Ses paroles me font plus que plaisir, et je me permets d'ajouter : Et moi de toi, les Typhène ne sont rien sans un Royce. Je ricane un peu avec lui, passant un bon moment. Je t'adore. T'es vraiment quelqu'un de génial.
J'aurais pensé que le grand Royce Magyar n'aurait pas eut de place dans son emploi du temps surchargée... Mais si tu en as, je vais pas me plaindre. continuais-je