Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJackie & Aidan ☼ I love the way you lie - Page 2
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Jackie & Aidan ☼ I love the way you lie

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Il s'était laissé porté par son impulsion. Pendant bien longtemps avec Jackie il avait eu l'impression de se brider, et à cet instant il ne pensait plus aux conséquences, ni même à la nouvelle qu'il devait lui annoncer. Son baiser sonnait comme un aveu, bien plus efficaces que de longues phrases et réflexions. « Me voilà rassuré. » dit-il en riant doucement tandis que la Cabot venait atterrir aérienne sur ses genoux. Le Lowell passa ses bras autour de sa taille et l'attira un peu plus contre lui, tandis qu'elle le narguait comme ils en avaient l'habitude. « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? »  Un sourire narquois venait orner ses lèvres et son regard adoptait un azuré provocateur. Son front se posa contre celui de la jeune femme, et ses lèvres murmurèrent coupables mais assumées. « Des connards de première. » Il soupira avant de poser ses mains sur chacune de ses cuisses. « Tu voudras toujours de moi quand Sam m'aura réduit en petits morceaux ? » Il ne put s'empêcher de rire nerveusement avant d'ajouter. « Ou alors, il me reste l'option de m'entraîner intensément à la musculation. » Il fallait être honnête, il ne faisait pas le poids face au Mather qui était une vraie baraque, même si dans ses souvenirs, il s'en était plutôt bien sorti à chaque fois qu'il avait du se battre.
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La simplicité m’avait quitté depuis bien longtemps. Mais pour une fois, j’avais l’impression de combler un désir caché depuis plusieurs mois. Tout semblait très facile, peut-être trop facile. Avais-je envie de me lancer dans une relation sérieuse ? Pas vraiment, la crainte me poussait à vouloir rester seul. Étais-je vraiment capable de ne pas faire de mal ? J’en étais peu persuadée. « Me voilà rassuré » je me mis à rire. J’avais toujours apprécié la présence de Norrington mais il fallait avouer que cette proximité rendait les choses beaucoup plus intéressantes. Une fois assises sur lui, les mains de Norrington se posèrent sur ma taille et il m’attira contre lui. Les miennes se posèrent délicatement dans la nuque du jeune homme. « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? » un rictus s’afficha rapidement. Il avait raison, la simplicité ne nous convenait pas et j’étais ravie de voir que nous étions sur la même longueur d’onde. « Tel est la question Norrington » dis-je sur un ton provocateur. Le front du jeune peintre se déposa sur mon front. Mes yeux se fermèrent doucement. « Des connards de première » nous l’étions, j’étais d’accord avec lui. J’affichais une petite grimace consciente du mal que vous avaient fait. Je voyais déjà les gros titres, la briseuse de cœur. Un rang parmi tant d’autres. Les mains de Norrington se posèrent sur mes cuisses. La retenue était mise de coté. « Tu voudras toujours de moi quand Sam m’aura réduit en petits morceaux ? » j’affichais un petit sourire et lui fis : « Hum… je sais par tient » dis-je pour l’embêter. Allaient-ils se disputer et se bagarrer ? J’espérais que non. « Ou alors, il me reste l’option de m’entraîner intensément à la musculation » je me mis à rire tout en affichant un grand sourire provocateur. J’approchais mon visage pour déposer mes lèvres dans son cou. Plusieurs baisés sensuelles tout en déclarant entre chaque baisé : « J’ai une autre idée aussi » dis-je amusé et remontant doucement. « On m’a parlé d’un d’un sport de chambre, tu connais ? » dis-je ignorante
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Qui était le chat et qui était la souris ? Le prédateur ou bien la proie ? Cela restait flou aux yeux de l'Artiste, et il était bien connu que le flou artistique plaisait à un peintre. Sans doute que la vérité résidait dans une inversion des rôles savamment calculé. Il plaisantait de la force de Sam sûrement pour l'exorciser quelque part, mais cela n'empêchait la culpabilité qui le rongeait tout doucement. Malgré l'interdit que représentait leur relation, Aidan ne pouvait pas s'empêcher non plus de toujours revenir vers Jackie, comme un camé le ferait avec sa dose. Tandis qu'elle l'embrassait sensuellement et lui offrait son sourire à la fois provocateur et malicieux, il la sentait, passait sa main dans ses cheveux, bref il prenait sa dose quasi-quotidienne comme s'il faisait une inexorable rechute, restant obstinément sourd à ses vieux démons. Il arqua un sourcil brun à la proposition de la jeune femme. « Non je ne connais pas. » Il eut un petit sourire avant de se pencher vers la jeune femme de façon à frôler ses lèvres des siennes sans pour autant succomber. « Un sport en chambre, vraiment ? Quelle drôle d'idée ! » Ses yeux se posèrent sur les siens, joueurs et affirmés, son timbre de voix résonnant doucement. « Tu veux me montrer peut-être ? Tu sais que je n'aime pas rester ignorant. » Sa main glissa le long du dos féminin tandis qu'il haussait les épaules, vaguement innocent.
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L’inconnu était effrayant mais regorgeait d’adrénaline. Je ne savais pas ce que je faisais, encore guider par mes pulsions dévorantes. L’impact que pouvait avoir cet homme sur moi était impressionnant. Je me laissais aller à une vague de tendresse qui en devenait presque vitale. J’appréciais ces moments et encore plus cette proximité qui s’offrait à moi. « Non je ne connais pas » j’affichais un sourire ravi et joueur. Nous étions sur la même longueur d’onde. Nous n’attendions rien de compliquer et s’en étions rassurants. Il s’approcha doucement et frôla doucement mes lèvres. Pur sadisme de sa part mais tellement plaisant. Je me mordillais doucement la lèvre, l’écoutant : « un sport en chambre, vraiment . Quelle drôle d’idée ! » j’osais doucement un sourcil, nos souffles se mêlaient changeant ainsi l’air en un souffle chaud. « Tu veux me montrer peut-être . Tu sais que je n’aime pas rester ignorant » mon sourire s’accentua et je lui fis : « Il va falloir arranger ça » dis-je doucement en déposant mes lèvres contre la joue chaude du Lowell. Mes lèvres descendaient doucement dans son coup. Entre deux baisées, je lui fis : « mais avant ça, va falloir me dire ce qui vous a poussé à venir ici monsieur Norrington ? » dis-je doucement. J’étais curieuse et je n’avais pas oublié qu’il voulait me parler de quelques choses importantes. « qu’elle était cette chose si important ? » dis-je en le redressant mon regard vers lui. Son regard semblait différent, moins à l’aise. Je fronçais des sourcils : « qu’est qui a ? » dis-je en le détaillant du regard.
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Cette alchimie lui faisait presque oublier le pourquoi de sa venue. Il était faible et d'autant plus en compagnie de la Blonde, se laissant aller à des jeux dangereux au lieu d'aborder le sujet véritablement épineux. La bulle dans laquelle ils se pamaient tous les deux éclata comme si elle était formée d'une simple pellicule de savon. Son visage se fit plus grave et l'interrogation de Jackie plus pressante. Ses yeux osèrent de nouveau rencontrer les siens, il devait être honnête, il lui devait ça. Il la respectait trop pour se foutre de sa gueule. « Je ne sais pas si tu connais mon amie Wilhelmina, elle est chez les Dunster. » dit-il d'une voix presque timide. « Nous avons l'habitude de peindre ensemble et de partager des moments de création, le truc c'est qu'elle amnésique depuis l'incident de la bombe et que je ne la connaissais pas avant, du moins c'est ce que je croyais. » Voyant l'air encore plus interrogatif de Jackie, il comprit qu'il n'allait pas droit au but. « Bref, il s'avère qu'on a couché ensemble il y a plus d'un an lors d'une soirée arrosée. Et que ni elle, ni moi ne nous en rappelions. » Il se redressa avant de poursuivre, car oui jusque là avouer une coucherie avec une fille il y a de ça un an passé n'avait rien de grave. « Le truc, c'est que Mina a un bébé et que j'en suis possiblement le père. Selon elle, les dates concordent parfaitement et elle n'a pas le moindre doute mais je vais quand même faire un test de paternité. Je voulais te l'annoncer avant. » Ses prunelles limpides cherchèrent les siennes comme pour obtenir une réponse avant même qu'elle ne la formule. Il n'avait aucune idée de comment aller réagir Jackie, mais les choses seraient sans doute bien différentes maintenant qu'un enfant s'ajoutait à leur petit jeu jusque là bien léger, désormais bien plus effrayant.
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Avais-je pensé un jour à avoir un enfant ? Une personne normale vous aurez répondu oui. J’étais loin d’être normal et la maternité me faisait peur. Allais-je être une bonne mère ? Les chances étaient minces. Mon passé était douloureux et parsème d’embuche. J’étais une âme fragile et blessée. Hors de question pour moi de prendre ce risque. Les causses perdus ne font pas d’enfant. Mon instinct était en éveillé. Les yeux d’Aidan en disaient long et n’annonçaient rien de bon. Le jeune peintre bablotta quelques paroles. Avant d’entamer l’essentiel « bref, il s’avère qu’on a couché ensemble il y a plus d’un an lors d’une soirée arrosée. Et que ni elle, ni moi ne nous en rappelions » Jusqu’ici, tout allait bien. J’étais loin d’être idiote. Nous avions eu nos expériences, j’en étais consciente. Il se redressa doucement alors que mon regard persistait à le regarder. « Le truc, c’est que Mina a un bébé et que j’en suis possiblement le père. Selon elle, les dates concordent parfaitement et elle n’a pas le moindre doute mais je vais quand même faire un test de paternité. Je voulais te l’annoncer avant » mon regard se stoppa net. Trop de mots, alors que mon esprit tentait de faire le tri. Mon regard se porta une nouvelle fois dans celui du jeune peintre, cherchant une once de réalisme. Je me levais délicatement ne sachant pas vraiment quoi dire. Un enfant. Mon cœur s’emporta se laissant aller à un rythme saccadé. Étais-je apeurée ? J’en avais l’impression. Ma main se porta à mon front avant que je ne finisse par dire : « Tu penses pas que tu aurais dû me dire ça dès que tu es arrivée ici ? » dis-je en fuyant doucement son regard. « j’aurais évité de sortir de longue phrase sur ce que j’ai ressentie cette nuit-là… … Mon regard se posa ensuite sur celui d’Aidan. Mon cœur continuait à battre irrégulièrement. Je marchais doucement faisant des vas et viens dans la pièce. « Ce n'est pas rien Norrington… tu attends quoi de moi au juste hein ? » dis-je légèrement hésitante.
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La réaction qu'elle eut était celle qu'il avait redouté, sans doute pour cette raison qu'il n'avait pas prononcé cette nouvelle sitôt arrivé. Quelque part, un côté de lui s'en doutait. Elle se releva, paniquant un peu extérieurement, en même temps il y avait de quoi. Cette nouvelle lui triturait le cerveau depuis un moment. Lui papa ? La BLAGUE. Un gamin père d'un gamin, la merde quoi. « Je ne regrette pas que tu me l'aies dit Jackie, même si ça rend les choses encore plus difficiles. » lui avoua-t-il en baissant son visage avant de le relever vers le sien. Lui-même se relevant machinalement pour adopter la même position qu'elle. « Je comprends. » dit-il d'une voix douce. « Effectivement, un enfant ce n'est pas rien, et même si je ne l'ai pas voulu, je ne veux pas qu'il ait un jour l'impression d'être rien. » Lui-même l'avait trop ressenti avec son propre père. De ses pensées tortueuses, il avait réussi à extirper la volonté d'être un minimum présent, malgré le boulet qu'il était, de faire au mieux pour ce petit être qui n'avait rien demandé. « Je n'attends rien Jackie, je ne peux pas t'imposer ça. » Ses yeux se baissèrent, comment aurait-il réagit si la situation avait été inverse ? Il ne savait même pas alors il n'allait pas lui faire la morale. Puis il avoua, presque dans un souffle. « Mais j'aimerais que tu ne fuis pas. » Aveu, honnêteté, c'était déjà pour lui anxiogène, traumatisant de se savoir peut-être parent, alors être abandonné par elle était quelque chose d'insupportable.
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Cette nouvelle était surprenante voire même presque hallucinante. Aidan papa. Je ne m’y attendais pas. En quelques secondes, la situation basculait petit à petit vers quelques choses de plus sérieux et de plus apeurant. « Je ne regrette pas que tu me l’aies dit Jackie, même si ça rend les choses encore plus difficiles » Ma tête basculait sur le cotée. Notre comportement manquait de raisonnement. Mon regard fuyait celui du jeune peintre, ne sachant pas vraiment quoi dire ni quoi faire. Il se leva et resta à quelques mètres de moi. Il me regardait et finit par dire doucement : « Effectivement, un enfant ce n’est pas rien, et même si je ne l’ai pas voulu, je ne veux pas qu’il ait un jour l’impression d’être rien ». Mon regard resta doucement posé sur lui essayant de comprendre cette soudaine maturité. Norrington était une vraie énigme. C’était à la fois excitant et apeurant. « Je n’attends rien Jackie, je ne peux pas t’imposer ça ». Tout semblait très flou. « Mais j’aimerais que tu ne fuit pas. » fuir était pourtant la solution la plus facile. Je le regardais fixement et je lui fis doucement : « et c’est quoi le plan ? Que je sois l’amie avec qui papa Norrington couche ? ». Aidan était terriblement calme. « On est quoi au juste Norrington ? » dis-je dans un souffle. Mon cœur continuerait de battre rapidement décidant finalement de faire dos au jeune peintre, la peur me poussait à parler : « Je sais pas quoi faire Norrington… je me suis jamais posé autant de questions. » je me retourne et le regarde dans les yeux « J’ai besoin de vivre encore dans l’illusion. Les responsabilités m’effraient. J’ai toujours été nul et l’exemple que j’ai eu ne m'a pas aidé. Si je faisais plus de mal que de bien . Hein ?. Et Wilhelmina, elle en pensera quoi . Moi qui débarque dans cette petite vie bien ranger ? »
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L'accalmie avait précédé la tempête, cela été bien connu, et Aidan s'y attendait mais sans doute pas de cette manière. Jackie était bouleversée mais pas en colère. Ce qu'elle disait, il ne comprenait aisément pour la simple et bonne raison qu'il aurait certainement réagit de la même manière. « Un papa n'est pas asexué que je sache. » rétorqua-t-il une moue triste aux lèvres. Non mais quoi ? Il ne lui restait plus qu'à se pendre si c'était le cas. « Je refuse de coller une étiquette sur ce qu'on est, toi comme moi n'aimons pas ça, et ça sert à rien de tout précipiter. » Les deux jeunes gens partageaient certes cette peur presque panique de l'engagement ou de toute autre forme de promesse qui vous liait l'un à l'autre. Qui plus est alors que leur histoire n'était même pas réellement démarrée, la venue de cet enfant compliquait bien des plans. Pour autant, Aidan avait décidé de ne pas l'ignorer. « Ce sont deux parties de ma vie qui ne sont pas forcées de se rencontrer pour l'instant, on verra bien avec le temps non ? »[ La preuve est, il n'était pas encore réellement papa, il ne savait même pas de quoi il parlait. « Et Wilhelmina n'a rien à dire, elle est amoureuse d'une femme alors franchement je pense qu'elle me bat. » Ses bras se croisèrent sur son torse alors que son regard brillait singulièrement, il déglutit soudainement, se rendant compte qu'implicitement il avait prononcé le mot amour. « Mais si tu veux du temps pour y réfléchir je comprendrai. » ajouta-t-il doucement tout en continuant à la regarder.
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« Un papa n’est pas asexué que je sache » non il ne l’était pas. Mon regard restait focalisé sur le jeune Lowell. Je ne savais pas quoi répondre avant de comprendre que cette situation se faufilait entre mes doigts. Il enchaina prenant soin de répondre : « Je refuse de coller une étiquette sur ce qu’on est, toi comme moi n’aime pas ça, et ça sert à rien de tout précipiter. » Il avait raison et pendant un instant, je le détestais pour ça. Il me connaissait et rendait finalement la situation bien plus dur qu’elle ne l’était déjà. Je finis par souffler doucement. Il avait raison. Je restais éperdument silencieuse, c’était quelques choses d’inhabituelle. Je me rendais finalement compte que j’étais attaché à lui. Cette situation m’effrayait mais elle ne me faisait pas fuir. Aidan continua : « ce sont deux parties de ma vie qui ne sont pas forcées de se rencontrer pour l’instant, on verra bien avec le temps non ? » Nous n’étions pas obligées du moins par pour le moment. Mon regard restait figé dans celui d’Aidan. J’avais la sensation d’être égoïste. Au fond de moi, partager Aidan ne semblait pas être une option mais avais-je le droit de le mettre dans une telle situation. Partir semblait finalement être la meilleure des décisions. Mes pensées s’être emparé de moi laissant finalement Aidan dans un doute complet. « Et Wilhelmina n’a rien à dire, elle est amoureuse d’une femme alors franchement je pense qu’elle me bat » je fronçais des sourcils. « amoureuse ? » dis-je doucement. Qu'en était-il de la vie paisible ? Aidan, Wilhelmina et bébé Norrington. Il croisa les bras et me fit : « mais si tu veux du temps pour y réfléchir je comprendrai. » Avais-je besoin de temps ? Je n’en savais rien. Cependant je lui fis : « la famille parfaite, un papa, une maman et un bébé… Sa n’existera pas ? » dis-je en baissant mon regard.
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