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(+ Declan) did you say I'm your wife ?!

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« Mais si j’t’assure ma soeurette c’est la plus belleuh ! Tiens regarde… » Cameron sortit une photographie de Mallory et de lui un an plus tôt, sur la plage, avant de sourire d’un air satisfait. Cela faisait une bonne heure déjà qu’il bavassait avec Declan après sa petite « fugue », allant même jusqu’à lui avouer que leur père, le procureur le plus redouté d’Angleterre n’était autre que leur père adoptif. Leur véritable géniteur était bel et bien irlandais… Cammy savait par avance que Mallo lui en voudrait sûrement d’avoir confié une chose pareille à un « inconnu », mais il se sentait à l’aise en présence du jeune homme, et puis il ne lui avait pas jeté la pierre parce qu’il avait fugué… d’ailleurs, sa sœur venait d’être appelée par le bon soin de la gérante du bar, une O’Connor pure souche, et c’est quelques minutes plus tard que la jolie Eliot débarquait en tenue de jogging et en sueur, s’étant tapé un sprint jusqu’au bar pour récupérer son frère avant que sa mère ne lui fasse définitivement une crise cardiaque. « Cammy, tu veux bien sortir deux minutes ? » demanda Mallo en gaélique afin qu’il soit le seul à la comprendre, suivie de près par un homme du FBI au regard menaçant. Elle n’avait pas encore remarqué la présence de Declan, et ne s’exprima guère même lorsque son petit frère fut sorti de la pièce. « Une injonction, vraiment ? Merde Mallory, tu te rends compte comme cela m’a fait mal d’apprendre ça ? Mais il se trouve que je suis sur une enquête de trafic d’armes et que les priorités de FBI annulent ce genre de procédé juridique… tu vas donc avoir tout le loisir de me croiser souvent, ma belle. D’autant que toi, une princesse parmi les princesses, traîner avec ces voyous ! Il était temps que j’arrive avant que tu ne tombes définitivement trop bas pour que je puisse te ramasser… » « T’as toujours pas compris… toi et moi, c’est fini depuis deux ans ! Tu ne feras rien à mon club, tu n’as rien contre eux. Quant à toi, tu vas me faire le plaisir de dégager… et si tu menaces encore mon frère ou mon club… je t’égorge avec les dents. » Sauf que Mallo ne s’attendait pas à ce que le malade mental qu’elle avait tenté de fuir la pousse violemment et lui saisisse ensuite la mâchoire avec une telle violence qu’il lui fit mal. « C’est toi qui n’a pas compris, ma belle… tu es mienne, et il n’est pas question que j’abandonne. »
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« Ecoute le nain, je suis certain que ta sœur est bien gaulée mais j’ai ce qu’il faut à la maison pour la énième fois » soupirais-je amusé. Je me méfiais un peu du : elle est la plus belle. Cela se trouve, c’était une escalope de thon hachée saupoudré de choux Bruxelles. « Bien ce que je dis, j’ai tout ce qu’il faut à la maison » lâchais-je hilare quelques secondes d’après en reconnaissant le minois de la belle blonde qui s’affichait tout sourire en bikini sur la photo. « Et ta sœur, elle est casée ? » lui demandais-je curieux tandis qu’il m’avouait qu’elle était irlandaise. Je crus m’étouffer avec ma bière. J’en connaissais une qui allait avoir des choses à m’avouer à notre prochaine rencontre mais pour l’heure, j’étais trop crevé. « Je vais pioncer un petit peu alors continue de faire ce que tu fais et… on verra plus tard le nain » marmonnais-je en m’étirant. Le contrat de cette nuit avait été dur à choper mais j’y étais parvenu en bon professionnel seulement, j’étais crevé.

Je somnolais à moitié quand j’entendis la voix de ma belle rapidement suivi d’une voix plus masculine. Y avait une couille dans le potager ou je m’appelais plus O’Malley. « Qui que vous soyez, vous avez cinq secondes pour dégager votre cul de cet appartement car y a peut-être pas une injonction de mon cul mais vous risquez de vous prendre ma droite en pleine gueule » lâchais-je froidement du canapé avant de me redresser. Je toisais l’homme du regard avant de m’approcher du type. « Putain bébé, heureusement que tu m’as rencontré, tu as des goûts de merde en mec ! » ajoutais-je avant de laisser paraitre un léger rictus. « Il a compris le suicidaire ou il faut que je lui fasse un dessin ? »

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« Declan ?! » manqua de s’étouffer Mallory avec sa salive en entendant la voix de l’intéressé s’élever dans l’atmosphère, menaçant l’agent du FBI au passage. Il ne pouvait pas savoir à quel point elle était heureuse de le voir même si la raison de sa présence ici restait… légèrement nébuleuse pour le moment. « Mais qu’est-ce que tu fais là babe ? » demanda-t-elle par pur réflexe avant que son ex ne lui saisisse violemment le poignet, n’ayant manifestement pas écouté les précédentes paroles de l’irlandais. De toute manière, ce type était définitivement fou à lier, ce n’était pas un scoop et Mallo n’en n’était que plus désespérée. « Je ne sais pas quel genre de racaille vous êtes mais Mallory est à MOI. Alors si je pars, elle part aussi ! » « Lâche mon poignet espèce de connard tu m’fais mal !! » s’exclama Mallo en essayant de se dégager, en vain. Le problème c’est qu’elle risquait d’aggraver son cas si jamais elle répliquait.
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« Bah, j’étais en train de pioncer quand tu as débarqué avec l’autre suicidaire » râlais-je avant d’ajouter « Remarque, je n’aurais rien contre un petit câlin maintenant ». Le ton était badin mais mon regard était froid, signe que la colère couvait et celle-ci menaçait d’exploser si ce connard n’enlevait pas ses sales pattes d’elle. « Bon, tu es témoin bébé, j’ai tenté le dialogue, je l’ai pas frappé tout de suite.. Je suis en nette progression » me félicitais-je avant de tout simplement m’approcher de ce type, saisissant son poignet pour lui faire lâcher celui de Mallory. « J’ai horreur quand un connard ose prétendre que ma femme lui appartient… J’ai été sympa avec toi mais là, je ne peux pas mec ! » lui dis-je froidement avant de lui retourner le bras, lui faisant manger le mur au passage. « Que je suis maladroit ! » m’exclamais-je sur un ton faussement contrit avant de le ramener vers moi, faisant mine de remettre son col de chemise proprement pour mieux lui mettre un coup de tête qui, ne laissa guère son nez intact. « Vraiment désolé, je sais pas ce que j’ai ! » continuais-je avant de le pousser vers la porte qu’il se mangea puisque j’avais oublié de l’ouvrir. « Ah mince, je pensais qu’elle s’ouvrait toute seule ! » grimaçais-je avant de l’ouvrir pour mieux siffler dans le couloir. Aussitôt deux gars bien costaud arrivèrent. « Foutez moi ça dehors »
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« Je suis témoin ! » ironisa-t-elle avant qu’il ne lui coupe définitivement la chique en la désignant comme sa femme. Mallory écarquilla deux grands yeux surpris et en oublia totalement le fait que l’autre gars du FBI lui ait à moitié retourné le poignet… la douleur n’avait plus d’importance tant elle avait envie de sautiller de joie. Cela lui paraissait tellement irréel ! Mais bientôt, elle éclata de rire à plusieurs reprises face à son petit manège, qui dédramatisait grandement les crises d’angoisse qu’elle se tapait au sujet de son harceleur depuis le retour de ce dernier à Cambridge. « Quel maladroit tu fais ! » poursuivit-elle, à moitié hilare, massant tout de même son poignet légèrement douloureux. « Il se vengera sûrement sur moi, tu es au courant ? Mais limite là, tout de suite, j’ai presque envie de dire que je m’en fous. J’angoisserais plus tard. T’es au courant que tu as dit que j’étais ta femme ? »
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Oui j’étais pour le moins maladroit mais c’était ça où je lui plantais ma lame dans la gorge pour mieux l’égorger. J’étais en colère et prendre tout cela à la légère me permettait de garder mon calme et ne pas faire appel au tueur sanguinaire que j’étais, les trois quart du temps, surtout après un contrat. Je ne voulais pas montrer cette facette de ma personnalité à ma petite-amie. Son rire m’aida réellement à conserver une parcelle d’humanité mais le signe que je fis à mes deux hommes de main étaient clairs : lui faire passer toute envie de revenir ici. Le Chamrock était mon refuge, le lieu où je me sentais un peu comme à la maison. Hors de question qu’un connard dans son genre vienne menacer Mallory entre ses murs. « Qu’il essaie de se venger et il se retrouvera à la morgue » déclarais-je sans l’ombre d’une hésitation avant de m’approcher d’elle, saisissant son poignet avec délicatesse. « Ah bon, j’ai dit ça moi ? T’es une femme, tu m’appartiens, je crois que ça fait de toi ma femme par déduction non ? » tentais-je de biaiser sans grande conviction. Je m’étais foutu dans la merde tout seul. « T’es irlandaise »
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« Tu ne le connais pas… » fit-elle remarquer car chercher à lui faire bouffer les pissenlits par la racine n’était sûrement pas l’idée du siècle alors qu’il était, semble-t-il, en pleine investigation sur le trafic d’armes dans lequel le club de Mallory baignait très allègrement. Il trouverait toujours un moyen de lui nuire, c’était une certitude… « J’y crois pas, tu vas faire style que tu ne l’as pas dit ? Ah non, que ça n’avait pas d’importance, que je suis conne ! »| fit-elle d’un ton proprement ironique en levant les yeux au ciel avant de redevenir diablement sérieuse à sa dernière phrase. Comment diable l’avait-il appris ? Cameron. Il n’y avait que lui pour laisser son innocence parler à sa place. « Je ne sais pas, j’ai subitement perdu la mémoire… je suppose que je dois remercier mon petit frère pour t’avoir mis des idées pareilles dans la tête ? »
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« Je n’ai pas besoin de le connaître pour savoir qu’il ne t’approchera pas tant que je serais en vie. Je ne plaisante pas Mallory… Tu es ici sous ma protection et crois-moi, le premier qui osera te chercher des crosses entre ces murs ne restera pas vivant très longtemps » déclarais-je mortellement sérieux avant de me passer la main sur ma nuque, dans un geste nerveux. Je ne savais pas quoi dire mise à part que je pensais mes mots. Elle était ma femme. Je l’aimais plus que tout et je serais prêt à tous les sacrifices pour elle mais je n’étais pas habitué à dire des mots d’amour ou même à les faire deviner. A la place, je changeais de sujet. « Le nain ne pensait pas à mal, inutile de le blâmer. Je présume que cela fait partie des choses que je n’ai pas besoin de savoir sur toi ? » lui demandais-je car j’étais bien placé pour savoir qu’il y avait des limites dans nos confidences sur l’oreiller. A la place, je l’attirais à moi pour l’embrasser. « T’es ma femme bébé point barre. Putain y a que toi pour me rendre sentimental »
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Mallory n’était définitivement pas habituée au fait qu’on la protège de cette manière. Bien sûr, au sein du club tous ses « frères » étaient toujours aux petits soins avec elle mais ce n’était pas pareil. Avec Declan, elle avait atteint un niveau de relation jamais atteint de sa personne et savoir que ses sentiments puissent être réciproques à ce point… cela l’emplissait d’une béatitude qu’elle n’aurait jamais crue possible avant aujourd’hui. « Tu es vraiment sérieux, tu veux me protéger ? Je ne pensais pas qu’il réapparaîtrait. C’est pour ça que je ne t’en n’ai pas parlé… du moins j’ai essayé à Vegas puis je me suis dit que ça gâcherait notre séjour. J’avais fais mettre une injonction à son encontre et je pensais que ça suffirait mais c’est un malade mental. Quant à ma nationalité… disons que c’est compliqué. Ca ne change rien à mes sentiments pour toi et un jour je te dirais tout à ce sujet mais… pas aujourd’hui. Aie confiance en moi… il t’a dit autre chose ? » demanda-t-elle, curieuse pour le coup et terriblement bien placée pour savoir combien Cammy pouvait être une pipelette sur le retour. Mais avant de le « torturer » pour avoir de plus amples informations, elle lui rendit son baiser avec un degré de passion bien supérieur. « Mais moi j’adore quand tu es sentimental, ça te rends encore plus sexy, surtout quand tu dis que je suis ta femme ! »
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« Ton frère a dit plein de choses : t’es la plus belle etc… Sérieux, tu devrais regarder dans son armoire, il a dû y ériger un autel à ton honneur » plaisantais-je en laissant ma main caresser sa joue. Je ne voulais pas vraiment penser à ce qu’elle me cachait car cela reviendrait à revenir sur mes propres cachoteries et l’un comme l’autre, nous n’étions pas prêts pour ça. Oh, sûrement viendrait le moment où nous aborderions le sujet mais le plus tard serait le mieux car je savais que ce jour-là, je la perdrais que je le veuille ou non. « Qu’importe qui est ce type bébé, il ne te touchera plus et s’il essaie, je veux en être informé. Je plaisante pas, si j’apprends que tu m’as caché sa vengeance ou je ne sais quoi, je te laisserai te démerder seule » la menaçais-je sans douceur. J’étais ainsi fait, je ne voulais pas entendre de conneries du genre mais je l’ai fait pour te protéger. Non, je la protégeais point barre. Néanmoins, je me radoucis rapidement pour lui affirmer qu’elle était ma femme, chose qui visiblement la plongeait dans un état de béatitude le plus total. « Si tu le dis.. Bon il vient mon câlin ? »
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