Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKen ● Et je te hais de tout mon corps mais je t'adore encore
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Ken ● Et je te hais de tout mon corps mais je t'adore encore

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Je me réveille en sursaut il est 8h. J’ai passé une nuit très mauvaise comme toutes les autres en ce moment. Je dors peu et je bois beaucoup. Peut être trop. Je bois pour oublier que je ne suis pas heureuse, que ma fille est malade et que ma vie part en couille. Je suis une mauvaise mère incapable d’empêcher sa fille de souffrir. C’était bien la peine d’empêcher Cody de voir sa fille si je suis incapable de m’en occuper. J’ai l’impression que rien ne va que tout tourne mal et je ne comprends pas pourquoi. Y’a encore quelque temps j’étais heureuse j’étais bien. Maintenant j’ai l’impression d’être un déchet. Je tourne en rond dans mon lit je n’arrive pas à trouver le sommeille. Je n’aime pas me lever tôt mais pour moi impossible de fermer les yeux sans avoir des milliers d’images tournantes dans ma tête. Je pense à mon frère , à ma fille, à Noa, et puis à Kenaël  pourquoi il est si froid avec moi ? je ne comprends pas ce que je lui ai fait. Il m’en veut de quelque chose pourtant je n’ai pas le souvenir de l’avoir blessé. Je décide de me lever de toute manière pour dormir c’est foutu. Je prends une douche et j’enfile un jean et un débardeur beige, je peux peut être pas régler les problèmes avec ma fille mais ceux avec Kenaël peut être bien. Je file chez les mathers je sais qu’il a une chambre. Il est tôt mais je m’enfou j’ai pas les idées vraiment en place. « Ken ouvres moi » Je frappe à la porte assez fort je crois que je reveille un peu tout le monde. « Ouvres moi ou j’ouvre moi même j’ai pas loupé un épisode des totally spies je sais comment on fait pour ouvrir une porte avec une épingle à cheveu » Oui c’est tout moi ça.
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Tu dormais, tu étais complètement crevée, tu ne pouvais plus bouger, tu t’étais même endormi à minuit et tu n’avais pas participé à une soirée, tu ne sais même pas pourquoi mais tu étais totalement détruit physiquement. Peut-être avais-tu fait trop de sport ? Peut-être trop de soirées ? En tout cas, tu dormais tel un enfant. Un vrai petit ange. Tu fus sortit de ton profond sommeil et tu fronces les sourcils, tu restes couché avant de balancer ta couette par terre, tu souffles nerveusement. C’est quand tu as besoin de repos et de sommeil qu’on vient te faire chier. Tu sors ton téléphone et entend une voix de femme… Oh non pas une femme. Tu fus déboussolé de voir qu’il était extrêmement tôt… Super ! Tu te lèves et traine les pieds jusqu’à la porte, tu entends une voix familière et tu allais revenir au lit, te rendant compte que ce n’était autre que Maggie et que tu t’étais promis de ne plus lui parler, tu te sentais comme trahit et tu avais horreur de cette sensation. Tu entendis les cris et les coups bien violent de Maggie derrière la porte, étant torse nu, tu regardais à peine autour de toi pour trouver quelque chose à mettre mais rien… Tu soupires, tant pis. Tu ouvres la porte et ayant un seul œil ouvert, les cheveux ébouriffés, tu regardais longuement Maggie avant qu’elle ne te pousse pour rentrer… Ah ouais super. Tu passais ta main sur ton visage pour te débarbouiller « Oh ! Du calme King-Kong.. » Disais-tu en refermant derrière toi la porte, tu regardais la jeune femme en soupirant avant de te décoiffer, nerveux, ne sachant quoi dire. « Qu’est-ce que tu veux encore toi ? » Demandais-tu d’un ton froid, croisant les bras, guettant tout fait et geste de la belle.
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Il a une mine épouvantable lorsqu’il m’ouvre la porte. On dirait qu’il vient de se réveiller en même temps vu l’heure ça me semble tout à fait logique. On dirait qu’il n’a pas dormit depuis des siècles du coup je me sens moins seule à avoir une sale tête. J’entre comme un boulet de canon dans sa chambre seul ou pas je m’enfiche j’ai besoin d’une explication et j’en ai besoin maintenant. « Tu vas me parler un peu mieux dis donc » Je croise les bras non mais c’est quoi ce ton qu’il utilise ? Je n ‘aime pas quand on me parle de cette manière surtout lorsqu’il n’y a aucune raison de le faire. Je pointe un doigt accusateur en sa direction « Pourquoi tu ne m’as pas rappelé ? Ou répondu à mes sms ? » On dirait une scène de série débile ou la jeune femme vient faire une crise mais non ce n’est pas moi pas du tout. Je tourne autour de lui tel un prédateur « Qu’est-ce que je t’ai fais pour que tu m’évites comme ça ? Je n’ai pas été cool la dernière fois ? On n’a pas passé une bonne soirée ? » Je vais devenir parano si je n’ai pas d’explication rapidement. Peut être que c’est parce qu’il n’apprécie plus ma compagnie. « J’embrasse mal c’est ça ? » Je sais pas j’essaye de trouver toute les explications possible et inimaginable mais très franchement je vois pas j’attends donc mon explication que je trouve carrément méritée.
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Tu te sens tellement minable d'avoir cotoyé une telle personne, regardez-moi cette cinglée, tu avais envie de sauter par la fenêtre, là, tout de suite au moment où la demoiselle commençait à t'ordonner de bien lui parler, tu la regarde longuement et la seule chose que tu voulais faire c'est de t'étaler sur ton lit, tu soupire et la regarde, penchant la tête légèrement sur le côté quand elle pointe son eptit doigt sur toi... Elle est sérieuse celle-là ? Arrête de râler King-Kong ou tu vas recevoir mon réveil dans ta petite gueule.. Dis-tu d'un ton assez menaçant avant de la voir te tourner autour. Tu lèves les yeux au ciel demandant la pitié du grand seigneur. Tu soupires. Par pitié arrête... Tu lâches un rire quand elle te demande si elle embrassait mal. Elle voulait vraiment savoir pourquoi tu ne voulais plus lui parler sauf que là tu avais pas vraiment la force de répondre au tac au tac comme tu sais si bien le faire. Putain ce que t'aime m'emmerder toi ! Mais dégage ! Tu essayais de ne rien dire de méchant mais tu ne pouvais continuer de te contenir bien longtemps. T'es rentré en moonwolk toi, normal, tu me casses la tête avec tes questions débiles là... Tu voudrais pas me laisser dormir et sortir tranquillement comme une personne civilisée ? non ? Demandais-tu en l'approchant au court de ta parole, elle allait surement faire comme si tu n'avais rien dit et faire comme chez elle, il s'agit de Maggie voyons ! Tu es liée à moi toute la vie c'est ça ? Toutes mes chances de tranquilité sont foutues après t'avoir connu ? Disais-tu en reculant, soufflant, agacé par la situation.
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Mais qu’est-ce qu’il est con c’est pas possible. Je le savais mais pas à ce point et en plus d’être con il est vulgaire c’est la total. Et c’est quoi cette manie de m’appeler King-Kong je ne ressemble pas à un gorille. Mais si il continue comme ça je peux m’énerver et me transformer en gorille. « Tu crois peut être que tu me fais peur ? » Il me regard avec un air menaçant je fais pareil. A la base j’étais venu pour régler mes problèmes avec lui pas m disputer. Je n’aime pas les conflits mais j’aime encore moins son air supérieur et le fait qu’il me parle comme ça. Nous étions amis quand même enfin c’est ce que je pensais. J’ai l’air de le déranger en tout cas tout ce qu’il veut c’est dormir mais ça ne se passera pas comme ça il est allé trop loin. « Ah ouais tu veux dormir c’est ça ? » Je lui fais un petit sourire avant de prendre son oreiller, j’ouvre alors la fenêtre et le balance de toutes mes forces, j’essaye d’attraper sa couette mais on va pas se mentir c’est un peu lourd et il a le temps de m’intercepter « Je te promets que je jette toute tes affaires par la fenêtre si tu ne me dis pas pourquoi tu m’évites comme ça » Oui je passe pour une folle furieuse mais et alors ? C’est peut être ça au final. Si moi je suis folle lui est un con. « Tu es un gros con je pensais qu’on était amis toi et moi » Dans ma vie tout commence à partir en vrille et si en plus je perds mes amis ça ne va pas le faire. Je le regarde droit dans les yeux, il me regard mauvais mais je comprends vraiment pas pourquoi je suis perdu et surtout hors de moi.
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Tu avais vraiment envie de la jeter dehors, elle était juste insupportable, tu ne supportais plus de la voir et surtout après avoir découvert qu’elle avait un gosse et qu’elle t’en avait jamais parlé. Tu soupires avant de reculer et la regarder désespérément. En même temps elle avait raison de ne pas avoir peur de toi, tu n’allais quand même pas la frapper, tu n’étais quand même pas aussi con que ça. Puis les menaces avec elle, ça n’allait pas vraiment marcher donc mieux vaux te calmer avant que tu ne pètes intérieurement un câble. Tu la regardais balancer ton oreiller par la fenêtre et attrapais rapidement la couette avant qu’elle ne la balance, tu la remets sur ton lit avant de regarder, choqué, la fenêtre puis reposer ton regard sur Maggie. « Mais t’es sérieuse toi ?! » Demandais-tu choqué, à vrai dire elle n’avait pas vraiment l’air de blaguer mais ce n’est pas pour autant que tu allais lui dire que tu te sentais trahit par rapport à ce qu’elle t’avait caché. Tu étais vraiment hors de toi à ce moment, quand elle commence à chauffer et faire la maline, ça te met au bout et t’énerve à un point… Tu aurais préféré la jeter au lieu de l’oreiller. « T’es pas la première à me l’avoir dit. » Disais-tu en faisant référence à son « t’es un gros con », tu le savais ça, pas besoin qu’elle te le dise et le répète.   « On l’était avant que tu ne foires tout avec… C’est bon, vas-y, balances ce que tu veux, tu me fais chier ! » Tu allais le dire, à quelques secondes prêt, tu repartais à la salle de bain laver ton visage encore endormi et essayer de te calmer, elle est vraiment bonne pour te mettre au bout des nerfs celle-là. Tu relevais ta tête. « Tu veux toujours pas foutre le camp ? » Disais-tu assez haut pour qu’elle arrive à t’entendre, tu l’aimais bien Maggie quand même, tu le disais à contre cœur vu que tu ne voulais pas vraiment lui dire que tu étais légèrement blessé qu’elle t’ait caché le fait qu’elle avait un enfant.
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Je sais que mon comportement est totalement puéril et stupide, le pire c’est que d’habitude j’ai plus de self contrôle que ça. Mais non il me fait péter un peu. C’est peut être une accumulation de pleins de trucs je ne sais pas. Jeter son oreiller par la fenêtre n’était pas l’idée du siècle et probablement que demain quand j’y repenserais j’éclaterai de rire mais pour le moment ce n’est pas le cas. Il y’a plusieurs sentiments qui se bousculent en moi, la colère, la tristesse et l’incompréhension. Je n’aime pas ne pas maitriser les choses et la je ne maitrise rien du tout et surtout pas moi. « Mais que je foire tout avec quoi putain qu’est-ce que je t’ai fais ? » Je suis frustrée vraiment de son attitude. Il a le sang chaud mais moi aussi. C’est peut être pour ça qu’a l’époque nous nous entendions si bien, l’époque pas si lointaine que ça. Il fuit dans la salle de bain mais ça va pas se passer comme ça je décide de le rejoindre. La salle de bain étant assez petite il se retrouve face à moi. Je ferme la porte à clé. « Tu sais quoi c’est assez simple toi et moi on ne partira pas d’ici avant que tu ne m’ai donné une explication. » Oui façon j’ai tout mon temps je m’enfou mais je ne partirai pas sans savoir ce qu’il a me reprocher.  Du coup j’essaye de me calmer un peu car de toute manière ça ne rime à rien de s’énerver « Tu sais Ken ça me fait beaucoup de peine cette situation. » J’ai besoin de lui c’est mon ami enfin c’était mon ami.
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Super ! Maintenant elle t’enferme dans ta propre salle de bain, tu devais vraiment te calmer, tu regardais la porte, essayais de l’ouvrir mais elle était fermée à clef, tu soupire et l’écoute parler avant de t’asseoir par terre, croisant les jambes et attendant que la demoiselle se décide pour t’ouvrir, tu poses ta tête contre le mur et attend… Non, en fait tu ne peux pas attendre, tu étais la personne la plus impatiente au monde. Tu tournais ta tête vers la porte et soupirais longuement, essayant de te calmer. « Maggie arrête de faire l’enfant et ouvre bordel ! » Ta phrase avait commencé doucement avant de finir par un cri, ça allait mal finir cette histoire, tu détestais te sentir emprisonné, tu donnais un violent coup à la porte avant de te mettre à crier, oui, quand tu cris, c’est que ça va vraiment mal. « Ouvres cette merdique de porte ou je la défonce et je te défonce avec ! » Tu te relèves et pose la main sur le poignet. « C’est bon, on a compris que je te manque maintenant ouvre cette foutue de porte j’ai pas envie de te faire mal Maggie… me pousses pas à bout, tu me connais ! » Tu en devenais incapable de te retenir, tu étais vraiment enragé. Les endroits clos, tu avais horreur de ça, tu donnes un coup avec ton épaule à la porte avant de t’éloigner, il fallait que tu fumes mais tu n’avais pas de cigarettes… Manque plus que ça. Tu poses ton front contre un mur et respire profondément avant de donner un violent coup de poings sur le mur, il fallait que tu te calmes et pour la peine, tu t’es fait bien mal mais tu ne ressentais pas la douleur sur le coup vu que tu étais vraiment énervé, bizarre elle ne voulait que des explications, tu avais juste horreur du chantage et ça avait la fâcheuse tendance de t’énerver et bien profondément.
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J’enchaine connerie sur connerie avec lui et je sais plus vraiment quoi faire pour qu’il me parle. Je l’enferme dans sa salle de bain. Il n’a pas l’air d’apprécier vu comment il hurle. Je m’assois sur le lit 5 secondes pour réfléchir mais qu’est-ce qu’on fabrique ? On dirai deux fou simplement deux fou qui se déchirent sans comprendre pourquoi ni comment. Je prends ma tête entre mes mains ça ne ce passe pas du tout comme je l’avais prévu. Je pensais que nous discuterions comme deux adultes mais tout ce qu’il trouve à faire c’est m’agresser. Pourquoi je m’accroche autant à un pauvre type pareil. J’ai l’impression que plus il me traite mal plus j’ai envie de savoir pourquoi. J’entends un grand bruit sourd provenant de la salle de bain il frappé de toutes ses forces contre le mur. Je me précipite pour ouvrir la porte de la salle de bain. « Mais tu es un grand malade putain arrêtes » Je m’approche de lui on va pas dire qu’il me fait peur mais je préfère me méfier quand même il a l’air tellement énervé je sais pas de quoi il est capable. Je regarde sa main il doit avoir mal « Tu t’es fait mal ? Montres moi » Je sais qu’il va me repousser mais je ne le laisse pas faire je regarde sa main il doit vraiment souffrir. « On se comporte comme des cons tout les deux écoutes je te ficherai la paix si c’est ce que tu veux mais je veux juste une explication » Si il veut plus me voir et bien qu’est-ce que je peux y faire j’ai pas la force de me battre contre lui.
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Elle t’ouvrait finalement la porte et tu soufflais enfin, parce que si elle avait tardé encore, tu aurais frappé le miroir cette fois-ci, histoire de te calmer. Elle n’avait pas l’air très rassurée, après tout, tu avais vraiment frappé fort et tu commençais à sentir un peu ta main te faire mal. Elle voulait que tu arrêtes tes coups de poings et demande à voir ta main, non elle ne demande pas mais la prends carrément pour la regarder, tu relèves ta tête pour regarder Maggie mais tu ne bouges pas d’un poil, disons qu’un autre aurait très vite pris peur de ton calme soudain. « Tu comptes me faire un bisous magique comme tu le fais à ton gosse peut-être ? » Tu n’étais pas vraiment très gentil dans tes paroles, tu retires très vite ta main de la sienne et la regarde longuement, elle demande des explications ce qui a le don d’encore plus t’énerver. Tu serres fort ton poing et commence à parler fort, mais vraiment crier très fort, surtout que la pauvre était en train de souffrir des oreilles vu que tu t’approchais d’elle en même temps. « Ne me fais pas chier avec cette putain d’histoire Maggie je n’ai pas envie de te frapper et j’ai encore moins envie de te perdre ! » Disais-tu, continuant à t’approcher la forçant à marcher à reculant. Tu grimaçais vu que ta main commençait à te faire mal, tu avais tapé vraiment très fort, tu sortis de la salle, tu avais envie de frapper quelque chose, n’importe quoi… Tu faisais alors tomber tout ce qui se trouvait sur la commande avant de te retourner, regardant maggie avec une froideur qui intimiderait plus d’un. « Tu me rappelle des souvenirs que j’aurais préféré oublié à jamais… » Criais-tu encore plus fort, tu serrais de plus en plus ton poing. « Tu me rappelle que mes putain de géniteurs merdiques m’ont pris pour un assassin… » Tu te mordillais la lèvre inférieur pour te calmer mais rien n’y fait. « Tu me prouves à quel point tu ne me fais pas confiance, tu crois que je tape tout ce qui bouge ou quoi ? Tu crois que je défonce tout le peuple ? » Tu ne savais pas où aller et tu étais beaucoup trop près de Maggie, tu pourrais la pousser et tu ne veux même pas lui faire mal, tu te recule jusqu’à te plaquer contre le mur et glisser tout le long de celui-ci, finissant par terre, tu pris ton visage entre tes mains et regarde le sol, tu te calmes petit à petit. « Arrêtez de me prendre pour un salaud… Par pitié, arrête de croire que j’en suis un.. »
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