A ce moment précis j’aurais été bien incapable de définir si une relation plus approfondie sexuellement parlant aurait été envisageable ou pas entre la belle blonde aux formes généreuses et moi-même. L’envie y était bien sûr puisqu’une femme aussi jolie ne pouvait pas laisser de marbre et le fait qu’on soit aussi proches physiquement depuis le début du vol n’avait rien pour m’empêcher de la culbuté mais j’étais partagé… Je n’avais pas envie de la niquer un coup et de passer autre chose, j’étais curieux et une envie de passer un peu plus de temps à en apprendre davantage sur sa vie naissait en moi. Etrange pour celui qu’on surnommait déjà Dom Juan je vous l’accorde et pourtant c’était la stricte vérité, de toute manière je n’étais pas un homme à femmes comme on pouvait le dire depuis le début de l’aventure, qui m’étais-je tapé dernièrement à part Maxwell ? Personne. « Mais je suis ravi jeune fille. » Je souriais déposant une petite série de baisers dans son cou d’une manière chaste bien sûr. La petite blonde m’avouait ensuite qu’elle se sentait libre et qu’elle connaissait ses limites, tant mieux pour moi. « Et où sont tes limites ? Au moment où les choses deviennent sexuelles ? Non parce que je ne voudrais pas te tenter si tu te refuses des trucs… C’est pas le style de la maison. » Je souriais amusé, en temps normal j’aurais pris un malin plaisir à la pousser dans ses retranchements et peut-être que j’allais bientôt passer au niveau supérieur ? Pas dans l’immédiat en tout cas. Elle posait ensuite ma main contre son intimité, mon dieu mais elle ne se doutait pas qu’elle tentait le diable ? Bien sûr que si et sa main contre ma cuisse me prouvait qu’elle prenait un malin plaisir à m’exciter, ma main restait contre sa petite culotte que je caressais sensuellement voulant la faire languir moi aussi. « Tu sais que ce que tu fais est très dangereux ? Je suis une bête de sexe après tout. » Je déposais quelques baisers contre son épaule laissant ma main s’aventurer parfois sous le morceau de tissu qu’elle avait encore sur le corps. Nous changions une nouvelle fois de position, elle s’allongeait sur les deux sièges et je venais l’entourer d’un bras pour éviter qu’elle ne se retrouve dans une position trop inconfortable. « Tu ne risques pas de t’endormir… Je vais te tenir en haleine. » Histoire de lui donner un petit aperçu je m’approchais d’elle lui déposant un baiser à la fois sauvage et sensuel sans pour autant aller trop loin, je reculais un petit sourire sur les lèvres. « Et si tu m’en racontais davantage sur toi ? »
Accueil
