(+Konrad) I WANNA KILL YOU

T'avais fini les cours plus tôt que prévue et maintenant, tu fonçais droit vers l'appartement de Konrad. Parce que t'étais carrément en colère et que tu comptais bien déverser toute ta haine sur lui. T'avais pas pu participer au spring break pour des problème personnel et les retours que t'en avais eu avait eu le don de te mettre en rogne. Certes, vous n'étiez pas en couple. D'ailleurs, vous en étiez tout le contraire. Mais il n'empêchait que tu pouvais te montrer parfois un peu trop possessive et pour le coup, t'appréciais pas du tout ce que tu avais entendu. Bien au contraire même. Comment pouvait-il se permettre de te faire des crises de jalousie quand lui, profitait de ton absence pour se taper tout ce qu'il bouge ? T'allais lui remettre les pendules à l'heure et plus vite que ça. T'étais pas une idiot et il allait très rapidement le comprendre. Tu prenais un taxi pour arriver plus vite à destination et une fois devant le bâtiment, tu montais les escaliers quatre à quatre totalement furibonde. Il allait passer un très sale moment, surtout si on prenais en compte le mauvais caractère que tu pouvais avoir. Tu te stoppais juste devant sa porte et frapper dessus légèrement fort signe que t'avais déjà envie de tout péter. Et en attendant qu'il se décide à venir t'ouvrir, tu jetais un coup d'oeil au miroir se trouvant à côté de toi te trouvant plutôt jolie pour le coup. Carrément canon même. Puis en bonne narcissique que t'étais, t'embrassais carrément ton reflet pile au moment ou la porte s'ouvrait. Bonjour la honte. Mais tu te reprenais assez vite lançant les hostilités. « Je vais te tuer. »

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Zippad † i wanna kill you.

Le Spring Break vient de se terminer, adieu Punta Cana, je suis quand même content d'avoir profiter à fond de ce nouveau SB, je suis arrivé avec une déprime aussi importante que celle que j'ai fais durant les deux mois qui ont précédés et je suis surtout satisfait d'y avoir penser le moins possible durant la suite du séjour jusqu'à sa fin, j'ai bien gérer, tout va pour le mieux. Maintenant me voilà de nouveau revenu à Cambridge, je viens juste de défaire mes valises après être arrivé à l'appartement et je dois dire que ce fut un retour qui je le sens n'allait pas être comme je l'aurais souhaitais, calme. J'avais vu juste, on frappait à la porte, c'était trop agressif pour qu'on toque et bizarrement je sentais venir, que j'allais m'en prendre plein la gueule sans savoir pourquoi, j'arrêtais de ranger mes affaires pour aller ouvrir et là, nez à nez avec Zippora, un regard de feu et un courps de rêve, elle voulait me tuer et comme un con je souriais J'suis aussi content de te voir Zippy. en effet je crois bien qu'elle va me tuer.

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Tu rentrais en trombe dans son appartement rêvant de faire disparaître le petit sourire qu'il venait d'aborder. Il n'y avait rien de drôle ou d'amusant. Absolument rien. Et il allait vite comprendre que t'étais bien loin de plaisantais. Tu lui jetais un regard meurtrier prête à lui balancer des tonnes et des tonnes de chose au visage. « Tu t'es tapé qui au spring break ? Parce que je vais les détruire toute les unes après les autres.» C'était hyper extrémiste comme envie, mais il y avait un moment que tu avais développer une possessivité un peu trop flagrante vis à vis de Konrad. Et s'il pouvait se permettre de te faire des scènes, t'étais tout à fait dans ton droit aussi. « Comment tu peux te permettre de me faire des crises alors que t'en a sauté je sais pas combien ?! » Clairement, si t'avais pu, tu lui aurais très certainement sautée à la gorge mais, ça ne servait à rien. Il aurait vite fait de te maîtriser et tu préférais te servir des mots. T'avais toujours utilisée les mots comme des armes et ce n'était pas aujourd'hui que ça allait changer. Tu t'approchais de lui l'air menaçant te retenant de ne pas lui en coller une. « T'es un connard. Un putain de connard. »

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Zippad † i wanna kill you.

Je n'aurais pas pensé recevoir la visite de Zippora aussi rapidement, voilà quelques heures que je suis de retour sur le sol américain, seulement un quart d'heure que je viens de rentrer à l'appartement et à peine une valise de défaite que la blonde sulfureuse entre en trombe chez moi, prête à m'égorger sur place. Arrête ta parano bébé. je voulais pas me prendre la tête avec elle, mais c'est vrai que la possessivité qu'elle a développée à mon égard est juste folle, je suis à elle et rien qu'à elle, et elle sait que les paroles que je viens de lui lancer, ne sont que du vent, elle sait très bien que j'ai coucher avec d'autres pendant le SB mais je ne veux pas m'engueuler après ce séjour paradisiaque. Je te fais pas de crises là, arrête, chacun fais ce qu'il veut, t'es pas ma meuf. lui sortais-je aussi direct que possible alors qu'elle se rapprochait de moi, persuadé qu'elle allait en venir aux mains avec moi, elle me traitait de connard, je pouvais pas enlever ce sourire des lèvres Il faut de tout pour faire un monde tu sais. je savais que plus ej continuais dans cette lancée, plus elle allait me tuer.

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T'étais vraiment en train de t'emporter. Peut être un peu trop. Mais t'avais toujours été excessive. C'était le genre de truc qu'on pouvait pas changer chez toi. Arrête ta parano bébé. Il cherchait clairement à ce que tu lui mettes une gifle là ? Parce qu'il était vraiment bien partit. T'étais pas du tout parano pour le coup et tu savais très bien qu'il en avait baisé des dizaines si ce n'était pas plus. Fallait pas qu'il te prenne pour une conne non plus. « Et t'arrête de m'appeler comme ça. » T'aimais pas les surnoms, encore moins quand t'étais en colère. Puis bébé, mon amour ect ça te donnait plus envie de gerber qu'autre chose. Je te fais pas de crises là, arrête, chacun fais ce qu'il veut, t'es pas ma meuf. Il était sérieux ? C'était le premier à faire le jaloux quand tu voyais quelqu'un d'autre et il osait te dire ça ? Bonjour l'hypocrisie. T'savais même pas pourquoi tu te retenais en fait là. Il faut de tout pour faire un monde tu sais. Ouais, là t'étais plus capable de te retenir. Du coup, tu lui mettais une gifle magistrale avant de reculer de quelque pas. « Me cherche pas Konrad, me cherche vraiment pas. »

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Zippad † i wanna kill you.

Elle pétait un câble là, je venais juste de rentrer et je ne pensais pas que nos retrouvailles se passent comme ça. Elle m'en voulait d'avoir couché avec d'autres filles qu'elle, surtout à Punta Cana, là où elle n'était pas présente donc là où elle n'avait rien pu faire pour me garder à elle, oui j'étais à elle, je le savais très bien. Je t'appelle comme je veux. lui disais-je continuant de la provoquer, de sourire parce que plus elle était en colère ocntre moi plus elle devenait excitante et sexy mais ça j"y pouvais rien. Elle m'en donnait une, une gifle mémorable qui me fit reculer de quelques petits pas, je me tenais la joue, arrêtant de sourire pour plutôt devenir surpris par ce qu'elle vient de faire, il ne fallait pas que je la cherche, je la regardais Je te cherche pas Zippora, pas du tout, c'est tout qui vient m'agresser prétextant que j'ai couché avec je ne sais combien de filles. Qui te dit que je n'ai justement rien fait, étant trop mal, trop perturbé ? j'arrêtais les provocations, les taquineries méchantes, je parlais sérieusement, je n'avais rien fais durant le Spring Break, mentalement j'étais toujours aussi mal au point, trop mal pour prendre sur moi et coucher avec je ne sais qui pour profiter du séjour, non pour une fois durant le Spring Break je n'ai couché avec personne. J'ai rien fais à Punta Cana, rien du tout. à elle de me croire... ou pas.

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(Invité)

La gifle avait sûrement était de trop. Mais t'avais pas pu te retenir. T'étais déjà arrivée passablement énervée et il en avait rajouter en te taquinant encore et encore. Alors quelque part, il l'avait bien mérité. Parce que s'il n'avait pas tentée de te faire sortir de tes gonds comme il venait de le faire, tu aurais simplement crier. Tu te mordais la lèvre inférieure continuant à le toiser du regard et attendant qu'il dise quelque chose. Je te cherche pas Zippora, pas du tout, c'est tout qui vient m'agresser prétextant que j'ai couché avec je ne sais combien de filles. Qui te dit que je n'ai justement rien fait, étant trop mal, trop perturbé ? WHUT ? Il était sérieux là ? C'était sûrement le mec qui se tapait le plus de fille au monde. Il ne pensait qu'à ça, tout le temps. Essayait-il vraiment de te faire croire qu'il n'avait rien fait pendant le spring break alors que c'était très certainement le moment le plus propice pour se taper n'importe qui ? Fallait peut être pas te prendre pour une conne. Mais visiblement, t'a gifle avait fait son effet puisqu'il avait légèrement perdu ce petit air supérieur qui t'avais mis hors de toi. « Est-ce qu'un jour tu pourrais arrêter de te foutre de ma gueule ? » J'ai rien fais à Punta Cana, rien du tout. L'pire ? C'est qu'il avait terriblement sincère en disant ça du coup, tu comprenais plus vraiment. Le croire ou pas ? Tel était la question. « Pourquoi t'as pas directement commencé par ça au lieu de m'énerver encore plus comme tu viens de le faire ? »

(Invité)

Zippad † i wanna kill you.

Elle venait de m'en foutre une, je crois que je l'ai trop pousser à bout, que j'ai surement été trop loin dans mes propos mas à croire que je l'ai mérité, je descend de mes grands chevaux et je remet les pieds sur terre. Je pose tout de même ma main sur ma joue quelques instants, je l'ai quand même sentis passé et me voilà à lui dire que je n'ai rien fais durant le Spring Break, même si c'est le moment id"al pour s'envoyer en l'air tout ce que je peux trouver, cette année, rien ne s'est passé, et elle ne semble pas me croire Je me fou pas de toi. avouais-je continuant de lui dire que je n'avais rien fais et je vois son regard changé, un regard colérique et haineux transformé en un regard incompréhensif et douteux, elle me croit qu'à moitié, en même temps normal, je suis le queutard d'Harvard, difficile de me croire quand je dis que je n'ai couché avec personne à Punta Cana, pourtant elle doit me croire, pour une fois j'ai rien fais, j'étais trop perturbé mentalement. Parce que t'es grave sexy et excitante qund tu deviens toute rouge. je riais légèrement, j'étais tout seul comme un con mais je m'en foutais.

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(Invité)

Ouais c'était pas logique et là il te laissait perplexe. Déjà parce que tu savais pas vraiment si tu devais le croire ou pas et ensuite parce que s'il avait directement dit qu'il ne s'était rien passé ben, tu lui aurais peut être pas collée une gifle. Ouais peut être. Tu fronçais les sourcils en total incompréhension. Genre Konrad qui faisait absolument rien pendant le spring break. C'était la blague de l'année non ? Ouais, t'aurais du te montrer contente vu que tu venais quand même de lui taper un scandale mais non. Tu comprenais juste pas là. Je me fou pas de toi. Et étrangement, il avait vraiment l'air sérieux. Toi, tu restais juste plantée là pensant vraiment qu'il allait finir par dire que c'était une blague et qu'il s'en était tapé des centaines mais non.. Il disait rien. Ok. Elle était où la caméra ? Y devait forcément en avoir une. C'était juste pas possible quoi. Parce que t'es grave sexy et excitante qund tu deviens toute rouge. Ahem. Là, t'étais carrément plus énervée. T'façon, tu l'étais jamais quand on te faisais des compliments même si le fait qu'il se mette à rire juste après était quelque peu dérangeant. Du coup, tu t'approchais de nouveau de lui mais plus du tout dans l'optique de lui casser la figure. T'es élent meurtriés était finalement passé. « Explique moi pourquoi le grand Konrad ne sait tapé personne ? »

(Invité)

Zippad † i wanna kill you.

Je savais que pour elle c'était faux, illogique, insensé et pourtant je disais vrai. Oui Punta Cana, le Spring Break, endroit et moment idéal pour s'envoyer tout ce qui bouge, j'aurais pu, c'est certain mais je n'avais pas l'envie, j'étais bien trop déprimer à ce moment pour faire quoique ce soit avec je ne sais qu'elle fille j ene sais où. Elle avait vraiment du mal à me croire, elle s'était légèrement calmer, dans son regard s'était l'incompréhension et le doute et j'ai beau rire à ma remarque comme quoi je la trouve plus excitante et sexy en colère, c'est de la taquinerie méchante mais elle doit me croire, aucune fille n'est passé sous mes draps. Elle se rapprocha de nouveau mais ses mains restaient tranquille, elle me demandait juste pourquoi je n'ai couché avec aucune fille, je la regardais Parce que je ne me suis pas remis de ma dépression d'y il ya deux mois et que quelque part dans ma tête, mes idées ne sont toujours pas claires même avec le Spring Break et que pour une fois j'ai passé le séjour à réfléchir. je m'éloignais d'elle pour me rendre à une des fenêtres de mon salon et fumer une clope.

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