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DIELA ❥ Por qué me has hecho esto ? dimelo...

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Aucun moyen de comprendre. C'est comme si on m'observait, sans m'observer en fait. On me fuyais, ce mec me fuyais et je le voyais toujours de dos pourtant il ne me semblait pas inconnu. Je ne comprenais réellement pas et si il était bel et bien mon cousin, ça risquait de barder pour lui de fuir ainsi. Chaque jour, à 10 Heures, je le voyais passer là. Je le voyais traverser le hall pour aller je ne sais où. Un regard sur mon petit-déjeuner à la cafétéria et je me décidais à confronter l'individu. Je courrais peu de temps avant l'heure dans le Hall, m'appuyant contre un mur, magazine de mode devant le nez pour me cacher et regarder au dessus. Hop. Le voilà qui passait. Je fonçais sur lui et l'attrapais violemment par le bras : Alors comme ça ... en plus de m'abandonner... tu m'évites maintenant !? J'avais dit ça d'une voix sèche, atrocement méchante et désespérée.
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Voilà quelques semaines que j’étais arrivé à Harvard. Cet endroit me changeait de Princeton. L’ambiance y était totalement différente et les gens, un brin plus accueillant. Vêtue d’une veste en cuir et d’un simple t-shirt blanc mettant en valeur mes abdos, je traversais le hall, évitant soigneusement le réfectoire. Il y a quelques jours de cela, j’avais crus reconnaître une personne que je ne pensais jamais revoir : Cordélia. Elle était ma cousine et avait été à une époque, ma petite sœur. Les choses avaient changés lorsque j’avais été envoyé en pensionnat de redressement. En partant, je n’avais pas su tenir ma promesse. Je l’avais abandonnée et ne m’étais pas calmé pour elle. Regrettant, cette traitrise, j’avais finis par ne jamais vouloir revenir en Espagne. Soudain, alors que je marchais rapidement pour sortir du hall, je sentis une petite poigne m’agripper le bras. Alors comme ça ... en plus de m'abandonner... tu m'évites maintenant !? A ses mots, je me figeais sur place, mes muscles se contractèrent en même temps, m’immobilisant sur place. Jamais, je n’aurais espéré réentendre sa voix. Cordélia était bien à Harvard. Chose que ses parents et les miens, c’étaient gardé de me dire. Inspirant un bon coup, je me défaisais de son étreinte pour lui faire face. « Cordélia…Je n’étais pas sûr que ça soit toi, si tu veux savoir… »
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Et je le regardais avec dégout, lui, qui m'avait promis. Tant de promesses pour aucun agissements en bonne et du forme. Il me donnait presque envie de lui cracher dessus juste pour lui faire croire que je ne ressentais aucune chaleur dans mon cœur en le voyant. Je serrais fort son bras comme si je me sentais pousser un force surhumaine, comme si j'avais super confiance en moi tout à coup, plus qu'habituellement. Soudain, il se libéra de mon emprise et se mit bien face à moi comme pour montrer dans sa fierté qu'il pouvait m'affronter, affronter mon regard. « Cordélia…Je n’étais pas sûr que ça soit toi, si tu veux savoir… » Une voix simple, douce, étrangement, vrai mais je le savais ou je le voulais bonne acteur. Je lui en voulais trop pour le laisser m'attendrir alors je tournais le regard, montrant comme du dédain et trop de haine pour lui. Je reprenais alors : Tu n'es qu'un menteur ... je te vois me fuir depuis quelques semaines déjà ... Je soupire et serre les dents dans mon énervement presque incontrôlable. Mon impulsivité se prouve encore. Tu ne veux pas me voir ... moi je voulais juste te voir une fois pour pouvoir te dire a quel point tu m'as déçu ... Dis-je sèchement.
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Elle me faisait face dans toute sa splendeur, me regardant avec un profond dégout. C’était un regard que je ne voulais pas voir dans ses yeux. Mon regard se portait sur l’apparence de la jeune femme, elle avait bien changé depuis nos quinze ans. Néanmoins, il existait toujours ce petit truc en elle, qui lui était propre. Être en sa présence était douloureux et me rappelais à quel point l’Espagne me manquait. Tu n'es qu'un menteur ... je te vois me fuir depuis quelques semaines déjà ... Ainsi dont, elle m’avait remarqué. Moi, qui avait cru passer inaperçus, c’était raté. N’ayant pas le temps de répondre, Cordélia reprenait la parole, mettant de l’huile sur le feu. Tu ne veux pas me voir ... moi je voulais juste te voir une fois pour pouvoir te dire a quel point tu m'as déçu ... Avait-elle besoin de me dire ça ?! Ses mots remuaient des mauvais souvenirs au fond de moi, faisant tournoyer le couteau dans la plaie. « Tu te fais des films. Je ne savais même pas que tu étais à Harvard, comment aurais-je pu être sûr de ton identité ?! Ça fait plus de 5 ans que l’on ne s’est pas vu. »
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Diego me regardait avec des yeux étranges comme me redécouvrant. Je ne me trouvais pas si changé ; des cheveux bruns devenus roux, un peu plus grande, un tout petit plus de formes... Non, je n'avais pas tant changé que ça ! Pourtant, il voulait me faire croire ça parce que à peine avais-je dit cela qu'il niait à nouveau : « Tu te fais des films. Je ne savais même pas que tu étais à Harvard, comment aurais-je pu être sûr de ton identité ?! Ça fait plus de 5 ans que l’on ne s’est pas vu. » Il cherchait à me faire croire que j'étais méconnaissable. Pourtant, je savais que ce n'était pas le cas et ça m'énervait qu'il me fasse croire le contraire quoique j'avais peut etre juste pas envie de croire que c'était réel qu'on avait autant été séparé. Ouais, c'est vrai ... toi par contre tu n'as pas changé ... tu trouves toujours des excuses ! Je soupirais et me détournais de lui. Je ne savais plus si je voulais parler avec lui au final alors je tournais les talons en lui disant : En fait ... c'était une mauvaise idée de venir de te parler ! On n'est plus rien l'une pour l'autre ! Dis-je las.
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Je sentais les reproches dans le ton de sa voix et cela commençait sérieusement à m’agacer. Je culpabilisais suffisamment, ce n’était pas la peine qu’elle en rajoute. Cordélia ne semblait pas me croire lorsque je lui disais qu’elle avait changé. Pourtant, c’était bien le cas, ses cheveux n’était pas aussi brun que dans mon souvenir. Elle avait donc fait une coloration. Face à moi, ce n’était plus une adolescente, mais une jeune femme. Ma cousine me reprochait de me trouver des excuses et pour tout dire, je me demandais si elle n’avait pas raison. Un dernier regard et elle baissait déjà les bras. Aussitôt retrouvé, je la reperdais à nouveau. Levant les yeux au ciel, je la rattrapais, la stoppant en attrapant son poignet. « Arrête ! » Je la forçais à me faire face, plongeant mes yeux bruns dans les siens. « Tu m’en veux, ok ! Et après ? Tu veux qu’on fasse comme si on ne se connaissait pas ? C’est ça que tu veux ? » J’étais en train de bouillir. Elle était si proche et si loin à la fois.
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Et je me sentais totalement désespérée de le perdre à nouveau mais la fierté était présente, je ne pouvais reculer et lui dire qu'il me manquait, c'était presque interdit. ça me choquait clairement de devoir me rabaisser et rester comme ça alors je ne fis rien. Je me contentais de partir mais évidemment, il sortit sa violence m'attrapant à son tour par le bras et me faisant violence pour que je lui fasse face. Je le regardais toujours avec une certaine haine ne voulant rien lâcher. Il me demandait d’arrêter... avait-il arrêter de me lâcher comme ça ? De disparaitre? non. Je le sentais péter un cable, partir en vrille intérieurement et là, je sentais qu'il était toujours le meme, celui que je connaissais, pouvais facilement comprendre et anticiper parce que là, je le voyais bouillir alors pendant qu'il parlait, j'entreprenais de me défendre en le poussant de mon autre bras. « Tu m’en veux, ok ! Et après ? Tu veux qu’on fasse comme si on ne se connaissait pas ? C’est ça que tu veux ? » Je ne savais plus ce que je voulais. Je ne savais pas alors je me contentais de le regarder, les yeux brillants et je tentais de tout retenir pour ne rien montrer à ce petit garçon transformait en un homme si fort. ça faisait 9 ans qu'on ne s'était pas vu mais tout mes souvenirs étaient encore là alors l'émotion montait en plongeant dans ses beaux similaires aux miens. No sé ... Diego ! No se porque creo que ... Je soupirais avant de reprendre et me perdre dans mes mots, tant je montais en ton : 9 ans que tu m'as zappé, que tu m'as enlevé de ta vie alors pourquoi voudrais-tu de moi maintenant ? C'est toi qui ne voulait plus de moi ...
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Elle me fuyait au lieu de m’affronter. D’un geste plus violent que je ne le voulais, je la retenais, enserrant son poignet d’une main. Son regard était noir d’une haine que je ne lui connaissais pas. Me détestait-elle à ce point ? Jamais, je n’aurais crus lui avoir faire autant de mal. No sé ... Diego ! No se porque creo que ... Je n’en croyais pas un mot. « Si lo sabes, pero no quieres decirme nada » Parler en espagnol. Rien que ça, c’était un exploit pour moi. Je le faisais rarement et lorsque je parlais ma langue maternelle, je le faisais dans un contexte professionnel. 9 ans que tu m'as zappé, que tu m'as enlevé de ta vie alors pourquoi voudrais-tu de moi maintenant ? C'est toi qui ne voulait plus de moi ... Voilà qu’elle recommençait à hausser le ton. Instinctivement, je l’attirais dans mes bras, la serrant avec force comme pour lui faire oublier sa douleur. Seulement, je savais que ce contact ne suffirait pas. La tenant dans mes bras, je réalisais à quel point elle m’avait manqué, à quel point j’avais eu besoin d’elle, mais comment lui dire, que j’avais eu peur de revenir, peur de lui faire face et de voir dans ses yeux, ce que je voyais en ce moment.
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Ouais, il pouvait rougir de me voir si mal, si mal de voir ce garçon qui était pourtant de mon sang mais avait lui aussi su me faire tant de mal. Je ne pouvais enlever ce regard noir de mes yeux tant j'étais choqué, mal de me souvenir que lui avait su me zapper si vite, si facilement. Il enserrait mon bras et malgré mes tentatives, c'était impossible de me défaire de cela. Il me faisait mal, mon poignet était engourdi mais peu importe, rien ne faisait plus mal que sa trahison et son abandon. Il avait accentuer le sentiment d'abandon, cette peur qui me faisait faire des choses illogiques, biatch parfois parce que j'avais toujours qu'on me laisse. Il me répondait en espagnol, chose qui me surpris vu comment il m'avait renié, j'aurai pensé qu'il avait renié ça aussi, tout a vrai dire. Je restais les yeux ronds alors que je m'énervais plus, le voyant se décomposer comme jamais, je ne me souvenais de l'avoir vu et plus un mot. Il s'avança et étrangement, mon cœur battait plus fort car les actions qui allaient suivre... ça me faisait clairement peur ; je devais pas tomber dans le panneau, lui faire des cadeaux. Il me serra dans ses bras si fort que je crus mourir mais en meme temps, mourir d'amour, de cet amour qui me revenait en mémoire : d'un cousin et d'une cousine dont le lien était indestructible, celui d'un frère d'une sœur, d'un petit garçon qui aurait pu tuer si on touchait un cheveux de sa brunette favorite mais je refusais tout ça, je refusais de pleurer mes souvenirs perdus. Je le repoussais violemment. Crees que puedes arreglarlo todo cogiendome entre tus brazos !? Je ne pouvais rien retenir et des larmes vinrent mouiller mon visage, mes joues principalement et ma voix commença à se briser : Y yo creo que no ... Por qué me has hecho esto ? dimelo... Avais-je dit en criant si bien que les gens se retournaient, ébahis.
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Des flashbacks me revenaient en mémoire, me rappelant à quel point elle m’avait manqué. Renoué avec une part de ma famille, c’était comme revenir en Espagne. Comme j’aurais dû m’en douter, elle me repoussait de toute ses forces, criant presque. Crees que puedes  arreglarlo todo cogiendome entre tus brazos !? Je ne daignais pas répondre, tellement la réponse était évidente. Bien sûr que cela ne réglait rien. Y yo creo que no ... Por qué me has hecho esto ? dimelo... Je baissais légèrement la tête, mes yeux ne quittant pas les siens. Pourquoi est-ce que j’avais fait cela ? Bonne question. Moi-même, je ne le savais pas. Si je n’avais pas fait le con, je ne serais jamais parti en pensionnat de redressement et si je n’avais pas eu honte, je serais revenu. Seulement, tout n’était pas aussi simple que l’on pourrait le croire. « No se… » Je continuais de lui répondre en espagnol, ne voulant pas être compris des passants. Parler cette langue paraissait si facile, alors que cela m’avait parus tellement difficile. «Disculpame de hacerte sufrir » Il n’y avait que Cordélia, qui avait le droit à des excuses. Seulement elle.   
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