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The two S. in a middle (See & Silver)

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.Et oui, à première vue on ne le dirait pas comme ça. Que diable fiche une fille comme moi dans un marché? Les apparences sont trompeuses en fait je dois avouer que ce petit coté proximité me rappelle un peu chez moi. Cette ville est trop citadine, parfois j'ai le mal du pays c'est comme ça. Alors le marché pourquoi pas... Aujourd'hui pas de cours pompeux ou non, matinée et après-midi détente. J'aurai bien partagé ce moments entre amies mais, oui bon en fait j'en ai presque pas. Si je vous disais que mon entourage se compose principalement de garçons vous me croyez? Alors les gars au marché, il ne faut même pas y compter. Le seul inconvénient dans ce genre d'endroit c'est le monde, ouais c'est toujours la marée noire ici. On se fait bousculer toute les cinq minutes. Rien de bien ordonné comme dans les centres commerciaux. Mais, moi ça me gène pas. Généralement. Je suis une incorrigible gaffeuse aussi donc, il m'arrive toujours des trucs alors que je ne les attendait pas. Je m'apprêtais à quitter le marché quand soudainement... Je devais sans doute avoir la tête dans les nuages encore une fois, je me suis mise à traverser la rue sans regarder avant. Un coup de klaxon, un sursaut plus loin, deux pas de travers pour éviter la voiture et voilà c'est l'embardée je me tords gracieusement la cheville en reculant. C'est sur les fesses que je heurte le trottoir. Aie. Mes yeux se ferment sous la douleur mais, j'avoue la honte aussi m'envahit et alors cet attroupement autour de moi. Je suis pas passée inaperçue, sympa. Je vais bien ça va, ça va circulez y'a rien à voir. Je fais de grand signe, j'ai rien de cassé enfin je ne crois pas, je repousse l'aide d'un gars, pas besoin enfin si mais, c'est bon je vais me débrouiller. Je rumine mentalement, qu'elle quiche vraiment 
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Aujourd’hui est une belle journée, c’est certainement ce que m’aurait dit Joanne en se levant le matin, de bonne humeur. Elle m’aurait certainement sorti du lit en souriant, comme elle le faisait tout le temps alors que je ne pensais qu’à flâner dans ses bras, mais tout ceci était fini, depuis bien longtemps… J’observais alors de ma fenêtre d’appartement le soleil qui tapait, je devais sortir, faire quelque chose, rester dans cet endroit ridicule m’oppressait, problème, je n’avais pas cours, et la caserne n’avait pas besoin de moi, j’ignorais alors quoi faire. Mais j’attrapais tout de même mes affaires et sortais, marchant en direction du centre-ville, ça m’avait pris une bonne heure mais qu’importe, j’avais le temps. Je m’arrêtais alors un instant, relevant la tête, sortant de mes pensées. En face de moi, de l’autre côté de la rue, se trouvait le marché, bon vivant. J’entendais les gens rire, d’autres crier en jouant à celui qui le fera le plus fort pour vendre ses produits. Je laissais alors passer la voiture et m’engageais dans la foule du marcher. Au sein de celui-ci, je me laissais happer par les odeurs, je souriais à chaque passant, la convivialité, c’était ça qui me manquait. Depuis que j’avais perdu Joanne, j’avais l’impression d’avoir en quelque sorte perdu le goût de la vie, normal me direz-vous, ou peut-être pas. Les mains dans les poches, j’avais fait le tour, mais j’étais prêt à m’arrêter près d’une étale lorsqu’une voix que je pensais reconnaitre se faisait entendre. Je tournais alors les talons et allais dans sa direction, puis je ne tardais pas à voir un garçon souffler longuement en essayant de lui tendre la main. Je me mettais doucement à rire en m’approchant. « Alors la demoiselle en détresse, encore une catastrophe ? Je m’en occupe. » Ma seconde partie était destinée au passant qui me souhaitait bonne chance pour la suite, le pauvre, s'il savait.
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.J'ai l'air idiote, ça m'apprendra à avoir la tête ailleurs comme ça. J'ai regardé ce gars-là presque avec un regard assassin, surtout parce qu'en fait j'ai mal et quand on a mal on s'en prend à la première personne qui vient. Question d'impulsivité. Je l'ai pas envoyé chier mais, c'est un peu comme si. Me voilà en train de masser ma cheville douloureuse, la prochaine fois je crois que j'éviterai les talons pour aller faire le marché. Oui bon c'est pas des talons aiguilles non plus mais, bon. J'entends alors une voix s'élever près de moi. Demoiselle en détresse? Je relève la tête, fixe son visage alors qu'il s'adresse au bon samaritain du marché que j'ai rabroué un peu beaucoup. Je reconnais ce visage, ce n'est pas la première fois que je le vois, il ne m'est pas inconnu non loin de là. Ce n'est pas la première fois qu'il me viendra en aide celui-là. J'ai le sourire confus bien malgré moi. Il va finir par me prendre pour une gaffeuse à répétition, enfin là il n'aurait pas tord pour une fois. C'est vrai que je me fou souvent dans de bien drôles de draps. Miss catastrophe c'est presque officiel c'est comme ça qu'il va m'appeler maintenant. J'ai juste oublié de regarder à gauche et à droite avant de traverser, faillit me faire renverser, évité la voiture et tordu la cheville. Niveau catastrophe j'ai fais pire je crois. Je souris, lâche un petit rire. Baisse les yeux et regarde ma cheville qui enfle à vue de nez. Salut, Seeley. Oui j'ai retenu son prénom c'est la moindre des choses non?
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J’étais toujours un peu Mère Teresa mais en version masculine, toujours à défendre le monde, toujours à aider la première personne me réclamant de l’aide, quitte à ce que celle-ci en profite, oui j’étais devenu un peu le chien des âmes en détresse, mais je n’y pouvais rien, j’étais comme ça, et d’autant plus depuis que Joanne m’avait quitté. Elle m’avait souvent reproché de prendre plus soin des autres que de moi, mais j’étais né ainsi, issu d’une famille pauvre, je voyais toujours le meilleur des gens, même si cette partie était parfois très faible, c’est bien ça qui lui avait plus chez moi non ? Mais tout ceci était du passé désormais, et il fallait que j’avance, que je ne me laisse pas hanter par mes démons, que je me mette à marcher en direction du futur la tête haute, éloignée des souvenirs me rongeant de l’intérieur. Sortant de mes pensées, c’est là que mon regard s’était posé sur la délicieuse jeune femme en détresse. Avec un léger sourire, j’étais plutôt satisfait de la croisée ici, pour me changer l’esprit elle était de très bonne compagnie, et je la préférais largement à un chat coincé dans un arbre, okay je m’enfonce à cet instant précis. « Ah je vois, c’est les bases pourtant. » Du genre regardé à droite et à gauche, on apprend souvent ça en étant gosse, et puis on oublie parfois, comme ici. Je me racle alors la gorge et me remets dans la conversation. « Ça n'a pas l’air super, tu me laisses voir ça, Silver ? » Oui elle se souvenait de mon prénom, mais je n’avais pas non plus oublié le sien. Je lui tendais alors ma main pour qu’elle s’y accroche, et une fois la sienne dans la mienne, je me baissais pour la porter pour éviter qu’elle ne se blesse davantage, et puis il faut dire que c’était un poids plume.
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.Gros sourire confus. Il me faisait remarquer à quel point j'étais tête en l'air. C'est les bases en effet oui, merci de me le faire remarquer. Narquoise moi non pas du tout, merci monsieur le pompier. Oh remarquez, je ne lui en voulais pas, je n'étais même pas énervée, il avait raison c'était un truc primaire que j'aurai du retenir. Mais, parfois quand on a l'esprit ailleurs, ont a tendance à oublier les choses les plus basiques. J'avais retiré ma chaussure et je me massais la cheville de l'autre main. C'était assez douloureux et ça enflait à vue. Mon regard remonta sur Seeley, ce n'était pas la première fois qu'il arrivait ainsi à mon secours. Il me demandait s'il pouvait regarder, comme si j'allais lui mordre le bout du nez. Oui, bon c'était un peu ce que j'avais fais avec le passant de tout à l'heure mais, c'était le choc de la douleur au moment même qui m'avait fait réagir avec impulsivité. Fallait bien que j'évacue en m'en prenant à quelqu'un non? Oui en fait non, réaction débile mais, bon. Si tu veux, puisque tu es là. Je serais sûrement entre de meilleures mains avec toi. dis-je en laissant échapper un petit rire cristallin. Il venait de me tendre la main et instinctivement je la saisissais pour tenter de me relever tout en boitillant. J'avais un peu de mal à poser le pied par terre. Je me sentie alors happée dans les airs, soulevée et je m'accrochais spontanément à ses épaules pour éviter de me retrouver encore les quatre fers en l'air. On évite l'hosto si tu veux bien, j'ai horreur de cet endroit-là... 
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Je me mettais à rire en voyant sa mine presque déconfite, visiblement elle n’aimait pas qu’on lui fasse la leçon, bien que mes propos n’en étaient pas une, du tout. Mais j’aimais la taquiner, après tout c’était elle que je ne cessais de sauver pour un feu ou une tout autre chose non ? Il faut croire que le destin voulait nous réunir, il voulait que l’on apprenne à se connaître, aller, avouez, quel était le pourcentage que je passe au même moment où la demoiselle décidait de traverser ? Et combien de pourcentages pour le fait que je reconnaisse sa voix entre des centaines qui piaillaient ? C’était étrange, et pourtant, je n’y prêtais pas plus attention à ça. Après tout, c’est par le pur hasard que j’avais rencontré l’amour de ma vie, oui Joanne m’avait littéralement foncée dedans, m’assommant presque de ses bouquins gros comme des pavés. « C’est même sûr ! » Je lui tendais alors la main avec un large sourire, au moins elle gardait son léger sens de l’humour, ou sa bonne humeur enchanteresse. Quelques passants nous scrutaient du regard, à croire que l’on était l’attraction, les bêtes de foires. Je détestais me donner en spectacle, et pourtant j’étais pompier, étrange situation non ? Personnellement, je préférais agir dans l’ombre, c’est certainement pour ça que je l’avais automatiquement prise dans mes bras, histoire de ne pas la voir sauter à cloches pieds jusqu’au prochain banc libre. Je soufflais alors longuement et me mettais à marcher en directement de celui que je venais d’apercevoir, puis je la déposais doucement sur celui-ci. Je m’asseyais alors près d’elle et lâchais « Allez, montre-moi ça ! » J’attrapais alors sa jambe et examinais sa cheville en posant mes mains froides sur celle-ci.
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.Les badauds du marché nous reluquaient. Je n'aimais pas beaucoup ça enfin oui et non en général je me fichais comme de l'an quarante que les gens me regardent, sauf quand je venais de me ridiculiser en beauté. Le fait que le jeune pompier me porte dans ses bras, un peu comme on porte une marié pour passer le pas de la porte de la chambre de lune de miel était un tableau un peu particulier et limite gênant. Mais, le fait de claudiquer à cloche pied n'aurait pas été d'un meilleur effet visuel. Je m'accrochais à Seeley un peu comme si ma vie en dépendait mais, j'étais juste légèrement crispée. Il me porta alors jusqu'à un banc un peu plus loin et m'y déposa précautionneusement, voir délicatement. Je relâchais alors mon étreinte autour de son cou posant mes deux mains sur le banc. Assis à coté de moi, le jeune homme s'empara de ma jambe la posant sur les siennes et je sursautais un peu lorsque ses mains froides vinrent à la rencontre de ma cheville enflée. Bon sang, t'as les mains froides. Aie outch, hum tu crois que c'est cassé? A vrai dire j'espérais vraiment que ce ne soit qu'une vulgaire entorse ou une foulure. Je n'avais pas la moindre envie de me retrouver avec un plâtre et des béquilles ce qui en soit serait une belle catastrophes. Je ne pourrais pas supporter d'être réduite dans mes mouvements et encore moins de passer des heures aux urgences pour qu'on ne s'occupe de moi. Allez Seeley rassures-moi, tu peux me soigner toi-même hein? Je vais pas devoir mettre un fichu plâtre. Le Spring Break c'est bientôt en plus. Oui non décidément je serais dégoutée si je devais annuler ce voyage et partir avec des béquilles, merci mais, non merci. 
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Après avoir déposé la jeune femme sur le banc, je m’étais emparé de sa frêle cheville. On ne pouvait pas dire qu’elle était bonne en chair, elle avait quasiment la peau sur les os, oh non détrompez-vous, Silver n’était pas du genre mannequin hideux, bien au contraire, en tout cas ces chevilles étaient légères, un peu maigrelettes, mais je m’égare énormément là. Je posais alors mes deux mains froides sur celle-ci et l’examinais attentivement, elle avait déjà gonflée et virait un peu au violet, rien de grave, apparemment. Je me mettais à rire lorsqu’elle évoquait mes mains, je n’y pouvais rien, elles étaient constamment froides. « Justement, il te faut du froid alors cesse de râler ! » Je lui adressais un sourire complice. J’avais beau ne pas la connaître tant que ça, je commençais à apprécier de la sauver, entre guillemets. Je fronçais alors mes sourcils et massais légèrement sa cheville, j’étais concentré. Au bout de quelques minutes, je relevais la tête, visiblement elle était inquiète pour le Spring Break, encore une fois que j’avais failli oublier dans mon emploi du temps, pourquoi j’avais accepté d’y participer hein ? Ce n’était pas du tout mon genre… Bref je prenais une mine dépitée et lui annonçais. « Là tu sais, tu es mal barrée… Je pense que l’on va devoir te foutre sur un fauteuil, ou dans le pire des cas, on devra te couper la jambe, juste là ! » Je posais alors mon doigt au-dessus de ma cheville puis me mettais à rire en voyant sa mine déconfite. Je reprenais alors mon sérieux en me raclant la gorge et lâchais enfin le vrai verdict. « Une bande, du froid, pas de conneries jusqu’au Spring Break et tout devrait rouler, ne t’inquiète pas. »
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.Je lui fit brièvement la petite moue d'une gamine que l'on réprimande. Je n'étais pas en train de râler mais, la froideur de ses mains contrastant avec la chaleur de ma cheville échauffée par le coup m'avait surprise. Mais, il n'avait pas tord, ses mains froides me faisaient du bien, je pensais même qu'un peu de glace pourrait encore m'en faire plus. Je râle pas... Je le regardais faire, il me massa la cheville m'arrachant un petit gémissement. Prise entre la douleur de la blessure et le contraste du bien-être qu'il me procurait. N'y voyez rien de pervers hein. A vrai dire, je l'aurai bien laissé continuer un petit peu plus longtemps. La douleur était moins fusante quand il me manipulait doucement. Il était même doué. Ma jambe reposait toujours sur sa cuisse, ma cheville toujours entre ses mains alors qu'il était en train de me vanner. Je le regardais en plissant mon nez un peu la mine boudeuse. Oui ben, si je suis en fauteuil je te forcerai a venir chaque jour le pousser pour aller me faire faire une balade. Punition pour ne pas m'avoir mieux guérie que ça... J'éclatai alors de rire en lui retirant ma jambe seulement je déposais un peu trop lourdement mon pied sur le sol. Aie, put... ZUT. On en rigole mais, je crois que je suis pas capable de marcher pour le moment. Je le regardais de ma mine déconfite, ce que j'étais idiote et gaffeuse tout de même. Il me dit que je devrais me tenir tranquille jusqu'au départ. Adieu jogging, adieu saut en parachute et autres péripéties. Tu crois que tu peux le faire toi? T'es venu en voiture? Oui aucune envie d'aller faire la file des heures aux urgences pour de la pommade et un bandage.  
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Je me mettais à rire alors qu’elle m’informait qu’elle ne râlait pas, elle pouvait dire ce qu’elle voulait, elle venait de râler. J’appréciais son comportement légèrement boudeur, après tout, ça changeait de toutes les poupées parties imbues de leurs personnes que l’on pouvait voir sur le campus. Après avoir manipulé sa cheville, je laissais tout de même mes mains dessus, j’avais l’impression que sa chaleur envahissait tout mon corps auparavant froid comme la glace. Un léger sourire sur mon visage, je regardais les passants, saluais les plus polis, une chose est sûre, elle ne s’était pas raté, encore une fois. Je la regardais alors en arquant les sourcils, la pousser, vraiment ? « Le fauteuil dans le sable, ça ne va pas être pratique du tout… et je ne parle même pas de l’hypothèse où tu aurais envie de te baigner. » Pourtant, des personnes faisaient avec, il m’arrivait souvent de voir des personnes dans cet état-là à cause de mon statut de pompier. Au fond, je me plaignais de petites choses du quotidien qui était à présent fade depuis la mort de Norah, néanmoins j’étais un survivant, contrairement à certains. Je la laissais alors ôter sa cheville et la poser par terre alors qu’un rictus s’installait sur mon visage, à vouloir aller trop vite, elle allait encore plus se faire mal, et vu que la vitesse primait, je n’avais pas eu le temps de lui dire de ne pas le faire, quel cercle vicieux. Je soufflais alors longuement, je n’avais pas pris ma voiture à cause du bon temps et parce que j’avais besoin de marcher, et visiblement elle n’était pas d’accord pour aller aux urgences. « Bon, on n’a qu'à prendre un taxi, je t’amène à la caserne et je te fais ça. »
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