La solitude n'est pas fait pour tout le monde || ft. Mary-Lynn

❝Quand vous aimez une personne comme je l'aime, cette personne fait partie de vous. C'est comme si vous étiez attaché par cette corde invisible, et peu importe si vous êtes loin, vous pouvez toujours la sentir.❞

feat kaleb & mary-lynn ✖ Mary-Lynn venait alors de penser que le jeune homme était encore puceau pour la simple et unique raison, il n’avait pas de préservatif. Fallait avouer que ce n’était pas un élément relativement suffisant pour émettre une telle idée, mais ce fut néanmoins la seule chose qui lui ait traversée l’esprit le temps d’un instant. A chacun sa révélation en somme. Si il était amené à validé sa théorie, la jeune femme serait dans l’obligation de dévoiler le fait qu’elle avait un enfant. Enfin, rien ne l’obligeait, seulement chez la demoiselle le mot d’ordre était donnant, donnant et puis, précédent, elle c’était limite vendue bêtement. Qu’importe, instantanément, Kaleb lui adressa un regard carrément froid, presque déstabilisant pour la blondinette avant d’apprendre une chose qui finalement lui coupera le souffle. Kaleb – « Je viens de perdre ma femme. ». Lui avoua-t-il tout en se détachant de la jeune femme, qui arborait un visage neutre, ne souhaitant dégager aucune émotion afin d’éviter la moindre gaffe. Celle-ci prit quelque instant pour réfléchir de manière à trouver ses mots qui seraient pour la première fois, appropriés. Mary-Lynn – « Navrée, mais nous avons tous nos problème, moi-même j’en ai … J’ai un petit garçon. A l’époque et encore maintenant, je n’avais pas souhaitée le reconnaitre comme tel, alors ma mère l’avait d’une certaine manière adoptée comme son fils. ». Lui avoua-t-elle à son tour, baissant le regard au sol. Puis cet homme vint à s’en prendre à lui-même. Kaleb – « Putain à peine un mois. Je suis qu'un salaud. ». S’exprima-t-il visiblement déçu de son comportement, alors qu’il partit s’installer sur le canapé telle une loque humaine. Mary-Lynn, sans gêne attrapa la chemise de Kaleb qu’elle enfila de manière à se couvrir, elle n’était pas vêtue de manière appropriée pour aborder un tel sujet. Elle le rejoignit. Mary-Lynn – « Tu n’es pas un salaud, faire son deuil ne signifie pas être un salaud. ». Lâcha-t-elle avant de reprendre. « Tu n’as pas à t’en vouloir. ». Concluait-elle, avant de déposer sa main sur celle du jeune femme de façon à lui apporter du réconfort.