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DIELA ❥ Por qué me has hecho esto ? dimelo...

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Nous étions là face à face comme deux abrutis ; l'un voulait des retrouvailles, l'autre feintait, faisait mine de ne pas les vouloir alors qu'une seule chose l'animait maintenant une joie profonde à l'intérieur de son cœur brisé depuis trop longtemps. Je l'écoutais en ne bronchant pas. Effectivement, mes traits restaient sans grandes émotions parce que je ne voulais rien montrer surtout quand il confirma ne pas savoir d'un espagnol simple. Il me poussa donc à froncer méchamment des sourcils parce qu'il me décevait grave, m'énervant plus non plus et je répondais sans honte, m'énervant plus : No se ? No sé cari ? pero normalmente Sabe cuando hacer sufrir una persona que esta... como su hermana... cabron ! Je l'insultais parce que le sang me montait à la tete, je n'en pouvais plus mais sans que j'y fasse attention, il poursuivait : «Disculpame de hacerte sufrir » Je baissais le regard vers le sol, ne sachant quoi faire parce que ouais, ça changeait tout ... il ne s'excusait jamais. Si il n'avait pas changé, jamais, il ne s'excusait auprès de quelqu'un ou alors il détournait la chose. Il l'avait l'air sincère en plus. No sé ... quiero disculparte! Je prenais ma tete entre mes mains, revoyant ces images de mon enfance, levant alors mon regard vers lui, brisant toute barrière, connectant nos yeux pour lire en lui et je sentis ce contact de toujours revenir, qui était resté en lui. Je fonçais alors dans ses bras ; Te quiero mucho cari ... Avais-je murmuré avec une certaine émotion. Je lâchais prise.
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No se ? No sé cari ? pero normalmente Sabe cuando hacer sufrir una persona que esta... como su hermana... cabron ! Je ne savais même plus comment me défendre. Je savais que j’étais fautif et que je lui avais fait du mal. Même lorsqu’elle m’insultait, je ne réagissais pas, acceptant ses mots sans broncher. La tristesse gagnant mes yeux, je détournais le regard un instant, car je refusais qu’elle me voit ainsi. J’étais trop pudique envers moi-même pour l’autoriser à voir cette facette. Soudain, alors que je pensais m’avoué vaincu, je fis une chose que je n’avais jamais faite, mais que elle seule méritait : je m’excusais, lui demandant pardon pour toutes les erreurs que j’avais commises, pour tout le mal qu’elle avait pu ressentir par ma faute. No sé ... quiero disculparte! Alors, c’était tout ? Est-ce qu’on devait s’ignorer une bonne fois pour toute ? Accepter de lui parler et ne pas fuir, avait été une épreuve difficile. Être avec elle, c’était faire face à mon passé, faire face à mes erreurs et mon déshonneurs. Relâchant son bras, je commençais à faire demi-tour, lorsque je sentis son corps percuter le mien. Te quiero mucho cari ... L’enserrant dans mes bras, je posais sur une main sur sa tête, tout en fermant les yeux pour savourer mes retrouvailles avec celle que j’avais longtemps considéré comme étant ma sœur. « Yo tambièn… » murmurais-je.
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Et nous étions l'un et l'autre surement pétrifié à l'idée de ne plus se parler alors j'avais décidé de lâcher prise. Un lâcher prise dure à faire vu la fierté mais tant pis ! Simplement, je le regardais et je fonçais dans ses bras. J'appréciais alors une étreinte naissante d'un amour sincère de deux personnes d'une meme famille s'aimant plus que leur simple lien de cousins, des frères et sœurs simplement. Je me sentais heureuse de cette retrouvaille et par sa tendresse dans l'étreinte, je compris que lui aussi. ça me rassurait sur ces intentions et sa sincérité. Je desserrais ensuite notre étreinte pour le regarder en gardant mes bras à son cou. Parle-moi de toi Diego ... Dis-je en versant les larmes que je gardais depuis quelques longues minutes. Je tentais de rapidement tout cacher en essuyant déjà mes yeux mais il semblait que cela soit impossible de cacher alors je me mordais les lèvres, énervé.
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La sentir dans mes bras me fit un drôle d’effet. Elle m’avait tellement manqué. En même temps, la revoir était douloureux, car elle me rappelait mon comportement et de ce que j’avais perdu. Je fermais les yeux, profitant de nos retrouvailles. Parle-moi de toi Diego ... Cordélia venait de se décoller de notre étreinte et malgré ses mains, ses larmes ne m’échappaient pas. Du bout du pouce, j’écartais une larme. La voir pleurer pour moi, me touchait au plus profond. Prenant ses deux mains dans les miennes, je soutenais son regard. « Que veux-tu savoir ? Je viens d’arriver de Princeton, je suis en anthropologie et en sport. A part ça, ce n’est pas important, mais en revanche, toi tu l’es. Alors raconte-moi plutôt, ton parcours de l’Espagne à ici » Pour ne pas gêner les passants, je l’emmenais sur un petit banc à l’extérieur du hall. Ainsi, nous serions plus tranquilles pour parler librement. Je voulais tout savoir d’elle et ce qui l’avait amené ici. Néanmoins, je n’osais pas lui demander comment allait notre grand-mère et ce qui c’était passé en Espagne, suite à mon départ. Je n’étais vraiment pas prêt pour ça.

Musique *-*
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Diego se sentait touché apparemment. Je le voyais dans l'ombre de ses yeux mais je ne savais pas vraiment si je devais pas me méfier. J'avais peur de tout. Je regardais mon frère, mon cousin et je le laissais faire, touchant mes joues en essuyant quelques larmes gentiment, n'aimant surement pas voir pleurer quelqu'un ou moi simplement. Je tenais tellement à lui malgré toute notre séparation. Je le regardais donc poursuivre en attrapant mes mains et les serrant bien fort : « Que veux-tu savoir ? Je viens d’arriver de Princeton, je suis en anthropologie et en sport. A part ça, ce n’est pas important, mais en revanche, toi tu l’es. Alors raconte-moi plutôt, ton parcours de l’Espagne à ici » Il me mena ensuite vers un petit banc dehors pour plus de tranquilité et je le regardais avec impression, oui, il me faisait forte impression à me regarder comme ça, a avoir l'air si sincère et touché. je m'étonnais d'ailleurs. Je souriais donc très timidement et lui répondais : Oh si tu m'intéresse... tu es intéressant ! Je suis allée à Oxford à mes 18 ans pour concrétiser mes reves de couture, danse, tu vois ... j'allais souvent à NY pour voir les parents et je trouvais des jobs mode là-bas puis je suis arrivée ici y a presque deux ans maintenant ...Je baissais le regard honteuse parce que je savais qu'on se moquait souvent des matières et des trucs du genre, artistique ou mode parce que c'était pas considéré comme de l'intellectuel. Je voulais pas qu'il soit déçu mais j'avais peur pourtant. Je poursuivais, chevrotante dans la voix : Je sais pas ce que tu veux savoir d'autres ...
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Sortant du hall, je l’emmenais à l’abri des oreilles indiscrètes sur un banc à l’extérieur. Ne lâchant pas sa main. Il n’y avait qu’elle pour réussir à percer le masque que je portais en permanence. Seule, Cordélia arrivait à me rendre sensible. Oh si tu m'intéresse... tu es intéressant ! Je suis allée à Oxford à mes 18 ans pour concrétiser mes reves de couture, danse, tu vois ... j'allais souvent à NY pour voir les parents et je trouvais des jobs mode là-bas puis je suis arrivée ici y a presque deux ans maintenant ... A l’évocation de ses études, j’esquissais un sourire en la revoyant créer des vêtements pour ses poupées dans les rideaux de la grande villa espagnole. Puis, elle changeait de discours en me parlant de New-York. Je savais qu’elle y venait pour avoir été prévenu de nombreuses fois par nos parents. Seulement, j’avais refusé de les rejoindre, car je ne voulais pas revoir ce que j’avais laissé derrière moi. A l’époque, je ne voulais pas affronter mes erreurs et même encore aujourd’hui, j’avais beaucoup du mal. Lui parler était un sacré effort pour moi. Je sais pas ce que tu veux savoir d'autres ... Sa voix légèrement tremblante, me laissait penser qu’elle était aussi stressé que moi ou alors, avait-elle du mal à croire en nos retrouvailles ? « Et tu t’en sors bien ? Je veux dire, c’est bien qu’t’es réalisé tes rêves. » J’étais maladroit et quelques peu désemparé. « Et tu te plais ici ? » Assaillis par plusieurs émotions, je lâchais sa main et sortait une cigarette de ma poche. Stressé, j’en oubliais toute civilité. « Ça te dérange ? » disais-je en lui désignant ma cigarette.

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Il avait l'air si réel, si présent, si vrai que je tentais réellement de croire à ces retrouvailles tant espéré durant des mois. Je ne savais pas si je devais me faire trop d'espoir. Je tentais vraiment d'y croire mais c'était compliqué honnêtement. Je le regardais me demander si j'avais réaliser mes rêves, si je m'en sortais. Je souriais. Il avait trop de questions, je n'avais presque plus le temps de répondre du coup, c'était déroutant... Si je me plaisais ici, des choses du genre. Soudain, sous la panique, le stresse ou je ne sais quoi, il lacha ma main en me regardant toujours sortant une cigarette pour en fumer une mais il me regarda étrangement avant de me demander à nouveau un chose : si la cigarette me dérangeait. Je rigolais soupirant en répondant : Tu as trop de choses à me demander toi dis donc ... Je rigolais en reprenant l'une de ses mains. J'étais tellement à la recherche de la vérité sur sa presence ou non. Je souriais comme une débile en mode complètement gaga et je me dépéchais de lui répondre à quelques questions en vrac ; Ouais écoute je suis bien ici ... j'ai tenté de m'y remettre après la bombe et ça allait ! Je suis bien dans mes cours et je me sens bien .. je demande rien d'autres et toi ?
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« Tu as trop de choses à me demander toi dis donc ... » En effet, je n’arrêtais pas de lui poser des questions, mais nos retrouvailles avaient le don de me mettre mal à l’aise. Il n’y avait qu’elle pour me mettre dans une telle position. Haussant les épaules, j’allumais ma cigarette et prenais une taffe vu que cela n’avait pas l’air de la déranger. » Ouais écoute je suis bien ici ... j'ai tenté de m'y remettre après la bombe et ça allait ! Je suis bien dans mes cours et je me sens bien .. je demande rien d'autres et toi ? » La savoir heureuse me suffisait amplement. Surtout que je n’avais pas été présent pour elle durant presque dix ans. La bombe…J’avais occulté cet incident de ma mémoire. A cette époque, j’étais encore à Princeton. Je ne savais pas que Cordélia y était, étant donné que je refusais de savoir quoi que ce soit sur sa vie. « Je ne savais pas que tu y étais…Mais tu vas bien et c’est le principal »[/color] M’allongeant à moitié, la tête en arrière avec les bras appuyés sur le dossier du banc, je m’apprêtais à lui en dire un peu plus sur moi. « J’étais à Princeton avant de venir ici et j’avais besoin de changer de coin. » Je n’aimais pas rester longtemps au même endroit et quatre ans et demi, était amplement suffisant. « Tu es rentré dans une confrérie ? » Ce n’était pas un détail important en soit, mais je n’aimais pas ce système et je ne voulais pas la voir dans ce genre de merdier. Si elle avait adhérer à une sororité, je ne pourrais rien dire, car ce n’était pas légitime. J’avais mis se rôle de côté pendant dix ans, alors je n’avais aucun droit de regard sur ses activités.

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Je le sentais attentif à ce que je lui racontais et vivement intéressé ce qui me faisait plaisir mais ce qui me réjouissais plus encore ; c'était de le voir comme ça face à moi. J'étais réellement heureuse de me retrouver avec lui malgré le mal fait. Je devais dire que la boule ne pourrait surement jamais partir mais si j'avais passé si vite la pommade dans mon esprit pour parler comme ça, gentiment, c'était simplement en souvenir de notre amour fraternel passé. Je ne savais pas trop comment développer tout ça mais en tout cas, je me rendis bien compte de tout ce temps passait l'un sans l'autre car il ne connaissait rien à mon parcours en haute étude alors quand je parlais de la bombe, je le vis d'abord changer de visage puis il relativisa en remarquant simplement que c'était passé et que j'allais bien. Je souriais et m'installa plus confortablement sur le banc. Enfin, il comprit que moi aussi je voulais en savoir plus et me donna un petit détail surement pour que je comprennes pourquoi il avait pas tout de suite pensé à la bombe. « J’étais à Princeton avant de venir ici et j’avais besoin de changer de coin. » J’acquiesçais tout en faisant une moue fière du parcours de mon cousin alors que déjà, il me demandait une nouvelle chose ; si j'étais dans une confrérie ? Je souriais. Je ne savais pas pour lui mais moi, j'étais pas spécialement pour donc j'espérais ne pas le decevoir mais après tout, chacun son opinion. Je lui dis alors : Bon ... je dois avouer que je ne suis pas très confrérie donc non du tout... je suis hors confrérie ... Dis-je en souriant avant d'ajouter ; mais je suis dans le club de danse et de cheerleading ! Dis-je souriante et rayonnante.
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Je me demandais si elle était du genre à aller dans les confréries. Je ne jugerais pas son choix, mais je trouverais ça dommage. « Bon ... je dois avouer que je ne suis pas très confrérie donc non du tout... je suis hors confrérie ... mais je suis dans le club de danse et de cheerleading ! » Haleluya, elle avait tout compris ! Je préférais la voir en tant que simple étudiante, plutôt que dans ses conneries de fraternités. Pour ses clubs, cela ne m’étonnais pas. Elle était vraiment douée en danse et ses deux sports lui permettraient d’améliorer ses compétences. « Pas mal. On risque de se croiser alors. Je fais du football américain et de la boxe » Mon ancien psychologue, me disait que des sports intensif, m’aideraient à exprimer mon agressivité ou du moins apprendre à la contrôler. Ces deux sports m’offraient cette opportunité. « Tu vas jouer du pom-pom pour moi » disais-je en ricanant. Je l’imaginais bien dans petite tenue en train d’hurler des encouragements. J’esquissais un sourire en continuant de fumer.  

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