La solitude n'est pas fait pour tout le monde || ft. Mary-Lynn

Mary-Lynn & Kaleb

Ce n'était pas tant du jeu, je ne me jugeais pas du tout comme étant joueur, mais apparemment la blonde semblait de l'avis contraire. Peu importait, le principal c'était qu'elle ne prenne plus la mouche à ce que je disais et qu'elle me suive hors de la salle. Pourquoi j'en avais tant envie ? Sûrement parce que j'en avais marre de ma solitude très certainement et qu'elle m'intriguait à pouvoir aimer deux genres si différents. J'allais peut-être en avoir le coeur net si elle me racontait des bobards ou non. N'empêche qu'elle en tenait une sacrée couche et qu'elle n'avait ni peur du ridicule ni de ce qu'on pouvait penser d'elle, parce que sa sortie était grandiose. Je ne savais pas si c'était un compliment ou non de ma part. J'avais simplement secoué la tête, l'air légèrement désespéré et dépassé pour finalement sortir de la salle et attendre la demoiselle, qui n'attendit pas quatre saisons avant de venir m'embrasser. Au moins elle n'avait pas menti, mais un baisé ne signifiait pas pour autant son attirance pour les deux sexes. Je n'attendis pas qu'elle se recule pour passer ma main au creux de ses reins pour avoir son corps et sa chaleur contre le mien, pour lui répondre Ça ne me prouve absolument rien. Disais-je simplement, non sans arrière pensées.

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❝Quand vous aimez une personne comme je l'aime, cette personne fait partie de vous. C'est comme si vous étiez attaché par cette corde invisible, et peu importe si vous êtes loin, vous pouvez toujours la sentir.❞
feat kaleb & mary-lynn ✖ En quittant la salle de cinéma, ce qui lui sert de cerveau devint comme un imperceptible rétroprojecteur transcrivant toutes ses émotions, tous les scénarios possibles et inamaginables que pouvaient prendre comme tournure cette situation. Les images défilaient à travers ses yeux, son cœur s’emballait quand celle-ci c’était résignée à l’embrasser pour lui prouver qu’il avait tord, mais pas seulement. En effet, Mary-Lynn éprouvait une réelle sensation d’attirance comme deux aimants entres deux qui s’attirent l’un à l’autre. Souhaitait-elle tourner définitivement la page, pas forcément, mais combler cette innombrable vide, oui. Kaleb – « Ça ne me prouve absolument rien. ». Il n’avait pas totalement tord, mais en réfléchissant bien, une lesbienne qui se respecte, éprouverait une aversion pour le sexe masculin et ainsi n’aurait probablement pas embrassé un parfait inconnu. Notamment un homme ! Celui-ci, en dépit de lui-même, attirait inévitablement la jeune femme dans les émailles de son filet, comme un poisson qui mord bêtement à l’hameçon. Cet homme était mystérieux comme si d’une certaine manière il portait le poids du monde sur ses frêles épaules, prêt à flancher à tout instant. De plus, de part sa carrure, il ne la laissait pas insensible. Mary-Lynn – « Marions nous alors ?! … Je plaisante, aiguille moi alors et ne t’en fais pas je te suivrai ! ». Ajouta-t-elle d’un ton enjôleur tout en passant sa main derrière le dos du jeune homme avant de la glisser tout le long de sa musculature.

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Mary-Lynn & Kaleb

Faut bien avouer que je n'avais pas beaucoup fréquenter de femmes dans ma vie, déjà que je suis du genre solitaire et que les seules femmes que j'ai connu se résume à deux, je ne pouvais pas connaître beaucoup de lesbiennes en soit, à part dans les films et les livres à la rigueur. Hors je m'étais imaginé qu'un simple baisé ne pourrait pas suffire, mais peut-être que si, j'en sais trop rien, j'avais juste sorti ça pour voir si elle voulait aller plus loin avec moi ou non, que je ne perde pas mon temps inutilement. Hors, quand elle me fit savoir qu'on pouvait se marier pour me le prouver, je me suis senti me faire retourner comme j'en ai horreur - je me suis mis à souffrir ouais c'est ça - et heureusement qu'elle a continué parce que je me suis senti me décomposer sur place, sans pour autant la lâcher. Elle me fit savoir que je pouvais mener la danse, et ça, faut pas me le dire deux fois, parce qu'en tant que bon lieutenant de l'armée de l'air, c'est un peu mon taf. Parfait. Lui avais-je simplement répondu, et me donner la peine de lui répondre un mot si simple était en soi un exploit. Comme quoi, ça me faisait du bien finalement de la compagnie féminine, même si au bout de un mois, c'était vite tourner la page ... Je vais pas commencer à me juger sérieux, j'en ai besoin c'est tout. Je nous dirigeais donc vers ma voiture pour finalement nous rendre dans ma petite demeure de petit riche où ma fille ne dormait pas ce soir, encore heureux.

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❝Quand vous aimez une personne comme je l'aime, cette personne fait partie de vous. C'est comme si vous étiez attaché par cette corde invisible, et peu importe si vous êtes loin, vous pouvez toujours la sentir.❞
feat kaleb & mary-lynn ✖ Mary-Lynn trouvait cette situation relativement séduisante et aventureuse, elle allait s’offrir du bon temps avec une personne dont elle ne connaissait pas le prénom. Tout naturellement, la jeune femme rentrait dans un jeu de séduction avec le jeune homme, le laissant mener la danse. Elle était avant tout une femme et appréciait que l’homme prenne les choses en mains, mine rien, elle aimait tout ce qui était vintage. Kaleb – « Parfait. ». Ajouta-t-il de manière simple sans mièvrerie avant de l’accompagner jusqu’à son véhicule en direction de son domicile. Cette soirée qui était censée être une soirée en solitaire, pris une toute autre tournure, se transformant presque en rencart. Ouais, le temps d’une soirée cette dernière redevenait une adolescente. D’ailleurs, la protagoniste se rappelait de son premier rendez-vous comme si cela datait d’hier. C’était un vendredi où ce soir-là elle avait invitée Anna-Jean chez elle pour une soirée pyjama à l’américaine. Vous connaissez la suite : bisous et câlin. Cependant, cette scène sera à jamais gravée en elle. Un pur moment de romantisme et de désire. Et pour être honnête, celle-ci également risquerait de marquer ses esprits d’une pierre blanche. Mary-Lynn – « Magnifique demeure Monsieur l’inconnu ! ». Rétorqua-t-elle en pénétrant dans la maison de ce dernier à l’allure démesurée. Elle représentait pratiquement quatre, voire cinq fois la superficie de son appartement. De plus, celle-ci ne manquait pas l’occasion de faire savoir qu’elle désirait tout de même connaître son prénom. Mary-Lynn – « On a oubliés les formalités, je m’appelle Mary-Lynn ! ». Signala-t-elle tout en lui adressant large sourire narquois. Mary-Lynn – « Et maintenant, c’est quoi le programme ? ». Conclu-t-elle de manière amusée, comme si elle ne connaissait pas la suite du programme.

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Mary-Lynn & Kaleb

Avec le caractère que j'ai toujours eu, je me doutais bien que je ne devais pas totalement me planter parce qu'elle me suivit jusqu'à chez moi, mais au fond de moi j'étais totalement paumé. Je ne savais plus comment faire, c'est con, mais j'avais l'impression de tout faire de travers, d'aller bien trop vite, de me laisser prendre à un jeu auquel je pourrais facilement me brûler, mais qui est terriblement tentant. Alors je ne me retiens pas, au contraire. On finit donc par arriver chez moi, et le temps de poser ma veste, mes clés, elle me fit remarquer que j'avais une belle demeure, et en même temps qu'elle, je me rendis compte qu'on ne s'était même pas présenté. Je la laissais le faire en premier Kaleb. Répondis-je simplement. Pas de chichis et de mots en trop chez moi. Ni même de ressentis d'ailleurs. A quoi bon, j'ai horreur de parler de moi de toute façon. Elle finit par me demander ce qu'était la suite des évènements et bizarrement je ne me sentais plus du tout aussi sûr de moi pour le coup. Il me fallait un verre et d'urgence. Je t'offre un verre ? J'ai des bières, du whisky et du vin. Je me dirigeais donc vers ma cuisine et commença à nous servir des verres.

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❝Quand vous aimez une personne comme je l'aime, cette personne fait partie de vous. C'est comme si vous étiez attaché par cette corde invisible, et peu importe si vous êtes loin, vous pouvez toujours la sentir.❞
feat kaleb & mary-lynn ✖ Mary-Lynn était du genre fonceuse, peu importe si elle se prenait la tête dans le guidon, elle agissait avant de réfléchir. Et d’après ce qu’elle constatait, Kaleb, suivait le même chemin que la jeune femme, il passait clairement à la vitesse supérieur. De toute manière la protagoniste considérait les hommes comme de belles voitures possédant de nombreux chevaux sous le capot, ainsi elle appréciait passer à la vitesse supérieure dans le but de découvrir des sensations fortes. Ouais, en quelque sorte, la jeune femme ne jouait plus au jeu du chat et de la souris, elle préférait y aller franco en assouvissant ses besoins avec le premier inconnu. Le temps des Bisounours était finalement révolu. Les deux jeunes gens se retrouvaient dans le salon, la marche arrière n’était plus envisageable, coûte que coûte, elle irait au bout de ses intentions. Néanmoins, le jeune homme visiblement pommé, trouvait une échappatoire à la situation. Kaleb – « Je t'offre un verre ? J'ai des bières, du whisky et du vin. ». Et voilà, l’homme avenant avait soudainement perdu la raison, très certainement déstabilisé par la situation plus qu’ambigüe. Mary-Lynn – « Un verre de blanc. ». Rétorqua-t-elle prise légèrement au dépourvue avant d’inspecter les lieux pendant l’absence de Kaleb qui c’était retiré dans la cuisine. Elle tomba sur un portrait du bel homme avec une femme à ses côtés, celle-ci acquiesça subtilement la tête, pensant qu’il était marié et notamment entrain de commettre un adultère. Quand celui-ci approcha avec les verres, Mary-Lynn s’avança à sa hauteurs, lui ôtant délibérément les boissons de ses mains, avant de passer l’une de ses mains derrière la nuque de ce dernier et de lui adresser un langoureux baisé. Mary-Lynn – « On se dégonfle ? Quelque chose à se reprocher ? ». Lança-t-elle d’un ton suspicieux.

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Mary-Lynn & Kaleb

Visiblement ce n'était pas ce dont elle s'attendait quand je lui proposais un verre. Normal, moi non plus quand je l'avais emmené ici, mais un léger stress m'avait envahi et j'avais besoin de ce putain de verre pour me sentir déjà un peu mieux. Sauf que lorsque je suis revenu dans le salon, voilà qu'elle m'ôta les verres des mains pour venir s'accrocher à moi et m'embrasser plus que langoureusement, chose qui me redonna les idées claires si on pouvait dire. Ou plutôt qui me les bloquait de nouveau. Je répondais pareillement à son baisé passant ma main dans son dos pour la rapprocher de mon corps, quand elle brisa le baisé pour me demander en quelque sorte pourquoi je ne lui sautais pas dessus. Je la regardais un instant dans les yeux et lui répondis Cela fait juste longtemps que je n'ai pas fait ça. Ce que je pouvais être pas explicite. Mais je n'arrivais pas à m'exprimer, à raconter ma vie de merde, je préférais largement la garder pour moi. Et puis ça casserait tout, et j'avais clairement envie de la demoiselle. J'attrapais tout de même le verre de scotch que je m'étais fait le but cul sec avant d'attraper la jeune femme par les jambes et de les faire passer autour de ma taille C'est bon, les choses sérieuses commencent. Et je la plaquais donc contre le mur le plus proche de mon salon pour me coller à elle et l'embrasser langoureusement de nouveau.

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❝Quand vous aimez une personne comme je l'aime, cette personne fait partie de vous. C'est comme si vous étiez attaché par cette corde invisible, et peu importe si vous êtes loin, vous pouvez toujours la sentir.❞
feat kaleb & mary-lynn ✖ Mary-Lynn voulait voir un homme en Kaleb, un homme qui savait porter ses parties génitales. Le temps d’un instant celle-ci pensait qu’il allait se débiner sous la pression. Néanmoins, la protagoniste décida de prendre le taureau par les cornes et de mener ainsi la danse. Lorsque celui-ci c’était ramené dans le salon, la jeune femme avait saisit l’occasion de lui montrer clairement ce qu’elle attendait de cet homme, une nuit de folie. Visiblement, il partageait également ses envies, puisqu’il répondait positivement au baisé de cette dernière qui ne cessait pas de le séduire. Kaleb – « Cela fait juste longtemps que je n'ai pas fait ça. ». Lui expliqua-t-il d’une manière brève, au fil de la conversion, Mary-Lynn avait bel et bien compris que c’était le genre d’homme qui ne s’enquiquinait pas des longues phrases. Mary-Lynn -- « C’est comme le vélo, ça ne s’oubli pas ! ». Ajouta-t-elle d’un ton enjôleur, avant de poser ses mains sur le torse de ce dernier puis de les laisser glisser d’une manière sensuelle. La situation était relativement marrante, un homme qui ne savait pas s’y prendre, c’était devenue rare de nos jours. Kaleb – « C'est bon, les choses sérieuses commencent. ». Clôtura-t-il avant de la plaquer sauvagement contre le mur tout en l’embrassant langoureusement alors que celle-ci s’amusa à lui mordiller la lèvre inférieure. Elle voulait ajouter une phrase qui tue, mais elle préférait savourer le moment présent.

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Mary-Lynn & Kaleb

Oui c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas, j'en suis persuadé. Ce n'était pas en soit le vrai problème je crois. C'est que j'ai jamais trompé ma femme, je n'ai jamais été de ce genre d'homme à avoir besoin de trente six mille femme dans sa vie, une seule me suffit amplement. Mais c'est devenu différent. J'ai besoin de me changer les idées, de changer, de tester de nouvelles choses et le plaisir de la chair en fait parti. Peut-être que ça me plaira, peut-être que non, peut-être suis-je fait seulement pour qu'une seule femme. En attendant, je devais savoir et il n'y qu'en cédant à mon envie pour cette femme que je le saurais. C'est déjà ça, j'ai envie d'elle, c'est en soit une grande avancé pour moi qui ne suis attiré que par très peu de femmes. Elle s'était mis à mordiller ma lèvre inférieur et c'était bien la première fois qu'on me faisait ça, mais ce n'était clairement pas désagréable. Je remontais petit à petit mais sûrement mes mains en haut de ses cuisses, la caressant, pour finalement maintenir la pression sur ses jambes et l'emmener jusqu'à un de mes meubles pour la faire s'asseoir dessus alors qu'on se bouffait toujours autant les lèvres. Je commençais alors à la dévêtir, lui retirant d'abord son blazer pour finalement remonter mes mains pour les faire passer sous son bustier et le lui retirer, dévoilant déjà un peu mieux son beau corps.

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❝Quand vous aimez une personne comme je l'aime, cette personne fait partie de vous. C'est comme si vous étiez attaché par cette corde invisible, et peu importe si vous êtes loin, vous pouvez toujours la sentir.❞
feat kaleb & mary-lynn ✖ Mary-Lynn, une demoiselle à hommes et femmes, qui assouvissait ses envies avec n’importe qui du moment où cette personne était réceptive et attirante. Il fallait avouer que Kaleb était ni plus ni moins un homme avec énormément de charme. Mystérieux à souhait comme elle les aimes et non un beau parleur qui se satisfait des mots, non, ce dernier agissait. La protagoniste comblait le vide en elle à travers d’éphémères relations qui le temps d’une nuit occupait ses esprits, la confrontant à un tout autre style de vie qui ne lui était guère propre auparavant. Oui, elle était sur le point de conclure avec le jeune homme, néanmoins, pour une fois, elle savait que cela n’allait pas être la dernière fois. Cet homme remontait lentement ses mains en hauts de ses cuisses et mine de rien, la jeune femme éprouvait une sensation légèrement bizarre. Une envie réelle et non fictive. En effet, d’habitude, elle ne ressentait pas une telle chose, car finalement, c’était devenue une routine comme une prostituée qui enchaîne ses conquêtes de manière professionnelle, sans une once de désire. Alors, Mary-Lynn, tigresse sur les bords et les bords sont larges, s’empara de la chemise de ce dernier entre ses mains, avant de littéralement la déboutonnée d’une traite. Posée sur un meuble comme on y dépose une figurine, celle-ci passa sa main dans les cheveux de Kaleb tout en continuer de savourer ses tendres lèvres. Peu à peu, la jeune femme se retrouvait découverte, vêtue partiellement. Tandis, qu’elle lui avait retirée la chemise, cette dernière vint déposer de langoureux baiser au creux du cou de ce dernier, avant de laisser glisser ses lèvres sur la parfaite musculature de Kaleb. La ceinture entre ses doigts, la protagoniste s’empressa de lui retirer et qui lui était plus aisée de baisser son jean à présent. Mary-Lynn -- « C’est bien la première fois que je demande ça, mais tu es sûre de vouloir continuer? » Lui demanda-t-elle, le souffle légèrement coupé sous le désir qui l’avait envahi.

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