Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKen ● Et je te hais de tout mon corps mais je t'adore encore - Page 2
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Ken ● Et je te hais de tout mon corps mais je t'adore encore

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Alors il sait.. Il sait pour Jess ? Comment peut-il le savoir ? J’en ai aucune idée. Il doit m’en vouloir et je peux le comprendre je ne lui ai rien dit pour ma fille. Cacher quelque chose comme ça c’est assez gros c’est vrai j’aurai du lui en parler mais pourquoi ? Pourquoi je l’aurai fait Je suis une mère de merde je n’arrive pas à élever ma fille et je devrais en être fière. Je ne pense pas non. Je baisse les yeux je comprends enfin tout j’aimerai lui expliquer mais je sais pas si j’en serais capable. « Ecoutes Ken je peux tout t’expliquer » Oui je sors la fameuse phrase passe partout. Le je peux tout t’expliquer est utilisable dans toutes les situations possible le pire c’est que je ne pense pas être capable de lui expliquer la vérité. Pourquoi je lui ai caché ça moi même je ne le sais pas. Je reculais a mesure qu’il s’approchait de moi. C’est vrai il était intimident très intimident même. J’aurai pu avoir peur j’aurai pu paniquer partir en courant laissant ce pauvre type dans la chambre mais je ne l’ai pas fait. Je reste là et je l’observe. Je sens que tout ça va beaucoup plus loin que moi que nous. Il ne ma jamais vraiment parlé de son passé comme je ne lui ai jamais parlé du mien. Il n’y a rien à savoir, mais lorsqu’il parle d’assassinat de ses parents je dois avouer que je ne comprends absolument rien « Mais qu’est-ce que tu racontes » Je suis un peu paumé faut bien l’avouer et j’ai mal pour lui il est en train de péter un  câble et c’est ma faute. Je ne voulais pas le mettre dans cet état. « Si je te prenais pour un salop je serais pas ici Ken » Non ce n’est pas un salop c’est un mec avec ses problèmes et ses histoires. Je me glisse à ses côtés je le prends dans mes bras « Calmes toi je t’en pris calme toi je suis désolée.. Je suis tellement désolée » Tout ça me dépasse carrément je dois bien l’avouer je veux pas qu’il souffre.
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Tu étais vraiment pathétique à péter des câbles pour rien, tu finissais par t’asseoir par terre, tu te calmes petit à petit et tu sentis Maggie s’asseoir près de toi et te prendre dans ses bras, tu n’étais pas très tactile ni très câlin alors tu la repousse gentiment, regardant de l’autre côté, bougeant nerveusement ton pieds, tu te débarbouillais et baillais, bizarre, tu changeais si vite d’humeur, en même temps tu étais quelqu’un de Lunatique donc ça ne devrait pas être bien étonnant. « T’es une vraie chieuse par contre… » Tu tournes ta tête vers la jeune femme et lui esquissais un petit sourire hypocrite tu rebaissais le regard regardant ta main avant de soupirer, tu te relèves et prends ton paquet de cigarette : Vide. Bordel. Tu souffles, énervé avant de regarder Maggie. Et voilà que tu changes soudainement de comportement. « Donc en gros, tu étais venu pour trouver du réconfort ou juste me faire chier concernant cette histoire ? » Demandais-tu d’un air froid, que tu peux être agaçant parfois. Tu jouais avec la boîte de cigarette avant de siffloter, trouvant quelque chose à redire pour énerver Maggie. « Dis-moi, tu as honte d’avoir mis au monde ton bambin ou tu as tout simplement peur pour lui ? » Tu deviens de plus en plus provocateur. « Parce que tu sais, on a tous vu au moins une fois ce genre de mère « Je protège mon enfant des gens malsains»… » Tu imitait la voix des femmes so chic, ces femmes qui ont le don de vous agacer et ce ne serait-ce que quand elle ouvre leur bouche. Tu commences à devenir insupportable, tu cherches Maggie alors qu’elle était adorable avec toi jusque-là.
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. Je le hais c’est définitif il prend un malin plaisir à appuyer la ou ça fait mal. Il veut me briser ou quoi ? je le comprends pas je m’assois près de lui je veux l’aider il me repousse. Son visage se ferme. Du coup j’enroule mes bras autour de mes genoux je reste assise par terre. J’attends que la tempête pas qu’il déverse sa colère sur moi. Je suis pas du genre à me laisser faire mais qu’est-ce que je peux dire. Je suis quel genre de mère moi ? « Ta gueule  Hodson l » Je le préviens une fois je veux bien tut supporter mais qu’on parle de ma fille ça non. Il ne sait rien de ma vie ni de mon enfant donc il n’a aucun commentaire à dire. Tout ce qu’il cherche c’est à m’énerver et je ne comprends pas pourquoi il en fait un drame de ça. On dirait qu’il est hystérique et je suis dans le même état. J’ai envie de pleurer m’effondrer en larme crier et tout casser mais je me retiens j’ai pas envie qu’il pense que la partie est gagnée. « Je suis venu pour te voir car ça me fait chier que tu m’évites mais je suis pas venu ici pour en prendre pleins la gueule du coup si tu pouvais arrêter ça m’arrangerai » Mais lorsqu’il parle de ma fille ne me contrôle plus je me lève je m’approche de lui j’ai envie de le gifler. « Putain mais tu sais rien ok tu sais rien tu parles pas d’elle tu l’évoques même pas » J’ai pas envie de parler de ma fille j’ai pas envie qu’il sache à quel point je suis une merde comme mère je le pousse j’avance il est obligé de reculer je suis tellement énervée que je suis prête à tout « Tu es vraiment un connard avec moi depuis tout à l’heure un gros connard mais si il y’a un truc que je supporte pas c’est qu’on me juge en tant que mère je te préviens Ken une fois mais pas deux » Il veut jouer les méchant très bien mais il ne sait pas à qui il a affaire.
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Tu avais réussi à l’énerver, tu cherchais à l’énerver et on ne saurait jamais pourquoi, on ne sait même pas pourquoi tu aimes jouer avec les nerfs ders autres et surtout ceux de Maggie dans de telles situations, maintenant qu’elle a eu ses explications, tu avais comme envie de lui faire regretter de t’avoir caché le fait qu’elle était maman. Elle demandait à ce que tu la fermes et tu ne faisais que rajouter des couches, t’enfonçant encore plus loin pour l’énerver, tu ne voulais pas la blesser, loin de là, tu ne voulais que l’énerver et la pousser à bout. Elle te demande d’arrêter mais tu ne fais que continuer, parlant de sa fille, elle se lève et commence à réellement s’énerver, elle commence à te pousser et tu recules, doucement certes, mais tu recules. » « Sinon quoi ? Tu vas me foutre deux trois claques peut-être ? » Tu arrives près de ton lit et t’y étales, tu regardes le plafond, l’ignorant totalement avant qu’elle ne recommence à parler, tu fermes les yeux et tire sur toi ta couette, tu essayes de te rendormir mais pas moyen avec sa voix criarde. « D’accord, d’accord, on a compris. Maintenant t’es gentil, tu me laisses dormir.» Tu n’arrives pas à dormir, ce n’est pas sa présence qui te dérange mais bien sa voix, tu ouvres un œil et la regarde. « Tu m’as fait tellement mal à la tête ce matin… T’es comme ça depuis toujours à déranger le sommeil de tes proches ? » Demandais-tu, changeant de sujet, c’est vrai qu’il ne fallait pas t’attaquer à sa fille, elle avait quand même sa vie, ses problèmes, son histoire, tout comme toi. Tu ne connaissais pas ton histoire alors tu ne devais pas la juger surtout que tu étais quelqu’un qui n’aime pas vraiment juger les autres sans les connaître.
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Des claques si franchement je pouvais t’en mettre une ou deux ça me ferait du bien tu ne les aurais pas volé celle là. Comment on peut être aussi désagréable à ce point. Lorsque nous sommes en soirée tu n’es pas comme ça tu est plutôt sympa. En même temps l’alcool aide beaucoup c’est vrai. Tu te rallonges dans son lit. Tu veux dormir mais moi je n’ai pas l’intention de te laisser dormir. « Ne me provoques pas si c’est des claques que tu veux je peux totalement t’en donner y’a pas de soucis » Je sais que je vais te déranger mais je me pose sur ton lit moi aussi. Va falloir t’y faire mon coco j’ai pas envie de bouger pour le moment. En plus nous sommes relativement calme du coup c’est peut être le bon moment pour ouvrir le dialogue. « J’suis désolée j’aurai pas du arriver comme une furie comme ça dans ta chambre mais je savais pas quoi faire pour que tu me parles » Vu comme ça je passe pour une fille un peu désespérée alors que je ne le suis pas enfin pas toujours on va dire. Je change de position pour être en tailleur sur le lit, je te regarde tu as l’air passablement énervé mais j’arrive maintenant à voir quand tu commence à l’être vraiment du coup j’enchaine rapidement. « Parce que tu es un de mes proches ? Première nouvelle. » Je te fais un petit sourire histoire que tu comprennes que je rigole que je te taquine mais je crois que c’est une mauvaise idée. « J’arrive plus à dormir ça me rend folle tu sais » Ouais je te balance ça comme ça j’espère pas une réaction de ta part c’est juste pour me défendre un peu au final.
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Qu'elle t'agaçait elle, elle ne voulait pas te lâcher elle. Tu avais les yeux fermés et entendis les paroles de la brunette avant qu'elle ne s'allonge à tes côtés, tu n'ouvrais pas pour autant les yeux. « Je ne te conseille pas. » Tu l'entends parler, parler mais n'ouvres qu'un seul œil pour la regarder se plaindre et te taquiner du fait que tu ne faisais pas partie de ses proches. Tu refermes l'œil et soupires. « Je t'emmerde bien profondément chérie. » Tu ouvres les yeux, t'étires et te redresses, la petite voulait jouer à ça... Et bien on va jouer. « Tu ne le sais peut-être pas, mais j'ai horreur qu'on vienne déranger mon sommeil. Je t'ai dit plus d'une fois de dégager mais mademoiselle est têtue comme une mule alors... » Tu te lèves du lit, t'approche de la brunette, te penches sur elle de façon à ce que vos visages soient assez proches ce qui avait le don de troubler plus d'une, tu lui souris mais ce, hypocritement avant de l'attraper et la porter en sac à patate au-dessus de ton épaule. « Argh ! T'es lourde ! »Arrivé près de la fenêtre tu la dépose et la porte telle une princesse avant de faire semblant de la balancer par la fenêtre. « L'oreiller amortira ta chute, un... Deux.... Trois !» tu la lance effectivement mais sur le canapé, tu regardes sa tête et t'approches d'elle, ton air menaçant ressort cette fois-ci. « Tu t'incrustes dans mon lit une nouvelle fois, je te fais un tour de manège gratuit par la fenêtre !» tu t'éloignes d'elle et la regarde, penchant la tête sur le côté. « Maintenant sois gentille et dégage, laisse moi dormir ! » Disais-tu nerveusement, si elle continue, tu allais réellement péter un bon gros câble.
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J’ai même pas le temps de réagir que tu me soulèves comme un vulgaire sac. C’est quoi ton problème la je comprends pas ? En plus tu me traites de grosse aussi te gènes surtout pas « Non mais tu es sérieux va te faire je suis pas lourde du tout » Je crois bien que c’est quand même hyper vexant ce que tu viens de me dire. Je ne suis déjà pas la personne la plus confiante au monde mais si en plus je me fais traiter de grosse. J’essaye de comprendre c’est quoi ton délire mais c’est quand tu ouvres la fenêtre que je commence à comprendre. « Tu es malade poses moi par terre lâche moi imbécile » Franchement la tu vas trop loin tu réalises pas à quel point tu es horrible avec moi. Ami ou pas ami c’est mort j’en ai marre je prends trop cher. J’ai essayé de te parler, j’ai voulu arranger les choses, j’ai même voulu te confier un truc mais tu t’en fou. Du coup ça sert à rien de s’attarder pour quelqu’un qui en a rien à foutre de moi. Tu me balances sur le canapé comme une merde. « Je me lève d’un coup cette fois ci je suis vraiment furax je te pousse te bouscule « Putain mais c’est quoi ton problème à toi tu es malade » Je crois que tu m’as jamais vu comme ça je crie tellement fort que j’en ai moi même mal aux oreilles « J’étais venu la pour arranger les choses et toi tu fais quoi ? Tu me traites comme une merde c’est bon ta gagné je me tire t’es qu’un pauvre type de toute façon tu comprends rien tu me fais de la peine » Sans m’en rendre compte je réalise que je l’ai attrapé par le bras du coup je le lâche brusquement « T’en fais pas tu auras la paix à partir de main j’ai plus envie de te voir tu es vraiment trop con » Je tourne les talons je me dirige vers la porte franchement j’ai qu’une envie c’est rentrer chez moi et pleurer.
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Mais elle est sérieuse celle-là ? Tu la regarde Presque choqué, elle y avait vraiment fort, tu ne voulais en plus que plaisanter, tu la laisses crier un peu avant qu’elle n’abuse, si on avait compté les fois qu’elle t’avait traité d’un gros connard, on ne s’arrêterait jamais, c’est pas parce que t’es froid et méchant avec elle qu’elle va s’amuser à te le dire tout le temps. Tu t’énerves à ton tour, elle criait ? Super. Crions ensemble alors. « Mais t’es sérieusement atteinte toi ! On se calme oh ! C’est bon on avait compris que j’avais un caractère de merde pas la peine de me dire à chaque seconde que j’étais un connard ! On a compris que t’as un poids plume mais oh ! Redescends sur terre beauté ! » Criais-tu assez fort, elle s’approche trop près de toi ? Très bien. On va jouer à ce jeu chérie. Tu retires violement ton bras qu’elle tenait et t’approches d’elle à ton tour. « Et mon putain de problème c’est que tu sais plus rigoler, dès que je te touche tu commences à gueuler comme une grand-mère, c’est bon quoi, tu me fais chier là ! » Tu attrapes ses mains pour qu’elle arrête de te pousser, tu la regardes dans les yeux et te calmes d’un coup, non là ça va trop loin. « Maggie arrête de faire la gamine, calmes-toi… Je voulais juste plaisanter avec toi, arrête. » Disais-tu, regrettant de t’être comporté ainsi avec elle, elle finit par tourner les talons et tu t’approches d’elle, tu soupires et la pris par le bras, l’attirant vers toi mais délicatement bien évidemment. Tu attrapais son visage entre tes mains et la regardais droit dans les yeux, ayant l’air sincère. « Je suis désolé ma belle… Je ne pouvais quand même pas te balancer par la fenêtre, tu comptes beaucoup trop pour moi. » Tu lui souris et ce, tendrement et sincèrement et la pris dans tes bras, tu regrettais quand même ton comportement vis-à-vis de la jeune femme, tu t’étais comporté très mal avec elle quand même. Tu lui déposais un baiser sur sa chevelure et lui caressais cette dernière. « Je suis vraiment désolé ma belle. » Murmurais-tu tout bas. Eh oui, vous ne rêvez pas, Kenaël Hodson s’excuse et en personne s’il vous plait !
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Je crie tu cris j’ai l’impression que c’est notre seule mode de communication en ce moment. Je suis sur les nerfs je prends tout mal. Tu es tendance à démarrer vite forcément ça fait des étincelles. Mais je crois que tu te rends pas compte si je suis là à cette heure matinale dans ta chambre c’est que tu comptes beaucoup pour moi j’ai pas envie de te perdre mais malheureusement c’est ce qui ce passe. Mais sans comprendre comment ni pourquoi alors que j’étais en train de partir tu me rattrapes et tu t’excuses. J’ai du mal à réagir ça me semble totalement inattendu. Avec toi j’ai l’impression de passer des rires aux larmes du bonheur au malheur. Rien n’est jamais simple dans la vie mais c’est clair que toi tu l’es encore moi. « Ken je suis fatiguée de crier et de me disputer avec toi » Je baisse les yeux je te laisse faire. J’ai peur de te toucher, non pas peur de toi mais par peur que tu recules, tu n’es pas très tactile et ça je le sais à mes dépens pourtant tu me prends dans tes bras et tu me serres. J’en profite alors je passe mes bras autour de ton cou. Je sais que ça ne va pas durer longtemps ça durera le temps que ça doit durer. « Je me suis comportée comme une folle et toi comme un idiot je m’excuse aussi je suis allée trop loin ce matin » Le soucis avec moi c’est que je parle beaucoup souvent pour dire des choses que je ne pense pas vraiment. Je l’ai traité de con beaucoup trop et je le regrette un peu même si c’est un con. Je le regarde droit dans les yeux j’ai envie de lui faire comprendre que dans le fond je suis pas bien « Ken dans ma vie en ce moment tout part vraiment en vrille y’a rien qui va, j’ai pas envie de te perdre en plus ça je le supporterai pas » C’est clair entre la maladie de ma fille, les merdes qui m’arrivent je commence à saturer. J’ai besoin de lui moi c’est mon ami il est beaucoup trop important
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Tu la prends contre toi, ça te fait quand même mal de la voir comme ça, oui tu étais le genre d’enfoiré à pousser les gens jusqu’au bout. Tu ne sais même pas pourquoi tu t’excuses, peut-être pour l’avoir blessé ? Tu en étais pour rien, tu avais le sang chaud et tu avais détesté qu’elle te cache le fait qu’elle était maman. Bref, tu ne voulais pas te poser de questions puisque tu sentais que ça allait mal aller pour toi par la suite si Maggie venait de quitter la pièce, ce n’était qu’une amie certes, mais elle avait de la valeur à tes yeux tout de même. Tu lui caresses tendrement le dos, c’est vrai que tu n’étais pas l’homme le plus tactile qui soit, mais tu sais te montrer doux et réconfortant quand il le faut tout de même. Tu ne lui répondis pas, la laissant parler, esquissant un sourire quand elle te traite d’idiot. « Dis-moi, je suis gâté avec toi pour m’attribuer des adjectifs rabaissant… Il y a cinq minutes j’étais un gros con imbécile, maintenant un idiot… Ca enrichie mon vocabulaire tout ça. » Dis-tu sur le ton de la plaisanterie, la lâchant pour la regarder. Tu avais droit au gros connard imbécile et idiot et elle à une folle, ce n’est pas très équitable. Tu récapitules alors sa phrase. « Une grosse folle ouais.. » Disais-tu pour la taquiner sur son poids plume, lui donnant un gentil coup aux fesses en rigolant. « Et pas que ça. » Oh que oui, pas que ça, elle n’était pas qu’une folle, même qu’une malade mentale ne ferait pas le poids devant Maggie. On se demande bien comment tu faisais pour la supporter. Tu n’aimais pas vraiment les ambiances dramatiques de ce genre, tu veux bien te montrer doux et tendre avec elle mais il ne fallait pas vraiment en abuser. Tu savais bien qu’elle avait des problèmes et qu’en plus toi à côté qui lui fait la tête comme un gosse, on se demande bien comment elle fait pour ne pas devenir folle, mais tu avais horreur qu’on dramatise les choses, elle n’avait peut-être rien dit, un autre lui aurait sourit, mais toi ça te faisait bizarre qu’on te dise ça alors tu préférais jouer sur l’humour au lieu de continuer ces paroles trop cucul et gnangnan à ton goût. « Mais si… Tu le vivrais bien je pense, un connard de moins c’est quand même apaisant, non ? » Pour être un connard, que oui tu l’étais.
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