I'm back, darling.

   Parler de rester dans la chambre d'Hendrix, c'était amusant. Parce que on savait tout les deux que on avait besoin de réussir notre année, et que c'était pas possible de réviser avec une distraction aussi grande que l'autre. Enfin, peut-être que Drix aurait la volonté, mais pas moi, je me connaissais, j'étais bien trop faible face à lui. Il suffisait que je l'imagine allongé sur son lit, en train de réviser ou de lire pour savoir que je ne pourrais pas détacher mes yeux de lui. Ouais c'est pas faux, moi non plus j'arriverais à rien t'es une bien trop grande distraction pour rester sérieux à côté de toi. Je lui fis un petit sourire, rassurée de voir que même on s'était disputés, même si on en s'était pas vu pendant un mois, je n'avais pas perdu mon effet sur lui. Allongée contre lui, je fini par glisser mon doigt sur sa clavicule, endroit de son corps que j'adorais, le trouvant petit, discret, à moi. Parce que j'aimais me dire que peu de monde pouvait le toucher là, comme moi je le faisait. Je lui posa une question, qui le fit réfléchir et se mordre la lèvre, ce qui eut pour effet de me faire sourire. Il était tellement sexy comme ça.. J'en sais rien mais je voterais d'avantage pour le moment à nous... Levant des yeux un peu naifs vers lui, un peu tendre, un peu amoureux tout simplement, je ris doucement, avant de me hisser à califourchon sur lui : " Si tu savais comme j'ai eu envie de faire ça durant ce dernier mois ", soufflais-je avant de me pencher lui, mes mains sur son torse, pour l'embrasser du bout des lèvres, le chatouillant à peine, l'effleurant, pour continuer à souffler : " Je me disais que jamais je pourrais recommencer, à cause de ma bêtise.. ". C'était vraiment horrible, rien qu'y repenser me faisait mal. Je soupirais, et l'embrassait cette fois plus intensément, les yeux clos.

   J'étais putain de faible comme mec... En tout cas face à elle. Des fois j'avais limite envie de me gifler car j'avais été tout aussi faible face à Briony et même si je savais très bien que Lulla' ne lui ressemblait en rien, j'avais encore cette petite peur au fond de moi, que je risquais à tout moment de revivre la même chose car comme on dit, jamais deux sans trois? Non allez valait mieux pas y penser, Lulla' était bien, c'était la bonne! Suffisait de voir ce qu'elle avait fait là pour moi, son come back sur le campus pour s'excuser après m'avoir suivit un mois autour du monde. Ouais, je voulais le voir comme ça. j'admirais donc son sourire, allongé contre elle à glisser mes doigts sur sa peau douce tandis qu'elle glissait les siens sur ma clavicule comme elle aimait tant le faire. Puis elle posa LA question qui me fit frémir d'avance car moi j'en comprenais tout le sens rien qu'au regard qu'elle me lançait. Après un bref instant de réflexion je lui avais donc donné ma réponse, du moins celle que je préférais! Désolé Jerem' si tu rentre en avance ne m'en veux pas. Un nouveau petit regard et ce sourire qui me faisait fondre elle et bougeait pour monter à califourchon sur moi, ne luttant pas, la laissant faire je l'écoutais me dire " Si tu savais comme j'ai eu envie de faire ça durant ce dernier mois ", tout en se penchant sur moi. Mon sourire avait disparu et je la regardais maintenant bien plus avait envie, passion, comme ci j'étais fasciné par sa beauté et ses gestes. Je m'en mordais d'avantage la lèvre en la sentant glisser ses mains sur mon torse avant qu'elle ne vienne m'embrasser du bout des lèvres " Je me disais que jamais je pourrais recommencer, à cause de ma bêtise.. ", et là... Je craquais littéralement. Venant passer mes bras dans son dos, accrochant l'une de mes mains à sa nuque pour venir m'emparer de ses lèvres avec passion. Comment voulez vous que je résiste à ça sérieusement?! Caressant son dos entre deux baisers, je laissais aller un "Et moi donc, t'as pas idée..." dire que j'ai failli la perdre à cause de cette embrouille! Imbécile que je suis va. Je venais glisser mes lèvres dans son cou, puis sur son épaule, laissant aller mes mains sous son haut pour un contact plus direct avec sa peau "J'suis vraiment trop faible." un léger sourire et je continuais. L'envie débordante de la foutre à poil là tout de suite! Je sentais mon téléphone vibré mais je ne m'en occupais même pas, le jetant même par terre avant de me redresser pour enlever le haut de ma belle et le jeter lui aussi au sol, glissant mes doigts tout le long de son dos.

   En sentant ses mains sur mon dos, une délicieuse sensation de chaleur m'avait envahie. Non seulement parce que pour le coup, j'avais carrément envie d'aller plus loin, mais aussi parce que mon corps criait que là, il était chez lui. Mon chez moi, c'est les mains de cet homme maintenant, et pour toujours, et rien qu'être entre ses bras me fait me sentir bien. Assise sur lui, jouant avec ses lèvres, je sentais ses mains caresser mon dos d'une façon électrisante et délicieuse, avant de frisonner en les sentant se glisser sous mon t-shirt après m'avoir embrassé passionnément une main sur ma nuque. Cet endroit, dans mon dos, personne ne m'avait touchée ici depuis un mois, et rien que ce petit contact me dit perdre carrément la tête. "J'suis vraiment trop faible." J'esquissais un petit sourire en l'entendant me dire ça, et je vint mordiller ses lèvres, cherchant à le faire taire. Parce que il n'est pas faible, c'est un homme courageux, que j'aime de tout mon coeur, à tel point que c'en est douloureux putain. Me redressant légèrement, mes mains sur son tors,e je soufflais :" Tu es beaucoup trop habillé Drix. " En disant cela, je glissant mes mains sous son T-shirt, pour le soulever et laisser mes doigts vagabonder sur sa peau tiède, venant embrasser son torse, avant de tirer plus fort sur son T-shirt pour qu'il lève les bras, afin que je puisse lui enlever. J'espère que son coloc' va pas débarquer, parce que dans quelques minutes ça sera indécent, dommage pour lui..

   Jouant un peu l'un avec l'autre dans quelques caresses, elle venait me faire tair en mordillant mes lèvres ce qui avait le don de me faire sourire. J'avais envie d'elle, plus encore car ça faisait un putain de moi que je n'avais pas pu savourer son corps dans ses moindres détails. Elle se redressait alors apparemment elle aussi envieuse de retrouver cette douceur qui semblait trop dater " Tu es beaucoup trop habillé Drix. ", je la fixais me mordant la lèvre en souriant provocateur "Alors déshabille moi..." en la regardant passer ses mains sous mon t-shirt pour le soulever et venir déposer quelques baisers sur mon torse. Ça y est je cédais, je craquais! La sentant tirer dessus, je levais les bras en me redressant pour qu'elle le retire plus facilement avant que je ne vienne l'enlacer pour l'embrasser plus langoureusement ce qui voulait vraiment tout dire de mes envies pour la suite. J'avais commencé, elle avait suivit, on était donc parti pour de nouvelles aventures! Dévorant sa bouche avec passion, je glissais une nouvelle fois mes mains dans son dos pour venir détacher subtilement son soutiens gorge, avant de poser mon front contre le sien pour lui sourire à nouveau en embrassant sa joue, puis son cou, venant ainsi en passant nous retourner pour l'allonger de nouveau sur mon lit et passer au dessus d'elle. L'admirant un instant de haut en bas toujours ce petit smile en coin, je me mordillais à nouveau la lèvre pour ensuite venir l'embrasser sur les lèvres, le menton et descendre sur sa poitrine puis son ventre tout en prenant soin de détacher le bouton de son jean en passant dans quelques caresses. Je la regardais avant de tirer un peu sur son jean, me mettant à genou pour carrément le lui retirer en tirant dessus et le jeter parterre, évidemment, j'avais tirer sur son sexy petit boxer en passant afin qu'il parte avec hein. Voilà qu'elle était totalement nue, j'avais pas perdu de temps je sais. Glissant mes mains le long de ses cuisses, je revenais sur elle pour m'emparer à nouveau de ses lèvres, venant même entremêler ma langue à la sienne.

   Alors déshabille moi... c'est inhumain de me dire ça comme ça. Sa voix à elle toute seule me rend folle, mais en plus quand elle m'invite à dévoiler son corps comme je le veux, après un mois total de privation... c'est trop pour mes hormones. J'ai envie de lui arracher ses fringues et me jeter sur ses lèvres. J'ai envie de passer ma nuit dans ses bras : sauf que pour le moment, il y a un bout de tissu qui me gène, et je fini par l'envoyer au sol, afin de retrouver avec délice les traits de son torse. J'adore pouvoir le toucher, et m'y blottir : j'adore sentir sous mes doigts sa peau douce, ses muscles durs, son ventre, sa respiration. Je l'adore tout entier. L'embrassant plus langoureusement, ce qui laissait entrevoir un petit peu ce qui allait suivre, je frémis en sentant ses mains dans mon dos, pour décrocher mon soutiens-gorge. Je suis à moitié nue devant lui, nous sommes à égalité, et pourtant, l'espace d'un instant, je me sens de nouveau vulnérable. J'ai envie de me coller à lui pour me cacher, parce que chaque fois j'ai peur qu'il découvre qu'il aime moins mon corps, et heureusement, quelque secondes de tendresse, son front contre le miens, me redonnent une forte envie de lui. Et confiance en mon corps. Docile, je le laissais passer au dessus de mon corps, un sourire aux lèvres revient m'embrasser après m'avoir observée. Puis je sentis mon cerveau se déconnecter en sentant ses lèvres sur mon corps. La tête sur l'oreiller, je gémis doucement lorsqu'il commença a défaire le bouton de mon jean, et pour l'aider à le soulever, je me hissais un petit peu sur les chevilles, puis les les hanches. Sauf que je sentis qu'il ne tirait pas que mon pantalon, et mes joues rosirent un instant.  Nue comme ça, c'était véritablement le symbole que cette fois, j'étais revenue, et ça me rendait dingue. Je mourrais d'envie de le sentir contre moi, en moi, et je l'embrassais sans ménagement, une main agrippée à sa nuque lorsqu'il revint vers moi. Puis je glissais une main vers son jean pour commencer à le caresser doucement, et surtout, à virer son bouton et sa braguette, parce qu'il y avait beaucoup trop de tissu entre nous. " Drix.. aide moi, vire ça. " Pitié, je veux te sentir nu contre moi, pas comme ça..