Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThe two S. in a middle (See & Silver) - Page 3
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The two S. in a middle (See & Silver)

Anonymous

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.On aurait dit que ma question avait installé un certain trouble, que l'on pende le diable par la queue si je savais pourquoi? Il avait l'air plus terni, plus fatigué aussi. Comme lassé de quelque chose. Une dimension de lui que je n'avais pas encore pu percevoir. Comme si j'avais involontairement touché un point sensible. Je fronçais les sourcils alors que mon regard balayait son visage. Limite je ne savais quoi lui dire à cet instant précis. Il semblait terriblement ailleurs, dans des pensées qui ne m'étaient pas du tout accessibles. Hum je vois tu n'as pas été inspiré de faire comme Ariane et t'assurer de pouvoir retrouver ton fil pour suivre ton chemin... Hum oui bon d'accord, je n'avais pas été superbement intelligente sur le coup disons que je tentais de revoir un sourire affiché sur ce visage-là. Même si je me posais tout un tas de questions sur ce qui pouvait le rendre soudainement aussi blasé. Un peu comme s'il s'empêchait de profiter des bonnes choses de la vie. Cheville soignée et bandée, je tentais de me lever et de la déposer doucement par terre. Un peu déséquilibrée au début, ça faisait encore un peu mal mais, déjà beaucoup moins que sur le coup. Je lu avais alors demandé ce qu'il faisait ce soir. Oui en gros j'allais l'inviter. Moi Silver inviter un homme bon là c'était une grande première quoi. J'arborai alors un nouveau sourire quand il me répondit que non. Je m'approchais alors de lui, prenant son bras pour m'y appuyer, faut dire que je boitais tout de même un peu. Bien alors me ferais-tu l'honneur de diner en ma compagnie? Histoire de te remercier pour toutes les fois où tu m'as sortie du pétrin? Puis ça me ferait vraiment plaisir aussi. Oui ça me ferait plaisir de pouvoir discuter avec lui de choses et d'autres dans une autre situation que le fait de me venir tout bonnement en aide. Le jeune homme n'eut certainement pas le courage de me refuser cela, Seeley accepta, m'appela un taxi. Je lui donnais alors l'heure, mon adresse celle de ma chambre à la Lowell et lui demandait s'il pouvait venir me chercher pour 20heures, je m'occupais du reste. Je lui fis un petit signe alors que le taxi quittait la caserne...
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