pensées. Cette proximité me tira de mes pensées. Il me prit la taille et m’attira contre lui. Surprise. Ses lèvres se déposèrent sur les miennes. Reculer . Partir en courant . Je ne pouvais tout simplement pas. Je me laissais aller attrapant le visage du jeune peintre et prolongeant ce baiser. Il relâcha ensuite son étreinte : « dis-moi que tu ne ressens rien et j’abandonne. » une boule se forma dans mon ventre. La culpabilité me gagnait. Devais-je lui mentir ? Mes yeux le regardaient avec hésitation « Tu sais très bien ce que je ressens Norrington » dis-je en le regardant dans les yeux. « mais ce n'est pas assez » dis-je dans un souffle. « Ce n’est pas le problème Aidan. Qu’est que tu ferras le jour où ils apprendront ? Hein. Ils sont vingt fois plus fort que nous et ils sauront nous le faire payer. Je veux pas avoir peur d’être surprise à chaque fois que je suis avec toi. » dis-je en me rapprochant. « Et cela ne fait de moi une lâche » dis-je en lui rappelant que ce mot ne m’avait pas plus.

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« Ce n'est pas assez. » La réponse était lâchée, abrupte, implacable, il aurait pu soulever des montagnes pour elle mais elle ne semblait pas être dans le même cas, alors pourquoi s'acharner ? Elle l'assurait qu'il savait très bien ce qu'elle ressentait, non il ne savait pas justement, peut-être qu'elle était moins attachée à lui qu'il ne pensait. Vulnérable. C'est comme ça qu'il se sentait et il détestait cela. Il se recula pour retourner à la fenêtre. « J'ai l'impression que tu me passes le même disque à chaque fois. Il vont nous faire quoi exactement ? On est pas hors la loi ou un truc du genre. » Il ne comprenait pas ce qu'elle redoutait, il était né pour faire chier son paternel après tout non ? Alors ce qu'il pouvait bien penser d'une relation avec Jackie, il s'en foutait. Même si ils étaient censés être demi-frère et sœur, ce n'était qu'un titre de façade et pas un lien du sang. « J'aimerais juste qu'on arrête de s'embrouiller, mais je vais tenir mes distances et te laisser du temps ok ? » Puisque apparemment, il n'y avait que ça comme solution. Le pas assez résonnait encore à ses oreilles et c'est sans doute pour cela que sa voix prononça d'un ton plus cassant qu'il ne voulait. « Mais ne m'en veux pas si finis pas passer à autre chose. » C'était la règle, quand on se sentait blessé, on attaquait le premier, simple défense pour ne pas sombrer.
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« J’ai l’impression que tu me passes le même disque à chaque fois. Ils vont nous faire quoi exactement . On n'est pas hors la loi ou un truc du genre. » mes yeux se fermèrent. La réalité nous rattrapais et la tension était à nouveau palpable. Je me mis à soupirer et fis : « Tu trouves ça normal toi . Un demi-frère est une demi-sœur qui sort ensemble, qui s’embrassent, qui couchent ensemble ? Tu ne connais pas ma mère Norrington et ça se voit » dis-je en soupirant. Ma mère pouvait être cruelle, aussi cruelle que moi mais en bien pire. Cette relation était la faiblesse de trop, celle que je devais cacher au monde entier et qui plus est à ma mère. Il se recula pour retourner à la fenêtre. « J’aimerais juste qu’on arrête de s’embrouiller, mais je vais tenir mes distances et te laisser du temps . » Mon regard s’arrêta sur sa silhouette, je l’avais blessé et j’étais assez intelligente pour le remarquer. Je fis une grimace, n’ajoutant rien attendant finalement qu’il continue : « mais ne m’en veux pas si je finis par passer à autre ». Mes yeux se froncèrent. Aidan n’avait donc rien compris. Blessée. « Vas-y je te retiens pas ! » dis-je sèchement. Mon regard s’accrochait au plafond, je me retournais : « Amusz-toi bien Norrington ! Tu devrais être content, je t’offre la liberté » dis-je avec mépris.

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« Je trouverai ça pas normal si ils avaient réellement le même sang, à savoir un père ou une mère en commun, et dieu merci ce n'est pas notre cas, donc je considère qu'on fait ce qu'on veut. » dit-il tout simplement, et il ne disait pas ça pour se rassurer ou quoi, il n'avait réellement aucun problème avec ça. « Et j'ai pas peur de ta mère. » Non vraiment pas. « Tout ce que je sais d'elle c'est que c'est une mégère incapable de voir le trésor qu'elle a comme fille. » Il était franc et disait ce qu'il pensait, il ne connaissait pas Maman Stevensen, mais le choix entre la mère et la fille étaient vites faits, alors si leur relation impliquait un jour ou l'autre de ne plus voir leurs géniteurs, il s'en fichait. Sa dernière phrase avait piqué au vif Jackie et c'était finalement prévisible, il avait dit cette phrase pour l'énerver, bien entendu, il était incapable de passer à autre chose. Il envisageait même de devenir ermite après ça, sans déconner. « Je n'ai pas besoin qu'on m'offre ma liberté. » ça non, ni elle, ni personne, c'est une notion à laquelle, il était viscéralement lié. « Mais toi comme moi, on sait très bien que je vais pas m'amuser. » Sans elle, ce ne serait pas pareil, c'était certain. Il se dirigea vers l'encadrement de la porte. « Je veux juste que tu sois heureuse. » dit-il, mais elle ne s'en donnait pas les moyens, et il y avait certaines choses qu'il ne pouvait pas faire à sa place.
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« Je trouverai ça pas normal s'ils avaient réellement le même sang, à savoir un père ou une mère en commun, et Dieu merci, ce n’est pas notre cas, donc je considère qu’on fait ce qu’on veut » Aidan n’avait pas tort, aucun lien du sang ne nous retenait ou nous limitait. J’étais peut-être lâche… je ne savais pas vraiment. J’avais peur, peur d’entrainer notre relation dans une voie sans issue. Je le regardais fixement : « et je n'ai pas peur de ta mère. » ma mère pouvait-être exécrable. Je n’avais jamais faitfais partie de sa vie et ça ne changerait pas aujourd’hui. Assumer ma relation avec Aidan était pour elle, l’angle d’attaque parfait. Il continua « Tout ce que je sais d’elle sait que c’est une mégère incapable de voir le trésor qu’elle a comme fille ». Mon regard restait bloqué sur le jeune peintre. Rares étaient les personnes qui me valorisaient. Aidan me connaissait mieux que personne ou du moins tout aussi bien que Maxym. Il était devenue un des rares hommes à en savoir autant sur moi. Je ne voulais pas être remplacé, j’avais beau ne pas savoir où j’en étais. La jalousie me poussait à vouloir être la seule et l’Unique. « Je n’ai pas besoin qu’on m’offre ma liberté » j’avais dit ça pour l’énervé, le faire réagir. « Mais toi comme moi, on sait très bien que je ne vais pas m’amuser. ». Mes yeux suivaient le jeune homme, ma gorge se noua. Je finis par dire : « non, je n’en sais rien » ne dis-je doucement. Il se dirigea vers l’encadrement de la porte et fit : « Je veux juste que tu sois heureuse » mes yeux fuyait le jeune homme. Et dans un soupir, je lui fis : « Tu m’énerves Norrington ! » dis-je avant de foncer tout droit sur le jeune homme. Ma main se porta sur le haut de la porte la refermant doucement et mon autre main se posa sur le torse du jeune peintre. Et sans tenir compte ou non de son impression, j’approchais mon visage du sien déposant avec fougue mes lèvres contre les siennes. J’avais la sensation qu’il m’échappait. Le fossé était creusé mais j’espérais que cette porte reste toujours ouverte.

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Non elle n'en savait rien puisque ces incapables était infoutus de communiquer clairement et encore moins de prononcer les fameux trois mots. Déjà, Aidan ne les avait jamais prononcé pour personne personnellement, et pour le coup, il aurait réellement l'impression de mettre la charrue avant les bœufs. Il était dans l'encadrement de la porte quand elle se rapprocha vivement de lui, fermant la porte au passage, Norrington sentant le corps de la Cabot contre le sien, sa maison posée sur son torse, de l'air dans ses poumons, enfin. Elle chercha ses lèvres et il répondit à son baiser naturellement, comme il le faisait toujours lorsqu'il s'agissait d'elle. Un sourire en coin orna son visage et son regard se fit coquin. « C'est vrai que je suis énervant. » dit-il avant de lui redonner un baiser. Malgré les apparences de réconciliation, il savait que ce rapprochement n'était qu'une parenthèse à ce cheminement qui s'avérait tortueux, Jackie avait besoin de temps et il ne l'avait pas oublié. Il se détacha d'elle. « Tu redescends avec moi maintenant ou tu continues de rester dans ta tour princesse ? » lui demanda-t-il gravement en la fixant de ses prunelles azurées.
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Aidan était devenue en plusieurs mois, une des personnes les plus importantes pour moi. Il avait réussi à gravir les échelons allant de simple amie à amant. J’avais appris à l’apprécier et sa vision me paraissait aujourd’hui bien plus importante que toutes les autres. Il avait réussi là ou bien des hommes avaient échoué. Aidan me connaissait. Un brin désinvolte, j’étais aller le rejoindre. Mes mains remontaient doucement dans le cou du jeune peintre. Prolongeant ainsi se baiser volé, je posais délicatement mon front contre le sien. « C’est vrai que je suis énervant » je me mis à sourire avant de lever les yeux au ciel. Il s’approcha une nouvelle fois pour m’embrasser. Je me laissais aller à ses plaisirs vertueux. Ces quelques minutes de répit me faisaient beaucoup de bien. « Tu redescends avec moi maintenant ou tu continues de rester dans ta tour princesse ? » j’affichais un mince sourire avant de soupirer : « Je viens mais je ne reste pas longtemps, ça m'énerve d'être ici. » dis-je doucement. Pourquoi ma mère avait-elle jeté sa dévolue sur ce cher papa Norrington ? Tel était la question. Aidan ouvrit la porte et je déposais furtivement un bisou dans son coup avant qu’on ne vienne à descendre. Ce moment de tendresse ne m’avait pas fait changer d’avis mais retrouver le temps de quelques minutes la relation que nous avions avant cette nouvelle m’avait fait du bien. « Alors la capricieuse est enfin redescendu ! » Mes yeux roulèrent sur le côté et il croisa furtivement celui d’Aidan.
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La trêve était salutaire et même si elle était autant bienfaitrice qu'éphémère, Aidan tentait d'en profiter et de s'en contenter. Les regrets viendraient après, mais il n'y était pas. Alors qu'elle l'embrassa furtivement dans le cou, il la serra violemment contre lui en lui murmurant à l'oreille « Tu veux vraiment que je nous enferme dans ta chambre ? » Il eut un sourire. « Surtout qu'elle fait vraiment chambre de jeune fille sage et de bonne famille, autant dire que ça déride mon imagination. » dit-il tout à fait sérieusement alors qu'il descendit en compagnie de Jackie vers le salon. Les deux furent accueillis par les mots encourageants de la matriarche. Le Lowell eut un rictus au coin de ses lèvres. « Oui, j'ai toujours été doué pour apprivoiser les sauvageonnes. » dit-il en fixant la mère de Jackie. « Mais on ne va pas faire long feu, on a des révisions pour les examens de fin d'année. » Tu parles, Aidan révisait en général quand il lui tombait un œil et de toute façon dans sa section, c'était plutôt des travaux à rendre que des devoirs sur table donc bon, mais c'était une bonne excuse pour s'échapper rapidement de ce bourbier.
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Plusieurs jours s’étaient passés sans que je ne puisse serrer Aidan dans mes bras. L’entêtement, la colère, la peur m’avaient tenu éloignés de lui mais cette absence de contact m’avait manqué. Aujourd’hui était marquée par une courte pause, un moment d’accalmie. J’avais pour la première fois, la sensation de pouvoir respirer. Avant de descendre, j’avais embrassé furtivement Aidan dans le cou, chose qui ne resta pas sans conséquence. Il se serra violemment contre moi et me murmura doucement : « Tu veux vraiment que je nous enferme dans ta chambre ? » je fermais les yeux. Cette situation était excitante. Mes yeux s’attardaient sur le visage du jeune peintre avant que je ne me morde la lèvre. « Vous pouvez être incroyablement sexy quand vous vous y mettez monsieur Norrington » dis-je en souriant. « Surtout qu’elle fait vraiment chambre de jeune fille sage et bonne famille, autant dire que ça déride mon imagination ». Je me mis à rire doucement et lui fis : « surprenant hein… une preuve que ma mère est encore loin du compte ». Je suivis Aidan dans les escaliers et ne prêtai aucune attention à la phrase de ma mère. Du moins jusqu’à ce que le jeune Lowell dise : « Oui, j’ai toujours été doué pour apprivoiser les sauvageonnes. » phrase qui me fit sourire, Aidan était courageux. Tenir tête à ma mère pouvait avoir des allures d’audace. Pour finir, il ajouta : « mais on ne va pas faire long feu, on a des révisions pour les examens de fin d’année. » je me mis une nouvelle fois à sourire. Je pris mon manteau et fis : « Oui on doit y allez, il a raison. Les cours ne vont pas s’apprendre tout seul » dis-je en m’avançant vers la porte de sortie. « A plus tard » dis-je en secouant ma main rapidement vers ma mère et mon beau-père. Aidan ferma délicatement la porte et ma main attrapa celle du jeune peintre. Nous descendions rapidement les escaliers et une fois en bas. Je lui fis : « Attends bouge par dis-je en m’élançant rapidement pour sauter et m’accrocher sur son dos. Mes jambes enlaçaient la taille du jeune homme, mes mains étaient posé délicatement sur ses épaule. Je lui fis : « Voilà qui est mieux ».

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