Mon pelage n'est pas un nuage. Feat Chrissy

Jour 6

Heure : Dans l'après midi
Lieu : Sur une plage privée d'un homme rencontré pendant le summer Camp par Alicia
Contexte : Alicia à trouvé une plage privée ou se baigner en bikini, car elle ne veux montrer sa cicatrice à aucun de ses amis.
Participants : Chrissy

J'avais réussi à trouver un endroit tranquille où personnes pourraient me caser les pieds un endroit tranquille pour bronzer sans problèmes sans avoir la marque du short après 1 heures ou deux au soleil, je suis pas vraiment du style à entretenir un bronzage mais j'aimais faire bronzette de temps à autres, mais c'est vrai qu'avec cet marque s'était pas simple surtout si je voulais pas qu'on me pose de question mais qu'est ce qui t'es arrivée, t'as eu quoi? c'est quoi ça? Fuck les questions, je voulais juste être tranquille en bikini et quitte à devoir me cacher, même si c'est pas mon habitude. J'avais donc mon endroit parfait, un plage privée d'un mec que je connaissais pas, mais qui m'avait laissé passer, peut-être pour mater j'en sais rien, mais comme je le connaissais pas il me poserai pas de question. J'avais aussi profité de la l'eau, avant de m'installer sur la sable chaud j'en avais pas profité de cette façon depuis le Summer camp et s'était juste super agréable.

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J'avais prévue de passer l'après midi à ne rien faire, profitant seulement du soleil et surtout en toute solitude. L'alcool est moi, ça faisait deux et je ne me sentais plus capable de supporter le monde, le bruit et surtout les fêtes. Rien que certaines odeur me donnaient une forte envie de vomir et je luttais de toute mes forces pour ne pas rendre le peu de chose que j'avais avalée dans la journée. Je traversais discrètement le hall de l'hôtel, bien décidée à me trouver un havre de paix jusqu'à ce que.. Alicia. Sur le moment, j'en revenais pas, j'y croyais pas. Parce que j'avais l'impression que cela faisait des lustres que je ne l'avais pas vu et je restais hésitante pendant les premières secondes avant de me décider à la suivre. J'avais besoin d'explication. Il fallait que je sache. Etait-ce moi qu'elle évitait de la sorte ? Est-ce que j'avais fais quelque chose ? Quelques minutes plus tard, on débarquait sur une plage privée et j'attendais quelques temps qu'elle s'installe tranquillement avant de venir m'asseoir à côté d'elle.

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A vrai dire j'étais dans mon monde, un autre malade mentale aurai pus me suivre que je m'en serai pas aperçut, à cause de l'envie d'être seule, à cause d'une envie de solitude, que j'avais pas eu depuis un moment, mais pas cette solitude qui m'avait fait perdre vingt kilos plutôt cette solitude que tu as besoin de temps en temps pour te ressourcer et être bien avec toi même. Je passais de super vacances ici avec mes amis, mais j'avais besoin d'un peu de temps pour moi qui pourrai me le reprocher personne enfin j'espère pas. Après un tour dans l'eau. Je rejoignais ma serviette et là de suite mon sourire se stoppa. Putain, on peut pas être tranquille en fait. " Chris qu'est ce que tu fais là mon chou?" J’appréciais cette fille du plus profond de mon coeurs et pas parce que on avait couché ensemble, nan elle me rappelait moi il y a encore quelques mois. J'aurai fait la même chose peut être!

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Mon chou. C'était fou de voir cette capacité qu'elle avait à faire comme si rien ne c'était passé. Comme si elle n'avait pas disparue comme un moment. Comme si elle m'avait pas laissée seule à m'inquiéter. Alors j'avais beau être la fille positive et gentille, ça m'énervait. Pourtant, je ne me sentais pas capable de lever la voix contre elle. En fait, c'était peut être le genre de truc que j'étais pas capable de faire même si intérieurement je bouillonnais. Alicia, c'était le genre de fille que j'avais rencontrée des mes débuts à Harvard. Le genre de fille que j'appréciais bien plus que de normal. Tellement que j'avais fini à plusieurs reprise dans son lit alors qu'aucun garçon n'avait encore eu cette occasion. Et après tout ce temps, elle se trouvait face à moi faisant comme si rien n'était arrivée. Je pense que tu me dois des explications Ali. Bien sûr qu'elle m'en devait. Je voulais comprendre et savoir pourquoi. Et elle pourrait pas esquiver la conversation parce que j'allais pas la laisser faire. Quitte à rester là pendant des jours et des jours elle allait devoir cracher le morceau. Mes yeux vinrent finalement se poser sur elle l'espace de quelques instants et je bloquais quelque peu sur sa cuisse. Je finis par poser ma main doucement dessus l'air légèrement inquiète. C'est quoi ça ?

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Faire comme si de rien n'étais mais s'était impossible je l'avais laissé tombée, comme beaucoup d'autre de mes amis d'avant, parce qu'ils me lâcherais jamais s'ils savaient quoi que ce soit, j'ai beau les aimer les apprécier mais ils étaient et seraient comme un poids à la même et j'avais préféré leur tourner le dos avec le temps qu'aussi subitement que Batiste et tant d'autre l'avaient fait avec moi. Ne pas prévenir qu'ils disparaissaient. Peut-être que la seule différences entre moi et tout ces amis qui sont parti sans rien dire, c'est que moi je suis resté, pas dans un espoirs ou quoi, de rester amis avec certain mais tout simplement parce que j'avais encore des choses à faire, des choses mauvaise comme certains semble le dire. Oui c'est mal de dealer, mais au pire l'argent je le garde pas, enfin juste une petite partie alors que le reste va aux assos de la Quincy, c'est peut être du blanchiment d'argent, mais c'est pour le bien d'un grand nombre, je savais que je risquais gros. M'enfin, elle voulait des explications, j'allais pas lui balancer comme ça. "Sur quoi? Le fait qu'on couche plus ensemble? Ca peut s'arranger si tu veux." Je lui fis un petit sourire un peu charmeur en m'approchant d'elle, sauf que ça me desservis rapidement. Elle avait tout vus, cette ignoble balafre, je grimaçais un instant. En m’asseyant finalement à côté. "C'est rien, blessure de guerre." Ironisais-je.

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Cela m'intriguait et me faisait peur en même temps. Parce que j'avais la désagréable impression qui lui était arrivée quelque chose. Je le sentais au fond de moi. Et je savais pertinemment qu'elle ne me dirait pas quoi. Qu'elle allait bâcler le sujet ou tenter de le faire dériver. Sauf que cette fois-ci, ça ne marcherait pas. Je ne la laisserais pas faire. Je savais que j'étais facilement manipulable, et que j'avais bien du mal à rester concentrée sur une seule chose mais, cette fois-ci, c'était différent. Et que ça lui plaise ou non, elle allait m'expliquer. Je secouais la tête face à ses avances. C'était trop facile. Et elle savait très bien que je ne parlais pas de ça même si je devais bien avouer que le soirées en sa compagnie me manquait. Tu sais très bien que ça n'a aucun rapport Ali. Blessure de guerre. Et mon cul ouais. Je détestais quand elle faisait ça. Je la laissais s'asseoir à côté de moi sans rien dire pendant quelques temps. Après tout, peut être que ça ne me regardait tout simplement pas. Mais, ma curiosité venait s'en mêler encore une fois. Je me tournais légèrement vers elle et plaçait mes mains sous son visage lui volant un baiser au passage. Et comment tu t'es fais cette blessure de guerre alors ?

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Je pouvais très bien bouder je savais le faire ça, mais ça servais à rien, et de la même façon que je me voyais en elle il y encire six mois, je savais à quoi je n'échapperai pas à un interrogatoire, mais je pouvais rien lui dire ça m'étais impossible de toute façon elle ne comprendrait pas, et puis j'avais pas envie de parler de ça de quoi que ce soit, je voulais juste être seule, profiter d'un bonne solitude quelques instant loin de la masse d'étudiants quitte à être sans mes amis. Assise là à côté d'elle je regardais la mer et ses vagues, s'étais aussi paisible que tourmenté, un peu comme moi en somme, pas étonnant que je me sentais bien dans l'eau. Puis sans que je m'y attende elle me déposa un baisé sur les lèvres, je comptais pas répliqué, dans tout les cas, un parce qu'on est peut être sur une plage privée mais le mec peut-être un pervers et puis même si j'avais fait l'aguicheuse juste quelques secondes plutôt je voulais pas, j'en avais pas envie. Mais sur le coup j'étais déstabilisée. "Qu'est ce que tu fais?" S'était ma réponse à sa question, à laquelle je n'avais pas envie de réponse. "C'est un chien qui m'a sauté dessus" Oui et qui te fais une balafre le long de la cuise bien sur.

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Je détestais vraiment le fait qu'elle me prenne pour une idiote. Et c'était exactement ce qu'elle était en train de faire en ce moment même. Je fronçais une nouvelle fois les sourcils surtout en voyant sa réaction suite à mon baiser. Cela la dérangeait tant que ça ? Parce que dans mes souvenirs c'était pas le genre de truc qui la repoussait, bien au contraire même vu le nombre de fois ou l'ont avais fini dans le même lit. Pourquoi tu mens ? C'était clair qu'elle mentait. Un chien qui avais fais ça ? N'importe quoi. J'étais peut être naïve mais pas à ce point là, pas au point de gober tout ce qu'elle pouvait dire. T'étais ou pendant tout ce temps ? Pourquoi t'as disparue comme ça ? Et pourquoi tu reviens l'air de rien ? Me fais pas croire que tout ça c'est la faute à un stupide chien. J'étais en train de m'énerver sans vraiment le vouloir et j'inspirais profondément pour pouvoir me calmer. Je perdais très rarement le contrôle et j'avais pas du tout envie que ça arrive maintenant. Dis moi ce qui c'est passée et me sors pas une excuse bidon s'il te plait. Je prenais un air soucieux parce que je me souciais vraiment de ce qui avait pu lui arriver, je voulais savoir. Elle avait l'air.. Différente. Un peu étrange en fait, et je pouvais tellement sentir que quelque chose n'allait pas. Et ça ne me plaisait pas, ça m'intriguait. J'étais toujours soucieuse des autres encore plus quand j'appréciais les gens et là, c'était le cas.

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J'étais pris eau piège, dans mes mensonges, t'façon il fallait bien que ça ressorte, mais j'avais pas envie d'en parler. "Chrissy j'ai pas envie d'en parler, à personne, lâche l'affaire!" Dis je sèchement en me relevant, bien sur que habituellement j'aurai répondu favorable à son baisé mais là s'était pour avoir des information que je n'avais aucunement envie de lui donner. Mais au finale elle était comme moi, à trop s'inquiéter pour les autres. Je savais ce que s'était et je connaissais les moyens de forcer quelqu'un à avouer, surtout quand ils fuyaient comme je faisais. "Arrête Chrissy! Tout de suite! Arrête de d'inquiéter pour les autres de cette façon, ça mènera à rien de bien, ça te bouffera plutôt qu'autre chose." J'aurai pus lui crier dessus que ça serai revenue au même, mon cœur commençait à s'emballer et j'avais du mal à respirer et la chaleur n'aidait pas, j'aurai pus faire un crise d’angoisse que ça reviendrait au même, j'avais il me fallait un truc pour me calmer, mais là même un joint ne pourrai me calmer suffisamment. J'avais besoin de cogner, mais jamais sur les gens et c'est pas avec le sable ça allait m'aider à évacuer. Mes yeux se posait sur mon poing qui portait encore les maigre cicatrice de décembre et du mur de la Quincy. Je serrai les dents contre ma langue, j'avais aucun moyen de me calmer.

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Je ne m'étais pas du tout attendu à ce qu'elle réagisse comme ça. Parce qu'Alicia, ça avait toujours été le genre de personne de bonne humeur. A faire n'importe quoi, à rire pour un rien. Et là, elle m'envoyait tout bonnement chier. Non c'était pas elle ça. Et elle avait beau me parler sèchement, elle avait beau se lever, ça changeait pas le fait que je me posais des tonnes de question et que j'étais pas du genre à abandonner. Du coup, je me redressais aussi sans trop savoir quoi dire avant qu'elle ne reprenne la parole. Pourquoi disait-elle ça ? Je ne pouvais arrêter de me faire du souci pour les autres. J'étais comme ça, c'était dans ma nature. Et c'était pas parce qu'elle s'énervait que ça allait changer quelque chose. J'étais prête à l'harceler pendant des heures et des heures s'il le fallait. Elle me connaissait d'ailleurs assez bien pour savoir que je n'allais pas lâcher l'affaire. « C'est mon problème ok ? Et je me soucie des autres si j'ai envie. » Si elle voulait jouer à celle qui s'énerverait plus que l'autre j'avais perdue d'avance. J'étais pas une guerrière moi, mais je m'en fichais. Elle pouvait bien me hurler dessus, ça ne changerait rien. Je la fixais quelques secondes sans rien dire remarquant juste qu'elle serrait les poings. Elle avait envie de me frapper ou quoi ? Et pourtant, au lieu de rester sur mes gardes j'avanças vers elle lui prenait la main essayant de faire en sorte qu'elle se détente un petit peu. « C'était si terrible que ça Aly ? »

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