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KIRCEÏ PARTY

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w/ Kirill Lindstam.

Ce sentiment fut étrange et à la fois désespérant. Je me détestais quand j'agissais de la sorte. Je ne suis en rien le héros de ses films, de ses séries, mais je sais aussi que je ne me laisse jamais abattre. Sauf durant ces moments fugaces où je laisse les émotions me transpercer pour me mettre KO. Je regrette d'être ainsi devant lui, je regrette qu'il se sente obligé de venir me retrouver pour assouvir une quelconque once de pitié à mon égard. Je déteste même le regard qu'il pose sur moi, comme si ma douleur pouvait l'atteindre. Je suis tellement heureuse, beaucoup trop d'ailleurs, qu'il est laissée cette conne sur la piste de danse pour me retrouver, mais j'aurai aimé que ça se produise autrement, qu'il ne s'imagine pas voir en moi une amie à consoler. Je déteste ce sentiment et c'est d'une manière foutrement maladroite que je tente de le lui dire, de lui faire comprendre. Que fais-tu là Kirill ? Qu'attends-tu de moi ? Je voudrais avoir assez de confiance en moi pour te montrer combien je suis une personne forte. Je voudrais trouver cette chance là, mais les phrases tournent en moi comme un tourbillon sans fin. Elles sont là, en moi, elles me transpercent, elles me font mal. Les mots, les rires, les expressions je n'arrive pas à les oublier, à ne pas les entendre. Kirill me regarde, je n'ose pas croiser ses yeux bien trop apeurée à l'idée d'y voir une expression que je n'aimerai surement pas. « Je n'ai pas pitié de toi. » Oh que si... J'avais cette impression de n'être qu'encore plus une moins que rien devant lui, le silence s'impose de lui même entre nous et je ne sais pas exactement ce que j'attendais de cela. Je voulais juste vider mon esprit un instant, un tout petit instant, ne plus rien penser, ne plus rien faire. Etre juste cette fille qui ne se soucie pas des autres. J'y arrive parfois, à me montrer forte face aux critiques, à ne pas sombrer ouvertement face à la méchanceté de ce monde. Mais ce soir c'était différent, une accumulation sournoise entre ce que je ressentais quand j'étais trop près de Kirill et l'effet que cela pouvait avoir chez les autres, ces gens qui je connais ou non, qui se permettent de me juger. Pourquoi ne le juge-t-il pas lui ? Pourquoi n'a-t-il pas droit aux phrases "mec qu'est-ce que tu fous avec un gros tas comme elle ?" Non, on s'attaque aux autres, aux faibles, aux différents, pas les autres. Chienne de vie tiens. « Regarde-moi dans les yeux, regarde moi. » Non non non... Kirill ne fait pas ça, ne fait pas ça, je ne serais que plus perdue par la suite, dans cette immensité que sont les sentiments. Ne fait pas cela. Je relève la tête et je croise son regard chaleureux, cet homme est parfait. « Tu sais, chacun d'entre nous doit lutter et combattre quelque chose, même ceux qui semblent parfaits, ceux qui ont de tels propos. Il y a une part détestée dans chacun d'entre nous Cerceï. Chacun à ses faiblesses et nous devons les surmonter... » Ses paroles raisonnent et ne pensant qu'à ma petite personne, je ne voyais pas forcément la vie des autres. Je fronce légèrement le regard surprise mais aussi curieuse.

N'a-t-il dit cela que pour me réconforter ou pense-t-il vraiment à un exemple particulier ? Je voudrais lui poser la question, quels sont ses démons ? A quoi il doit se forcer de lutter tous les jours, mais il baisse la tête et semble ne pas être près pour ce genre de questions. Je ne veux pas lui imposer cela, puis je me rappelle de sa réticence à parler de lui, il est bien plus torturé que je ne le suis, il ne le montre tout simplement pas. Pourquoi ? Pourquoi fait-il tout cela ? Ma curiosité est-elle que je ne perçois pas tout de suite, le regard chaleureux qu'il me donne désormais, ni cette volonté de soigner mes plaies. Elles sont invisibles et là, ce soir je les ai trop exposé au monde et je m'en veux, je m'en veux de n'être qu'une imbécile née. Ils doivent tous rire de moi, si seulement je pouvais leur clouer le bec une bonne fois pour toute. « Tu es forte Cerceï, bien plus que tous ceux qui peuvent t'insulter. » Comment peut-il en être si certain, comment avouer cela sans me connaitre, sans vraiment avoir passé du temps avec moi. « Comment en es-tu certain ? Tu me connais à peine... » Avouais-je incrédule. Je ne vois pas moi-même cette force comment fait-il pour la percevoir ? Je ne suis qu'une fille, une fille comme cela, avec ses vieux démons qui ne cessent de la tourmenter. Je ne suis que cela et je n'arriverais jamais à être autre chose que cette fille-là. « Il ne faut pas que tu te haïsses pour tout le mal que tu ressens. Soit comme tu es. » Je m'accroche à son regard, muette et remplie d'admiration. Ce garçon est bien différent de tout ce que j'avais pu imaginer à son égard. Ce n'est pas possible, encore moins réel, j'en suis certaine. Je voudrais, assez simplement le remercier mais je ne sais trop comment faire, je n'ai pas l'espoir que ça aille mieux demain, ils seront toujours là, mes craintes frappant à la porte de ma conscience, non. Mais il y aura cet espoir, infime que le monde peut changer que les gens peuvent vous surprendre. Il embrasse ma joue avec cette douceur que j'apprécie, il me regarde comme si combattre le monde était possible. La sincérité dans sa voix, n'est plus à jouée, je crois bien qu'il est déjà trop tard pour moi. Mes barrières s'effondre et je le laisse entrer dans ma vie, dans ma bulle. Je ne sais si je dois faire cela, s'il le mérite mais je ressens ce soir l'envie de le faire, l'envie de me débattre. Je survis, je survis un peu plus chaque jour. « Maintenant, je suis là pour toi. » Il n'a pas à dire cela, ne pas promettre des phrases qui ne seront jamais tenue. Je le regarde alors, je suis faible en cet instant, le sait-il ? Je voudrais tellement croire ses paroles, je voudrais mettre des mots sur ce que je ressens, mais rien ne va, juste...

Le silence de mon coeur battant à tout rompre dans ma poitrine. J'ai envie de l'embrasser, oui, c'est vrai, j'ai envie de le prendre dans mes bras et de le remercier, de le frapper pour qu'il cesse d'être aussi parfait. J'ai envie de comprendre le but de son geste, mais je baisse les bras. Je n'ai plus envie de lutter, je suis las de tout cela. Je rend les armes... Je me confonds en excuse, je glisse délicatement, posant ma tête au creux de son cou, encerclant de mes bras son corps... Mes yeux fermés, je laisse couler cette larme à l'abris de son regard, juste pour savourer ce sentiment nouveau qui prend possession de mon corps. « Merci. » Lui souffle délicatement, comme un souffle, comme un simple mot. Il ne sait pas combien ses mots sont justes et beaux. Je rajoute alors dans la même intensité et sincérité la phrase suivante. « Un jour, toi aussi tu auras toute l'écoute nécessaire de ma part, pour parler de tes faiblesses, un jour... » Je ne pouvais lui avouer autrement, le sens de cette phrase, l'envie de l'aider et d'avoir compris que malgré son beau sourire et cette assurance innée se cachait un être tout aussi blessé qui devait lutter contre ces démons et ses faiblesses. Je soupirais fortement avant de me défaire de son étreinte délicieuse. Je passais mes doigts autour de mes yeux pour cesser de m'apitoyer sur mon sors. Je devais cesser d'être le nombril du monde, ce n'était pas cela la règle du jeu. Je souriais une idée grisante... « J'ai envie d'être folle ce soir... et si... On retournait dans cette salle, si... Tu m'aidais à leur fermer le clapet une bonne fois pour toute. Il me semble que nous n'avons pas fini cette danse et ce délicieux baiser. Je... » Je me pinçais la lèvre inférieure désirant je crois bien me rassurer, espérant également qu'il n'était pas devenu mon ami à cause de mes angoisses chroniques. Il était clair que je ne voulais pas qu'il soit mon ami... Juste mon ami, mais tellement plus. Je faisais une petite mimique avant de rajouter. « J'y arriverais pas toute seule. » Je reculais d'un pas, tendant ma main vers lui, espérant qu'il vienne à me rejoindre. S'il était là pour moi, je ne voulais pas garder en tête cette sortie déprimante, non je voulais pas de cela... Jamais.
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Pourquoi lui accorder autant d'importance alors qu'elle n'est sensée n'être qu'un trophée, l'objet d'un pari ? Il l'a fait espérer, croire en lui. Elle ne peut que s'attacher désespérément à lui lorsqu'il est ainsi, réconfortant et attachant. Il ne devrait pas lui parler de cette manière, lui faire croire qu'elle est importante pour lui. Il n'est pas celui qui doit lui parler de cette manière, de tenir sa main d'une telle façon à lui faire croire qu'il est là pour elle, qu'il est la personne sur qui elle peut avoir confiance et se confier. A chaque fois qu'il s'approche d'elle, qu'elle s'accroche à lui, Kirill la détruit un peu plus. Il ne doit pas agir comme si elle comptait pour lui, comme si leur relation était sincère. Non, il ne fait qu'envenimer les choses en étant si gentilr. Ce n'est pas son but, il ne veut pas qu'elle l'aime car elle en souffrirait encore plus lorsqu'elle apprendra qu'il l'a berné et qu'il n'est pas si différent de tout ce qui l'ont fait souffrir jusqu'à présent, il est dans le même sac qu'eux sauf qu'il ne joue pas franc jeu. Mais il sait que Cerceï n'est pas le genre de femme qui se donne à un homme d'un claquement de doigts alors lorsqu'il a accepté ce pari cela signifiait qu'il était obligé de faire en sorte qu'elle est assez confiance en lui pour accomplir son pari. Il doit être prudent dans ses propos car ils finiront par se transformer en mensonges par Cerceï, c'est une évidence. Tout ce qu'il lui dit et dira n'auront plus aucune signifiance pour elle, peut-être se détestera-t-elle de l'avoir cru aussi facilement, d'avoir ressenti une once de sentiment à son égard.

Il ne devrait pas être là, non il n'est pas la personne qu'il lui faut loin de là. Elle mérite tellement mieux, quelqu'un de sincère, non un joueur pour lui. Il ne devrait pas tenir sa main de cette façon, de poser ses prunelles sur elle comme si elle comptait pour lui. La chose qu'il devrait faire c'est lui avoué la vérité ou retourner avec la diabolique rousse, cela lui correspond tellement mieux. Mais il n'agit pas comme il le faudrait, il ne fait que détruire toutes ses barrières, une fois de plus. Malgré la sincérité de ses mots à cet instant, dans un futur proche ils n'auront plus aucune signification et seront confondus avec les mensonges qu'il lui a déjà prononcés. Il ne peut pas être son héros et il ne doit pas lui laisser croire qu'il le deviendra un jour, alors à quel jeu joue-t-il au juste ? Il se montre si compatissant que cela en est déroutante, il veut juste l'aider, lui tendre cette main que personne n'est apte à offrir à cette soirée. Même s'il est la mauvaise personne, il n'est pas un profond crétin et il est juste dans ses paroles. Si tant de personnes se tournent vers lui à la recherche de réconfort ce n'est pas pour rien, il a quelque chose en lui qui est réconfortant. Est-ce la lueur qui anime ses prunelles ? Ce sourire qu'étirent ses lèvres ? Ses mots qui sortent de sa bouche ? Cerceï est une nouvelle fois prise au piège de lui. Il ne devrait pas la traiter aussi gentiment s'il ne le veut pas vraiment, si elle ne compte pas vraiment pour lui. C'est sa gentillesse envers elle qui est si cruelle.

Elle vient vers lui, posant sa tête sur son épaule, il sent ses bras le serrer. Que fait-il ? C'est mauvais qu'elle s'accroche à lui de cette manière, il commence à s'en vouloir. La culpabilité, un sentiment bien rare qui coule dans ses veines. Il n'a pas l'habitude de regretter ces actes, mais au fond il cherchait la raison de cette culpabilité : est-ce parce qu'il est venu la réconforter alors qu'il en avait pas le droit ? Ou bien parce qu'il avait accepté ce pari ? Il ne peut qu'alors refermer doucement ses bras sur elle avant qu'elle ne le remercie. Puis ce qu'elle vient de prononcer est étrange, elle se projette dans un futur avec lui ? Est-ce vraiment raisonnable ? Il juge bon de rester dans le silence à sa phrase car il se sent incapable d'articuler une réponse adéquate, et qui ne pourrait pas amener plus d'interrogation à ce sujet. Il ne craint pas en parler mais ne rien dire lui permet d'oublier ou du moins de ne pas faire resurgir des douleurs enfouies. Il n'a plus besoin d'être sauvé. Leurs corps se décollent une nouvelle fois, il l'observe un instant avant de lui sourire légèrement. Les paroles que Cerceï prononce confirment qu'il a réussi à la réconforter pour ce soir, avec des mots il ne peut retirer tout le mal qu'il y a en elle et ce n'était pas son but. Il voulait simplement qu'elle cesse de se recroqueviller sur elle-même ce soir, pas devant lui. Il attrape se main l'amenant à ses lèvres pour y déposer un baiser. « Tes désirs sont des ordres. » Dit-il avec ce sourire le caractérisant si bien, il entremêle ses doigts au sien la tirant à l’intérieur, retrouvant l’ambiance festives. Ils s'avancent tous les deux vers la foule dansante, avant qu'un collègue à l'écossais interrompre leur course en donnant un verre à Kirill, prononçant quelques paroles sur ce qu'il avait loupé pour s'éclipser aussi vite qu'il était apparu. Kirill boit quelques longues gorgées de la boisson qu'il venait d'avoir entre les mains avant de le tendre à Cerceï. « Toujours partante ? » dans sa demande il y avait comme une once de défi, ses prunelles dans les siennes. Il ne veut pas la forcer en rien et pourtant il l'incite à se mêler aux autres. La rousse se désarticule sur un autre homme, faisant semblant de ne pas remarquer le retour de Kirill. Il quitte ses prunelles pour observer toutes ses personnes, ivres pour la plupart, il se demande comment peut-elle faire autant prendre compte des regards des autres. Il cherche à comprendre le mal que peut ressentir Cerceï mais sans réponse il la tire au milieu de la foule. Plus personne ne les regarderont, trop d'ivresse ou d'ignorance, c'est dû à la crainte que les personnes la juge qu'elle croit que les regards sont rivés sur eux.

Il lâche sa main une fois qu'ils sont au milieu de tous ceux qui dansent, il vient vers elle posant ses prunelles dans les siennes pour y déceler un quelconque sentiment de crainte. Il ne voudrait pas qu'elle revienne à s'enfuir, il la pousse légèrement pour qu'elle réagisse d'une quelconque manière. Ne mettant pas autant de frénésie qu'à leur première danse, il passe ses doigts sur sa joue pour dégager son visage de ses mèches de cheveux, il s'approche encore un plus et pose ses lèvres dans le creux de son cou. « Laisse toi aller. » Qu'elle ne pense plus à rien, uniquement à deux. Leurs lèvres s'effleurent une nouvelle fois, lui volant un baiser aérien mais il ne touche pas ses lèvres. Qui sait que peut-il arriver par la suite ?S'il se laisse encore emporter par cet étrange sentiment naissant. Une personne vient à pousser Cerceï sur lui, il n'arrive pas à entendre ce que ce malheureux prononce à Cercei mais l'expression sur le visage de l'anglaise lui suffit de comprendre que ce n'était rien de gratifiant. Ciel, il fallait bien une telle provocation pour énerver l'écossais qui a naturellement le sang chaud et bien plus lorsque l'alcool coule dans ses veines. C'est le plus naturellement possible qu'il pousse légèrement l'anglaise pour se frayer un chemin vers son "agresseur" pour lui assimiler une merveilleuse droite, il était prêt à lui en mettre une seconde mais une main retient son bras, Cerceï peut-être ? Mettant alors fin à tout conflit avec l'aide des esprits les plus sobres, c'est habituel chez Kirill d'agir de manière aussi extrême. Quelle idée d'insulter Cerceï devant lui, maintenant les autres sont prévenus, il n'hésitera pas à remettre à leur place les plus idiots. « Ça va ? » dit-il en posant ses prunelles noisette dans les siennes, il lui sourit légèrement. Il détourne son regard pour une rare fois, les traits de sa mâchoire se contractent. Il l'amène à s'écarter de cette foule pour aller chercher de quoi égayer son esprit contrarié. « Tu en veux un ? » Alors qu'il se sert un verre, il regarde un petit instant Cerceï qui l'a suivit en y étant contrainte. Il essaye de savoir si elle lui en veut d'avoir agis avec une telle violence. « Ne me dis pas qu'il ne le méritait pas. » dit-il avec un ton inhabituel et en finissant de servir sa boisson, il hausse légèrement les épaules en trempant ses lèvres dans le liquide alcoolisé.
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Ne pas se laisser envahir par les mauvaises pensées, les choses superflus, ne pas se laisser influencer car c'était une très, très mauvaise chose. Non, je devais laisser mes démons derrière moi, ne pas faire appel à eux, même s'ils s'invitaient toujours au mauvais moment. Je les détestais, mes démons, mes craintes, mes angoisses. Je ne devais pas faire attention à ce genre de choses, je ne devais tout simplement pas les écouter je le savais et je devais faire avec mais je n'étais pas aussi forte que je le pensais. Ya des jours, où je m'en fiche ça me passe au dessus de la tête, puis il y a les autres... Certaines situations rendent la situation tellement douloureuse, je voudrais leur foutre mon poing dans leurs gueules, mentalement c'est ce qu'elle voulait faire, physiquement elle se cachait encore près des toilettes à observer ce garçon qu'elle ne connaissait pas. Une toute petite voix, une toute petite voix me hurlait de faire attention, qu'il fallait toujours faire attention aux garçons et leurs attentions. Qu'ils n'étaient jamais gentils gratuitement, qu'il fallait se méfier de l'eau qui dort. Je l'entends, pourtant je décide de ne pas l'écouter. Je veux croire que je peux me faire confiance, lui faire confiance. Je ne sais pas, cette façon de me parler, j'ai l'impression qu'il veut vraiment m'aider être là, tout simplement pour moi. J'ai envie de toucher du doigt ce sentiment pour ne jamais m'en défaire, m'éloigner de ce sentiment assez léger que je ressens. Et étrangement j'ai envie de partager cela, je suis surement trop con, pas assez ouverte ou au contraire en train de me faire avoir. Surement, j'en sais rien mais l'alcool rend cette soirée plus légère, rend mes craintes différentes. Je veux le serrer dans mes bras encore, juste sentir ce sentiment là qui traverse mon esprit et je commence à espérer qu'un garçon, enfin un garçon s'intéresse à moi pour ce que je suis. Je dois me reprendre, je dois faire ce qui me semble le mieux, je ne veux pas voir cette soirée comme celle où j'ai pleuré dans les toilettes mais celle où je me suis montrée avec Kirill. Bordel de merde, c'est tellement plus facile à imaginer que de le faire réellement. Je me sens tellement ridicule, tellement vulnérable près de lui comme s'ils allaient tous ce foutre de ma gueule. J'ai de la peine pour lui aussi, qu'il traine avec moi. Non, pas de mauvaises pensées, pas de mauvaises ondes.

Il embrasse ma main, cet homme est un gentleman c'est pas possible, comment veut-il que je ne fonde pas illico presto sur place, les deux pieds dans le plat. « Tes désirs sont des ordres. » Je souris comme une gamine amoureuse, avant de le regarder droit dans les yeux. J'ai dis que je le faisais, j'allais le faire. Je bouge bien, même si je n'ai pas le physique de Kate Moss, je sais bougée et j'adore cela, toute seule dans ma chambre, mais chut. Alors qu'est-ce qui m'empêche de ne pas le faire ici ? C'est comme si j'étais toute seule où que tous les gens présent dans la salle ne sont que le reflet de mes peluches. Je peux le faire, c'est pas comme si j'étais toute seule, ma main dans celle de Kirill me rappelle combien nous sommes là. Je regarde à peine les gens et je respire fortement pour ne pas laisser l'angoisse me prendre. Quelqu'un parle à Kirill, de qui de moi ? ARRETE DE FAIRE TA FOLLE ! Maintenant. Je me pince les lèvres avant de le regarder, me tendant le verre. « Toujours partante ? » Est-ce que je suis sincère en disant oui ? Non, bien sur que non, je suis une froussarde j'ai envie de partir vite et loin mais au lieu de cela, je reste là et je secoue la tête de haut en bas. « Bien sur que oui. » Comment pouvait-il être autrement. Je ne suis pas certaine qu'il ait entendue mes paroles mais qui s'en soucie. Je finis le verre et l'alcool glisse dans ma gorge, me donnant un semblant de courage. J'en ai plus que besoin. Mais c'est comme une demande, une requête, mieux encore un défi. Je peux le faire et je le suis au milieu de la piste me concentrant que sur lui et non les gens qui nous entourent.

Je ne vois qu'à peine cette rousse à l'allure parfaite, ni même ses idiots qui semblent se désintéressé de tout. Je tente de ne pas paniquer c'est comme nager en pleine mer, je ne suis pas certaine d'avoir le courage qu'il faut, mais Kirill tente tant bien que mal de me motiver. C'est sympa, c'est complètement fou aussi de le voir faire et je commence à bouger, timide. Trop timidement je suppose mais je tente de ne pas me laisser renverser par mes angoisses qui ne cessent de me tordre dans tous les sens. Mes mains libres, cherche la danse, le mouvement qui ne ferait pas de moi une imbécile. Il n'y a rien de cela, rien de magique ou de fou. C'est une violence invisible alors qu'il remet une mèche de cheveux, alors qu'il embrasse mon cou. BORDEL cet homme est parfait, parfait. « Laisse toi aller. » Je me mordille la lèvre violemment pour ne pas laisser échapper un petit gémissement, alors que je souris à sa remarque cherchant à m'accrocher à lui, comme d'une bouée. Cody dirait sans mal que dans l'histoire la bouée c'est toi ma vieille, pas lui. Mais je ne l'écoute pas d'un pouce. Il n'y a pas à écouter, Cody n'est pas là. J'aime ce jeu là, toujours dans l'attente de l'embrasser, effleurer juste ses lèvres pour sentir le frisson parcourir mon corps c'est tellement délicieux que je ne me lasse pas de cela, mais une affreuse personne me bouscule. Je déteste les gens et m'insulte volontiers. « Tu peux pas te pousser putain de baleine. » Je regarde cet idiot trop bourré pour savoir ce qu'il dit ou au contraire pas assez pour sortir ce genre de connerie. Je suis muette, incapable de lui foutre mon poing sur la gueule parce que ce genre de mot ne glisse pas sur moi pour s'en aller, non. Ils font mal, ils sont juste là, près de mon coeur. Je regarde Kirill désolée, désolée je vais pas pouvoir le faire. C'est au dessus de mes forces. Mais qui aurait cru qu'il fasse cela ? Il lui donne une droite, bordel... J'en reviens pas qu'il fasse cela, ou qu'il le fasse pour moi. Je m'approche de lui, retenant son bras. Non, non il n'a pas à se salir les mains pour un gars comme cela. Je le regarde alors qu'il plonge son regard dans le mien. Mon coeur va surement exploser d'une minute à l'autre dans ma cage thoracique, je suis en train de mourir sur place mais je suis là, je vais bien... Je pense. « Ça va ? » Je secoue la tête. « Oui. » Je survis, comme je peux mais je survis quand même. Je lui souris légèrement en coin alors qu'il se sert un verre.

Je crois vraiment avoir besoin de cela, moi aussi. « Tu en veux un ? » Je prend le premier verre vide que je trouve et je le laisse me servir. Avant de réfléchir à comment expliquer cela. La seule personne qui m'a défendu jusqu'ici c'était mon labrador, quand j'avais douze ans, il était génial ce chien. Mais en rien une personne. Je penche ma tête sur le côté, okay bon... JE suis contre la violence, mais il avait raison, putain il le mérite. « Ne me dis pas qu'il ne le méritait pas. » Je confirme d'un mouvement de la tête, de haut en bas encore une fois. « Tu n'avais pas à faire cela, il aurait pu t'envoyer un pain ! Kirill ce n'est pas sensé... Même s'il méritait bien plus que cela mais tu n'étais pas obligé... » de me sauver, de jouer les héros. Bon sang, j'adore cela mais je n'allais pas cautionner ce genre de comportement, au lieu de cela, je reprend mon souffle. « Il ne faut pas se fatiguer pour ce genre de personne, il n'en vaut vraiment pas la peine. » Je souriais légèrement avant de mordiller la lèvre. Je ne sais pas ce qui me prenait mais en même temps que faire, que dire. Peu de gens aurait fait une chose pareille, voir personne. Je suis mauvaise langue mais je ne voyais pas Cody se battre pour moi, il était trop... Princesse chichi, non. Je m'approchais de lui souriant comme une idiote, pathétique, pathétique petite fille. « T'es complètement fou, complètement indéchiffrable, je ne sais pas quoi penser de toi, Kirill. Je vais surement avoir des insomnies à cause de toi... Mais... » Je m'humidifiais légèrement la lèvre inférieure avant de m'accrocher à son regard avec une immense admiration, comme s'il s'agissait de la plus belle personne que je n'ai jamais vu. Pas physiquement parlant, certes il l'était mais je voulais dire, sa personne, son identité, ce qu'il venait de faire. Je ne savais pas quoi penser en faite. Je venais à emprisonner ses lèvres, c'était plus fort que moi, quand les mots ne viennent pas il vaut mieux les exprimer d'une toute autre manière, l'embrasser faire passer ce sentiment qui bouillonnait en moi. Je voulais qu'il comprenne combien je n'aimais pas la violence mais que ça faisait terriblement du bien d'être sauver. D'être perdue, d'être étourdit par la passion que je pouvais faire preuve, qu'il ressente également cela, lui... Mes mains glissant sur des joues. Je détachais mes lèvres, mon front contre le sien à bout de souffle, étourdit légèrement. murmurant... « ça va ? » A mon tour de demander... je me redressais. « un autre ? » une boisson ? un baiser ? Ah ah ah...
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Il n'est pas bon pour Cerceï, il n'est pas celui qui lui faut. Il est tellement différent d'elle, tellement plus indomptable. Il ne laisse jamais deviner ses pensées, ses actions, il est celui qui a souvent une longueur d'avance, qui trompera avant de l'être. Regardez-le, il se permet de prononcer de belles paroles qui ont forcément un impact sur l'esprit de l'anglaise, il enfonce ses barrières pour qu'elle puisse le faire confiance alors que tôt ou tard il la trahira. A quoi bon jouer les héros si c'est pour qu'il devienne son bourreau ? C'est à se demander si Kirill ne fait pas tout pour qu'elle l'apprécie, il adore qu'une personne le désir et l'affectionne. Peut-être lorsqu'il était gamin il a été en manque d'intention maintenant il semble se venger contre le monde entier à faire en sorte qu'il soit idolâtré si facilement. Mais Cerceï était aussi une victime, elle ne méritait pas un tel châtiment. Alors il était peut-être temps de la laisser s'en aller et de lui lâcher la main mais, avec ce qui venait de passer c'était trop tard, il avait laissé la chance de la sauver de lui et non des autres. Il laisse croire qu'il est celui qui l'aidera à surmonter ses problèmes alors qu'il deviendra celui qui l'enfoncera au plus profond. Mais c'est impulsif, il agit comme bon lui semble sans se préoccuper des autres : elle avait besoin de réconfort, il lui en a offert, elle a besoin de s'évader il lui donnera ce dont elle désire. Pour quelles raisons ? Être certains de gagner son pari ? ou bien quelque chose d'autre qui le pousse à être aussi gentil. Peut-être Cercei a simplement une bonne influence sur lui, car la protéger de cette manière juste pour un pari n'est pas logique. Il semblerait qu'elle le pousse à être bon, mais personne ne change et Kirill restera le même. Il lui lâchera la main pour ne jamais la reprendre, il ne laissera que derrière lui des sentiments mélangeant mélancolie, trahison et colère. Il y a bien des rumeurs comme quoi il est foutrement insensible et destructeur. S'accrocher à Kirill est parfois bien une mission dangereuse et parfois regrettable. Si imprévisible que parfois il en devient blessant et hors d'atteinte, et pourtant il y a ces moments où il est tellement adorable et attachant, il suffit souvent de quelques mots et d'un regard pour que quelqu'un lui pardonne du mal qu'il a fait. Il n'est pas parfait, au loin de là, les princes charmants n'existent pas ou uniquement dans les comptes de fées. Cerceï doit bien le savoir, elle ne doit pas trop croire en lui et ses paroles trop belles, trop douces. Mais à le voir c'est si dur de ne pas croire qu'il est sincère alors qu'il se moque légèrement d'elle, pas totalement sinon il ne la protégerait pas comme il le fait.

Puis il vient à frapper cet idiot qui a blessé Cerceï, c'est l'expression qui lui sur son visage qui l'a poussé à une telle violence. Mais ce n'est pas étonnant, ce n'est pas le premier bougre qu'il frappe, il se battait trop et se bat encore aujourd'hui. Les années de son adolescence ont été bercée par la violence après tout alors comment ne pas devenir violent et impulsif ? Il s'en est reçu des coups mais il en a trop donné, pour une futilité comme celle-ci. Et encore pour lui cela en est pas une, tenir de tels propos juste pour blesser quelqu'un mérite une telle sanction. Une chance que Cerceï et d'autre l'est arrêté car il peut tellement aller plus loin, il sort les crocs sans crier gare pour trop peu de choses, surtout lorsque son sang beigne dans l'alcool. Il voulait que ce bouffon ferme sa grande gueule une bonne fois pour toute, il réfléchirait deux fois maintenant avant de l'ouvrir. Mais lui-même méritait une bonne droite pour ce qu'il faisait n'est-ce pas ? A jouer aux héros de cette manière, à la protéger du mal des autres alors qu'il va un jour lui en procurer. Qu'elle profite de cet instant, de cette époque où elle voyait en Kirill une bonne personne car cette image finira par se ternir et elle ne verra en lui qu'un salaud qui l'a bien berné. Même si à cet instant il n'agissait pas pour unique but d'acquérir sa confiance contrairement à d'habitude, il voulait simplement la protéger et c'était déplacé pour lui d'agir ainsi.

Calmant sa rage en se servant un verre, il veut savoir ce que Cerceï pense de ça car il ne veut pas la voir fuir. Il ne sait pas s'il la sauvera de nouveau, il n'aime pas jouer trop longtemps au cavalier servant. Il hausse les épaules aux premiers propos de l'anglaise, ce n'est pas ce qu'il craint au contraire il apprécie la sensation que procure un combat. Mais il juge bon de rien dire et d'adopter cette mine qui veut dire en quelque sorte « cause toujours. » mais par galanterie il ne la contredit pas. Elle a raison, ce genre de mec ne mérite pas qu'il se fatigue pour eux. « Parfois il faut savoir leur montrer qu'ils ne peuvent pas toujours l'ouvrir sans conséquence.» dit-il en posant ses prunelles animées par cette lueur sauvage et ses lèvres s'étirent d'un léger sourire avant qu'il ne lui tende le verre qu'elle lui a demandé. Lorsqu'elle s'approche de lui de cette manière avec ce sourire légèrement niais, il la regarde amusé prêt à attendre les paroles insensés de Cerceï, elle est toujours surprenante dans ce qu'elle dit. Alors, il ne peut sourire que franchement à ses propos, c'est si bon de le voir sourire avec une telle sincérité. « Bien je t'aiderais à t'endormir. Ce n'est pas un problème. » dit-il naturellement avec ce ton étrange et sensuel, il la taquine légèrement après ce qu'elle vient de lui dire difficile de ne pas sortir une telle âneries.

Puis elle le regarde de cette façon si... désireuse qu'il plonge son regard dévastateur dans le sein, ses lèvres s'étirent de ce léger sourire avant qu'elles ne soient capturées par celles de Cerceï. Voilà qu'elle vient de nouveau l'embrasser, intéressant maintenant il est sûr que ce soir lui a permis d'avancer grandement dans sa mission. Mais il commence à prendre gout à ses baisers savoureux, elle embrasse bien qui n'apprécie pas les bons baisers ? Elle le remerciait de l'avoir sauvé en quelque sorte, mais dans son serment il avait compris qu'il ne devait plus être violent lorsqu'elle était là, c'est tellement lui demandé. Une fois que leurs lèvres se décollent, il affiche cette moue de gamin comme s'il venait de comprendre sa bêtise. « toujours. » dit-il en souriant de la façon à accentuer ses traits juvéniles, il fronce légèrement les sourcils. Et préfère déchiffrer cette question de la manière la plus simple possible, il vient capturer ses lèvres à son tour car depuis la soirée il n'a fait que provoquer les lèvres. Lui offrant un baiser dans lequel il n'y a presque plus aucune intimité. Il se décolle d'elle, faut qu'elle arrête de le tenter de cette manière. Il se décolle d'elle avec une telle aisance, il la regarde amusé avec ce large sourire avant de se délecter de la boisson alcoolisée. « Que veux-tu maintenant ? » qu'il arrête de la regarder de cette manière, il ne fait que la piéger d'avantage. Son regard quitte le sien pour se poser sur la foule dansante, des potes à lui derrière elle qui le regarde d'une telle manière qu'il se retient de ricaner. Il lève légèrement les yeux ciels, peut-être qu'elle lui a répondu et qu'il ne l'a pas entendu, il fait souvent ce genre de choses. « Ne sois pas trop accro à ça. » dit-il d'une manière si spontané en venant caressé ses lèvres de son pouce, ah Kirill quand tu cesseras d'être aussi indéchiffrable le monde aura fini de tourner. Ses yeux dévorent son âme, tandis que sa main capture la sienne, qu'est-ce qu'ils leur resteraient à faire, à danser? Mais ce n'est pas une judicieuse idée par après les confidences de la brune. Même si lui a envie de s'amuser autrement, ce soir il est à Cercei. Il réfléchit à ses propos pour ne pas qu'ils soient trop indexant. Il finit son verre d'une traite, défiant les prunelles de Cerceï « On finit la soirée ailleurs ? » il lui affiche un léger sourire, l'entrainant avant qu'il n'ait sa réponse et attrapant une bouteille d'un quelconque alcool au passage. Il juge bon qu'ils n'ont plus rien à faire ici, hormis si elle veut encore danser au milieu de la foule ce qu'il doute. Cette fois y ils sortent tous deux, main dans la main devant tout le monde, le serait-il exprès ? Ou bien a-t-il pris le chemin le plus direct. « Où va ton ? Surprends-moi. » en vérité il la défie sans cesse, il lui permet de s'affirmer un peu et de sortir de cette carapace.
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Je m'efforce de ne pas tomber amoureuse de ce garçon, il n'a rien pour moi, il n'est pas comme moi. Je veux dire dans la rue ou n'importe où, si on nous croise on sait pertinemment qu'on a rien en commun. C'est clair, mais je suis là, à chercher une seule bonne raison de ne pas lui faire confiance. Je dois pas me montrer si vulnérable pour qui que ce soit, surtout pas pour un garçon, je dois aussi avoir tellement plus confiance en moi, je connais mes défauts et je suis incapable de voir l'évidence même de toute cette histoire. J'ai beau chercher je ne comprend pas, je ne devrais pas me mettre dans une situation pareille, ouvrir les yeux et comprendre qu'il fait tout cela dans un seul et unique but. Le jour où j'apprendrais ce superfuge je risque de tomber de tellement haut que mon coeur pourrait s'en trouver plus brisé qu'il ne l'est déjà. Mais je ne pense tout simplement pas à cela, et je lutte contre moi meme essayant de ne pas fondre littéralement lorsqu'il me regarde comme cela, quand il va frapper un garçon que je ne connaissais pas parce qu'il venait de me bousculer. Je ne peux pas faire tout cela mais lui non plus. Je ne suis rien dans ses yeux, il n'y a rien en moi qui doit lui plaire, ça doit cacher autre chose. Mais je ne comprends pas, je n'arrive pas à trouver quoi. Je me torture un peu trop l'esprit et ce soir j'en ai pas besoin, je suis déjà bien arrosée par les verres d'alcool que j'ai bu, la légèreté supporte mon corps et je ne me sens pas tout à fait moi-même. C'est plutôt agréable comme sensation pour ne pas dire exquise. J'essaye de lui faire comprendre que se battre pour moi n'est pas chose à faire même si je trouve cela tellement touchant, on ne le fait jamais d'ordinaire, je suis plutôt celle qui se bat dans la cour de récréation.

C'est ce que je faisais au primaire, je me battais tout le temps pour faire taire les mauvaises langues, c'est pour cela que je trainais plus avec les gars que les filles, j'étais un garçon manqué. Pourtant je ne suis pas une adoratrice de la violence, je n'en prends aucun plaisir, je ne suis pas une folle catcheuse, je cherchais ma voie. Kirill me défend il la fait, pour moi. Je n'y crois toujours pas... Mon coeur s'emporte à cette idée et je me répète une nouvelle fois, ne tombe pas amoureuse de lui, après tu seras dans la merde. Mais comment je fais pour rester insensible à tout cela, quand un homme semble enfin s'intéresser à moi, car il l'est... Un homme, celui qui bouscule à coup sur les papillons dans mon estomac. S'il savait l'effet qu'il provoquait en moi, il partirait en fuyant paniqué par tout cela. Il ne doit pas le savoir, il ne doit même pas s'en rendre compte et pour cela je dois me montrer détachée de tout ça. Finit de se la jouer pauvre petite victime, fini d'être en pleurs lorsqu'on me regarde avec insistance, fini de jouer les groupies, folles amoureuses qui ne peuvent se contrôler. Ce n'est pas possible c'est juste la seule chose sensée à faire. Je devais d'ailleurs être en colère contre lui, si si... Il n'a pas donné de nouvelles durant deux semaines, en même temps j'étais au MEXIQUE. NON. Cerceï, renforce toi, tu peux être plus solide que ce marshmallow mielleux que tu donnes. Non, je pouvais le faire. Mais à sa façon de parler je fond littéralement sur place, bordel de merde...

C'est définitivement trop tard. « C'est pas... » Trop tard, je l'avais dis et il me répondait d'une manière complètement surprenante. M'aider à m'endormir, jamais je ne réussirais à m'endormir avec lui dans le même lit, c'est impossible. Des images me transpercent l'esprit et je secoue mentalement mon esprit pour ne pas y penser, je risquerais de devenir aussi rouge qu'un poivron, même s'il était trop tard. CE n'était pas du jeu, il avait des atouts qui parlaient en sa saveur, comme cette façon de répondre à mon baiser. ce n'est pas du jeu, je veux le troubler ou le surprendre un minimum et il renverse à chaque fois la donne, me renversant le coeur à coup sur. Je pourrais m'habituer à cela et je ne dois pas, j'en suis persuadée. Je tourne en boucle ses paroles alors que je reste déboussolée perdue dans mes pensées les plus profondes. cet homme est un magicien, il ne le sait pas, il s'en rend surement compte mais pas assez pour voir combien il renverse tout sur son passage. HOP CERCEI WAKE UP ! que veux-tu maintenant ? « Toi ? » BORDEL de merde je viens de le dire ? Fuck. Mais heureusement pour moi, il ne semble pas l'avoir entendu, ouf, il manquerait plus qu'il soit d'accord et là je risque de paniquer à fond les manettes. Je ne suis pas un bébé, j'assure très bien, mais il semble distrait. Je n'aime pas regarder les gens autour de nous. Et la vérité tombe, je ne dois pas m'habituer à cela. Je fais comment ? Je veux dire, comment suis-je sensée ne pas m'habituer à quelque chose d'aussi agréable ? Ce n'est pas sensée, mes Warning clignotent partout dans mon cerveau, je sais que c'est mal barré, que ce sera la merde. Je le sais, mais je ne vois rien. Il emprisonne ma main et mon âme, avant que je ne le suive sans rien dire. Je n'ai pas le temps de parler puis ça ne me dérange pas vraiment de m'éloigner de cet endroit. Je veux retrouver un minimum de résonance, reprendre mes esprits pour ne pas me perdre une nouvelle fois, de toute manière je pense qu'il est déjà trop tard. Je ferme les yeux, un instant juste le temps de me rendre compte que je suis encore toute tremblante.

Qu'est-ce qu'on fait ? On passe devant tout le monde, main dans la main comme si la suite des évènements étaient logiques. Que vont-ils tous penser ? Que je vais finir la soirée avec lui ? Bordel, j'ai chaud tout d'un coup, je suis pas prête pour ça, ohhhh que si je le suis c'est juste que non. N'y penses pas. « Te surprendre ? » WOOW c'était le défis de ma vie, je n'étais pas certaine d'être assez libre d'esprit pour pouvoir donner une réponse. J'avais chaud, beaucoup trop et j'étais obnubilé par sa main dans la mienne. Marchant juste derrière lui, je la regarde, cherchant une idée assez agréable et pas complètement loufoque. Qu'aimerais-tu faire avec Kirill ? La question ne se pose pas, mes réponses ne seront que trop peu conseillé pour les moins de dix huit ans. Qu'attend t-il finalement de moi ? Que je lui donne une réponse n'importe laquelle ? Je lui prend la bouteille des mains pour y boire deux grosses gorgées. Un moyen extrêmement maladroit de me donner le peu de courage dont j'ai besoin. Ensuite, je regarde autour de nous, nous sommes dans une confrérie, sa confrérie. Bon sang, je ne sais pas quoi faire. Je me positionne en face de lui, nous obligeant à nous arrêter. Que veux-tu faire Cerceï. « Hormis s'envoyer en l'air dans une de ses chambres au propriétaire absent ? » Commençais-je sur une teinte d'humour que je camouflais largement en parlant trop vite pour qu'il vienne à ne pas trop assimiler ce que je venais de dire, me permettant aussi de trouver une bonne réponse de ce que je voulais faire. « Nann soyons plus... fous. » Avouais-je en relevant légèrement les sourcils, m'attendant à ce qu'il dise quelque chose. Je le tirais légèrement par le bras afin qu'il me suive tranquillement. « Viens... On va faire un tour du côté des préparatifs pour le bal, je me demande bien ce qu'on pourrait y faire. Je ne comprendrais jamais les coutumes américaines. Un bal, des cavaliers, voter pour le roi et la reine comme si c'était pas couru d'avance leurs histoires. » Parlais-je sans vraiment regarder ou j'allais, ce n'était pas super comme idée, mais mon cerveau était vraiment vide de toute idée sensée et vraiment logique. Je veux dire qui se soucie de tout ça franchement ? Je n'en sais rien du tout, je voulais juste, je ne sais pas ce que je voulais. Je tournais la tête vers lui... « Quoi ? Ne me dit pas que tu aimes ce genre de soirée ? on va passer par le plan d'eau, c'est un raccourci. » qui aime cela ? Les filles qui aiment jouer les princesses les garçons qui veulent sauter leurs cavalières, la grande classe franchement. Poaw rien que d'y penser... J'en ai des frissons.
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Ils sont de deux mondes différents, jamais il ne se serait jamais retourné vers elle c'est vrai, il n'est pas réellement l'homme idéal, il est loin d'être parfait c'est sûr. Il est un crétin qui aime un peu trop les filles aux courbes parfaite et qui a tendance à se foutre trop facilement du monde par son arrogance et son intelligence hors norme. Cerceï ne doit pas avoir peur de se tenir à côté de lui, elle se juge trop imparfaite alors qu'elle est tellement mieux que lui. Elle ne serait pas capable d'infliger tout le mal que Kirill a pu faire à tant de personnes. Par prétexte qui n'est plus que foutaise, c'est sa fougue jeunesse qui le pousse à agir avec tant d'idiotie, ainsi que sa cruauté née par cette vengeance de n'avoir eu uniquement le mépris de sa mère, puis ses excès de colère qui sont incompréhensible parfois blessante autant physiquement que mentalement. Oh Cercei n'aurait jamais dû laisser une personne comme Kirill s'approcher si facilement d'elle, il n'est pas une bonne personne pour elle, même s'il semble lui apporté bonheur ceci ne se transformera quand miséricorde. Il est son bourreau dissimulé par l'apparence d'un héros. Avec des traits pareils qui penseraient qu'il est une personne dont il faut se méfier, c'est un manipulateur redoutable qui obtient trop souvent ce qu'il veut. Sa gentillesse n'est que cruauté, surtout celle envers Cerceï qui ne la fait qu'un peu plus espérer sur ses intentions. Il ne devrait pas être aussi gentil avec elle, Cerce¨ n'est rien pour lui alors pourquoi il lui tient la main de cette façon ? Kirill est une énigme impossible à résoudre.

Cerceï mérite tellement mieux, quelqu'un de plus sincère, d'un peu moins faux, de quelqu'un qui n'agit pas par intérêt. Même si elle semble le rendre meilleur, elle ne pourra pas le changer. Et même si elle semble vouloir le connaitre elle finira par abandonner le combat une fois la réalité en face d'elle. Tous les bons côtés qu'elle voit en lui disparaîtrons et il sera pu qu'un crétin qui l'a bien eu. L'espoir et la persévérance d'une personne n'est qu'éphémère. Kirill est un peu plus qu'un crétin fêtard, mais il faut le connaitre un peu plus pour s'en rendre vraiment compte. Cerceï ne le connait qu'à peine, et pourtant elle lui a accordé si facilement sa confiance, c'est un effet secondaire que procure Kirill. Puis par ses actions et ses paroles elle ne peut qu'avoir les yeux illuminés d'étoiles lorsqu'elle le voit. Il a cette façon si particulière de faire croire à une fille qu'elle semble unique à ses yeux mais en vérité elle n'est rien qu'une fille parmi tant d'autres. Uniquement certaines sortent du lot mais Cerceï n'en fait pas encore partie, bien qu'elle soit plus intrigante que cette folle rousse et très étonnante. Elle ne reste que l'objet d'un pari, la défaite est un mot qui horripile l'écossais. Car sans ce pari leurs chemins ne se seront jamais mêlés, ils viennent de deux mondes trop éloignés. Il est étrange alors de les voir si proche, comme s'ils se connaissaient tellement bien. Ce sourire sur ses lèvres, cette façon qu'il avait à la regarder Cerceï ne pouvait que croire en Kirill et c'est l'une des pires erreurs qu'elle peut faire, après celle d'avoir laissé Kirill l'approché.

Ses lèvres s'étirent d'un sourire au propos de Cerceï, elle devrait arrêter de le chercher de cette façon en temps normal il aurait rétorqué une si belle réponse à en faire rougir les belles joues de l'anglaise. Mais disons outre que le physique de Cerceï , cette situation l'empêchait d'agir véritablement en prédateur. C'est sans doute mieux pour l'anglaise qu'il se montre un moins redoutable. Elle semble avoir un effet bénéfique sur lui mais cela reste encore flou. « Il n'y a personne dans ma chambre, tu sais » il ne peut pas s'empêcher, il affiche ce petit sourire moqueur, il ne faut pas qu'elle oublie qu'elle est sur son territoire alors, si elle veut s'envoyer en l'air la chambre de Kirill est un peu trop proche. Plus fous que d'aller s'envoyer en l'air ? Il attend donc le reste avec un air qui le rajeunit tellement, ses prunelles animées par cette lueur rieuse. A sa tirade, il fronce légèrement les sourcils et ricane légèrement, voilà donc son idée aussi folle. Il attrape, en touchant ses doigts, la bouteille qu'elle lui a piquée plutôt, il boit quelques gorgées puis sourit une nouvelle fois à ses questions. « Moi qui allais te proposer d'être ma cavalière. » dit-il avec ce foutu sourire, il hausse les épaules. Il vient une nouvelle la piéger à son propre jeu. Quel crétin franchement, il n'a pas à la regarder de cette façon. « Tu dis ne pas apprécier le bal, mais tu préfères aller voir les préparatifs que d'aller t'envoyer en l'air. Si tu dénigrais vraiment ça tu ne serais pas là à vouloir avant tout le monde les préparatifs, tu ne crois pas ? » Un sourire indéchiffrable, il ne peut cesser être ainsi la mettre face aux faits, ce n'est pas mesquin de sa part au contraire il l'aide un peu indirectement. Il boit encore quelques gorgées de cette bouteille et pose son regard sur elle. « Hey. » dit-il pour qu'elle se tourne vers lui, profitant de ce simple geste pour venir lui piquer une nouvelle fois un baiser volage, il lui sourit légèrement fier d'avoir réussi un coup aussi bidon. Il lève les yeux au ciel en haussant les épaules. « Je t'ai eu. » dit-il d'un ton étrangement espiègle, oh c'est bien connu par moment Kirill est un vrai gamin, difficile à croire que c'est un génie.

« J'ai compris.» Il lui tapote le dos de la main avant de lui la lâcher et prend une légère avance sur elle. Il se tourne vers pour qu’elle stoppe sa marche, plantant ses prunelles sauvages dans les miennes. « Donc je te le demande. » il s’éclaircit la voix, camouflant son sourire juvéniles. « Cerceï-Rae Lawrence veux-tu être ma cavalière pour le bal si ennuyant soit il ? » il tend sa main vers elle,  mise à part sa petite touche d’humour il venait de lui proposer quelque chose de gros, il avait eu des demandes qu’il a refusé. Il n’avait pas prévu de le demander à l’anglaise, mais elle avait eu une telle façon d’en parler, elle méritait d’y aller avec quelqu’un et de ne pas faire partir des filles seules à attendre un cavalier. Ses prunelles ne cessent de la défier, elle peut très bien le refuser, il le comprendra bien que cela foutra un coup dans sa fierté. Elle a simplement qu’à attraper sa main, cela lui demande sans doute un peu de courage car elle va devoir s’afficher devant tant de regard avec lui. « Ne refuse pas pour les autres mais accepte  pour toi. »  il sourit légèrement, affiche une mimique. « Et un peu moi. » dit-il en ricanant, Kirill connait la défaite mais il aime rarement croisé son chemin.  
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J'aurai du me taire, je sais exactement comment je suis. Je fais des blagounettes moyennes qui ensuite me tombent dessus. Tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de prononcer le moindre mot Lawrence. Mais c'est plus fort que moi, quand je le regarde, quand je crois mon regard avec le sien, je me sens différente. Comme si j'avais dans le regard de quelqu'un de l'importance. Je sais au plus profond de mon être que je me fais des idées, qu'il n'est pas ce genre de garçon que je ne devrais pas faire une chose pareille avec lui, mais c'est plus fort que moi. Je reste pétrifiée devant lui, incapable de faire quoique ce soit, ni même de me montrer plus forte, de me rebeller contre son attraction. Je ne suis qu'une faible fille qui se fait avoir par ce mec. Je rougis quand il parle de sa chambre, comme une adolescente boutonneuse. Je ne veux pas me laisser avoir, je ne veux pas coucher aussi facilement avec un garçon, j'ai déjà eu ma dose et ce n'est pas possible. Je dois répliquer quelque chose, un mot, une phrase... UN TRUC quoi. « Ce serait trop facile. » J'étais persuadée qu'avec cette rousse il pouvait faire tout et n'importe quoi, qu'en temps normal il aurait fait tout plein de chose avec cette fille. Je suis pas comme cela, je devrais pourtant parfois me lâcher et ne faire que ce que je désire mais ce n'est pas possible je ne sais pas être cette fille là. Je suis folle, timide et complètement pas douée dans tout cela. Pourquoi il n'y a pas un manuel pour bien se comporter en présence d'un garçon. d'habitude je suis la pote, l'amie, pas celle à qui on tient la main. Encore plus quand on dit une chose pareille. Il se fou de ma gueule en faite, sa cavalière et puis quoi encore. Je ne suis pas sur d'avoir assez de répartie pour faire ce genre de chose.

Je croise son regard, ce fout-il de ma gueule, je ne suis pas d'accord avec cela, je ne suis pas certaine de vouloir cela ça rendrait les choses officielles et c'est effrayant. Il y a une différence entre se laisser embrasser par un mec carrément sexy et aller à un bal avec lui. Il se fou de ma gueule. Je boudine presque n'appréciant pas qu'il joue avec moi, je ne veux pas qu'il soit comme cela avec moi. Puis je n'aime pas les bal et j'ai toujours détesté se principe. Trouver un cavalier, danser, se faire ramener et tout ceux qui engrossent leurs copines. Super. Poaww je n'aimais pas ce qu'il disait il ne comprenait pas... Je continuais de marcher en faite je voulais moi aussi dire quelque chose, mais il me prit par surprise. Encore. Il n'a pas le droit de m'embrasser comme cela, mais en même temps je ne veux pas qu'il s'arrête de le faire. Je suis d'un compliqué le genre qu'on ne comprend pas et qu'on ne veut pas comprendre. Je le regarde, on dirait un gamin de cinq ans qui vient de réussir une blague, il est tellement cute. Mais je me reprend, non mais oh. « Je ne veux pas que tu sois accroc à mes super performances sexuelles, je risquerais de te jeter au petit matin, puis je n'aime pas les bals, c'est tellement surfait. Ce sont toujours les mêmes qui sont mis en valeurs les autres des idiots. Je voulais qu'on aille foutre un peu la merde là-bas. » Et oui. Bon mes paroles ne servent pas à grand chose car je suppose que quand Kirill a quelque chose en tête il ne l'a pas ailleurs mais je pouvais quand même me défendre. Il m'a pris la bouteille de la main, je ne sais même plus à quel moment et je le regarde faire. J'ai beau me faire violence, je ne peux pas lui en vouloir de réagir comme cela, je ne pourrais pas souvent lui en vouloir quelque chose. En face de moi, arrêtée je le regard bon sang  respire Cerceï où tu vas finir mal très mal. Mais c'est tellement compliqué surtout quand il vient à te dire cela, te demander ça comme cela. Je sens mon coeur s'emporter dans ma poitrine et et je ne veux pas me montrer faible ou attendrit par cela. Mais je ne peux pas, je ne sais pas mentir, je ne sais pas faire semblant. C'est touchant et tellement agréable que j'ai peur. Je suis terrifiée.

J'ai ce petit diable et cet ange placé sur chacune de mes épaules, me soufflant de répondre alternativement oui et non. Je ne sais pas quoi répondre, je n'aurai pas l'occasion d'avoir une telle chance. Kirill, un Winthrop qui me fait une telle demande, c'est démentiel. Mon coeur bat trop vite dans ma poitrine et je ne sais pas... Je sais quoi répondre mais c'est anti tout ce que je suis et me montrer avec lui en public, comment peut il vouloir de ça ? « Ne refuse pas pour les autres mais accepte pour toi. »  il venait effectivement de me tourner la tête, je suis vacillante et je n'ai qu'une seule envie, une seule... Je soupirais fortement quand il m'acheva avec son "et un peu moi." Ciel mais qu'est-ce qu'il est doué, je lève les yeux au ciel. « Peu de filles doivent te dire non, toi. » Lui avouais-je en me mordillant la lèvre inférieure. « Je n'ai pas le choix, je ne voudrais pas que tu te sentes mal d'y aller avec une fille au physique parfait. J'ai pitié de toi. » C'était entièrement faux mais heureusement pour lui il ne pouvait entendre le fond de mes pensées. Je prenais sa main glissant mes doigts avec les siens, je lui envoyais un léger sourire, timide mais mignon de ceux qui peuvent en faire fondre quelques uns avant de continuer de marcher. « Je te préviens je compte me souler et pourquoi pas, me laisser draguer. Je suis pas la cavalière parfaite et je suis allergique à tous ses rites purement surfaits. » Mais j'étais contente, vraiment contente et je ne pouvais pas vraiment le lui dire, si ? Je tournais complètement la tête, osant quand même ma phrase, de fille complètement givrée. « Merci... De penser à une fille comme moi... enfin de me le proposer. Par contre demain ne vient pas retirer ta demande, ce qui est dis est dis. » Je lui faisais un petit clin d'oeil suivit d'un sourire. Après tout il avait plus le droit de revenir sur sa parole, je risquais de faire un drame et tout le monde sait qu'un drame à la cerces c'est vraiment vraiment pas fait pour les âmes sensibles. Je voyais le point d'eau au loin, c'était sympa comme endroit, et désert en cette heure de la journée. « Toujours partant pour faire des bêtises ? » Je parlais bien évidemment des préparatifs du bal mais mes paroles ne semblaient pas, ainsi avouée très claire. Enfin pas du tout au final, mais je ne me rendait pas vraiment compte, ou un petit peu mais chut, oui chut..
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« Pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple ? » lance-t-il de manière si naturelle. Il est vrai que Kirill aime avoir le dernier mot, surtout dans ce genre de conversation. Une chose est sûre c'est que l'écossais a une mémoire extrêmement sélective, bien qu'il avait dû en entendre parler depuis quelques jours ce bal lui était complètement sorti de l'esprit. Il y a tellement plus important que cette futilité s'est échappée de son cerveau. Alors lorsque Cerceï mentionne les préparations de cet événement tant attendus par beaucoup de demoiselles, il se rappelle que certains de ses collègues ont mentionné quelques noms de potentielles cavalières et à quel point cela allait être une soirée de débauche le terme exact est un peu plus cru. Maintenant qu'il y réfléchit il a déjà dû refuser des demandes, quel odieux garçon fait-il mais c'est de sa nature de refuser. Il ne va pas dire oui aux premières venues voyons, il est bien plus intelligent que ça. Il sait qu'il ne sera pas seul, c'est si facile de se trouver une ravissante cavalière, les belles filles ça courent les couloirs d'Harvard il doit le reconnaître. Depuis que ces bals existent, il a trop souvent été bien accompagnée mais au lycée il croit bien avoir reçu un vent magistrale, ça date de trop loin pour qu'il s'en souvienne. L'écossais n'est pas quelqu'un qui vie dans le passé, surtout lorsqu'il est question de ces déceptions amoureuses ou relationnelle. Il n'a pas toujours ce qu'il obtient, c'est ce qu'il veut faire croire mais il n'en serait pas là aujourd'hui s'il avait tout ce qu'il souhaitait. Non, ce genre de choses c'est pour le héros d'un film qui finit si bien.
Il ne peut s'empêcher de rire légèrement aux dires de Cerceï, elle ne fait vraiment pas attention à ce quelle articule. Elle est spontanée le terme est suffisamment juste, l'alcool est-il coupable de cette étrange franchise ? Peut-être mais, cela ne fait que confirmer une chose. Elle l'apprécie drôlement, si ce n'est pas lui c'est au moins son physique c'est déjà beaucoup. « Je n'en doute pas. » dit-il avec ce parfait minois, il suffit des grands discours bien que. « Si tes performances sexuelles sont aussi excellentes que tes baisers, ça vaut bien la peine d'être jeté au petit matin. » ses lèvres s'étirent d'un sourire, il venait de la complimenter de manière si subtile. « Ce n'est pas comme si j'avais l'habitude. » rajoute-t-il à lui-même en buvant dans la bouteille d'un air amusé. Les filles veulent trop souvent de lui comme coup d'un soir ou est-ce l'inverse ? Le résultat est le même, les filles savent qu'il ne veut rien de sérieux et profite de ses performances pour la nuit. Dans tous les cas, il vient de nouveau la piéger et il est incroyablement incorrigible.

Alors il l'écoutait parler, et c'est vrai qu'il n'avait pas pensé à faire de Cerceï sa cavalière, déjà avant ce soir il n'avait pas du tout penser à elle et encore moins au bal. Il ne faut pas lui en vouloir son génie est trop sélectif. Mais maintenant qu'elle était là en face de lui, qu'elle lui avait montré cette part si brisé d'elle, elle méritait que quelqu'un l'invite et autant que ça soit lui. De plus qui sait cela accélérait le processus de son plan et elle finira sans doute avec lui. Ses intentions sont étranges et mitigées, d'un côté il souhaite qu'elle soit heureuse et qu'elle aille au bal avec une belle robe et bien accompagnée, qu'elle ne se morfonde pas rien qu'au mot bal car elle n'a pas eu beaucoup d'occasion d'aller danser sur la piste avec un cavalier digne de ce nom. Et d'un autre cela le rapprocherait tellement de l'obtention de son pari, cela lui montre qu'il lui accorde de l'importance alors qu'en vérité il s'en fou un peu d'elle. Pas totalement car plus il la connait plus il a envie d'en savoir, et il doit avouer qu'il commence à apprécier de traîner avec elle parce qu'elle est différente de la plupart des filles qu'il côtoie légèrement. Mais il ne la considérait jamais de la façon qu'il fait à cet instant, lui faire croire qu'elle est spéciale et qu'il la veut. La vouloir en amie peut-être mais pas plus. Imbécile.

Pourtant il est là affichant ce foutu sourire déstabilisant tellement qu'il irrésistible. Ca y est il lui a clairement demandé d'être sa cavalière et lorsqu'il fait ce genre de demande c'est toujours avec son charme inné. Et par le fait qu'elle mette trop de temps à répondre il articule encore quelques mots. Comme un gamin il ferme un oeil pour attendre de voir sa réaction, lorsqu'elle ouvre enfin la bouche il plante ses prunelles victorieuses dans les siennes et seul un petit haussement d'épaule répond à sa question en faisant mine de réfléchir. « C'est donc par pitié ? » il affiche une légère mimique, puis buvant dans la bouteille une nouvelle fois. « Je vais m'en contenter. » elle attrape sa main, cela est toujours surprenant qu'elle vienne désormais aussi facilement vers lui alors qu'il y à quelques heures elle en était presque incapable. Elle lui sourit et il se surprend lui-même de le rendre si naturellement, il remarque à cet instant une certaine beauté chez elle. Il la dévisage peut-être un peu trop avant de rire légèrement à ces dires et d'y répondre. « Je te laisse le droit de te saouler mais pour le reste tu m'as, c'est suffisant. » il sert un peu plus sa main pour marquer sa plaisanterie, il se demande vraiment si elle serait capable d'aller voir ailleurs. Non elle dit cela juste pour le taquiner, et ça marche il répond toujours de manière possessive. « Je tiens toujours ma parole. » si leur relation était sincère ce qu'il venait de dire aurait un sens, car c'est vrai que Kirill tient le peu de promesses qu'il fait. Mais il le devait pour Cerceï enfin pour gagner son pari car s'il bafoue cette parole tout sera mis à l'eau même s'il très fort pour se faire pardonner. Il sourit à la question de Cerceï, qu'elle choisisse dorénavant mieux ses questions. « Quels genres de bêtises ? » dit-il la regardant avec cette même lueur qui anime son regard. Il connait une destination tout à fait apte à faire une quelconque bêtises sans arrière-pensée. , Il l'insistait fortement à prendre la direction qu'il souhaitait. « Suis-moi, on fait un détour. »il lui tend la bouteille pour qu'elle s'abreuve à son tour. C'est donc le plus naturellement possible qu'ils arrivent à la piscine « Par-là. » il sait ce qu'il fait, en tant que bon Winthrop il connait tous les petits défauts technique des lieux. Ça faisait un moment que cette porte devait être réparée, mais cela tombait en vérité très bien pour eux, surtout pour lui. « J'espère que tu sais nager. » qu'il se taise par moment franchement,   il ouvre le plus naturellement du monde la porte en forcant légèrement. « Fais moi confiance. » dit-il en entrant dans le bâtiment lui tendant la main. Les voilà tous les deux faces à l'immensité de la piscine. Il lâche sa main et il s'approche d'elle, venant une nouvelle fois lui voler un baisé délicat. « Es-tu effrayée Cerceï ? » de son pouce il lui caresse les lèvres, c'est un joueur hors pair il ne faut pas l'oublier et un crétin aussi. Il s'écarte d'elle de quelques pas avec cette même lueur qui anime son regard, il ne cesse de la provoquer. Il soulève son haut plantant ses prunelles dans les siennes, sachant qu'elle finira par les baisser par ce qu'il faisait. Il le laisse tomber à ses pieds. « Je n'ai jamais mentionné le fait que j'étais un excellent nageur? » dit-il tout débouclant sa ceinture, il finit par quitter son jean, il ne scille pas son regard sonde le sien. Et il finit par lui tourner le dos et plonger dans l'immensité de l'eau, si elle ne comptait pas le rejoindre il la forcerait sans aucune difficulté.


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Il s'agit d'un filou, d'un requin, d'un homme qui aime torturer ses proies, je ne voyais rien d'autre. J'aime taquiner les gens, je le fais tout le temps, mais il est tellement plus doué que moi dans ce domaine. J'essaye de ne pas me démonter devant lui, mais je subis coup après coup sa force, je suis tremblante, je suis étourdie, et je ne rêve que d'une chose qu'il continue encore. Je dois avoir un côté sado-maso il faut croire, mais ensuite ? Ensuite quoi ? S'il venait à se lasser de cela, j'aurai pas l'air conne d'arriver au bal toute seule. La pire des choses qui puisse m'arriver, je n'ose même pas y penser, mon coeur s'emporte à chaque fois que je m'apprête à penser à cela. Pourquoi je viens à dire cela ? Il en a rien à faire que je sois doué ou non pour les relations sexuelles, parfois je me demande honnêtement pourquoi j’ouvre ma p*tain de bouche. Je soupire fortement, me mordillant la lèvre, plus encore quand il vient à me répondre. J’en perds mes mots et il manque encore un florilège de point. MAIS depuis quand je me laisse faire comme cela sans rien dire. En valoir la peine ? Ce n’est pas possible, il est charmeur et je tente de ne pas me faire avoir. Je dois marmonner quelque chose si je ne veux pas passer pour une idiote de première de celle à perdre ses mots, à rougir pour rien, à se sentir idiote. FUCK ! Je suis tout cela, mais je ne me démonte pas, et me contente juste de lui dire le plus beau. « On verra bien mon cher ami. » Appuyant un peu plus mon accent anglais par excellence. Je reprends mon souffle, quand il boit dans la bouteille et j’essaye de tout analyser, sans trop le faire. Il est un homme à femme, du genre je m’attache pas, je le sais je dois le savoir. Mais en même temps, on ne m’avait jamais dis cela, je veux dire je suis pas du genre à avoir une avalanche de compliment.

Mon coeur s’emporte désormais, super… Et voilà comment je me retrouve à être sa cavalière. C’est à la fois excitant, surréaliste et complètement flippant. Je suis pas certaine d’être à la hauteur, de ne pas être ridicule à ses côtés… Il va falloir que je joue le jeu et je sens que ce sera ennuyant au possible. Mais quand je le regarde me sourire, à côté de moi, me tenant cette main, je me sens forcément plus légère, légère d’un pois en moins. Je ne serais pas seule, il veut venir avec moi. Je veux y croire. « c’est une torture, tu sais de se montrer à ton bras. » Disais-je sur une pointe d’humour et une fois encore je ne comprenais toujours pas. POURQUOI dire cela ? Pourquoi me faire croire que c’est normal de sortir avec moi. Il a intérêt à tenir sa parole je ne voudrais pas me retrouver toute seule ce fameux soir, je n’osais imaginer dans quel état je pouvais me trouver et le sentiment d’extreme déception prenant peu à peu possession de mon corps. Je penche la tête rougissant comme une pivoine lorsqu’il vint à parler de bêtise, ce n’était pas ce que je voulais dire, vraiment pas, mais il était douée. « Je… Bah… Euh... » Mais trop tard, il me regarde avec cette lueur et je me contente juste de lui sourire, assez naïve, pas certaine de comprendre ce que lui attendait de tout cela, j’aurais assez de temps pour analyser tout cela plus tard. Je prend la bouteille et je bois une gorgée, l’alcool continuant de glisser dans mon corps réchauffant mon âme. « Attends une seconde Kirill, c’est vers la piscine que nous allons... » Il ne me répond pas, mais je comprends que trop bien, pas bonne idée, vraiment pas bonne. Je le suis quand même, alors que j’ai la forte volonté, de le tirer par le bras, et de lui dire «  viens on va faire des bêtises ailleurs. » Mais c’est trop tard, nous rentrons dans la piscine, je fais un mouvement de tête, je ne peux pas… Je ne peux pas.

Il m'embrasse, comme si souvent ses derniers temps avec une rapidité qui ne me laisse pas le temps d'apprécier son geste. Je me sens tomber lorsqu'il pose la question. Je suis effrayée, complètement et incapable de dire le moindre mot. Je suis comme hypnotisée par la couleur bleue claire de l'eau faiblement illuminé de la piscine, mais assez pour tout voir. La transparence m'effraye fortement. Caressant mes lèvres je frissonne de ce geste, j'ai beau essayer de me la jouer cool, je ne suis pas cool, je suis une pauvre proie, la sienne. BORDEL DE MERDE ! ETAIT-IL vraiment en train de se déshabiller devant moi ? Je regardais la piscine avec une certaine appréhension, je n'aimais pas particulièrement la piscine, je n'aimais pas me montrer vulnérable et là c'était juste tout ce dont je craignais... Me concentrant sur son regard, je n'arrivais pas. Je ne pouvais le faire alors que son haut se retrouvait par terre et que je pouvais y voir sa musculature parfaite. Ce gars se tape des bombes et je suis réduite à être là devant lui, je me sens soudainement prise d'une angoisse grandissante. Plus que grandissante, étouffante. Je vais finalement mourir devant lui, surtout lorsqu'il continue son sale petit jeu, l'insolant. Non il ne m'a jamais dis cela, je l'aurai retenu, mais il me fait sombrer par son regard, mais plus encore lorsqu'il enlève son jean. Bon sang, ce mec est parfait, physiquement parlant il a tout qui attire l'oeil, une perfection sans le moindre défaut et son cul. J'ai à peine le temps de l'observer qu'il plonge la tête la première dans la piscine. J'ai le temps qu'il remonte à la surface pour fuir le plus loin possible. Mais ce n'était pas possible, finalement, il était déjà dehors et j'étais pétrifiée. « Ce n'est pas du jeu. » Avouais-je alors que je regrettais de ne pas être assez soule pour plonger dans l'eau. Comment suis-je sensée me déshabiller devant lui, pour rentrer dans l'eau. C'est facile lorsqu'on est beau de faire cela, pas quand on a une liste de complexes longue de cinq mètres.

Je me mordillais la lèvre inférieure anxieuse. « On a pas le droit d'être là, tu sais... On devrait peut-être filer à l'anglaise. » Ah ah référence pourrie mais je ne me sentais pas les épaules assez larges pour faire ça. Mais en même temps combien de fois dans ma vie j'aurai une telle occasion que de me retrouver dans la piscine, seule avec Kirill. Une chance sur cinq cent, mille, un million ? Bon okay... J'en avais TERRIBLEMENT envie. Si je voulais aller plus loin dans ce semblant que nous avions (je ne veux pas tirer des plans sur la comètes trop vite), je devais prendre sur moi. De l'alcool, beaucoup d'alcool et du cran, je pouvais le faire, je voulais le faire. « Tu peux te retourner s'il te plait ? » Quoiqu'il avait déjà vu des filles en sous vêtements, mais surement pas des filles comme moi. Ce soir était une soirée trop mouvementée pour moi, trop d'émotion, trop de choses. Je prenais la bouteille que je portais à mes lèvres pour y boire trois énormes gorgées, j'en avais plus que besoin. Puis, prenant mon courage, je déboutonnais doucement les boutons de mon pantalon, avant de le laisser tomber. Manquait plus que le haut. « Tu triches pas. » J'inspirais une nouvelle fois avant de quitter mon haut ainsi que mon débarquer. Trop rapidement je prenais l'échelle qui menait à la piscine, en manquant presque de glisser. Je me connaissais trop bien, mais dire qu'une fois dans l'eau tout allait mieux. Tourner, en tous les cas, il était de dos je m'approchais. « C'est bon, je sais pas si tu te rends compte de ce que tu me fais faire, j'ai peur de l'eau... Kirill... Je... Ahhhhh... » Je feignais de faire la nulle dans l'eau, la pauvre fille amourachée qui le suit malgré sa peur de l'eau. Je n'avais pas peur... Je me mis à sourire comme une gamine de quatre ans avant de l'éclabousser, par amusement, chamaillerie aussi. Reculant je voulais pas qu'il m'atteigne mais je continuais à l'éclabousser. Une fois dans l'eau, je me détendais espérant qu'il ne parte pas en courant d'avoir vu ça.
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Il était un peu comme le mec qui lui était inaccessible pour elle alors, malgré tout ce qu'elle avait dit sur le bal il savait qu'elle allait accepter être sa cavalière, sa réponse se lisait dans son regard. « Vraiment ? » dit-il d'un ton légèrement détaché, il hausse les épaules posant légèrement son regard sur elle. « Pourquoi avoir accepté ? » il est un peu frustrant par moment, il fait exprès de poser ce genre de questions, blessante ? non pas vraiment mais le genre de questions dont cerceï n'aura pas la réponse. Et il passe si facilement d'un sujet à un autre comme s'il n'avait jamais rien dit car il a toujours été ainsi. Cerceï faisait preuve de courage et de spontanéité mais jusqu'à ou ? comme Kirill a le vice de pousser les personnes hors de leur limite, chose qu'il ne devrait pas faire avec Cerceï après ce qu'il avait vu, mais qu'importe c'est un insolant il se fou assez des ressentis de la brune pour choisir un lieu qu'elle n'apprécie guère. Il savait pertinemment ce qu'il fait, il aurait pu choisir un autre lieu, il y a en tellement à Harvard pour commettre des infractions. Légèrement mesquin et fortement crétin, il l'a mené avec ce sourire charmeur pile le lieu qu'il fallait pour qu'elle lui prouve bien des choses.

Alors il se déshabille juste pour l'appâter, il ne faisait que pousser les limites de l'anglaise depuis le début de la soirée. Pourquoi ? Pour prouver qu'elle peut le faire sans qu'elle en meurt de honte ? Peut-être en partie, il faudrait qu'elle est plus confiance en elle-même et qu'elle cesse d'accorder tant d'importance aux regards des autres. Ça le dépasse qu'elle soit aussi coincée disons, alors à sa façon il la dévergonde un peu. Si elle le rejoint dans l'eau c'est qu'elle est capable de venir au bal avec lui sans qu'elle ne parte pas en courant comme ce soir. Il veut lui montrer qu'elle est plus forte qu'elle ne le croit et qu'elle est capable de franchir cette limite. Bien sûr si elle vient le rejoindre c'est qu'elle lui porte une certaine affection qu'il ne cherchait pas forcément à avoir mais qui l'aidera pour la suite, pour obtenir son pari. C'est un tel paradoxe, car ces actes ont une double face. Il se retourne à sa demande, car il écoute souvent ce qui lui dit une dame dans ce genre de situation. « fais-moi confiance. » dit-il lorsqu'elle cri ne pas se retourner, il s'impatiente légèrement car il craint qu'elle parte en courant. C'était beaucoup lui demander, il avait envie de lui dire qu'elle n'était pas obligée d'enlever ces vêtements en totalité. Mais un mouvement dans l'eau étire ses lèvres, il attend l'autorisation de la brune pour qu'il se retourne vers elle. Jusqu'à ce qu'elle se mette à hurler comme une idiote, il se retourne vers elle, et il lui affiche un léger sourire pour simplement prouver que sa blague n'était pas drôle. Saoule comme elle semblait être elle pourrait facilement oublier comment flotter. « Ton humour est hilarant. » dit-il avant qu'elle ne l'éclabousse, il la regarde avec une certaine admiration car il n'aurait jamais pensé à ce qu'elle vienne le rejoindre avec si peu de vêtements.« Tu as surpassé ta crainte. » dit-il d'un air si étrange, il pose donc ses prunelles dans les siennes avant de prendre sa revanche et de l'éclabousser à son tour. Maintenant qu'est-ce qu'il allait faire ? Elle venait de le surprendre en venant barboter en sous-vêtements, l'alcool avait des influences étranges sur le comportement de Cerceï. « Ne serait pas tu légèrement soule Lawrence ? » il rigole à moitié, posant ses douces prunelles dans les siennes. Il vient alors vers elle, il devait bien lui donner une récompense. Il dépose ses lèvres contre les siennes, lui offrant le genre de baiser comme au cinéma. Il devrait arrêter de se montrer si romantique ça ne lui vas pas, il sourit contre ses lèvres à cette pensée. Il se détache d'elle et l'éclabousse car il ne trouve que cela de bon à faire. « Tu es bien courageuse. » dit-il tout bas, avant de baisser ses prunelles, elle ne devrait pas avoir tant honte d'elle-même. Il avait envie de lui dire mais aucun mot ne sort de sa bouche, son regard défie le sien et ses lèvres s'étirent d'un léger sourire. Assez barboter, il se dirige vers le bord de la piscine et en sort si facilement. « Allez Lawrence, assez barboter. » il lui tend sa main , la nommant toujours par son nom de famille, car il met bien en évidence lorsqu'il est sérieux et lorsqu'il ne l'est pas. « ah moins que tu veuilles faire encore quelques longueurs ? » c'est plus fort que lui d'être de cette façon, parce que peut-être qu'il la considère plus comme une pote qu'autre chose.

Il s'accroupit légèrement, il sait qu'elle aura peur de sortir des l'eau maintenant qu'elle y est mais elle doit savoir que Kirill ne la jugera jamais. Alors il y a cette lueur de gentillesse qui bat dans ses prunelles, il lui sourit légèrement. « Je te ramène à ta chambre. » dit-il d'une voix si protectrice, il a assez joué avec ses sentiments. Il se redresse alors ne la lâchant pas du regard jusqu'à ce qu'il lui tourne le dos, pour qu'elle sorte car il essaye de la respecter légèrement. Il attrape les vêtements de l'anglaise qu'il lui tend jusqu'à ce qu'il sente qu'elle les lui prenne. Il se rhabille, détestant la sensation de sentir ses vêtements lui coller à la peau. « On y va ? » c'est comme si cette petite baignade nocturne avait assagit le Winthrop, il se rendait de ce qu'il venait lui faire subir. Leurs mains se nouent de nouveau, Kirill ramasse la bouteille laissée là buvant encore quelques gorgées. Puis tous deux quittent les lieux comme s'ils n'y avaient jamais été, et puis sur le chemin il pose ses prunelles protectrices sur elle. « On ira voir les préparatifs un autre soir ? » dit-il comme une promesse alors que sans doute leur chemin ne se recroiseront pas avant le jour du bal. Car Kirill est toujours si loin après tout. Il n'est pas l'homme idéal elle doit se douter qu'après cette petite escapade, il ne sera pas celui qui lui enverra un sms dans la matinée. Il a déjà fait preuve de beaucoup de bienveillance pour la brune, mais il aurait mieux fait de la laisser seule car désormais pour elle tout ceci signifie beaucoup.

Les voilà devant la porte de l'anglaise, il lui sourit légèrement plongeant ses prunelles dévastatrice dans les siennes, ça y est il a récupérer ses airs de prédateur. Rare qu'il reste sur le palier d'une chambre sans y rentrer lorsqu'il est accompagné d'une fille. Il lui laisse peut-être pas assez le temps pour qu'elle ne le retienne et il vient poser ses lèves furtivement sur les siennes, car ce n'est pas un romantique. « Bonne nuit. » dit-il d'une voix suave, puis il lâche sa main.
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