Vente aux enchères Cabots | Ouvert à tous

Ayant remarqué que d'autres garçons misaient sur la belle Jasmine, Andrew avait misé 700 $ pour obtenir la jeune femme. Il avait attendu pour voir si d'autres personnes allaient surenchérir mais quelques minutes passaient sans qu'il n'y ait des enchères plus importantes que sa mise actuelle donc le présentateur de la soirée avait finalement annoncé qu'il avait remportée la jeune femme. Drew était fier de lui mais en même temps, il était légèrement déçu parce que 700 $ n'étaient qu'une toute petite somme alors que la jolie Cabot valait bien plus que cela mais il semblerait que les hommes ce soir avaient peur de se faire tuer par leurs petites amies s'ils osaient acheter l'une des filles qui défilaient... Qu'importe, il avait remporté celle qu'il souhaitait et la voilà désormais qui venait vers lui... Il sourit poliment alors qu'elle le regardait d'un air mauvais comme si elle n'était pas du tout contente qu'il l'ait achetée : cette réaction était prévue dans le plan machiavélique du jeune homme ! Mais ne pensez pas qu'il cherche à renouer avec la belle blondinette... Elle ironisa en le félicitant de l'avoir remportée. Drew se leva doucement et lui fit une bise sur le dos de la main comme il sied à son rang de Noble avant de répondre d'une voix polie : " Merci bien très chère ! Nous avons à parler, il est grand temps qu'on puisse avoir une réelle conversation. Nous aurons toute une soirée pour cela ! "

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Une vente aux enchères afin de récolter des fonds pour la maison des roses; cette idée pourrait paraître malsaine et pourtant c'était ingénieux! En tant que vraie cabot, je me devais de participer à cet événement et de me prêter au jeu. Je me tenais dans les coulisses avec touts les autres filles qui étaient toutes aussi paniquées que moi. Je venais tout juste d'enfiler mon costume et pour l'occasion je me glissais dans la peau de la fée clochette. Pourquoi ce choix de déguisement? Parce que j'ai toujours été une fan inconditionnelle de ce personnage et que j'avais craqué sur le costume dès que je l'avais vu en vitrine. Il était fait pour moi, je me devais de jouer ce rôle le temps d'une soirée pour faire tourner la tête de tous ces messieurs présents dans la salle. D'un oeil curieux, je balayais le public, repérant plusieurs visages que je connaissais, ce qui ne fit qu'alimenter mon stress. Je décidais de me reculer, observant de loin l'entrée en scène de mes compatriotes, et en ce moment-même c'était le rôle de Valentine. Elle était resplendissante dans ce costume, sans doute allait-elle faire tourner la tête de ces messieurs. Un large sourire se tenait sur mes lèvres en la voyant, avant que je ne porte mon attention sur une cabot que je ne connaissais que de visage (Sally). Je m'avançais vers elle, la voyant tout aussi en état que moi. « Toi aussi tu es nerveuse? » lui demandais-je alors qu'un fin rire m'échappa.

J'étais surprise de la personne m'ayant achetée, c'était certain. Je ne m'attendais pas du tout à croise Jeno ici, et encore moins à ce qu'il enchérisse sur moi, après m'avoir vu défoncée, et ce n'était vraiment pas beau à voir. Mais j'trouvais ça drôle qu'il vienne, ça m'amusait, je trouvais ça flatteur, même si je me doutais que mon cousin allait pas adorer me voir partir avec un dealer, et que lorsque mon frère l'apprendrait, il viendrait me faire un sermon aussi. Mais c'est pas de ma faute, c'est pour la Cabot House, j'ai une excuse parfaite. Son bras sur les épaules, je lui demandais si il avait d'autres personnes à acheter, mais visiblement il avait fini. " Comment ça, trop grosse? Fais attention à ce que tu dis ! " Répliquais-je en riant. Oui, y'a une façon plus délicate de m'inviter à sortir d'ici que de me dire que j'suis plus grosse d'un paquet de nouilles, en fait. Réajustant mon casque sur la tête, je me dirigeais vers la sortie.

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Au tour de Valentine seulement un garçon misa sur celle ci. Une belle somme heureusement. Le présentateur prit donc à nouveau la parole. "500 $ une fois, 500 $ deux fois, 500 $ trois fois. Valentine revient au jeune homme." Il montra Dexter et laissa la demoiselle descendre de la scène afin de laisser la place à la suivante. "Acceuillons désormais Elia, une jolie brune de 23 ans. Etudiante en danse et en anglais, elle sera vous faire bouger. Avez vous envie de suivre le mouvement avec cette danseuse qui le temps d'une soirée sera une héroine ?" Montrant le bras vers la scène, le présentateur la laissa faire son entrée et ainsi lancer les enchères.

Enchères cabots ღ

J'avais observé depuis le début chaque fille faire son show et chaque enchère. Elles avaient toutes réussis à remporter des sommes assez importantes, mais quand j'entendis mon prénom je commençais à paniquer. A la base je pensais être certaine d'être acheté, mais désormais c'était plus le cas. J'avais plus de petit ami pour ça et je craignais que personne ne mise sur ma personne. Ca serait quand même un comble d'être la présidente de la maison et être la seule qui ne remporte aucune somme d'argent ou la plus mauvaise. Oui j'avais la pression mais je devais me lancer. C'est pourquoi j'avançais en souriant dans ma tenue de b dazzle. En violet on voyait que moi et avec mes chaussures hautes en cuir également. Normal étant la seule sur scène aussi. Le masque sur mes yeux, arrivant à côté du présentateur je soulevais celui ci pour le mettre sur la tête. Je regardais chaque personne présente tentant de garder le sourire et de tenir le coup. Pitié que quelqu'un mise.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

Bon et ben voilà, c'était son tour. Moi qui était resté assez longtemps dans le fond de la salle à regarder comme les autres filles défilaient, j'avais attendu impatiemment à ce que ce soit son tour. Juste pour l'acheter. Juste pour m'barrer juste après. Je n'aimais pas vraiment l'ambiance et mon bras ainsi que ma tête me faisait un mal de chien. M'avançant dans la foule, j'élevais la voix pour m'annoncer et avoir celle qui se disait être ma fiancée et que je ne reconnaissais pas. « 100 $ »

Flanant dans les rues d’Imman Square avec des potes, je finissais par les quitter pour rentrer, mais en allant en rentrant, une scène attirait mon attention. Des jeunes femmes sortaient d’une sorte de gala avec des mecs. D’ailleurs, il semblait y avoir de l’alcool et de la nourriture. Pourquoi rentré, alors qu’on me servait une soirée sur un plateau d’argent ? Vêtue d’un jean levis noir, d’un t-shirt bleu marine et d’une veste en cuir, j’entrais dans cette soirée sans carton d’invitation. Pour cela, j’avais dû faire la cours à deux demoiselles. En rentrant, je fus surpris de constater que ses jeunes femmes étaient mises en vente pour une œuvre de charité. Il nous faisait quoi, un remake des maisons closes ? C’est ainsi, prostré au milieu des jupons, que je découvrais le type qui m’avait aidé à dégommer la tête de deux autres gars. Je ne connaissais personne et on risquait de me demander comment j’étais venu, aussi, je me rapprochais de lui, alors qu’il pariait sur une jeune femme plutôt mignonne. « 102 » J’avais bien envie de m’amuser ce soir. « Alors ça va mec ? »

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« 102 » Oh oh. Tournant uniquement mon visage sans bouger le reste de mon corps, vers la nouvelle personne (Diego) qui venait de s'incruster dans la soirée, je reconnu instinctivement le type qui avait failli se faire dégommé la face si ça n'avait été grâce à mon intervention. Il semblait d'humeur joyeuse, préparer à bien me faire chier. « Alors ça va mec ? » Souriant alors à mon tour, je pris cela comme le coup du destin. « Ça va, merci et toi ? » Je reportais alors mon visage vers la scène. « 104 $ » Pourquoi ne pas monter plus ? Je ne sais pas mais deux dollars par-ci, deux dollar par-là c'était bien plus marrant.

Mettre de l’ambiance dans une vente de charité, n’était pas interdit ? Sérieusement, autant rendre leur tâche plus agréable. C’était comme les mecs qui se vendaient. Pour moi, c’était du proxénétisme ! Eh ouais, rien que ça ! « Ça va, merci et toi ? » Affichant un sourire narquois, je lui répondais, tout en prenant une coupe de champagne sur un plateau. « Plutôt. Dit donc, j’savais pas que les confréries créaient des petites sauteries contre de l’argent » Le jeune homme surenchérissait avec cent quatre dollars. Sérieusement, ce n’était pas l’argent qui manquait dans ma famille, mais titiller ses dames étaient beaucoup plus amusant, que de tout leur donner tout de suite. « 106 ! »