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Jackie & Aidan ☼ Then you go and cut me down

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C'est maussade qu'Aidan affrontait le temps qui défilait. L'orgueil le poussait à nier cet état de fait, mais quiconque le connaissait bien pouvait observer le terne et le lointain de son regard depuis quelques temps. La relation de son père avec la mère de Jackie prenait des allures définitives et là où le Lowell avait premièrement esquivé, il ne pouvait désormais plus faire autrement que d'affronter. En parlant de Jackie, le Peintre s'appliquait à la fuir ces derniers temps, le hasard pourtant les réunissait sans cesse, au gré d'un couloir, au coin d'une pelouse, dans sa propre chambre alors qu'elle visitait Cody. Chaque entrevue entaillait sa poitrine mais le Solitaire dressait entre lui et le monde une muraille épaisse qu'il voulait de glace. La froideur était sa dernière manière de se protéger. De son monde isolé, il reçut pourtant une invitation de son paternel à venir bruncher dans l'appartement de sa nouvelle future femme. Aidan avait d'abord refusé poliment, mais son père l'avait assuré de l'absence de la Cabot, il n'avait donc plus aucune excuse pour se défiler. Le Peintre prit soin d'aller chercher plusieurs viennoiseries dans une pâtisserie française et vêtu d'un jean et d'une chemise ouverte sur un débardeur, il sonna à la porte de l'appartement. « Salut. » dit-il un sourire aux lèvres en entrevoyant son père. Son regard frôla sa silhouette pour se poser sur Maman Stevensen et là-bas dans le coin Jackie. Son sang ne fit qu'un tour mais il était trop tard pour reculer. « J'ai apporté les croissants . » dit-il en entrant dans l'appartement.
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La situation actuelle de ma vie était compliquée. Sujet à de véritables angoisses, j’avais préféré partir quelques jours chez mon père. Le climat y était plus chaleureux et pour une fois sa présence me réconfortait. Ses bras avaient été d’une grande aide depuis cette dernière soirée. Dans l’histoire, nier la vérité était difficile. Personne ne savait la véritable raison de mon malaise et en huitre bien fermé, j’avais préféré garder cette information pour moi. Mon regard avait croisé plus d’une fois celui de Norrington. À l’université, à la Lowell House, à la Cabot House… Le visage du jeune peintre ne semblait pas vouloir s’effacer. Attabler devant l’université, mon téléphone sonna. Ma mère. Sans grande conviction, je fis inviter à prendre le petit déjeuner avec ma nouvelle famille. Voir Aidan ne me disait trop rien. Croiser son regard était difficile, manger avec lui était insupportable. Ma mère m’assura de son absence. Un brin soucieux, j'acceptais son invitation. Pour être franche, mon estomac m’avait poussé à accepter cette invitation. Sans prendre le temps de me changer, je sonnais à la porte du nouvel appartement. En jeune fille rebelle, je n’avais pas pris le temps de me changer. Ma mère m’ouvrit et m’adressa un sourire. J’entrais doucement en affichant un mince sourire au père d’Aidan qui se trouvait déjà à table. Je m’étais assise suivis de près par ma mère. Un bruit m’interpella et le père Norrington alla à la porte. Aidan. Mon regard se tourna aussitôt vers ma mère. « J’aurais du m’en douter ! » dis-je méchamment. Elle ne changerait donc jamais. Mon regard croisa furtivement celui d’Aidan. « J’ai apporté les croissants » la faim qui animait mon visage, se dissipait peu à peu. Mes bras se croisèrent involontairement. La situation était particulière : « Je n’aime pas les croissants ! Je vais aller me faire du bacon et des œufs » dis-je doucement en ne montrant absolument rien sur mon visage. Je me levais et passai devant Aidan. Cette distance était oppressante, suffocante. Je me dirigeais vers la cuisine, j‘avais besoin d‘air. Une fois dedans, j’ouvris avec hâte la fenêtre prenant ainsi le temps de respirer l’air frais de dehors.

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Jackie semblait dans les mêmes dispositions que lui, sans doute aussi pour la simple et bonne raison qu'ils ne pouvaient se fuir éternellement. Ils devraient composer l'un avec l'autre. Celle-ci maugréa d'ailleurs sur le fait de ne pas aimer les croissants et le croisa pour prendre direction de la cuisine. La sentir si proche et si lointaine lui fit quelque chose et sa main se resserra l'espace de quelques secondes autour du sac en papier. Il prit soin ensuite de les déverser dans un plat et prit place à table en se servant un grand mug de café. Jackie finit par revenir à table, c'est qu'elle ne pouvait pas passer tout le repas dans la cuisine même si elle aurait sans doute préférer. Aidan préféra l'ignorer pour le moment. « Alors Papa tu te plais ici ? » demanda-t-il sur le ton de la conversation. En fait, il s'en foutait pas mal, mais il fallait bien parler d'autre chose. « Je suis le plus heureux des hommes. » rétorqua l'intéressé. « Et toi, tu as vraiment une sale tête ! Dans quel pétrin t'es-tu encore fourré jeune homme ? » lui demanda-t-il en lui lançant une oeillade complice. Norrington eut un sourire en coin. « J'ai un peu fait la fête, et je ne me suis pas réveillé chez moi. » Il ne s'était rien passé non, il avait simplement dormi dans l'appartement d'une amie mais il ne crut pas bon de préciser la chose immédiatement.
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J’avais besoin de fuir quelques instants. En venant ici, je m’étais pas imaginé partagé un repas avec Aidan. J’avais cru ma mère et encore une fois, elle m’avait déçu. Après plusieurs minutes passées dans la cuisine, je revenais à table. La faim était partie, dissipé par ce sentiment d’amertume. « Alors papa, tu te plais ici . ». Mon regard était bien bas, une fourchette à la main, j’écoutais ce qui se disait avant d’entendre la réponse d’Aidan. « J’ai un peu fait la fête, et je ne me suis pas réveillé chez moi. » mon regard se releva et fixa le jeune peintre pour la première fois depuis notre dispute. Instinctivement, je me mordillais la lèvre essayant de freiner une remarque désobligeante de ma part. Trop tard : « En espérant qu’elle ne soit pas trop lâche pour toi Norrington » dis-je avec un sourire aux lèvres masquant mon mal aise et ma colère. Étais-je jalouse ? Peut-être. Allez de l’avant me semblait difficile et malgré son visage marqué, il semblait aller parfaitement bien. Ma mère enchaîna : « Stevensen ! Arrête d’être désagréable avec ton frère… » dit-elle. Mon regard se posa sur ma mère. Faire des efforts . Non, je n’en avais pas envie. Dans un mouvement de recul, je finis par dire : « Mon frère ? Ce n’est pas mon frère et ça ne le sera jamais que les choses soient clairs ! » dis-je méchamment avant de me lever. « Si vous voulez bien maintenant, je vais monter en haut. Continuer sans moi. » dis-je en fusillant les trois personnes qui se trouvaient en face de moi.
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Il avait cherché cette réplique cinglante et un nouveau sourire arma le rebord de ses lèvres, provocant. « Non elle a été parfaite. » dit-il tout en la toisant. Norrington pouvait être un modèle de froideur et de cynisme quand il le désirait, c'est que les années l'avaient entraîner à dresser des remparts entre sa personne et le reste du monde, entre son cœur et son comportement. La mère de Jackie la rabroua ceci étant. Aidan ne se défaisait pas de son visage poli et bienveillant. « Il y a bien une chose sur laquelle nous sommes d'accord, nous ne serons jamais frère et sœur. » dit-il doucement à l'attention des parents. Parce qu'on a pas pour habitude d'éprouver ce type de sentiment pour une personne de son sang, n'est-ce pas ? Stevensen partit se réfugier à l'étage, et Aidan tenta de faire bonne figure, terminant son petit-déjeuner avec son père et sa belle-mère, alimentant la conversation, se rendant compte à quel point la mère de Jackie était une horrible personne, cataloguant l'attitude de sa fille de façon méprisante comme un caprice de fillette. Le repas fût ainsi terminé et Aidan se leva de table. « Je vais aller voir Jackie. » dit-il doucement avant de monter à l'étage. La solution de facilité aurait été de partir comme il était venu mais ils ne pourraient pas s'éviter éternellement. Il arriva à la porte de la jeune femme et ne prit même pas la peine de frapper. « Tu comptes rejouer un remake de Princesse Raiponce. » dit-il doucement. Parce que rester dans sa tour n'était pas la solution.
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« Non elle a été parfaite ». Mes yeux étaient resté river sur le jeune homme. Ces mots percutaient une nouvelle fois mon visage. Nous en étions là. Sans trop vouloir comprendre, je décidais de partir. La fuite était la meilleure des solutions. Ma mère ne semblait pas ravie par mon comportement. « Il y a bien une chose sur laquelle nous sommes d’accord, nous ne serons jamais frère et sœur. » L’évidence même. Je ne pouvais pas être sa sœur et il ne pouvait pas être mon frère. Trop de choses s’étaient passées et trop de choses se passaient encore. Mon regard s’attarda quelques secondes sur le jeune peintre avant que je n’aille rejoindre mon refuge. Une fois en haut, j’ouvris la fenêtre et sortait une cigarette. L’interdis me plaisait. Mes bras étaient croisés contre moi et d’un geste nonchalant j’apportais la cigarette à ma bouche. « Tu comptes rejouer un remake de Princesse Raiponce » mon visage se tourna légèrement et aperçu une nouvelle fois le jeune peintre. Je lui faisais dos : « oui parfaitement ! Et tu n’y es pas invité… » dis-je doucement cachant l’estime que je pouvais avoir pour lui. Je terminais ma cigarette pour ensuite l’écraser sur le rebord de la fenêtre. « Qu’es ce que tu fais ici Norrington ? » dis-je en me retournant cette fois-ci pour lui faire face.
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Comme il s'y était attendu Jackie ne l’accueillit pas à bras ouverts, le contraire aurait étonnant après les mots qu'ils avaient échangés, les deux faisant plus figures d'âmes écornés et tentant de se maintenir par des soupirs d'orgueil que comme des adultes responsable tentant de se repentir. De ses poumons, il sentit les derniers volutes d'une cigarette et son corps sembla réclamer insidieusement sa dose de nicotine. C'est peut-être pour cela que le Lowell ne prêta aucune attention aux paroles de la Cabot. Du moins en apparence. De sa silhouette longiligne, il rejoint celle plus gracile de la jeune femme et s'approcha d'elle face à face, dérangé par cette soudaine proximité et la contourna pour se poster à ses côtés face à la fenêtre. De sa poche, il extirpa son paquet, et le tendit à Jackie, avant de s'allumer une clope et d'en souffler la fumée dans l'air qu'il jugeait étouffant de Cambridge. Ses prunelles océanes se posèrent sur celles de la jolie Blonde. « ça ne peut pas durer comme ça Jackie. » Il se gratta le menton, ses doigts passant dans sa barbe naissante tandis qu'il regardait par la fenêtre. « Je veux dire, si nos parents se marient réellement, on pourra pas passer une vie à s'éviter, alors il va falloir qu'on se supporte. » C'était tellement difficile pour lui de prononcer ces paroles, de jouer les apparences d'amende honorable, quand son corps lui hurlait de la faire sienne, mais quelque part, il respectait son choix et tenter de sauver les apparences.
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Une certaine hostilité régnait dans la pièce. Loin des habitudes que nous avions. L’air était glacial presque irrespirable. Mes yeux tentaient de prendre appuie sur quelques choses mais il revenait à chaque fois si Aidan. La distance était grande suffisamment grande pour animer cette colère qui se trouvait au fond de moi. Il se posta en face de moi, son doux parfum caressait mes narines. Cette proximité n'était déstabilisante autant pour moi que pour lui. Il me contourna et se posta à coter de moi. Il me tendit gentiment son paquet de cigarettes. Aidan semblait calme, bien plus calme que la dernière fois. Je fis un non de la tête et croisai mes bras contre moi. Les yeux du jeune peintre se posèrent sur moi avant de dire : « ça ne peut pas durer comme ça Jackie. » j’affichais une grimace avant de porter une nouvelle fois mon regard sur lui. Il semblait tendu. « Je veux dire, si nos parents se marient réellement, on ne pourra pas passer une vie à s’éviter, alors il va falloir qu’on se supporte » mes yeux se froncèrent, cette solution paraissait simple et pourtant elle semblait être la plus difficile. Je me retournais face à lui et lui fis froidement : « Aujourd’hui, tu veux sauver les apparences ! » dis-je sèchement. J’étais frustrée, vexée, blessée. « J’en ai ma claque de vos conneries… » dis-je en soufflant avant de regagner le centre de la pièce. « à quoi tu joues Norrington… tu prétends un jour être à l’opposer de CE monde » dis-je en pointant l’endroit où on se trouvait : « mais tu es le premier à affiche un sourire, a mangé, à te comporter comme eux ! » dis-je en le regardant dans les yeux. « C’est évident qu’on ne pourra pas s’éviter s’ils se marient vraiment mais ne me demande pas de sourire bêtement comme toi et de me tenir à coter de toi ! » dis-je en me rapprochant de lui. J’étais énervée, tellement énervée que mes émotions semblaient s’être multiplié. Mon regard s’était planté dans celui d’Aidan, j’étais proche de lui assez pour sentir son souffle s’accélérer. « Je veux pas de cette vie »

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Oui c'était bien Aidan qui tentait de tisser les lambeaux de leur relation. Le Nonchalant, le branleur de service, celui qui se fout de tout, et qui s'abaisse de sa misérable carcasse à courber le dos pour sauver ce qui reste. Pour ne pas avoir à l'éviter définitivement, pour qu'il reste un peu d'elle dans sa misérable existence. Mais les mots qu'elles prononcent sont difficiles à encaisser, âpres. Il lui tourne le dos et continue de fumer sa cigarette, paisiblement. « Je suis bête c'est sans doute ça. » dit-il doucement avant de se retourner. « J'agis comme ça parce que tu ne veux pas de moi, alors on fait quoi je te demande ? » Elle avait rejeté en bloc leur amorce de relation puisqu'elle s'avérait impossible à ses yeux. Il ne comprenait toujours pas ce choix, mais la colère n'était plus si vive et il était à présent résigné. Quoi faire d'autre ? Il soupira avant de continuer. « Moi non plus je veux pas de cette vie. » Il fit un pas vers elle. « Mais tu veux quoi Stevensen ? Que je disparaisse c'est ça ? Puisque tu ne me veux pas dans ton lit et pas même dans ta vie, alors tu veux faire quoi ? » Son ton était plus dur, il ne comprenait pas. La colère ne fonctionnait pas, la gentillesse non plus, alors quoi ? La situation lui semblait ombrageuse et sans une lueur de solution.
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Mes mots étaient durs et pleins de reproche. Frustré de ne pas pouvoir obtenir ce que je souhaitais. J’en devenais irritable. Aidan semblait parfaitement calme, il ne répondit pas tout de suite. « Je suis bête c’est sans doute ça ». Mes yeux se froncèrent et mes bras se rapporta une nouvelle contre moi. Mes yeux vagabondaient dans la pièce avant qu’elle ne vienne rejoindre les yeux du jeune homme qui avait finit par se retourner. « J’agis comme ça parce que tu ne veux pas de moi, alors on fait quoi je te demande . ». Je n’en savais rien, j’étais complètement noyer dans mes sentiments. Mon corps tout entier m’ordonnait de le prendre dans mes bras, il me manquait. J’en avais conscience et s’étais bien ça le plus difficile. « Moi non plus je veux pas de cette vie » mes yeux parcouraient une nouvelle fois le visage du jeune étudiant. Il s’approcha de moi, laissant apparaitre sur mon visage un certain trouble. « Mais tu veux quoi Stevensen . Que je disparaisse c’est ça . Puisque tu ne me veux pas dans ton lit et pas même dans ta vie, alors tu veux faire quoi ? » j’étais restée silencieuse jusque-là, tiraillé entre deux pensées. J’avalais instinctivement ma salive et finis par dire : « j’ai besoin de temps… Comment veux-tu que je me tienne à coter de toi en ayant des pensées rationnelles. » dis-je en le regardant dans les yeux. Son parfum m’irritait les narines. Je me mordillais instinctivement la lèvre, m’obligeant à rester de marbre face à Aidan. « Tu n’imagines même pas l’impact que tu peux avoir sur moi Norrington. Je sais pas quoi faire. Je sais juste que ce monde ne m’appartient pas Norrington. Plus j’y mets les pieds et plus j’ai envie de fuir. Ma mère se contre fiche de ma présence. Je n’ai jamais eu ma place ici et je l’aurais jamais. » dis-je en grimaçant.

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