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(+ Declan) you shot me down, bang bang

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Mallory avait l’impression d’avoir été passé sous un rouleau compresseur et pourtant, elle faisait actuellement l’effort de cligner des yeux, ce qui lui demandait une énergie proprement colossale. Entendre la voix de Declan la rassura au plus haut point, lui provoquant une délicate chaleur s’emparant de tout son être alors qu’elle esquissait un faible sourire. Faible mais bien présent, surtout qu’elle venait d’apprendre qu’elle était dans sa chambre au club, LE lieu où elle se sentait le plus en sécurité. « Tu n'as... rien ? Ta mère peut pas… m’atteindre ici… ? » demanda-t-elle d’une voix murmurante, essayant de remettre de l’ordre dans le chaos formé par ses pensées, non sans mal, tandis que l’impression que quelque chose manquait lui massacra le cœur. « Le bébé… ? » reprit-elle sans lâcher ses yeux, sa respiration se faisant plus haletante, au point qu’elle n’en grimace de douleur et doive fermer un instant les yeux.
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Tendrement, en douceur, je caressais son visage encore pâle et marqué par la douleur. Je m’en voulais de ne pas avoir réagi sur le moment, de ne pas être intervenu pour empêcher qu’on lui tire dessus. Tout aurait été différent, nous aurions été trois à ce moment précis. « Elle ne t’atteindra pas où je lui colle une balle entre les deux yeux » déclarais-je froidement. Hors de question que ma mère ne l’approche à nouveau. Malheureusement, sa question suivante m’arracha une expression douloureuse. « Je suis désolé bébé… Cassie ne pouvait pas le sauver, tu étais en train de mourir » déclarais-je difficilement car je ressentais sa peine comme la mienne. On nous avait enlevé notre enfant et cela me tuait. J’avais envie de massacrer à nouveau ces hommes, de les faire souffrir, de leur enlever un être cher pour qu’ils comprennent. « Je suis vraiment désolé » murmurais-je en éclatant en sanglot. J’étais crevé, paniqué, meurtri et je me sentais si coupable de ne pas avoir su les protéger. « Je sais que tu me dois me détester, je n’ai pas réussi à vous défendre, je suis intervenu trop tard… Je m’en veux tellement »

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D’une certaine façon, Mallory fut soulagée au-delà des mots d’entendre Declan parler de cette façon de sa mère car elle ne méritait plus aucune indulgence de leur part. Maureen était à la base de tout ça, c’était à cause d’elle qu’ils devaient aujourd’hui pleurer leur bébé… de longues larmes silencieuses s’écoulèrent bientôt contre les joues pâles et froides de la jeune blonde avant qu’elle ne sente son cœur se serrer à nouveau face aux sanglots de l’irlandais. Sûrement était-ce encore pire, et il ne fallait surtout pas qu’il pense des âneries pareilles. Avec tout le courage qui lui restait encore, Elle se redressa légèrement, l’incitant à venir se blottir contre elle alors qu’elle entourait son corps de ses bras. Qu’importe la douleur, c’était trop important, trop vital qu’elle le serre dans ses bras à cet instant précis. « Tu… as fait ce que tu as pu… et Cassie également » articula-t-elle en puisant dans ses moindres forces pour essayer de rester cohérente. « Je te détesterai jamais… je t’aime trop pour ça… arrête de te blâmer, je t’en supplie… tu peux nous protéger maintenant mais… ne m’abandonne pas… »
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« Je ne pourrais pas t’abandonner, tu m’entends ?! Jamais ! Impossible. Tu vas m’avoir pour le restant de ta vie sur le rable » marmonnais-je en la serrant dans mes bras, essayant de ne pas la heurter davantage. Je me sentais si vide à ce moment-là, torturé par les images qui n’avaient de cesse de se bousculer aux portes de ma mémoire. Je devrais vivre jusqu’à la fin de ma vie avec le visage surpris de Mallory lorsqu’elle s’était pris les balles avant de voir cette douleur la terrasser. Je devrais vivre également avec cette annonce effroyable qu’il n’y aurait finalement pas de bébé alors que l’espoir s’était allumé rapidement en moi. Une mini Mallory ou un mini-moi. C’était trop cruel. « Il faut que tu te reposes, tu dois reprendre des forces… Promis, je ne bouge pas mais il faut absolument que tu te rétablisses bébé hein ? J’en ai affreusement marre de bouffer des cookies » plaisantais-je au travers de mes larmes que j’essayais d’effacer.

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« Moi ça me va très bien de rester… toute ma vie avec toi… » murmura-t-elle non sans caresser doucement son dos, cherchant à effacer toute douleur du corps et de l’esprit de Declan sans être certaine d’y parvenir. Ils risquaient de mettre énormément de temps à guérir l’un comme l’autre, car même si Mallory n’avait pas encore craqué de façon virulente, cela risquait de venir très bientôt. Pour l’heure, elle avait juste trop mal et était trop faible pour se concentrer pleinement sur autre chose. « Toi aussi tu vas pas… te débarrasser de moi comme ça. Mais va demander à Bobby… de te préparer quelque chose. Promets-moi que tu vas manger, sinon je vais faire la grève du repos. » Mallo avait beau plaisanter, elle voulait le pousser à avaler autre chose que des cookies, tandis qu’elle remontait doucement le menton de l’irlandais pour lui offrir un doux baiser qu’elle espérait salvateur. « Je suis là… »
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« Je te laissais pas le choix bébé » marmonnais-je car je n’avais pas oublié ma promesse de l’amener loin très loin sur un bateau. On pourrait même faire une nuit de noce. Voilà, j’allais l’épouser, lui faire tout plein de bébé et dès qu’elle irait mieux, je mettrai tous mes projets à exécution. Oui, Mallory deviendrait ma femme ! « Hors de question que tu ne te reposes pas, je mangerai tout ce que tu veux mais tu dois te reposer bébé » râlais-je pour le coup en plongeant mon regard dans le sien, soupirant d’aise en sentant ses lèvres sur les miennes. « J’ai cru t’avoir perdu bébé… Si tu savais combien j’ai eu peur ! S’il te plait, ne me refais plus des frayeurs pareille » la suppliais-je en déposant un baiser d’une tendresse extrême sur ses lèvres. J’avais tellement besoin de la toucher, de m’assurer qu’elle était bien là, vivante et que je n’étais pas en train de rêver.

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« J’adore quand tu joues les chefs… » murmura-t-elle en souriant de façon plus franche, oubliant subitement la douleur alors que son regard se plantait délicieusement dans celui de Declan. Elle savait qu’à eux deux, ils pouvaient soulever des montagnes et reconstruire tout ce qu’un monde trop injuste leur avait arraché, détruit. Mallory voulait être confiante… parce que son amour pour l’irlandais la sauvait à beaucoup de titres, justement. « Je ne peux pas bouger… je ne vais pas m’enfuir mais toi, tu dois prendre des forces » insista-t-elle car elle savait combien Bobby était un cordon bleu et un peu le « papa poule » du club, il serait donc sûrement ravi de lui concocter quelque chose d’agréable à manger histoire de le sortir de ce marasme de tristesse. « Je vais essayer bébé… mais je n’étais pas venue avec de mauvaises intentions… je pensais vraiment… m’en sortir, juste discuter, entre gens civilisés. Je suis trop naïve. Faut que tu me sauves de ma naïveté babe… je pensais pas que ta mère... »
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« J’irais manger quand tu dormiras. Je n’arrive pas à quitter ton chevet car je ne voulais pas rater ton réveil. La dernière fois, les mecs ont dû me jeter sous la douche pour que je consente à faire une brève toilette » grognais-je pour me plaindre des mauvais traitements que j’avais reçu. On me forçait à manger, à me laver, à prendre cinq minutes l’air histoire de m’en griller une. Non, j’avais été maltraité pour la simple et unique raison qu’on m’avait empêché de rester auprès d’elle non-stop. « Ce n’est plus ma mère. Je ne la connais plus, elle n’existe plus pour moi » lâchais-je froidement en détournant le regard. Je l’avais prévenu, s’il arrivait quoique ce soit à Mallory, elle ne me rêverait plus. « J’ai tout quitté Mallory… Il ne reste plus que l’étudiant tout ce qu’il y a de plus normal et qui ne désire qu’une seule chose : vivre avec toi » ajoutais-je en la regardant cette fois-ci dans les yeux. Je voulais vivre avec elle et non plus la voir de temps en temps –et puis, si je voulais pouvoir lui faire un enfant rapidement, autant que je l’ai sous la main le plus souvent possible songeais-je pour la première fois avec amusement.

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« Les gars ont… bien fait ! Tu vois ce sont des papas poules, j’te l’avais dit ! » murmura-t-elle non sans passer à nouveau sa main contre la joue de Declan, le couvant délicatement du regard comme si elle voulait lui enlever toute la peine et l’horreur qu’il avait pu ressentir et voir lors de ces derniers jours. Quelque part, Mallory fut soulagée d’entendre que Maureen ne croiserait plus le chemin de leurs vies, car elle était responsable de tellement de malheur les touchant l’un comme l’autre qu’elle n’aurait jamais pu accepter sa présence. Autant la jeune blonde n’était pas très rancunière, autant la matriarche irlandaise l’avait poussée à le devenir. « Tu veux qu’on vive ensemble ? » tenta-t-elle de traduire un peu avant de s’obliger à sombrer dans un profond sommeil, ayant diablement besoin de récupérer et il serait toujours temps d’aborder la question de façon plus véridique plus tard. En attendant, quelques jours plus tard, alors que la douleur était un tout petit peu moins violente, Mallo profita du fait que Declan était allé se nourrir pour tenter de se mettre en position assise au bord du lit, n’en pouvant plus d’être alitée, mais à peine avait-elle mis un pied à terre qu’elle se ramassa la tronche sur le parquet. Pour le coup, la douleur fut tout sauf agréable. « Bordel de merde !! »
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« Des casses-couilles ouais » marmonnais-je même si, pour le coup, je ne pouvais que lui donner raison. Les gars m’avaient accueilli à bras ouverts alors que techniquement, j’étais un ennemi. Enfin un ancien, j’avais tourné le dos à ma famille, à mon clan. Je me sentais seul depuis quelques jours mais ce sentiment d’être un exilé s’était amoindri depuis qu’elle avait rouvert les yeux, signe que cette femme était mon univers à présent. « Oui, je veux vivre avec toi…enfin, je te re-répondrai quand tu auras fini de te taper Morphée… Le crevard va » murmurais-je avec tendresse tandis que je caressais son visage. Mallory avait besoin de repos et je devais penser à manger quelque chose et me reposer également même si, quitter son chevet m’arrachait toujours autant le cœur. Au bout de quelques jours, une certaine routine s’était installée à savoir que je passais le plus clair de mon temps à la vieller avant qu’elle ne m’envoie manger pour mieux faire une sieste. Ce jour-là, j’avais un peu trainé pour causer du fameux calendrier. « Bébé ?! » m’inquiétais-je aussitôt en entendant un gros bruit provenant de sa chambre. Autant dire que je débarquais l’arme au poing prêt à faire feu à la moindre occasion. « PUTAIN DE BORDEL DE MERDE, NE ME DIS PAS QUE TU AS ESSAYE DE TE LEVER TOUTE SEULE !!! » lui hurlais-je dessus mais en même temps, j’avais eu si peur. « Putain d’entêtée de mes couilles !! » continuais-je à ruminer tandis que je la relevais pour la recoucher sur son lit.

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