Qui ne dit rien consens comme on dit. Ouais, je savais que je méritais des claques mais lui aussi. D’abord pour son sourire qui me faisait totalement craqué, sans parler de ses yeux. Ensuite pour sa façon de se comporter et son caractère de merde que j’ai vraiment du mal à supporter à certains moments et ensuite, ensuite j’en sais rien. Ca fait déjà pas mal de raisons ! Je le provoquais un peu sur ses excuses, n’oubliant pas de lui dire que je ne l’excusais pas entièrement bien que c’était quasiment le cas dans ma tête, surtout dans mon cœur. Je me sentais totalement différente en sa présence, il me rendait meilleure. Je me penchais à mon tour au-dessus de la table, murmurant quelques mots avant qu’il ne se lève. Au début, je pensais qu’il voulait qu’on s’en aille mais finalement, il prit ma main et m’entraîna vers les toilettes. Au passage, je regardais les gens siroter leur cocktail, s’enfiler des bouteilles au comptoir bref, il y avait de tout ici et certaines personnes nous dévisageaient comme si nous allions commettre un crime, heureusement que je faisais peu attention aux regards des autres. A peine la porte fermée, je me retrouvais plaquée au mur, coincée entre celui-ci et les beaux yeux bleus de Jorden. Il avait raison, tout était toujours intéressant quand on était tous les deux, les choses banales se transformaient forcément. Une dispute dans la rue finissait au commissariat et boire un verre au Lord Hobo signifiait finir la soirée dans les toilettes, rien n’avait changé. Je n’eus rien le temps de répondre à sa remarque puisque ses lèvres vinrent se poser brusquement contre les miennes. Bordel, qu’est-ce que ça m’avait manqué ! Y a que lui qui arrivait à me faire ressentir ça, ce genre de chose qui ne s’explique pas. Je répondis bien entendu à son baiser, l’attirant un peu plus contre moi, passant mes bras autour de sa nuque comme s’il pouvait m’échapper d’un instant à l’autre. J’eus énormément de mal à décoller mes lèvres des siennes pourtant, il fallait bien que je reprenne ma respiration. « Après quatre ans tu choisis les toilettes ? Wahou c’est pas vraiment romantique mais bon, ça fera l’affaire ! » Un large sourire se dessina sur mes lèvres avant qu’elles retrouvent une nouvelle fois les siennes. Il avait fallu deux jours. Deux petits jours pour que j’oublie totalement mon plan, me laissant dépasser par le manque, les sentiments et tout ce tralala auquel j’essayais d’échapper depuis quatre ans.
On est là à s’embrasser histoire de récupérer quatre ans de ce genre de moments en quelques minutes. Ses douces lèvres sur les siennes sont toujours aussi exquise et je ne m’en lasserai jamais. Elle à répondu à bon baisé en le prolongeant de plus belle et en me rapprochant un peu plus d’elle. J’ai mis mes mains sur sa taille, puis on à du tant bien que mal se retirer pour reprendre un bout de souffle. J’en pouvais plus ! Fallait bien que je t’emmène ailleurs sinon je t’aurais violé sur la table ! Elle me sourit pour revenir poser ses lèvres sur les miennes. Je crois qu’on est parti pour un petit moment. La porte des toilettes cet ouvertes pour y laisser passer la vieille dame de tout à l’heure. Non mais décidément. Je me suis écarté d’Alexys contre mon grès pour laisser passer la mamie. Je me suis retourné vers Alexys. Chez moi ou chez toi ? Au moins ça à le mérite d’être claire. Autant continuer cette soirée en toute tranquillité et passer la meilleure nuit que je puisse mériter !
La veille, je voulais sa peau. Sans déconner, j’avais envie de le tuer, de l’égorger, de lui montrer à quel point il m’avait fait souffrir et aujourd’hui… Aujourd’hui j’avais envie de ressentir ce que je ressentais auparavant, j’avais envie de l’embrasser, de le sentir contre moi, de voir son sourire encore et encore, jour après jour. Il me rendait dingue. Je ne savais plus quoi penser, je ne savais pas ce que je ressentais, j’avais juste envie que ce moment dure. Je me décollais difficilement de ses lèvres, histoire de reprendre mon souffle, souriant face à ses paroles. « Ouh carrément ! T'as raison, c'est bien de céder à la tension parfois. » Je me mis légèrement à rire avant d’agripper à nouveau ses lèvres. Elles m’avaient manqué, il m’avait manqué, tout m’avait manqué chez lui maintenant, j’en étais certaine. Finalement, on fut interrompu. Je le lâchais brusquement alors qu’il s’écartait de moi. La petite vieille, encore ! Raah mais c’est pas possible, elle est chiante la mamie ! Je passais une main dans mes cheveux d’un air innocent avant de répondre : « Chez toi si tu veux pas qu’on tombe sur ma coloc. » Bah ouais, c’est pas comme si je vivais à Harvard quoi…
Je l’ai donc prise par la main pour qu’on aille chez moi terminer notre soirée en toute tranquillité. Plus déranger par les mamie vicieuses.. Nous sommes retourné dans sa voiture garée devant. Cette fois je m’en fou franchement que ce soit de luxe ou pas tout ce que je voulais c’était la pousser sur mon lit et lui sauter dessus. J’attends ce moments depuis quatre putain d’années ! Nous sommes arrivés chez moi et à peine le portail passé que nous avons commencé à nous embrasser de nouveaux tout en avançant vers ma chambre.. Cette soirée s’annonce putain de torride !
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Qui ne dit rien consens comme on dit. Ouais, je savais que je méritais des claques mais lui aussi. D’abord pour son sourire qui me faisait totalement craqué, sans parler de ses yeux. Ensuite pour sa façon de se comporter et son caractère de merde que j’ai vraiment du mal à supporter à certains moments et ensuite, ensuite j’en sais rien. Ca fait déjà pas mal de raisons ! Je le provoquais un peu sur ses excuses, n’oubliant pas de lui dire que je ne l’excusais pas entièrement bien que c’était quasiment le cas dans ma tête, surtout dans mon cœur. Je me sentais totalement différente en sa présence, il me rendait meilleure. Je me penchais à mon tour au-dessus de la table, murmurant quelques mots avant qu’il ne se lève. Au début, je pensais qu’il voulait qu’on s’en aille mais finalement, il prit ma main et m’entraîna vers les toilettes. Au passage, je regardais les gens siroter leur cocktail, s’enfiler des bouteilles au comptoir bref, il y avait de tout ici et certaines personnes nous dévisageaient comme si nous allions commettre un crime, heureusement que je faisais peu attention aux regards des autres. A peine la porte fermée, je me retrouvais plaquée au mur, coincée entre celui-ci et les beaux yeux bleus de Jorden. Il avait raison, tout était toujours intéressant quand on était tous les deux, les choses banales se transformaient forcément. Une dispute dans la rue finissait au commissariat et boire un verre au Lord Hobo signifiait finir la soirée dans les toilettes, rien n’avait changé. Je n’eus rien le temps de répondre à sa remarque puisque ses lèvres vinrent se poser brusquement contre les miennes. Bordel, qu’est-ce que ça m’avait manqué ! Y a que lui qui arrivait à me faire ressentir ça, ce genre de chose qui ne s’explique pas. Je répondis bien entendu à son baiser, l’attirant un peu plus contre moi, passant mes bras autour de sa nuque comme s’il pouvait m’échapper d’un instant à l’autre. J’eus énormément de mal à décoller mes lèvres des siennes pourtant, il fallait bien que je reprenne ma respiration. « Après quatre ans tu choisis les toilettes ? Wahou c’est pas vraiment romantique mais bon, ça fera l’affaire ! » Un large sourire se dessina sur mes lèvres avant qu’elles retrouvent une nouvelle fois les siennes. Il avait fallu deux jours. Deux petits jours pour que j’oublie totalement mon plan, me laissant dépasser par le manque, les sentiments et tout ce tralala auquel j’essayais d’échapper depuis quatre ans.
On est là à s’embrasser histoire de récupérer quatre ans de ce genre de moments en quelques minutes. Ses douces lèvres sur les siennes sont toujours aussi exquise et je ne m’en lasserai jamais. Elle à répondu à bon baisé en le prolongeant de plus belle et en me rapprochant un peu plus d’elle. J’ai mis mes mains sur sa taille, puis on à du tant bien que mal se retirer pour reprendre un bout de souffle. J’en pouvais plus ! Fallait bien que je t’emmène ailleurs sinon je t’aurais violé sur la table ! Elle me sourit pour revenir poser ses lèvres sur les miennes. Je crois qu’on est parti pour un petit moment. La porte des toilettes cet ouvertes pour y laisser passer la vieille dame de tout à l’heure. Non mais décidément. Je me suis écarté d’Alexys contre mon grès pour laisser passer la mamie. Je me suis retourné vers Alexys. Chez moi ou chez toi ? Au moins ça à le mérite d’être claire. Autant continuer cette soirée en toute tranquillité et passer la meilleure nuit que je puisse mériter !