Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThe two S. in a middle (See & Silver) - Page 2
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The two S. in a middle (See & Silver)

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.Oui bon, il avait raison, un fauteuil dans le sable ça n'allait pas être pratique du tout. Je ne pouvais m'empêcher de sourire bêtement devant tout les soucis qu'il m'énumérait. Des soucis que l'on aurait pu facilement contourner d'ailleurs. Pourtant, je ne répondis rien, je ne lançais aucune bonne répartie comme à mon habitude et puis mon but n'était pas d'être exécrable avec monsieur le bon samaritain. De toute manière, je venais de déposer mon pieds un peu trop lourdement sur le bitume et j'étais plus occupée à râler et à grimacer un peu pour répondre. Je me baissais pour masser cette maudite cheville, râlant encore plus sur le fait de me sentir comme un cheval de compétition avec une patte "folle". Je relevai alors les yeux vers le jeune pompier. A la quoi? A la caserne??? Oh lala. J'aurai pu me sentir transportée au septième ciel non parce que se retrouver au milieu de plein de pompiers sexy le rêve quoi pourtant... L'effet total opposé. Hein que quoi la caserne? Non pas la caserne bonjour la honte. Tu vas pas m'emmener au milieu de tout tes collègues pour soigner la pauvre idiote qui s'est foulé la cheville toute seule... Ben oui quoi, de quoi j'allais avoir l'air là. Je tentais alors de me lever et de faire quelques pas. Regarde,ça va déjà mieux, je marche ahhhh, hum. Voilà que je chancelais à cause de la pression imposée à ma cheville, je faisais la maligne pour ne pas avoir à aller me faire soigner là-bas mais, sans grand brio puisque je manquais de m'étaler de tout mon long avant de me rattraper au banc. Et de regarder Seeley de manière confuse.
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Je voulais vraiment l’aider dans sa galère, personnellement je me foutais totalement du Spring Break, je m’étais inscrit uniquement parce que mes collègues m’avaient en quelque sorte, poussé à prendre une période de vacances, au départ je n’étais pas d’accord, mais face à l’insistance de toute une caserne de pompiers enragés, je n’avais pas pu faire le poids, et je m’étais donc résigné. Silver était une femme sportive, splendide et qui aimait la vie, elle allait forcément s’éclater dans un endroit pareil, en tout cas je serai là pour la soigner si besoin, si jamais mon chemin croisait le sien. Je me mettais alors à rire en voyant sa réaction, une femme qui ne voulait pas se faire soigner par une armée de pompier ? Le plaisir serait sûrement pour les deux parties, après tout elle n’était pas désagréable à regarder. Je la retenais alors qu’elle tentait de se lever. « Arrête, tu vas aggraver ta foulure, et résultat, pas de Spring Break ! » Je ne pouvais pas l’emmener dans mon appartement, c’était trop misérable, trop petit, trop poussiéreux et surtout empli des fantômes de Joanne. Je me raclais alors la gorge, en soufflant, j’étais dépitée et Silver ressemblait à une pauvre biche peu rassurée. « C’est soit la caserne, soit l’hôpital. » Un ultimatum, il n’y avait que ça de vrai, je ne pouvais rien faire d’autre. J’essayais alors encore de la convaincre comme je le pouvais, même si le jeu était presque perdu d’avance. « Il y a tout ce qu’il faut là-bas, et si ça se trouve, ils sont en intervention, il n’y aura personne. »
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.Non du tout, je n'avais pas la moindre envie d'aller me ridiculiser dans la caserne des pompiers quand bien même les collègues de Seeley seraient aussi séduisants que lui. J'avais alors fais la fanfaronne, genre je n'ai plus mal, ça va aller tout en posant le pied par terre. Accompagnant ce geste d'une grimace totalement involontaire. Oui bien oui ça faisait encore mal. Pas de Spring Break, oui je sais oui il a une fois de plus raison, il a tellement raison que parfois ça en deviendrait irritant. Une petite moue se dessina sur mon faciès de brune. Soit l'une soit l'autre, bon en gros j'ai pas le choix j'en aurai presque soufflé de dépit. Je ne sais pas s'il tentait de me rassurer, de me persuader ou autre mais, de toute manière je n'allais pas faire ma bêcheuse non plus. Le jeune pompier était déjà bien gentil de m'aider encore une fois si en plus je lui rendais la tâche difficile. Pas très sympa comme remerciement, d'ailleurs il faudrait que je pense un jour à le remercier d'une manière ou d'une autre. En tous les cas je ne pouvais pas lui dire de m'emmener à la Lowell House, je doute qu'il y a de quoi soigner tout ça là-bas. Je devais donc baisser les armes. Bon ok ok, d'accord tu as gagné va pour la caserne. Des deux maux, je choisis le moindre. J'étais debout à coté de lui tanguant un peu en me tenant sur une seule jambe, je fini alors par passer mon bras autour des épaules de Seeley. Tu m'aides, faudra téléphoner. Tu as ton portable? Parce que moi j'ai tendance à l'oublier chez moi quand je sors. Ben oui ça m'arrivait vraiment souvent, me rendant injoignable quand je sortais.
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Elle n’en faisait qu’à sa tête, et même si cela était marrant, cela allait la pénaliser, surtout pour le Spring Break. En parlant de cet événement, j’aurais donné cher pour que ce soit ma cheville qui soit dans cet état. Non pas que j’aime être blessé, non ça m’handicaperait plutôt qu’autre chose, surtout pour le travail, mais malade ou blessé, je n’aurais pu à me forcer pour aller à Punta Cana me faire dorer la pilule, du moins c’est comme ça que mes collègues me le présentaient. Je me mettais alors à sourire et acquiesçais de la tête, elle venait enfin de faire tomber le mur entre elle et moi. « Bien, te voilà raisonnable ! » La caserne allait certainement être vide, et au pire, j’aurais tout fait pour qu’elle ne soit pas dérangée par certains commentaires parfois un peu lourds de mes collègues, après tout, c’était une belle femme. Je la réceptionnais alors qu’elle venait s’accrocher à mes épaules, puis j’attrapais mon portable dans ma poche, faisant tout de suite le numéro d’une compagnie de taxi. J’indiquais l’endroit et raccrochais, rien de plus simple. « Il va rapidement arriver. » Je lui adressais alors un léger sourire destiné à la rassurer, et à peine quelques minutes plus tard, la fameuse voiture jaune débarquait. Je l’aidais alors à monter, m’introduisais à mon tour dans la voiture et indiquait l’adresse de la caserne. Il ne nous avait pas fallu longtemps pour arriver là-bas, et une fois sur place, je jetais un coup d’œil. L’un des camions était absent, c’était déjà ça.
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.Raisonnable, il faut le dire vite. Je ne sais pas si je devenais raisonnable ou plutôt si je me laissais amadouer par le jeune pompier. Je ne le connais pas aussi bien que ça mais, je ne sais pas pourquoi je lui fais confiance. Oui je me sens en confiance là quand il est avec moi. Puis c'est lui le professionnel, s'il pense qu'il me soignera beaucoup mieux à la caserne autant que je suive son bon jugement. Au moins il m'évitait aussi un passage par la case hôpital et pour moi ce n'était pas dédaignable. Je le gratifiais alors d'un faible sourire. Je dirais que tu es plutôt persuasif surtout... J'avais passé alors mon bras autour de ses épaules pour qu'il m'aide à me stabiliser, se servir d'un seul pied sans poser l'autre sur le sol ce n'était pas très facile et ce bien malgré que j'ai quand-même le sens de l'équilibre, à la longue ça fatiguait. Je le laissais alors téléphoner à une compagnie de taxi quand il rangea son portable je passais alors mon autre bras autour de son cou. La situation était un peu incongrue pour le coup et j'évitais de croiser le regard du jeune homme tout en attendant que ce fameux taxi n'arrive. Quand la voiture s'arrêta devant nous, il m'aida à entrer dedans, je le fis presque en sautillant tout en me retenant à lui. Une fois les fesses posées sur la banquette arrière, je posais mon regard sur lui alors qu'il prenait place à mes côtés. J'ai eu de la chance que tu passes par-là encore une fois. Oui car c'était tout de même un peu étrange qu'il se trouve non loin de moi à chaque fois que je faisais une gaffe ou que j'étais dans une situation peu agréable, je ne pu m'empêcher de sourire alors que la voiture se garait devant la caserne. Voilà le moment le plus désagréable qui se profilait déjà. Me faire entrer dans une caserne plein d'autres pompiers dans son genre.
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J’étais quelqu’un qui apportait souvent beaucoup de réconfort, de bon conseil, le bon ami à qui on se confie facilement, à qui on raconte tout, à qui on demande des services. J’étais quelqu’un de confiance et je faisais tout pour garder cette situation bien en main, surtout depuis la mort de Joanne, depuis que j’avais perdu ma joie de vivre, j’essayais à tout prix de jouer sur les apparences, de faire croire que je n’avais pas changé, que j’étais resté le bon samaritain qu’elle avait parfaitement créé, mais en réalité, je n’étais plus le même homme. « Ça me va. » Je la gratifiais d’un sourire puis l’aidait à se lever pour ensuite l’aider à monter dans le taxi quelques minutes après. Ma profession aidait les gens à se sentir en confiance, il faut dire que généralement, lorsque l’on appelle les pompiers, c’est pour une situation grave, les gens sont en panique, il est donc de mon devoir de les rassurer et de faire ce qu’il faut pour les calmer. Lors d’un feu, d’un accident, les gens ne peuvent s’en remettre qu’à nous, ils n’ont pas le temps de peser le pour et le contre, de juger les apparences, ils sont justes pris au dépourvu et totalement paniqués, à nous d’agir en conséquence. Avec Silver, c’était un peu pareil étant donné que je tombais toujours sur elle dans les pires moments, à croire que j’étais un aimant attiré par ses blessures ou quelque chose du genre. « Je tombe toujours à pic il faut croire, certainement un coup du destin. » Je me contentais alors de hausser les épaules, puis après notre trajet je descendais du taxi et l’aidais à nouveau à se relever. Je l’aidais alors à marcher jusqu’à la caserne et la déposais sur une malle en fer dans laquelle on rangeait nos équipements. « Je reviens. » J’allais alors chercher du matériel médical et revenais quelques minutes après. Je m’agenouillais devant elle et posais d’abord un peu de glace sur sa cheville.
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.Toujours assise dans le taxi, direction la caserne des pompiers. Oui, oui il avait réussi à m'y trainer. Un exploit en soit, oui je vous le dis, ils ne sont pas nombreux ceux à réussir à me faire changer d'avis. Je suis une vraie tête de mule. Je sondais ses traits, il tombait à chaque fois à pic, c'est vrai. Cela pouvait même prendre des allures étranges à force. Je ne pu m'empêcher de sourire une nouvelle fois. Ah c'est ça. J'ai compris, tu as repris le rôle de Lee Major, l'homme qui tombe à pic. Oula la vieille référence que voilà, je me serais bien mise à lui chanter la chanson presque légendaire, moi et mes vieux trucs pourris. Je me mis alors à rire malgré la douleur qui fusait dans ma cheville, j'avais l'impression qu'elle était en fusion. Il m'aida à descendre alors que je scrutais les environs, non cee n'est pas que j'eusse peur que l'on ne me voit avec lui, pas du tout mais, bon. Il m'aida à m'assoir alors sur ce qui ressemblait à un grand coffre en fer. Pas très confortable cela dit. Il ne semblait aux premiers abords ne pas y avoir grand monde, sans doute que ses collègues étaient partis sur une intervention. Il revint alors près de moi avec le nécessaire pour me soigner et de la glace qu'il apposa sur ma cheville en s'agenouillant devant moi. Pas très à l'aise, je fis encore une fois ma maligne. Ahhhh c'est froid. Mais, bon j'ai toujours rêvé avoir un pompier à mes genoux... Pourquoi avais-je dis un truc pareil, voilà que je faisais la grimace. Avant de rire bêtement. Désolée c'était pas marrant. Alors, tu n'étais pas de garde toi aujourd'hui? C'est vrai, il semblait que cela soit son jour de congé et je l'avais ramené involontairement sur son lieu de travail. Sympa la journée de relâche.
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« Shut c’est un secret. » Je passais alors un doigt sur mes lèvres, prenant un air sérieux tout d’un coup. La référence ne datait pas d’aujourd’hui mais c’était de notre génération, et encore, c’était même plus vieux que ça. Je lui souriais alors avant d’aller chercher le matériel. Une fois dans la salle de repos, je croisais un collègue qui sifflait discrètement Silver, me disant que j’avais effectué une belle pèche, c’est sûr que comparé aux petites vieilles que l’on soignait d’habitude, je n’allais pas me plaindre. Je plaisantais quelques secondes en sa compagnie puis retournais vers la brune, posant de la glace sur sa cheville brûlante. « Arrête de te plaindre et profite plutôt ! » Je relevais alors la tête vers elle et lui adressais une légère moue. Je reconcentrais alors mon attention sur sa cheville et soulevais légèrement la glace afin d’examiner celle-ci. « Si ça ne tenait qu’à moi, je serais déjà en tenue, prêt à sauter dans un camion, malheureusement d’après l’administration j’ai trop bossé, j’étais obligé de prendre un congé, comme pour Punta Cana, ça ne m’enchante pas vraiment d’y aller mais mes collègues sont prêts à m’attacher dans l’avion si c’est nécessaire. » Je me contentais de hausser les épaules, visiblement la glace faisait réagir sa cheville, ce n’était donc que bénin, rassurant pour elle. J’attendais alors quelques minutes qu’elle dégonfle puis appliquait un gel glacé avant de bander sa cheville. Je reposais alors la glace dessus. « Voilà, comme neuf ! »
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.Je ne sais pas pourquoi je lui ai sortis ce truc un peu débile sans doute m'y a-t'-il conduite mais, ça avait le donc de m'avoir fait rire et en ce moment j'avoue j'avais bien besoin de rire, j'adorais ça et j'en avais cruellement besoin au moins une fois par jour. Le rire est important pour moi, il me fait me sentir bien. Je regardais alors le jeune pompier de mon air tout sérieux. Je le laissais me quitter un instant afin qu'il puisse trouver de quoi soigner cette maudite cheville. Soigner mon étourderie. Je ne remarquais même pas le manège de l'un de ses collègue, j'avais l'esprit ailleurs, je scrutais le moindre recoin de l'endroit où il bossait. En fait, j'admirais ce qu'il faisait s'était sacrément courageux il faut bien l'avouer de mettre sans cesse sa vie en danger pour les autres. Revenue à mes pieds enfin près de moi, le choc des température me fit une fois de plus faire la chochotte. Et voilà qu'il me disait de cesser de me plaindre. C'est pas ma faute, c'est douloureux je voudrais bien l'y voir à ma place, quoique je doute qu'il ne soit du genre à se plaindre lui. Profiter? Profiter de quoi, oui bon d'accord j'avoue que de voir un séduisant pompier s'occuper de moi c'est plutôt, bah oui c'est plutôt pas si mal que ça. Maiiiis, c'est pas ma faute hein. Bon d'accord je me plains, je sais. Faut bien que tu prennes le temps de souffler un peu non? Pourquoi ça ne t'enchantes pas? Enfin si je ne suis pas indiscrète, tu pourrais t'y amuser tu sais? Ben oui, j'étais assez curieuse, il faut bien l'avouer. Il venait de retirer la glace et faisait pénétrer un gel tout aussi froid en me massant la cheville, j'avais bien malgré moi laissé échapper un petit gémissement à la fois de mal mais, aussi de bien-être parce que je devais bien l'avouer ça faisait plus de bien que de mal. Cheville bandée je relevais les yeux sur lui alors avec ce petit air un peu gêné. Merci Seeley, je ne sais pas ce que j'aurai fait sans toi... Franchement ces derniers temps, il faut bien avouer qu'il me rendait des services bien souvent. Il fallait que je le remercie un jour ou l'autre. Je le regardais alors pensive. Tu fais quelque chose ce soir? venais-je de lâcher.
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Je me tuais au travail, c’était le mot exact, le mot qui décrivait ma souffrance à l’exactitude. Mon boulot m’avait ouvert la voie, il m’avait éduqué, il m’avait fait rencontrer l’amour de ma vie, mais il me l’avait également repris et posait sur mes épaules un poids de souffrance quotidienne. J’aimais être pompier, autant que je détestais l’être, c’était assez étrange comme sensation, mais à force, je ne ressentais plus rien. Dans ma poitrine, seul un trou béant y régnait, rien d’autre, je n’avais plus le droit à aucune émotion, plus aucun sentiment, je ne faisais que souffrir, celle-ci creusant un peu plus chaque jour mon visage même si celui-ci restait de marbre devant les gens que je côtoyais au quotidien. « Il y a bien longtemps que je ne me suis pas amusé, je crois que j’ai perdu le fil tu vois… » Mon regard venait alors se perdre sur le sol près de moi. J’avais l’impression que mon cœur s’était fait compresser contre deux parfois, explosant dans la seconde qui avait suivie. Joanne, rien que son nom sur mes lèvres, oui j’avais perdu le goût de vivre depuis qu’elle avait été engloutie par les flammes. Mes yeux se mettaient alors à papillonner par manque d’oxygène et je secouais la tête, affichant un léger sourire en reposant mon regard sur la brune. « C’était avec plaisir mademoiselle Marsden. » Je me relevais alors et allais déposer le matériel sur une étagère non loin. Lèvres entrouvertes, j’allais lui proposer d’appeler un taxi, mais elle m’avait devancé, pour une tout autre chose. Hésitant, je répondais « Euh… non je ne crois pas. »
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