PRUE & FEE ✱ Prete moi ton top à fleur, Prue, s'il te plait ? *n'oeil de mignon*

Holà, le spring break est là ! Enfin, je crois que j'avais pas attendu un truc depuis si longtemps. Le soleil est là dès l’atterrissage et je ne regrette aucunement d'avoir mis un petit short comme celui-ci avec mon top favori meme si je préfère celui de Prue. Mais elle a pas voulu me le preter mais je l'aurais pour ce soir, c'est certain ! Ouais, ouais, j'ai une ruse parce que j'ai emmené mon Dolce qu'elle adore ; PAN ! On se retrouve très vite dans le hall de l'hotel et je tire comme un dingue la main de ma Prudence d'amour ; on n'est deux grandes folles et voilà qu'on demande la chambre. On a la clé et on cours à travers les étages : Mamamamaiaaaaaaa Prue ouvre, ouvre vite ! J'y arrive pas ! J'suis tellement excité que je n'arrive plus à tourner une clé dans une porte.

Spring Break !!!!! Je me répétais cette litanie dans ma tête. Depuis ce matin, j’étais excité comme une puce à l’idée de faire la fête. J’avais attendu ce moment depuis le début de l’année. Finit les examens, finit les contrainte. Je pouvais enfin me lâcher et tout ça, loin de ce cher James. En parlant de lui, il fallait que j’explique la situation à ma meilleure amie, mais j’avais peur de ternir sa bonne humeur et je ne voulais pas qu’elle se mette en colère. Surtout que lorsqu’elle l’avait connu, c’était un jeune homme sympathique. Il m’avait bien fait comprendre que c’était à cause de moi qu’il était devenu ainsi. En clair, j’étais responsable du James psychopathe. Arrivé à l’accueil de l’hôtel, la réceptionniste nous donnait notre clé tout en nous regardant avec des gros yeux. Encore une qui avait la rage de se retrouver enfermé dans ce bâtiment. Fée me tirait par la main pour nous emmener à notre chambre. On dirait bien qu’elle était aussi excitée que moi. Mamamamaiaaaaaaa Prue ouvre, ouvre vite ! J'y arrive pas ! J’explosais de rire tout en ouvrant la porte à sa place. Une fois celle-ci vaincu, je rentrais à l’intérieur. Rapidement, je me débarassais de mes chaussures et me jetais sur le lit. Je commençais à sautiller comme une gamine tout en criant : « SPRING BREAK ! SPRING BREAK ! » Je pouvais enfin hurler ce que j’avais en tête depuis le début de notre voyage.

On courrait comme deux cinglés dans les couloirs tellement on n'était heureuse. Prue, elle, tenta de me venir en aide en ouvrant la porte que je galérais moi-meme en essyaant pourtant avec courage mais ma joie me faisait trembler et je riais trop là. Quand elle ouvrait la porte, elle fonçais ne se tournant meme pas pour me laisser entrer ce qui ne me dérangea meme pas et je courrais à sa suite la regardant tomber sur le lit après avoir balancé ses chaussures et moi, je courrais autour du lit découvrant la fabuleuse chambre. J'entrais dans la salle de bain et soupira de satisfaction en criant ; Une magnifique baignoire ... Mais déjà, je ressortais manquant de tomber en regardant Prue sauter sur le lit en criant qu'on était au spring break et je courrais vers la baie vitrée que je n'avais honnêtement pas vu sur un coté la pensant ouverte alors je me la prenais en pleine gueule. Je tombais sur le cul et toucha mon visage en souffrant un instant avant de relativiser et me tourner vers Prue en rigolant. Je me relevais et me jeter sur elle ; SPRING BREAK ! Je rigolais levant les jambes et les secouant tellement je riais. Je ne savais meme pas me contrôler là. Je tentais de respirer et je lui disais en changeant d'un coup de ton ; Si tu l'ouvres sur ce que je viens de faire avec cette vitre, je te tue ... Et je la chatouillais alors qu'elle se foutait déjà de moi.

On était totalement excité et cela était surement dû au cocktail que nous avions mis dans notre thermos. On n’avait pas arrêté de le boire durant toute la fin du trajet en avion. Bien sûr, on ne nous avait pas chopés vu que les gens pensaient que nous carburions au café. Alors que je sautillais sur place, Fée se prit de plein fouet la vitre et j’explosais de rire. Voulant me pencher vers elle, je fus surpris par a vigueur, alors qu’elle me projetait sur le lit. SPRING BREAK ! Nos jambes étaient emmêlés entre elles. Soudain, ma meilleure amie prit un ton plus sérieux : Si tu l'ouvres sur ce que je viens de faire avec cette vitre, je te tue ... Je me contentais de glousser en me mettant la main devant la bouche. Promit, j’essaierais de ne rien dire et je ne lâcherais aucun mot sur mon ex-fiancée. Du moins, je l’espérais, mais vu que j’étais complètement saoule. Surtout que faire du trampoline sur le lit n’avait rien arrangé. Je me liberais de ses jambes et montais sur elle avant de dire : « TU T’ES PRIS LA VITRE !! » Puis, je me relevais et descendais du lit pour mettre le boxon sur le sien.

Évidemment, mon adorable meilleure amie pour la vie ne pouvait pas se retenir de glousser et de se foutre de moi donc elle avait tenté de se contrôler en posant sa main sur ses lèvres mais je l'entendais encore. Je rigolais alors aussi en la chatouillant alors qu'elle s'enfuyait sur l'autre lit qui par élimination était le mien et je fis une mine effarée alors qu'elle se moquait en me rappelant que je venais de prendre une vitre dans la gueule. Je m'écriais : Mais c'est mon lit .... NOOON FAIS PAS ÇA ! Je me roulais presque sur son lit pour aggraver l'état de celui-ci bien amoché déjà par ces sauts périlleux précédents. Un peu moins atteinte qu'elle, j'abandonnais et la laissais ainsi en riant d'une manière bien débile. Je me levais donc et attrapais sa valise que je posais sur son lit pour commencer à fouiller dedans n'ayant pas vu toute sa préparation la vielle ; Alors qu'y a t il là dedans ? Je l'ouvrais en la regardant qui commençait à comprendre ce que j'entreprenais. Je pris dans une poche intérieur un string trop sexual et l'agita en l'air : REGARDEZ LA PETITE COCHONNE ... Je pouffais encore une fois de rire.

Mais c'est mon lit .... NOOON FAIS PAS ÇA ! Je sautillais joyeusement sur le sien, alors qu’elle se roulait dans le mien. Na mé dit donc ! « TROP TARD » J’essayais d’atteindre le plafond, lorsque je l’entendis baragouiné dans son coin : Alors qu'y a t il là dedans ? Elle venait de poser ma valise sur le lit et de fouiller dedans. Je m’en fichais, elle n’allait rien trouvé de compromettant. J’avais planqué mes strings. REGARDEZ LA PETITE COCHONNE ... Eh merde ! Elle brandissait ma petite culotte comme un trophé ou une groupie au concert de Justin Bieber. Je descendais en catastrophe, avant de me rétamer à moitié par terre. Je me relevais et essayais de reprendre mon string. « Rend moi ça ! » Voyant qu’elle ne voulait pas coopérer, je retournais vers son coin pour fouiller dans sa valise. « Hou la petite tenue sekse » disais-je en brandissant une nuisette fendu sur le côté et en soie. « T’as prévu de faire des cochouneries ! »

Ah la chieuse ! Oui, c'est surement trop pour ça que je l'adore parce que en plus, je suis aussi la meme pour ça et je le redeviens peu à peu au fil de ma guérison de mon viol mais elle me tue là et je ne peux cesser de rire alors que je brandis sa culotte, elle réagit enfin. « Rend moi ça ! » Elle était tombée en voulant descendre et je frappais de mes pieds sur le sol alors que j'étais assise sur son lit au dessus de la valise ouverte. Je me marrais tellement que je pouvais presque plus respirer. Elle repartait, abandonnant et je criais victoire fermant les yeux en sautillant cul sur le lit, rebondissant mais ce n'était sans penser à ma valise qui était ouverte ou la belle allait trouver un truc elle aussi ... Elle brandissait ma belle nuisette et cria presque ses revendications avant de me dire que j'allais faire des choses cochonnes. En fouillant dans la valise, je m’arrêtais nette à cette phrase, repensant à mon nouveau dépucelage avec Jackson, ouais, je voyais ça ainsi puisque pendant presque un an, j'avais rien fait à cause de mon viol et malgré notre folie actuel, je disais de le confier à mon amie pour pas qu'un jour elle m'en veuille et j'appuyais sur le fait qu'on se disait tout car avec ma discussion avec Dante, je soupçonnais qu'elle me cache des choses ; Au fait, je l'ai fais ... avec Jackson... j'ai réussi Prue ! Avais-je dit avec plus de sérieux, sourire aux lèvres, certes timide mais bien présent.

Imbibé d’alcool, je dansais en sautillant dans la chambre. En même temps, je faisais tournoyer sa nuisette. Je faisais un sacré boucan. J’espérais que nos voisins étaient tout aussi fêtard que nous, sinon ils allaient vouloir me tuer. Au fait, je l'ai fais ... avec Jackson... j'ai réussi Prue ! Les mots d’Ofélia m’arrêtèrent sur place. Elle avait quoi ?! Automatiquement, je me rapprochais d’elle. Je savais qu’elle n’était plus à l’aie avec le sexe, depuis son viole. Je rigolais en disant qu’elle allait faire des cochonneries, mais je ne savais pas si elle en était capable, après cette douloureuse épreuve. Un viole cassait une femme complètement. Pourtant, elle semblait retrouver confiance en elle dans les bras de Jackson. « Tu me fais pas marcher ? » L’alcool était à moitié redescendu. J’étais presque choqué de sa révélation. Non, en fait, je l’étais carrément. « Et ça va ? Je veux dire…. Tu te sens bien avec ça ? »

Je la regardais bizarrement en attendant une réaction de sa part mais vu son état, elle allait surement rire pourtant ma meilleure amie n'en fit rien et se dirigeant vers moi, elle prit un air choqué, redescendant d'un coup de sa planète. Pour ma part, je restais anxieuse, les traits tirés par le stresse d'une chose avouée dont on n'était gênée ... quoique. Elle me demanda alors si je la faisais marcher et j’acquiesçais négativement pour lui dire que non, je plaisantais pas puis je m'asseyais sur le lit alors qu'elle était juste en face de moi, que je pouvais sentir sa respiration et je levais les yeux vers elle pour répondre à sa seconde question lâchant tout, un soupir de soulagement et pleine de joie, je disais : Mais carrément que je me sens bien ma petite ! Je ... je veux dire ... l'épreuve fut dure je ne dis pas ... avais-je dit en grimaçant. Mais une fois que les flash sont passés, c'était tellement ... magique si tu savais ... tellement bon ! Je tenais ses mains pour la rassurer sur mes révélations, lui assurer que j'étais sincère, que je n'étais pas mal. Sachez que Prudence avait vécu beaucoup de mauvaises choses pendant que j'allais mal parce que ouais, elle avait été la meilleure de toutes les amis mais avait donc subi mon enfermement dans notre appartement, venant chaque jour frapper, me voyant me laisser crever de tout. Je l'admirais et je ne pourrais jamais la laisser rien que pour ça.

La révélation de Fée me laissait sur les fesses. Après tout ce qu’elle avait traversé, j’espérais que ça lui avait au moins plus. Mais carrément que je me sens bien ma petite ! Je ... je veux dire ... l'épreuve fut dure je ne dis pas ... Mais une fois que les flash sont passés, c'était tellement ... magique si tu savais ... tellement bon ! Le sexe et ses miracles ! J’étais vraiment contente pour elle. Elle avait réussis à passer au-dessus et à combattre son traumatisme. Je la prenais dans mes bras et la renversais sur lit. « J’ai l’impression d’avoir une fille qui a sa première fois » disais-je d’un ton émue et totalement mère poule. Je me souvenais des jours difficiles que nous avions vécus. Fée ne voulait plus sortir de sa chambre, mais cela ne m’avait pas empêché de tempêter à sa porte. Je reprenais mon sérieux. « Le sexe, y a rien de mieux pour se détendre ! » Chose complètement vrai ! En parlant e ça, j’avais tellement de chose à lui raconter. Elle savait que j’étais assez libre et Harvard n’avait fait qu’empirer les choses et à cause de cela, j’avais fait deux grosses conneries. « En parlant de ça, j’ai quelque chose à te dire.. » Je me décalais d’elle et m’allongeais entièrement sur le matelas. Je ne sais pas si c’était l’alcool qui me désinhibait, mais il fallait que je lui parle de ça.