Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKIRCEÏ PARTY
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €


KIRCEÏ PARTY

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ Kirill Lindstam.

Le retour de vacances fut violent, non pas au niveau du climat pitoyable du moment où j'avais sens cesse l'impression d'avoir trop chaud ou trop froid, non. C'était différent, finalement j'aimais beaucoup le Mexique, il y faisait bon vivre puis c'était chouette de s'éloigner du campus, de voir autre chose que ces gens, éviter de se prendre la tête avec certaine personne, n'est ce pas celuidontlenomcommenceparD. J'allais presque l'avouer c'était une chouette d'idée de m'avoir forcé à y aller, mais encore une fois j'avais chou blanc. Je fais toujours chou blanc, c'est pas de ma faute, c'est dans mon ADN. Qu'est ce que je raconte ? Des conneries, on s'en fiche que ce soit dans mon ADN ou non, je n'avais pas réussi à me mettre une seule fois en maillot de bain devant les autres, pire j'avais eu l'esprit un peu ailleurs. Mais je refusais sincèrement et honnêtement d'y penser. C'était un mec comme les autres finalement, du genre à ne plus donner des nouvelles. Qu'importe je suis plus civilisée que cela.

J'étais dans ma chambre quand Artur m'envoya un message me suppliant de venir l'accompagner à une soirée ce soir. Il n'avait jamais besoin de moi durant les soirées, mais il savait combien j'étais d'une grande aide, quand il se retrouvait dans une situation délicate, autour de conquête, d'ancienne conquête et les copains en colère de ces dernières. J'avais pas particulièrement envie d'aller m'amuser ce soir, mais je ne voulais pas rater une occasion de jouer mes moralisatrices avec Artur, qui ne se gênait pas pour jouer avec les filles. Les hommes sont-ils tous comme cela ? A croire. Je portais un ensemble normal, à mon image qui ne mettait en rien en avant ma poitrine. Si je faisais l'effort de le voir, je pourrais parier sur cette dernière. Bref, les cheveux détachés, je me retrouvais dans l'aile des Winthrop, endroit où se trouvait la fête. Guider par la musique, j'envoyais un message afin de retrouver Artur, manque de bol il ne répondait pas... Le vilain. Bon maintenant que j'étais là, je pouvais boire gratuitement, danser un peu et retourner dans ma chambre. Un verre à la main... POAW C'est rudement FORT ça, je regardais autour de moi.

La musique était pas mauvaise plutôt bonne même agréable en tous les cas. « hey... » on venait de me bousculer... FUCK ! Je mettais de nouveau mon verre en bouche avant de le voir. BORDEL DE MERDE. Super. Je me retournais afin d'éviter de croiser son regard. Pas de nouvelles depuis la dernière pour quelqu'un qui s'intéressait à moi, que de belles paroles. En même temps j'étais partie au Mexique, non ce n'était pas une excuse, il pouvait il y être lui aussi là-bas, je devais juste arrêter de croire que bordel. C'est aussi simple. Je me retournais pour l'observer, super il était en charmante compagnie. Plus que charmante la compagnie. Elle était belle, non elles étaient belle, super, parfaite. J'étais dégoutée, vraiment, non pas que mon monde venait s'effondrer, juste que cela était tellement prévisible que je ne devais pas en être surprise. En faite je m'en voulais d'être aussi... En colère et légèrement jalouse. Jalouse moi ? Pff jamais. Je décidais d'aller de l'autre côté de la pièce, prendre un truc, m'occuper, ne pas faire les désespérée. Tout en dansant légèrement je passais à côté lui, ne sachant s'il m'avait vu, moi une folle envie d'écraser sa poupée parfaite à côté de lui, cherchant rapidement et nerveusement Artur du regard. Cette soirée craint..
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ cerceï-rae lawrence.

« Hé Kirill tu sors ce soir ? » un sourire étire ses lèvres, quelle question c'est une évidence qu'il pointera ses belles petites fesses, rien que pour le plaisir des yeux des belles demoiselles, il n'a aucun droit de leur retirer ce plaisir. Une réponse négative à ce genre de question de la part de l'écossais serait étonnante, il n'a jamais décliné n'importe quelle soirée existante. Bien même la vielle d'un examen, il a toujours cette facilité de récupérer en un clin d'oeil. Et de son génie il n'a nul besoin de réviser, c'est une chose qu'il ne connait pas. Alors il doit bien faire quelques choses de ses heures libres le soir ? cela serait si dommage de les gâcher à rien faire, qu'il sort pour s'amuser. Ce n'est pas un Winthrop pour rien, la fête il a ça dans le sang et comme tout bon écossais il est difficile de le voir saoul comme un polonais. Il a rarement vomis dû à l'alcool, ces derniers souvenirs d'un tel acte datent du lycée. Faut dire il a commencé à boire jeune, juste histoire de rentrer dans la rébellion face à ses parents. Donc pour lui se coucher tard et se lever tôt ça ne lui pose pas de problème, hormis le jour où il doit prendre un avion pour une destination rêvée et qu'il le loupe. Ah parfois le destin est injuste, il faut bien que cela lui arrive, il a trop de chance aux yeux d'autrui, il faut simplement retirer sa situation familiale.

Alors le voilà quittant les vestiaires après une bonne heure de football, rien de tel pour se remettre en forme avant une belle soirée. Retrouver certaines personnes, surtout UNE qui lui est sortie complètement de la tête. Car c'est Kirill, il oublie vite quelqu'un non pas par méchanceté c'est simplement de sa nature. Il n'est pas celui qui prend des nouvelles, quel dommage il a dû blesser une âme qu'il avait emprisonnée avant qu'elle ne parte là où il ne s'est pas rendu. « Au fait t'en es où avec la grosse. » ah voilà c'est par la bouche d'un ami qu'elle revient à son esprit, il fronce légèrement les sourcils cela n'avait pas avance depuis la dernière fois. Il affiche une mimique, il va devoir trouver une excuse lorsqu'il la verra. Il n'a pas le temps de penser à ça, il a une soirée à préparer. De toute façon il se fait toujours pardonner, puis ce n'est pas comme si elle était restée à Cambridge, il n'allait pas lui courir après à quoi elle s'attendait. Même pari ou non, il ne doit pas changer entièrement sa personnalité, Cerceï c'est un minimum à quoi s'attendre avec lui, elle a bien dû entendre des rumeurs à son sujet. Il doit avouer qu'à ce moment le pari lui passait bien au-dessus, il n'avait qu'une envie s'était de se défouler un peu bien qu'il en avait bien profité pendant ses vacances, New-York est une belle ville.

La musique tambourine déjà lorsqu’il arrive avec son charisme naturel, il salue de bons camarades en venant vers eux, et finit par saluer les autres d’un simple sourire ou signe de main. La soirée n'était qu'à son commencement, qu'il avait déjà entamé de nombreux verres mais rien qui ne puisse affecter sa façon d'agir ou de penser. Puis il y a cette fille, belle et aux courbes parfaites, qui attire son intention. Il capte son regard et il se dirige vers elle comme un prédateur sur sa proie. Les camarades de la rousse ricanent à sa vue, ils se parlent. Elle le tire par le bras et se colle à lui, se désarticulant sur la musique. Il a sans doute trouvé sa proie de la soirée, si seulement une certaine personne n'était pas passer à côté de lui. Alors qu'il sent les doigts de la rousse dans sa nuque pour qu'il vienne l'embrasser, il tourne son visage d'enjôleur vers Cerceï qui s'exile. « Kirill. » la pression qu'elle met sur sa joue lui fait tourner son visage vers elle, il lui affiche ce sourire ravageur. « J'ai autre chose à faire. » dit-il en se décollant d'elle , elle le fusille du regard et il retient sa main avant qu'elle ne le gifle. « Tu trouveras quelqu'un d'autre. » et il se décolle d'elle qui le regard vexée qu'il la quitte et elle ne sait pas encore avec qui. Il attrape un verre avant de rejoindre l'anglaise. Il vient se mettre en face d'elle, ses lèvres s'étirent de ce sourire incroyable, de sorte à ce qu'elle ne lui en veuille pas qu'il l'est oublié. « Hello, girl. » dit-il avec son regard rieur sondant le sien, par un élan de sensualité il vient poser ses lèvres sur sa joue, un peu trop près de ses lèvres sans doute. « De retour à Harvad. » dit-il avec sa voix suave, il s'approche vers elle pour qu'il ne vienne pas à répéter ses belles paroles. Il est étonné de la voir là, à une telle soirée. Il ne perd pas ce sourire dévastateur, et il hausse les épaules.  «Que fais-tu ici ? tu es venu avec quelqu'un ? » il se retourne pour voir si quelqu'un venait vers eux, il remarque simplement le regard assassin de la rousse qu'il avait accosté plutôt, il affiche une mimique qu'elle ne voit pas en lâchant un soupir. Il vient de perdre une belle proie, il se retourne vers elle avec le même sourire. « Tu veux un verre ? » ah le kirill gentleman tout le monde le connait.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ Kirill Lindstam.

C'est officiel et catégorique je détestais Artur et ses idées de me trainer dans des endroits comme ça, je ne suis pas sensée m'amuser sur ce genre de musique et dans un lieu pareil. Je sais m'amuser là n'est pas la question, je ne sais pas m'amuser avec des gens comme ça, quand je les retrouve autour de moi ils ont l'air tellement, je ne sais pas trop quoi dire. Pff, je suis de mauvaises humeurs, il aura tout gagné, si je le trouve, je lui dis ma façon de penser avant de filer dans ma chambre et le laisser tout seul avec ses emmerdes. ça aurait du être la finalité de ma soirée au lieu de ça je voyais monsieurj'aiunculd'enfer danser en charmante compagnie, alors que je me sentais ridiculement faite dans ce corps que je haïssais sans grande peine. Je soupirais fortement avant de m'éloigner de lui, ce sera la solution de mes soucis, on s'éloigne, on se casse et on fait autre chose. Après tout, comment étais-je sensée l'éviter sachant qu'on était dans le quartier de sa confrérie. J'insultait mentalement Artur. Celui là si je le tiens, je l'étripe en direct lave et je film le tout pour qu'il comprenne combien il peut être carrément chiant. Et il ne s'en rend pas compte, si si... Je compte mentalement jusqu'à dix dans ma tête avant de partir : un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, dix... « Hello, girl. » FUCK ! Il m'a vu, bordel de merde, pas ça, pas ça je suis sensée dire quoi ?

Non, je ne suis sensée rien dire, j'ai tellement entendu de choses à sa rencontre que je devais forcément tiré un trait sur l'entrevue très apocalyptique de la dernière fois, une folie dans son cerveau surement quelque chose qui s'explique scientifiquement. Je suis pas science mais je crois à ses choses là. BORDEL DE MERDE ! Franchement je ne sais pas encore qui je vais étriper en premier le lâcheur Artur, ou l'entreprenant Kirill. Ses lèvres se déposent sur ma joue, pas n'importe où, là, juste là, trop près de ma bouche, un endroit trop sensible qui ne cesse de créer en moi des papillons bourdonnant dans mon estomac. Je le déteste c'est officiel. « De retour à Harvard ? » What's the fuck ? Je comment ? En même temps l'université entière y est allé, normal n'est ce pas de demander cela, d'ailleurs où était-il ? Franchement je veux pas savoir... Oh et puis merde si je veux le savoir. « Hey ! Tu as vu le super bronzage que je me paye. C'était démentiel ! Tu y étais ? » CERCEÏ RAE LAWRENCE va te cacher dans un trou. C'est la pire phrase d'entame du monde, de l'univers tout entier. Je crains un max... « Que fais-tu ici ? tu es venu avec quelqu'un ? » Quoi ? Non non non il n'a pas à savoir ça, d'ailleurs Artur arrête de te cacher, je dois quand même t'égorger tu le sais ça ?

Je suis sensée répondre quelque chose, il ne doit pas savoir et surtout il ne doit pas penser que je suis désespérée au point de venir dans cette confrérie juste pour le voir. Non, je n'y pensais même pas, j'ai déjà l'étiquette de la pauvre fille, on va pas ajouter à cela, la pauvre fille désespérée, c'est bon j'ai donné dans le genre. Je le regarde et je me dis que chez lui, tout est naturel, sa façon d'être, sa façon de regarder, cette sensualité dévastatrice. Je reste encore sous le choc de notre dernière entrevue, cette façon de me laisser en plan et plus de nouvelle. Je dois fuir les mecs c'est pas possible, c'est obligé. « Tu veux un verre ? » Bon je suis sensée me la jouer super cool comme meuf, on va se la jouer super cool quitte à broder un peu. Je regarde autour de nous et je vois la rouquine, gosh elle a pas l'air contente. Il la laissé pour moi ? NON CECE ne pense pas comme ça, c'est un connard. ouaiii c'est mieux ça, un connard hyper sexy quand même. « Je cherche Artur, on devait se rejoindre ici mais il se cache encore. On devait sortir ensemble. » Okay je me la joue un peu menteuse, sortir n'est pas franchement le mot mais c'était cool. Dit comme cela, c'était super cool. « J'ai déjà un verre, comme tu vois. » Lui disais-je en secouant le mien avant de regarder toujours en direction de la jeune femme en colère ? ahhh avec les spots je ne voyais pas très bien. « Elle ne semble pas très contente que tu parles avec moi, tu devrais... Je ne voudrais pas que tu es des soucis à cause de moi. » Lui avouais-je alors, pas certaine que cela soit le cas, mais qui ne tente rien, n'a rien pas vrai ? Mais bordel pourquoi était-il si sexy, ce serait plus simple de résister.

Spoiler:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ cerceï-rae lawrence.

Il était là avec cette rousse qui avait tout pour lui plaire. Elle était déjà à lui avant qu'il ne vienne lui parler, le charisme de Kirill ne lui pas échappé. Elle était là contre lui, elle passait ses mains dans sa nuque, il avait toute son attention avant que Cerceï ne passe à côté d'eux. Impossible qu'elle se retrouve ici, à croire qu'elle vient à cette soirée pour le croiser ? C'est difficile à croire, bien qu'il ne la connaisse que très peu il sait bien qu'elle n'est pas de ce genre si. Son côté joueur ressort, il quitte les bras de la diabolique rousse. Il aurait pu tout simplement l'ignorer, lui faire comprendre qu'il était passé à autre chose durant les vacances. Il est vrai, il n'avait eu aucune pensé pour elle après tout Cerceï est presque une inconnue, elle n'est même rien, que la victime d'un pari à ses yeux. Alors l'oublier c'est facile, c'est odieux de sa part mais là est la dure réalité. Elle n'est pas encore assez importante pour lui et ne le sera logiquement jamais pour qu'il pense à elle. Il avait bien d'autres choses en tête durant ces longues semaines de vacances, il en a rencontré d'autres des filles qu'il a oublié le lendemain. C'est un coureur de jupons, il ne faut pas l'oublier. Alors loin des yeux, loin du coeur aussitôt partit Cerceï était sortie de son esprit. Bien qu'elle l'intriguait lorsqu'il était à sa compagnie, ce n'était pas suffisant. Il a fallu qu'un autre relance le sujet, pour qu'il se souvienne à quel point il avait réussi à la piéger et qu'il devra recommencer. Car ce séjour n'a mis qu'une plus grande distance entre eux.

Quelque chose en lui le poussait à aller à sa rencontre et de nouveau emprisonner son âme. Une sorte d'appel à la victoire, il pouvait bien perdre ce pari personne ne lui en voudrait ou le critiquerait, bien au contraire. Mais il détestait cela, abandonné, puis au fond il avait envie d'aller lui parler. S'il était censé il serait resté avec cette rousse, leur histoire aurait pris fin et il aurait perdu le pari. Mais Cerceï à cette soirée, c'est une occasion d'enflammer un peu plus ce qui les lie. Il sait comme faire, de plus l'ambiance de fête le rend bien plus redoutable. Cela se lie même un peu plus dans ses iris, il dévore son regard et prouve qu'il était au courant de son excursion. Il sourit à sa réponse, elle n'avait pas changée vraiment pas, lui hausse les épaules et affiche une mimique. « Non, tu m'aurais vu sinon. » dit-il simplement avec un léger sourire, il aurait dû s'y rendre mais le destin en a voulu autrement. S'il était allé qui sait ce qui se serait passé, peut-être l'aurait-elle vu emballé des belles demoiselles en bikini, c'est même une certitude. Il n'aurait pas pu se concentrer uniquement sur elle et le pari. Sa présence ici l'intrigue, il ne l'a rencontrer que trop peu de fois à des soirées alors il lui demander tout naturellement la raison de sa présence.

Il reste très humble, habituellement il aurait rajouté qu'elle était venu pour le voir mais il prononça aucun mot à ce sujet. Peut-être l'abordait-il plus comme une amie ? « Arthur ? Qui est-ce ? Ta nouvelle conquête ? » dit-il d'un ton faussement jaloux, c'était peut-être mieux ainsi qu'elle est quelqu'un dans sa vie, ça lui éviterait de lui briser le coeur. Son regard dévastateur dans le sien, elle agite son verre devant lui et ses lèvres s'étire d'un sourire. Il finit son verre, un peu trop vite sans doute, avant de répondre à Cerceï. « Je préfère être avec toi. » Le retour de Kirill en force, il ne pouvait pas rester amical. Cette histoire devait avancer, qu'il en finisse avant qu'il ne s'attache trop à Cerceï. « Elle s'en remettra, elle va trouver quelqu'un d'autre. » dit-il en haussant les épaules, il regarde son verre vide d'un air assez contrarié. « Tu ne me crées aucun souci, Cece. » il se racle la gorge, venait-il de lui donner un surnom débile ? Il affiche ce sourire fabuleux, oh on peut considérer qu'ils sont intimes maintenant. Bien qu'un baiser pour Kirill ne signifie rien, il en a embrassé des filles. « Cerceï. » il rectifie le tir, ce n'est pas de son genre d'appeler les filles par leur surnom. Et d'une manière assez culotté,il vient toucher sa main pour seul but de lui piquer son verre, il sait qu'à se contact il va la déstabiliser et en profite. Il s'abreuve de quelques gorgées pour finir la totalité du verre de Cerceï. Son regard rieur la sonde, il s'approche d'elle pour lui susurrer à l'oreille. « Maintenant je vais nous chercher à boire. » il laisse glisser ses lèvres dans son cou. Quel goujat, il fait exprès d'être aussi tactile, il sourit avant de s'éclipser pour remplir leur verre, un de ses coéquipier vient à sa rencontre pour parler, blaguant avant que Kirill ne s'échappe. Il revient de nouveau vers elle, posant son regard sur la rousse qui essaye de l'attirer de nouveau par un regard aguicheur qu'il ignore magistralement. De nouveau face à l'anglaise qu'il dévore du regard. « Voilà pour toi. » il lui tend son verre, il doit changer de comportement maintenant. C'est dur avec tant de tentations mais, c'est un bon comédien. Puis Cerceï n'est pas la fille la plus ennuyante de cette pièce et fort heureusement. « Attention ça risque d'être un peu corsé. » dit-il en ricanant. Il pose ses prunelles dans les siennes, pour un peu sonder son âme il sait qu'elle va faire une quelconque remarque soit sur la fille rousse ou autre chose. Alors il prend la parole avant elle. « Alors je ne t'ai pas trop manqué ? » elle n'allait jamais lui répondre avec franchise, il est presque certain qu'elle va rétorquer un "qu'est-ce que tu attends de moi?" suivis de bien d'un tas d'autre mots. Après tout il n'a pas pris de ces nouvelles, mais le principal c'est qu'il lui parle maintenant. Et qu'il la regard comme s'il désirait qu'elle.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ Kirill Lindstam.

OKAY ! C'est tout à fait naturel et en rien irréel cette situation, je veux dire tous les jours un truc aussi fou m'arrive après tout. Je suis la fille avec qui tout le monde veut passer un bout de soirée c'est bien connu. C'est quoi ce bordel ? Cet homme est un prédateur, j'en suis désormais certaine, cette façon de s'adresser à moi, ce regard ce sex appeal, je sais que cet homme doit avoir l'habitude d'obtenir tout ce qu'il désire. Je veux être ça aussi pour lui, une partie, ENORME de ma personnalité ne désire que cette chose, mais aussi... Je suis paniquée à l'idée de n'être que cela, dans le regard d'un homme, un trophée une fille de plus. Je ne dois rien attendre de lui, je sais je connais sa réputation, elle fait le tour de l'université. Il couche avec les plus belles filles de tout le campus, mais il m'intrigue. Là, de suite maintenant. NE vient-il pas de laisser une bombe pour venir me parler ? C'est le paradoxe que je ressens continuellement lorsque je me trouve trop près de lui, il est un mystère dont je ne connais pas la clé. C'est bougrement frustrant. « Non, tu m'aurais vu sinon. » Oh oui je l'aurais vu, en compagnie de fille à la plastique parfaite. Pourquoi suis-je autant en colère contre lui ? En faite non, la seule personne que j'ai envie d'étrangler en cet instant c'est Artur et son absence absurde. J'ai envie de faire quelque chose, j'en peux déjà plus surtout quand je vois Kirill comme ça, il transpire de séduction, c'est déroutant que cela puisse m'être destinée, ce n'est pas "normal" dans mon esprit embrumé. « Arthur ? Qui est-ce ? Ta nouvelle conquête ? » Je lève les yeux au ciel, pour cette mimique sur son visage, ce ton de jaloux, c'est même pas croyable, je sais qu'il me ment, je ne suis pas douée dans ce domaine, mais je vois bien qu'il en fait trop et ça m'énerve parce que je ne suis pas aussi conne.

Puis Artur franchement... Il ne sait même pas de quel bord il est, fille, gars, ou les deux. Mais il n'a pas besoin de savoir cela, je ne veux pas qu'il le sache. « Artur ? Il est mon âme soeur ! » Lui avouais-je sans mentir, me rapprochant de lui afin qu'il puisse entendre mes paroles. C'est vrai, dans un autre monde nous aurions eu des enfants. Il était un ami sur qui je pouvais compter c'est ce qui faisait notre lien, je n'étais pas amoureuse de lui, je ne ressentais pas d'attirance, physique brulante mais il était canon. Je lui souriais avant de le regarder finir son verre WOOW. « Je préfère être avec toi. » Je ricane à ses paroles, elles me font sourire parce que je ne sais s'il dit du vrai ou pas. J'aimerai que ce le soit, et ce soir, je décidais de le croire, je pouvais espérer après tout, même si je devais être qu'un vague souvenir dans la vie mouvementé de Lindstam. « Elle s'en remettra, elle va trouver quelqu'un d'autre. » Surement mais elle semblait, d'où j'étais assez contrariée ce qui ne me gênait pas. Je me doutais juste d'avoir des réfections la prochaine fois que j'allais la croiser, comme quoi ce n'était pas normal qu'il s'intéresse plus à moi. elle ne comprendrait pas, moi non plus d'ailleurs. Fait chaud non ? « Tu ne me crées aucun souci, Cece. » Quoi ? Je n'étais pas certaine d'avoir bien entendu ce qu'il venait de dire, venait il de me surnommer Cece ? Je crois... Je le regardais avec des gros yeux, d'ordinaire j'aurai envoyé toute personne que je ne connaissais pas assez ainsi, mais je ne le fis pas. Allez savoir pourquoi. « Cerceï. » OH MY GOD ! Il vient de recommencer, il vient de le faire, il frôle ma main pour me prendre mon verre et le finir. Il est culotté et insolent. Je comprends mieux les gens qui se laissent berner par ce genre de garçon, il est tellement surprenant à la fois, troublant et déroutant. Je ne m'attendais pas à cela. Il n'avait pas à faire cela, pourtant je perds mes mots et de pas croyable je deviens pitoyable. Quelle plaie. « Maintenant je vais nous chercher à boire. » Susurre-t-il à mon oreille, frôlant ses lèvres contre mon cou. Je ne suis plus de ce monde, je reprend mon souffle une fois loin de moi et j'essaye tant bien que mal de faire la check list de mes pensées. Rien ne me vient hormis un énorme vide et un sentiment troublant. Ce mec est troublant et mon corps tout entier ne va pas résister bien longtemps. Je tente de me répéter ses mots : tu n'es pas superficielle, tu n'es pas faible, tu n'es pas superficielle, tu n'es pas faible. En vain il revient. Je prends le verre qu'il me tend et je suis là, en plein choc. « Voilà pour toi. » « Merci. » Balbutais-je alors que j'avais l'impression, très agréable, qu'il était en train de me dévorer.

S'il mentait il était un sacré comédien et pouvait non sans mal se convertir dans ce domaine. « Attention ça risque d'être un peu corsé. » A quoi il joue ? A quoi tu joues Kirill, s'il voulait ma mort, il était sur la bonne voix, carrément même car je n'étais pas une femme forte, au contraire la faiblesse de ma condition d'être humain se répétais sans cesse, surtout et encore plus près de lui. J'allais rétorquer... « Alors je ne t'ai pas trop manqué ? » Mais il venait de me devancer. LE GOUJAT ! Deux chemins s'offraient à moi, me renfrogner et le laisser en plan risquant de ne plus jamais lui adresser la parole, monsieur bien trop préoccuper à retrouver cette rousse. Ou rentrer dans son jeu et faire quelque chose que je ne fais jamais hormis avec les gens qui me connaissent par coeur, jouer le jeu. Je suis joueuse, une très bonne joueuse, je risque souvent de me retrouver piéger, mais c'est kiffant. Navrée ginger, il est à moi. Je prenais mon verre et je fis la chose la plus insensée du monde, je le bu... L'intégralité du verre avant de grimacer avec sincérité. POAW ça arrache ! Je lâchais alors un « Je ne crains pas l'alcool. » Je lui fis un clin d'oeil me rappelant les cuites prisent dans les pubs durant tout mes années au lycée, je savais tenir l'alcool telle l'anglaise que j'étais. Je me rapprochais de lui, afin de lui dire à l'oreille. « Je n'ai pas pensé une seule fois à toi... » Menteuse, menteuse... MENTEUSE. « Enfin, parfois la nuit. » Lawrence, my god, le démon allait bien s'évader de mon corps, j'étais donc cela, cette fille là. « Quand mes amants n'étaient pas là. Oh j'imagine que tu t'es confondu en chagrin par ma présence si loin de la tienne. » Je m'écartais légèrement avant de le regarder et de sonder un minimum ce qu'il pensait. C'était ma facette déjanté, j'en avais une comme tout bon mortel, manque de bol je ne suis pas certaine d'être dans la capacité de la maitriser complètement. Mais qui s'en soucie franchement ? Je veux voir jusqu'où il est près à aller, parce qu'il semblerait que je lui plaise enfin je veux savoir aussi s'il joue avec moi. Je me rapproche encore de lui. « Je sais que la musique est pourrie mais... Tu me fais danser où tu est de ceux qui parlent mais ne dansent pas ? » Disais-je me mordillant la lèvre inférieure, mon palpitant au maximum dans ma poitrine j'allais surement mourir avant la fin de cette soirée mais je n'aurais aucun regret sauf demain matin au réveil douloureux de gueule de bois et chagrin d'amour.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ cerceï-rae lawrence.

Ce n'est qu'un jeu pour lui et encore plus ce soir car cette ambiance de festivité le pousse à être si redoutable, Cerceï n'était qu'une pauvre proie sur son chemin. Il essaye de lui faire croire le contraire, étape difficile l'anglaise était farouche et s'appréciait trop peu. Kirill se heurte toujours contre un mur invisible lorsqu'il prononçait ses belles paroles, elle retrouvait toujours quelque chose à dire. Elle avait bien raison de se méfier, il n'a pas une réputation de gentil homme non plus et pourtant il essaye de montrer sa meilleure partie de lui pour l'amadouer et qu'elle s'abreuve de ses paroles sans rétorquer, qu'elle est confiance en lui suffisamment pour qu'il puisse mettre fin à ce pari en le remportant. Il est horrible, contrairement à tous ces types qui lui crachent dessus ouvertement ; lui joue un autre le rôle bien plus sournois. Il s'approche d'elle comme un ami intime mais tous ceux au courant de cette petite mascarade savent qu'il la poignardera dans le dos. Il est pire que toutes ces personnes futiles qui ne la critiquent que par son physique, il est dans la catégorie au-dessus : sympathiser pour mieux détruire. Il l'a voulu en l'acceptant il en a fait des actes odieux mais celui-là semble être sa plus mauvaise résolution de l'année. Comment peut-il faire cela à une fille comme Cerceï, il voit tellement de qualité en elle mais continu son jeu sournois. Il la torture psychologiquement, la tort de tous les sens pour qu'elle puisse enfin croire qu'il n'est pas celui qu'il lui veut du mal. Au fond c'est vrai, il ne veut pas la voir pleurer et se haïr et pourtant tout ce qu'il fait la mènera à cette fin désastreuse : un trajet direct vers la mélancolie. Merci Kirill.

Tout ça n'est qu'un jeu pour lui dans lequel il excelle, charmer une fille c'est une futilité même une personne aussi frotte que Cerceï finira par céder. De plus elle n'est pas le genre de femme que les hommes au tempérament de Kirill viennent aborder, alors cela la déstabilise un peu plus ce qui rend la partie encore plus amusante. Ses yeux disent oui mais sa bouche dit non, elle ne peut lui cacher de nombreuses choses Kirill est un sondeur d'esprit. Bercer par les mensonges, il sait reconnaitre quand une personne n'est pas sincère avec lui. Puis Cerceï n'était pas une menteuse pathologique contrairement à lui, il y avait tant de différences entre eux que cela devenait de plus en plus improbable qu'ils se côtoient. Et pourtant, il est là face d'elle avec ce sourire qu'il faudrait lui arracher pour qu'il cesse de faire fondre les barrières qu'une personne s'est construite. Il vient même à la taquiner sur ce Artur, comme si elle avait un palmarès fou de conquête. Il inverse de nouveau le rôle, comme si elle était la fille que tout le monde veut et lui le gamin que personne ne remarque. Il plonge son regard à sa réponse, il préfère croire qu'il était sur elle et que ce n'est que par provocation et amusement qu'elle prononce ces mots. Il hausse simplement les épaules d'un air déçu. « Plus pour longtemps. » ses lèvres s'étirent d'un sourire et son regard rieur se pose sur elle, il ne peut se retenir d'avoir cette mine de petit plaisantin le rendant un peu plus irrésistible ou crédible ? Oui il avait dit cela comme une mauvaise blague, faisant allusion qu'il allait prendre sa place. Lui parlant comme si elle était une amie et non une potentielle proie, pour s'échapper il part chercher des boissons. Se remettant les idées en place, ce n'est pas en lui donnent des surnoms débiles qu'elle tombera dans ses bras, il ne lui parle plus pendant deux semaines et lui parle parfois comme si elle était sa « pote », seuls ses gestes sont un peu ambiguë.

Alors en revenant avec ce sourire face à l'anglaise qui le dévore des yeux comme cette rousse qu'il s'efforce à ignorer, il lui tend amicalement le verre qui lui est destiné. Ce n'était pas pour la saoulé qu'il était allé lui chercher à boire, il ne voulait pas la voir soûl sinon il ne lui aurait rien dit. Bien qu'il joue un peu avec elle, il voulait voir comment elle allait agir, il était intrigué tout simplement. Et comme si elle voulait l'impressionner, lui prouver qu'elle valait mille fois mieux que cette rousse elle boit d'une seule traite son verre. Il ne voulait pas qu'elle finisse à vomir dehors. « Je vois ça.» dit-il amusé et surpris, il ne le dit pas mais elle finira pas regrette cet acte. A moins qu'elle tienne vraiment l'alcool. Elle vient vers lui et les propos qu'elle prononce ne sont pas ceux à quoi il s'attendait, et cela ne faisait que confirmer la chose. L'alcool commençait déjà à lui taper dans le crâne. « Vraiment ? » venait-elle vraiment de prononcer cela, elle venait de capter son attention. « Au moins je t’accompagne dans ta solitude. » dit-il d’un ton mi amusé mi sérieux,il n'était pas vraiment sur du choix de sa réponse. Mais allons-bon dans l'état qu'elle était-elle n'allait plus faire bien attention à ce qu'il puisse lui répondre. « J'attendais que tu me le demande. » dit-il en finissant à son tour son verre rapidement, mais c'était un quetard il avait l'habitude de finir ses verres d'une traite. Alors, à défaut de ne pas être très loquace depuis qu'elle avait commencé à être entreprenante, il plante ses prunelles dans les siennes les dévorants. Il lui voler un simple baiser pour lui donner une idée sur ce qu'il voulait. Il s'écarte attrapant ses mains et profitant de sa faiblesse pour l’amener vers la piste de danse. La collant à lui, sentant la chaleur de son corps contre la sienne, il n'allait plus faire semblant de jouer. Il pousse la rousse par provocation ou par inadvertance, c'est un joueur. Il a le rythme dans la peau, la rousse pouvait être jalouse de Cerceï elle avait droit qu'au quart de ce qu'il entreprenait avec Cerceï. Ses iris dans les siennes, il était proche d'acquérir la deuxième étape de son plan. « Tu es surprenante. » lui susurre-t-il à l'oreille d'une voix suave, il laisse glisser ses doigts le long de son bras, frôlant légèrement ses hanches. Encore une nouvelle il vient effleurer ses lèvres comme s'il la provoquait. Elle ne devait pas faire attention au regard posé sur elle, même si c'est Kirill et que la plupart sont surpris de le voir en sa compagnie mais après tout il est imprévisible, indomptable et surprenant. Alors même si la majorité pense qu'il s'amuse, ce qui est vrai, d'autre pense que pour une fois il est trop ivre pour voir avec qui est en face de lui, puis il y a ceux qui sont au courant de tout et qui jubile de voir la suite. Il a réussi à l'amener sur une piste de danse, c'est comme s'il l'avait presque allongé sur un lit. Qu’importe, Kirill se moque bien de ce que tout le monde pense de lui. Il n’a rien à perdre, sa réputation qu’est-ce au final ? Il y a aura toujours quelqu’un qui se tournera vers lui, une fille qui ne pourra lui résister. Alors il peut avoir n’importe quel critique il en rira, il se fou de tout alors pourquoi il serait blesser d’entendre dire qu’il préfère les femmes potelées que les mannequins. Il trouvera toujours une réplique, il accorde trop peu de son sérieux dans sa vie d’étudiant.
Alors lui ne pense qu’a danser, il ne regarde pas autour de lui, il sent juste cette rousse qui fait exprès de séparer la distance qu’il y a entre eux. Plus elle s’avance vers lui, plus il va vers cerceï. Ce soir c’est elle sa dame ; elle mérite toute cette attention d’un homme et il peut lui donner, et bien plus encore si elle le veut. Mais de sa part elle n'aura pas son amour, c'est une chose rare qu'il a accordé à certaines personnes.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ Kirill Lindstam.

J'étais un ascenseur émotionnel, des rires aux larmes en un instant. Je n'avais rien à perdre, Artur m'abandonnait comme à chaque fois lorsqu'il trouvait une conquête digne de ce nom, j'en avais pris l'habitude depuis le temps. Non sérieusement, je n'avais rien à perdre que de tester ses limites, s'il s'intéressait vraiment à moi comme il semblait me le faire comprendre, ce que je comptais faire n'allait vraiment pas le déranger, surtout dans un lieu public comme cela, si ce n'était pas le cas, je serais alors mis au jus, face à la dureté des choses. Non, je faisais le bon choix, alors pourquoi me sentais-je idiote en agissant comme cela, comme sur le point de faire une énorme connerie. En faite non, ce sont le regard des gens qui me troublait, me mettait mal à l'aise. N'y pense pas CERCEÏ, N'y pense surtout pas. « Plus pour longtemps. » Ah ah... Je n'arrive pas à le cerner, pourquoi ils ne vendaient pas gratuitement le décodeur Kirill afin que je comprenne le véritable sens des réponses de ce dernier. C'est terriblement chiant de ne pas comprendre, il n'était pas jaloux, il ne pouvait pas l'être, deux semaines sans nouvelles étaient forcément significatif. Je ne comptais pas, il s'amusait. Je dois aussi m'amuser, faire une fois quelque chose dont je ne regretterais pas les conséquences le lendemain. Je ne suis pas la plus forte, je ne suis pas la plus jolie, je ne suis pas dans la norme, je suis juste une fille qui... Essaye de survivre, je peux le faire. Je peux boire d'une traite un verre, assez fort, sans vomir partout. Je sais boire, je connais mes limites et je suis capable de savoir exactement quoi faire. « Je vois ça. » Je ne dis pas que c'est compliqué, que c'est normal que c'est agréable que tout va bien dans le meilleur des mondes, mais je veux savoir à quoi m'en tenir avant de baisser complètement mes murailles face à un presque inconnu. Savoir ce qu'il pense, comprendre pourquoi il fait cela, ce qu'il cherche chez moi. J'y arriverais, ce soir, vraiment... Je comprendrais pourquoi Kirill me trouble autant. « Vraiment ? » Ouai la réplique était pas mal... Une façon assez déroutante de dire les choses, mais je ne pensais pas qu'il allait me dire les choses de cette manière. « Au moins je t’accompagne dans ta solitude. » Oh ! Je luttais pour ne pas rougir, je suis un vrai pivoine quand je m'y mets, non je voulais rester pure et parfaite, non bien sur que non.

Je rajoutais uniquement « Ne prend pas tes rêves pour une réalité. » Je ne suis pas certaine qu'il ait eu le temps d'entendre mes paroles, forcément ce n'était pas chose facile, forcement ce n'était pas vraiment l'occasion de dire cela, mais je l'avais fais, à ma manière mais je l'avais fais. Idiotie. « J'attendais que tu me le demande. » La danse était tellement mieux comme compromis, assez en tous les cas pour tester son endurance. Non le mot ne convenait pour tester sa capacité à absorber le regard des autres sur nous. Je pouvais le faire, je savais qu'il cèderait avant moi, les hommes le font toujours lorsque je me retrouve dans un lieu public avec eux. Ce n'était qu'une question de temps. Mais il m'embrasse, furtivement rapidement mais assez pour me laisser sans voix, comme toujours. C'est tellement facile pour lui, un claquement de doigt et je sens tomber dans un immense précipice. Bordel que je déteste cela. Trop proche, trop de sensation à vous rompre les battements de votre coeur, je ne suis pas certaine de tenir assez longtemps. Il est très fort, vraiment fort. « Tu es surprenante. » Je ne le suis pas... Je ne m'imagine pas comme cela. Je ne suis que moi. Je danse au milieu de cette piste ne lâchant pas du tout son regard, ne désirant en rien le perdre, parce que je sais combien il peut être agréable et dévastateur. Je joue le jeu je crois bien, laissant ses mains glisser le long de mon corps, me noyant dans une sensation exquise, je me laisse faire parce que j'adore cela. Il frôle mes lèvres sans jamais les toucher, quelle désinvolte, je fais de même ne le laissant jamais dépasser cette limite, mes mains glissent dans sa chevelure, mon front collé au sien, il veut jouer je joue aussi. Ce n'est pas à sens unique ça ne l'est jamais. L'espace d'un instant j'oubliais tout, l'endroit où je me trouvais, la musique plus que moyenne, la foule autour. J'oubliais tout pour me coller à lui et imaginer une nouvelle fois quelle saveur pouvait avoir ses lèvres. Pour cela je savais quoi faire... « Kirill » Comme pour demander la permission, je prononce comme un souffle son prénom et puis merde, j'accuserai l'alcoolémie comme seul coupable de mon geste.

Mes lèvres s'accrochent aux siennes, j'en avais terriblement envie, je le faisais pour l'embrasser comme il se doit. De ses baisers qui renversent un monde, de ceux qui rendent les sans coeur un peu plus humain. Je m'accroche à ses dernières dans l'espoir de m'y perdre, mes mains dans sa nuque, il ne me repousse pas ? Il faisait tout cela pour moi, si seulement je savais pourquoi il s'intéressait véritablement à moi, j'arrêterai surement de me comporter comme la dernière des imbéciles. J'éviterai surement la catastrophe qui semblait se rapprocher doucement mais surement. Je ne quittais pas ses lèvres, parce que je ne pouvais faire autrement hypnotisée par tant de sensations. Après tout ce temps, j'étais enfin vivante et je ne désirais qu'une chose, qu'il puisse même un tout petit peu, ressentir la même chose, cette même sensation vivifiante qui parcourait l'intégralité de mon corps. C'était, au delà de tout chose réelle, au delà des mots écrits sur un calepin, au delà des chansons les plus vibrantes. C'était tellement agréable que j'aurai pu rien qu'une fois capter ce moment pour ne plus jamais l'oublier. Mais... La réalité pourtant, elle frappe toujours, juste là près de moi, avec sa violence habituelle et ses souffrances. J'ai mal, mon coeur saigne mais je ne dis rien, je ne peux pas. A quoi bon... Ils rient, les gens, la foule, les incompris, ils se moquent tous. Comment une fille comme moi peut imaginer un seul instant lui plaire ? Même dans le cas où Kirill était un connard, les gens continueraient de penser cela, parce qu'il est beau, il est sexy et il renvoie une belle image. Qu'est-ce qui l'attire chez moi ? Je me décroche de lui et je vois les gens autour de moi. Je ne les aime pas... Les rires, les remarques, les moqueries. Cette rousse à l'affreuse grimace et... Ces gens que je connais pour subir ce genre d'humiliation tous les jours. Ca ne va pas, ce n'est pas l'alcool non ça ne va pas... je ne veux pas... Je regarde Kirill, à peine et je viens à dire précipitamment... « Désolée, non... Je peux pas... » Je ne peux pas quoi ? Faire une chose juste qu'à la fin, je me lâche de lui et je traverse la salle, alors que Ginger me regarde avec un sourire triomphant, alors que je crois percevoir mon ennemi numéro un et les phrases se bousculent dans ma tête : "comme un mec normalement constitué peut te désirer" "il doit être gros" "votre lit c'est un ring de Sumo" "Oh non de Dieu, tu vas pas me dire qu'un mec est assez fou pour fourrer son engin dans ce truc ?" C'est douloureux, et je fuis me retrouvant loin de cette foule près des toilettes. Je pose ma tête contre le mur et je ravale le peu de fierté qu'il me reste. Je veux rentrer chez moi, tuer Artur et me cacher sous ma couette tant les mots, les rires et les méchancetés tournent en boucle dans mon cerveau, inlassablement imaginant la rousse maléfique se tourner vers un Kirill que j'ai abandonné.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ cerceï-rae lawrence.

Encore une fois il était en train de la piéger si aisément, elle commençait à trop le croire, à trop lui accorder de l'attention. Elle ne devait pas lui céder, cela serait signé son acte de mort. Mais elle l'ignore, elle croit trop en lui tout simplement qu'il lui oblige. Elle ne finirait par croire qu'il l'apprécie, qu'il la voit différemment de tous ceux qui ont pu l'insulter et qu'il est différent des autres qui s'arrêtent uniquement au physique. Elle ne peut faire autrement, c'est si simple pour lui d'avoir la confiance d'autrui. Son arme la plus fatale son regard, il y avait une telle lueur qui les animaient que Cerceï ou quiconque ne pouvait ignorer. Il semble hypnotiser quiconque qui défie ses prunelles noisettes, que s'y plongent un peu trop et s'y noie. Il serait plus simple qu'elle le fuit et s'éloigne de lui. Elle doit trouver un moyen pour l'éloigner, il aimerait l'en avertir. Mais l'envie de gagner était trop tentante pour abandonner et baisser les bras.

Il est là envoûtant et transpirant de sensualité qui finit même par avoir un impact étrange sur Cerceï qui se met à vouloir l'impressionner ? Ou montrer qu'elle n'était pas la fille discrète qui n'a aucun gout à l'amusement. Déconcerté par le comportement de l'anglaise, Kirill agit du mieux possible face à ces paroles imprévisibles. Mais redoutable jouer qu'il est, il ne se laisse pas impressionner et entre si facilement dans son jeu. Elle est forte mais lui bien plus, il a cette facilitée de gagner une partie. Puis c'est un sacré mauvais joueur, sinon il ne serait pas devant elle avec cette volonté de signé ce pari d'une victoire. Alors, à sa demande il l'amène entre toutes ses personnes pour danser, il n'aurait jamais pensé qu'elle puise ce déhancher devant tout le monde. Il la connait que très peu mais il a vite vu qu'elle craignait le regard des autres.Ce qui expliquait la raison pour-laquelle il ne l'avait pas amené plutôt, mais maintenant elle était plongée dans le monde de Kirill. Elle va lui céder, parce que sur une piste de danse il est encore plus redoutable que jamais. Il a cette façon d'enivrer les filles, de les faire se noyer dans le désir, Cerceï ne t'attarderait pas à s'y plonger à son tour. Il y a quelque chose qui se passe entre eux pendant un instant, étrange atmosphère électrique. Cerceï est comme une proie qui essaye de se débattre des dents redoutables de son prédateur. Trop tard, elle est perdue à l'instant où elle vient passer ses mains dans la chevelure de Kirill. Il sent ses lèvres contre les siennes, leurs lèvres se cherchent, leurs langues se trouvent. Il a obtenu ce qu'il a voulu, après ça si elle ne croit toujours pas qu'il l'apprécie rien qu'un peu c'est une partie presque perdu. Mais, même à cet instant Kirill semble perdre sa raison, l'embrassant peut-être avec un peu trop de fouge. Ah de nombreuses filles lui on fait perdre la tête. Mais il s'étonne lui-même que Cerceï vient d'avoir cette influence sur lui, sensation étrange qu'il n'a le temps d'apprécier qu'elle se décolle déjà de lui, trop brutalement à son gout. Cela ne vas pas, ses prunelles sondent les siennes et ce qu'il y lie ne lui plait pas : la panique. Avant qu'il ne puisse la rattraper elle part en courant, il lâche un léger soupir il ne s'était pas rendu compte à quel point elle se sentait mal. Sanature de grand héros reprend le dessus, alors avant de partir vers elle il se malaxe les tempes pour se donner un peu de courage et surtout de réflexion sur ce qu'il allait faire. Alors qu'il souhaite se lancer à sa poursuite, des doigts encerclent son bras. La rousse est là, éblouissante comme jamais, elle lui offre un sourire diabolique. « Laisse-là elle ne te mérite pas. » elle approche son visage du sien, il baisse son visage en fermant les yeux, il ne doit pas céder. Cerceï a besoin de lui. « Bien plus que toi. » et là il l'attrape par le poignet pour qu'elle le lâche et il s'écarte avec ce sourire sur les lèvres, il vient de suffisamment la blesser pour qu'elle le laisse s'en aller. « Oh Kirill tu l'as presque eu. Bravo » Une accolade amicale de son ami, un léger sourire et il repart vers Cerceï.

Il n'a pas de peine à la retrouver, elle semble si... blessée. Il s'approche d'elle après avoir regardé derrière lui par réflexe. « Cerceï » Il pose sa main sur son épaule, merde qu'est-ce qu'il peut dire maintenant qu'il est là hein ? il va devoir la consoler, lui dire de belles paroles, des sincères cette fois-ci. Elle se tourne vers lui, l'expression qu'il voit sur son visage rend son sourire si différent. « Ne t'en fais pas, ça va aller. » il s'approche d'elle pour effleurer sa joue de ses doigts, puis il s'approche doucement d'elle pour venir l'encercler de ses bras, délicatement juste pour qu'elle puisse sentir quelqu'un la soutenir. Cerceï doit sortir d'ici, trop de regards sont posés sur eux, sur elle.Lui, il sera toujours pardonné et apprécié, il est imprévisible. Puis il ne se déteste pas, il n'a pas ce mal-être, il n'est pas insulté dû à son physique. Il se décolle après quelques minutes, lui laissant le temps de s'accrocher à lui. « Je te ramène. » dit-il en lui tendant sa main amicalement avant tout, il plonge son regard dans le sien. « Viens. » dit-il en attrapant ses doigts qu'il sert dans sa paume, il a envie de la protéger tout simplement. Alors il lui affiche le genre de sourire offert pour retirer la peine d'un coeur. Il ne pouvait que lui offrir cela son soutien. Il la tire un peu plus pour qu'elle s'avance, il lui montre la porte de derrière. Elle n'était plus obligée de passer devant tout le monde, de se sentir dévorer par tous ces regards moqueurs. Elle a juste besoin d'être protéger, et ce soir il est le seul qui puisse répondre à son appel au secours. Il ne devrait pas s'approcher d'elle de cette façon mais c'est trop tard.
Il pousse la porte, et la laisse en premier sortir. Si elle ne voulait pas partir, prendre l'air lui ferait sans doute aucun mal. Il reste derrière elle, posant un regard protecteur sur elle qui semble si... détruite. « Tu veux en parler ? » dit-il en s'approchant d'elle, ah ce Kirill là tout le monde l'aime même un peu trop. Il est soucieux de ses proches, ce n'est toujours pas évident à voir. Mais une chose est sûr c'est qu'il est de base une personne au quelle il faut se confier. Cerceï le pouvait, il n'allait jamais répéter ces confidences-là n'était pas le but du pari. Alors tous ce qu'ils se disaient resterait entre eux.


.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ Kirill Lindstam.

Je retrace les faits comme un vieux film, dont la tournure est toujours la même intacte sous sa violence. Je ne suis pas une héroïne de ces films, ni même celle des séries TV qui acceptent sans sourciller que le monde se moque d'elle. Je ne suis pas forte, je ne suis pas courageuse je suis juste à bien y réfléchir une lâche incapable de les envoyer chier, parce qu'ils connaissent la faiblesse de mon âme. Je ne suis en rien une belle personne, les belles personnes ne seraient pas à se confondre en chagrin dans des toilettes, la tête posé contre le mur pour pleurer des larmes et calmer l'angoisse grandissante dans sa poitrine. Je n'arriverai donc jamais à passer au delà de tous ces regards, ils n'ont pas le droit à juger ma personne pour ce que je fais ou je ne fais pas. J'ai beau chercher dans mon esprit je ne comprends pas pourquoi le regard des gens a autant d'importance pour moi, les souvenirs violents de mon passé au lycée en Angleterre ressurgissent pour me rappeler combien malgré les apparences les choses ne changent pas. Je pensais avoir passé ce cap, être capable de me foutre de leurs idées, d'accepter que nous avons tous nos failles je n'y arrive surement. Ma faille, c'est celle de vouloir être normale, avec une vie normale, des amis qui le sont et quelqu'un à qui aimer. Je n'arrive pas à jouer à autre chose, je ne suis pas cette fille qui sur un coup de tête aguiche un garçon uniquement pour lui prouver qu'elle n'est pas faible. Je suis faible et Kirill en toute honnêteté doit bien rire de moi, entouré de ces idiots, de cette fille à l'allure parfaite. J'aimerai ô combien enlever ce corps que je déteste pour être la fille que je désire mais je n'y arrive pas. Je reprend avec difficulté ma respiration, alors que je sens ma poitrine se nouer. Elle ne cesse de se nouer je manque d'air... Je sombre... C'est marrant combien un grain de poussière peut détruire des années de psychanalyse. Super... Du bruit... Une présence... « Cerceï. » Kirill... Comment ? Je suis surprise, qui ne le serait pas mais je n'arrive tout simplement pas à le regarder, il me jugera forcement, il n'est pas obligé de faire cela, mais les mots tambourinent dans ma tête, les regards, les moqueries, les rires... Je déteste revoir, revivre ce sentiment, qui ne cesse d'accroitre dans ma tête, inlassablement. Il pose sa main sur mon épaule il doit avoir désormais pitié de moi, il ne manquait plus que cela. J'ai envie de lui dire de laisser tomber, que je n'ai pas besoin de sa pitié, de bâtir des murs entre lui et moi pour ne plus jamais ressentir ce que je venais de vivre.

Cent fois, mille fois, je me refusais de le laisser faire, la pitié des gens est bien pire que les moqueries, elle vient directement prendre possession de mon coeur, ce coeur qui ne cesse de se détériorer. Je prend mon courage et je me tourne vers lui, observant avec surprise sa présence ici, mon visage torturé par mes vieux démons. Quand cesseront-ils de me rendre folle ? « Ne t'en fais pas, ça va aller. » Il ne peut pas dire cela, il ne sait pas... Il ne sait pas ce que c'est, il est comme il aurait voulu être. Il caresse délicatement ma joue, alors que je reste muette. Je ne sais pas quoi dire, encore plus quand il vient à nouer ses bras autour de moi. Comme nous devons être si mal assorti tous les deux. Je ferme les yeux, mes larmes glissent sur mes joues rougis par le chagrin. J'appréciais ce simple geste, parce qu'il était d'une douceur crémeuse, que je pouvais ne serait-ce que quelques instants, me laisser aller dans son le parfum de sa personne, espérer un tout petit peu, être aidé et soutenu par quelqu'un. Mes amis sont là, mais maintenant, là, à ce moment dans cet endroit il est là. Et je ne sais quoi penser. J'ai envie de l'inonder de questions, mais elles ne viennent pas. J'ai envie de lui hurler dessus de s'en aller avant qu'il ne soit trop tard, avant que je ne vois en lui, l'espoir que le monde peut être bien meilleur, que je suis un tout petit peu importante pour quelqu'un. Mais je n'y arrive pas. Je parle trop et là rien ne va même pas la force de le repousser pour de bon et m'éloigner de l'espoir qu'il représente. Il ne part pas, sauf pour se redresser et me regarder avec cette douceur que j'aime beaucoup, beaucoup trop. Sa main vers moi... Pour moi ? « Je te ramène. » Je m'accroche déjà beaucoup trop à lui, il est de ceux qui me font tourner la tête, il est celui pour qui je me fais des films alors que rien explique sa présence ici. Je ne le comprends pas, la sincérité et la chaleur dans son regard me troublent trop pour que je ne vois clair dans son jeu. Je veux vraiment le repousser et laisser des murailles s'aventurer entre nous. Je n'y arrive pas, parce qu'il semble vraiment là, pour moi. Super, je lui fais vraiment pitié. « Viens. » Il noue ses doigts au mien et me montre la porte de sortie. C'est la solution, c'est le moment de tirer le rideau et faire sa révérence. Je sais que c'est ce que je devrais faire mais une voix au fond de moi me souffle combien s'est trop facile de fuir, de le faire toujours un peu plus. Je n'arriverais pas à vivre normalement si les gens me font tellement peur mais je suis pétrifiée par ce sentiment. Il me regarde avec tant de compassion que j'ai envie d'en vomir.

BON SANG ! Comment peut-il embrasser comme un malade, vous soulever l'estomac par cette puissance séductrice et avoir autant de compassion à mon égard ensuite ? COMMENT ? « Tu n'es pas obligés de faire ça. » Lui soufflais-je malgré moi, parce que je ne comprendrais donc jamais les hommes c'est une certitude. Je regarde cette porte, c'est la solution je le sais, juste un peu, juste comme cela... « Tu veux en parler ? » Je franchis la porte l'attirant avec moi dehors. L'air un peu plus frais caresse mes joues, alors que je sens mes yeux sur le point de fondre une nouvelle fois. Je n'ai rien à dire sur tout cela, je n'y arrive pas. Comment dire à un mec qui doit faire partie de ces gars à dédaigner les grosses, que j'entends sans cesse ne pas être à la hauteur des gens normaux. Je ne peux pas me confier comme cela, pourtant il ne lâche pas ma main, il est là juste à côté de moi, il ne danse pas avec cette rousse et plus encore. Je suis trop naïve, à un état de faiblesse extrême je ne veux pas qu'il me voit comme cela, ça ne sert à rien et pourtant je suis là, je suis sensée faire quoi ? Je me tourne vers lui et croise son regard, je ne sais pas quoi dire, en faite... je ne sais pas par où commencer. Me plaindre, non merci. « Il y aura toujours ces gens, j'ai beau faire comme s'ils n'existent pas, ils me rappellent combien la vie nous rattrape, ce qu'on est nous rattrape. » Avouais-je avant de ravaler difficilement ma salive, tant je me sentais nouée au niveau de ma poitrine, comme si un étau ne cessait de se contracter autour de moi. Je n'en serais pas mieux, non au contraire la force de mes angoisses ne font qu'augmenter. Je repense à tout ce que j'ai vécu, je n'ai pas à parler, à me plaindre, c'est de ma faute n'est ce pas si je suis comme cela. Je passe une main nerveuse dans mes cheveux. « "comme un mec normalement constitué peut te désirer" "il doit être gros" "votre lit c'est un ring de Sumo" "Oh non de Dieu, tu vas pas me dire qu'un mec est assez fou pour fourrer son engin dans ce truc ?" J'entendrais toujours ses paroles tout le temps, ils seront toujours là, pour rappeler que je ne suis que ça. Kirill tu n'as pas à te sentir coupable si tu veux me laisser, ou passer une soirée fun avec quelqu'un d'autre. J'ai l'habitude, tu n'as pas à faire cela. Je ne veux pas de ta pitié. » Je n'en voudrais jamais, de quiconque parce que ça fait mal et que je ne veux pas de cela....
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Kirceï party.
w/ cerceï-rae lawrence.

Il n'a jamais eu de difficultés à être appréciés des autres, depuis gamins il est entouré d'un tas de personnes sincères comme hypocrites. Il a hérité d'un physique avantageux et attirant, mais que dire ? Le physique ne fait pas tout, c'est parfois dur à admettre, mais la beauté est une chose abstraite. Si un individu n'est pas conforme aux règles des beautés il subit alors les moqueries. Gamin, Kirill ne supportait pas de tels injures il protégeait ceux qui en avait pas la force car il l'avait pour tous ceux qui n'avaient pas le courage de combattre. Mais d'où venait sa force ? C'est quelque chose qui se forge au fur et à mesure de la vie. Peut-être qu'il pas eu toutes ces moqueries blessantes par des inconnus ou des camarades de classe, il ne se faisait pas bousculer dans les couloirs et ne se faisait pas traiter de moins que rien. Mais il a eu le mépris et le déni d'une mère, le regard rempli de déception d'un père. Mais au lieu de s'écrouler sur la douleur que peu causé un regard ou des mots, il ne sait pas laisser abattre ayant trouvé la force d'avancer. Alors cela explique la raison pour laquelle il semble tellement se moquer du monde entier et porter si peu d'importance de la façon dont les gens le regard et parle de lui. C'est peut-être aussi la raison pour laquelle il peut se montrer parfois si blessant et désobligeant.

Mais, voyons la réalité en face s'il se moquait bien de se pouvait ressentir les autres, pourquoi était-il partit à la poursuite de Cerceï ? Il vrai qu'il est coupable à cet instant du mal-être qui envahit l'anglaise, il l'a trop éloigné de ces limites en l'embrassant de cette manière. Mais il n'avait pas pu se retenir, c'est peut-être une bonne chose non ? C'est qu'elle commence à être signifiante au niveau de se soyeux, il ne se forçait pas l'embrasser. Il avait mis un certain temps à la rejoindre car avant d'aller lui parler il devait remettre ses idées en ordre. Normalement ce qui suit un tel baiser ne demande pas à réfléchir et se montrer compatissant. Alors, il se montre un peu cruel avec cette rousse mais elle commençait à l'énerver. Avec son regard rempli de moquerie infâme envers Cercei, il supportait de moins en moins que les gens la traite mal. Ca le dépasse cette stupidité humaine qui ne trouve que jouissif de se moquer des plus faibles pour se sentir supérieur. D'un côté il n'était pas vraiment différent, à sortir qu'avec desbelles filles aux courbes délicates. Mais Kirill se moque bien de tout le monde, il n'y a pas vraiment d'injustice lorsqu'on l'écoute. Il traite toutes les filles pareilles, hormis celle qui rentre dans son cercle d'amis. Et où est Cercei dans tout ça ? Elle n'est que la proie de son pari alors pourquoi vient-il avec ce beau sourire à réparer des coeurs blessés. Elle n'est rien, il ne devrait pas se montrer si gentil et compatissant. Il ne devrait pas tendre sa main vers elle et la regarder de cette façon car s'il continu à agir ainsi elle va trop l'apprécier, et qui sait finir par tomber amoureuse ? C'est ce qui est le plus énervant avec Kirill, il est parfois si gentil que cela en devient déroutant surtout quand la personne souhaite le haïr.Bien un grand nombre de personnes, surtout des femmes, se sont vouées à le haïr après avoir été blessé et c'est à cet instant qu'il se montre si foutrement adorable. Car au fond il n'est pas qu'un crétin aux sourie charmeur et au regard envoûtant, il a un bon côté c'est la vie qui l'a rendu ainsi.

Même si Cerceï souhaitait l'éjecter de sa vie, avec un tel comportement elle ne le pouvait pas surtout dans l'état qu'il était. Il ne profitait pas de son mal-être pour s'approcher d'elle, non à cet instant il était plus sincère qu'il ne l'a jamais été avec elle. Il venait vers elle en ami, elle faisait ressortir ses bons côtés mais si dans une relation sincère cela est une bonne chose, dans la relation qui les liait c'était l'effet inverse. Que va-t-elle pensée quand la vérité éclatera ? Qu'il s'est bien foutue d'elle la fois où il lui a tenu la main et qu'elle a pleurée sur son épaule ? Que tout ce qui allait lui dire n'était qu'une technique pour qu'elle s'attache un peu plus à lui ? Mais Kirill ne doit pas penser aux conséquences, cela n'a pas d'importance si Cercei le déteste, l'aime ou le dénigre, non ? Après le pari, qu'il l'est perdu ou gagné, elle restera aux yeux de Kirill une simple fille qu'il ne connait pas et qu'il croise dans les couloirs sans la saluer de ce grand et large sourire. Alors qu'importe ce qu'il fait, il ne pouvait pas la laisser seule dans l'état qu'elle était, il était le seul responsable alors il devait réparer son erreur. C'est son côté protecteur qui la mené à ses côtés lui tenant la main dans la fraîcheur de la nuit. Il est le seul qui puisse la consoler ce soir, il aurait aimé qu'il y est cet Artur car il n'est pas la bonne personne pour lui dire des mots réconfortant. Cartous ce qu'il va le dire sera détruit une fois la vérité dévoilée. Mais à cet instant il l'écoute comme s'ils avaient toujours été amis avant cette histoire, il ignorait jusqu'à maintenant à quel point Cerceï se sentait mal avec elle-même et surtout sous les regards des autres. Il s'en doutait qu'elle devait attacher de l'importance de la façon dont les personnes la jugent mais, à ce point-là non. Sinon peut-être qu'il 'n'aurait jamais accepté parce qu'il faisait était pire que ces moqueries qu'elle a pu endurer.

« Je n'ai pas pitié de toi. » dit-il en lâchant sa main, il s'écarte un peu d'elle laissant le silence s'installer un instant entre eux. Il plante ses prunelles avec cette lueur si rassurante et réconfortante dans les siennes. «Regarde-moi dans les yeux, regarde moi.» il frôle son menton de ses doigts pour que ses yeux se posent dans les siens. « Tu sais, chacun d'entre nous doit lutter et combattre quelque chose, même ceux qui semblent parfaits, ceux qui ont de tels propos. Il y a une part détestée dans chacun d'entre nous Cerceï. Chacun à ses faiblesses et nous devons les surmonter..»[/color] il lui sourit légèrement, baissant ses prunelles le temps d'un instant, le temps qu'il puisse bien choisir ses mots. Elle doit se dire que c'est facile pour lui de prononcer ces mots mais, en vérité cela ne fait que remonter ce qu'il essaye d'enfouir au plus profond. Il baisse ses prunelles pour ne pas qu'elle lise à cet instant sa vulnérabilité. Il est peut-être plus fort qu'elle mais lui aussi a dû et doit surmonter des difficultés. Un pas pour réduire la distance qu'il y a entre eux, il relève ses prunelles qui ont regagné cette force réconfortante. « Tu es forte Cerceï, bien plus que tous ceux qui peuvent t'insulter. » Kirill trouve souvent les mots justes, ceux qui réconforter. Il sait s'exprimer, mais cet atout n'est pas qu'utiliser à bon escient. Bien ses propos on détruit mais bien d'autres aux soignés des coeurs blessés. « Il ne faut pas que tu te haïsses pour tout le mal que tu ressens. Soit comme tu es. » Sa voix vibre d'une façon étrange, est-ce le son de sa sincérité ? Sans doute. Tout ce qu'il prononce à cet instant sont des paroles véridiques. Ses lèvres se posent sur sa joue, il ne peut qu'agir de cette façon après ses propos. L'expression sur son visage à cet instant est troublante, la lueur qui brûle dans son regard n'a que pour effet de soulager les maux de Cerceï, le sourire qui étire ses lèvres apparaît uniquement pour panser ses plaies. Il ne fait pas un pas de plus, la proximité entre eux est suffisante.« Maintenant, je suis là pour toi. »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)