Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Charlie) I don't know what I'm feeling right now - Page 2
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(+ Charlie) I don't know what I'm feeling right now

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Ne pas être comme les autres ? Charlie me demandait l’impossible. Je ne savais même pas qui j’étais alors, être comme les autres, c’était un peu comme avoir une identité, un point de référence mais une nouvelle fois, tout mon univers partait en live. Je voulais de la normalité, je ne voulais pas de cette attirance, de ces sentiments. Je voulais reprendre ma vie où je l’avais laissé, c’était le principal pour moi. Malheureusement pour moi, le souvenir de Bambi m’obsédait. Je voyais son sourire, j’entendais son rire, je pouvais même sentir la brûlure de son regard sur mon corps. Mon dieu, je tournais folle, il n’y avait pas d’autres explications. « Qu’est-ce que je suis censée faire ? Attendre et voir si ça me passe ?! Je n’arrête pas de regarder les femmes depuis que j’ai cette histoire dans la tête. Je ne sais même pas si j’avais déjà cette attirance par le passé. J’en ai marre de me poser des questions, de toujours me demander si c’était déjà comme ça avant. Je voudrais simplement être heureuse Charlie » m’emportais-je légèrement avant de me passer la main dans les cheveux. « Excuse-moi, je ne voulais pas m’emporter mais je t’avoue que je n’arrive pas à dormir convenablement en ce moment » m’excusais-je aussitôt pour ce débordement. Charlie n’y était pour rien, je n’avais pas à m’énerver contre lui. C’est juste que je voulais pour une fois, contrôler quelque chose. « Dis… Comment tu as su ? Je veux dire, comment tu as su que tu préférais les garçons aux filles ? » terminais-je par lui poser la question qui me brûlait les lèvres tandis que je m’arrêtais pour me blottir convenablement dans ses bras à la recherche évidente d’un quelconque réconfort. J’avais tellement besoin de réponses à mes questions. Charlie était en quelque sorte mon phare dans cette nouvelle tempête qui faisait rage dans mon esprit.

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« Qu’est-ce que je suis censée faire ? Attendre et voir si ça me passe ?! Je n’arrête pas de regarder les femmes depuis que j’ai cette histoire dans la tête. Je ne sais même pas si j’avais déjà cette attirance par le passé. J’en ai marre de me poser des questions, de toujours me demander si c’était déjà comme ça avant. Je voudrais simplement être heureuse Charlie » Tu l'écoutais parler avec attention, toujours en la serrant dans tes bras puisque tu sais que dans ces moments-là, on a toujours besoin d'une présence à nos côtés. « Excuse-moi, je ne voulais pas m’emporter mais je t’avoue que je n’arrive pas à dormir convenablement en ce moment » dis-tu ensuite pour s'excuser de s'être emporté. « Mina... Il faut arrêter de te poser trop de question. C'est en s'en posant trop qu'on finit par rapidement perdre la carte. Respire profondément et ne pense plus à ça. Il faut pas non plus faire une fixation là-dessus... » dis-tu à ton tour pour essayer de la rassurer du mieux que tu le pouvais. Elle te fit alors une grande éteinte et tu l'accueillis avec joie. Jamais tu ne l'as repousserais. « Dis… Comment tu as su ? Je veux dire, comment tu as su que tu préférais les garçons aux filles ? » Tu pris une grande inspiration à tout tour, levant la tête pour mieux observer le ciel. C'était une question... existentielle, ça. Tu pris donc quelques secondes pour réfléchir et une fois que tu eus trouvé les mots parfait, tu repris la parole. « Honnêtement, je ne sais pas à cent pour cent si je préfère les hommes des femmes... Tout ce que je sais c'est que quand je suis avec un homme, je suis bien. Je suis plus ouvert, plus réceptif... J'aime la chimie, l'ambiance qui s'en découle. Je suis naturellement bien. Avec une femme, je n'ai pas réussi à trouver cette connexion, ce... petit plus, si on veut. Mais crois-moi, il m'arrive souvent de me demander si je suis vraiment gai ou juste... bisexuel ou quoi... C'est pas quelque chose qu'on peut définir en un seul mot. C'est... plus complexe. » dis-tu en allant te gratter le fond de la nuque, l'air toujours songeur.
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Je me sentais bien ainsi serrée dans ses bras, comme si rien ne pouvait m'arriver. Charlie, depuis notre rencontre, avait toujours été une sorte de bonne étoile, comme un guide voire un ange gardien tout simplement. J'aimais sa présence et sûrement aurais-je pu tomber amoureuse de lui si nous n'avions pas été les personnes que nous sommes actuellement. "J'essaie vraiment de ne plus y penser, d'arrêter de me poser des questions mais j'y arrive pas. Dès que je la voie, toutes les interrogations refont surface. Je ne sais jamais comment je dois faire, ce que je ressens réellement... J'aimerai tellement que ce soit si simple" soupirais-je avant de lui demander, comment, lui, il avait fait pour savoir qu'il était gay. Sa réponse me mortifia car si même lui, n'était dans le fond, pas certain de son orientation, je n'étais pas dans la merde. "En gros, tu essaies de me dire que j'ai pas fini de me poser des questions si jamais j'essaie de rentrer dans une case?!" marmonnais-je en resserrant mon emprise autour de sa taille, comme si je refusais de le lâcher. J'avais besoin d'un gros câlin et Charlie était en quelque sorte mon nounours personnel. Tiens, je me demandais comment il réagirait si je commençais à l'appeler mon nounours songeais-je amusée. Une petite pensée légère dans un flot chaotique, c'était toujours bon à prendre. "Je crois que dans le fond, je suis attirée par les deux sexes mais quand elle est près de moi, j'ai l'impression de toucher le nirvana. Cela me le fait un peu avec Andreas. Mon dieu, comment je vais faire avec ma relation?! Je sens que Wyatt va finir par m'interdire l'entrée à la Winthrop House pour cause de catastrophe ! Je n'arrête pas de sortir avec des rouges pour finir par les tromper... Je suis une vilaine fille ! Je devrais peut-être terminer ma vie dans un couvent?! Qu'est-ce que tu en penses?" grimaçais-je de façon comique. J'essayais de faire un peu d'humour pour oublier que mes sentiments ou ma libido étaient en train de me mettre dans les ennuis.
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Wilhelmina était là, toujours près de toi. Elle te serrait si fort, comme si elle était effrayé à l'idée que tu puisses un jour partir. Ce qu'il faut néanmoins savoir à ton sujet c'est qu'en amitié, tu es l'un des mecs les plus fidèles qui soit. Jamais tu ne serais capable de trahir un ami. Même drogué, même complètement bourré. Jamais tu serais capable d'une telle chose, car à tes yeux, les relations amicales sont les plus belles choses qui existent et qui apportent le plus de bienêtre à l'être humain. Seulement, tu voyais bien que la jeune Dunster était en pleine crise. Ne pas être sûr à cent pour cent concernant notre orientation sexuelle était quelque chose de troublant et de constamment angoissant. Cela dit, c'est la vie. Ce genre de chose, ce n'est jamais tout blanc ou tout noir, malheureusement. Il n'y a pas de réponse miracle, de remède miracle... « J'essaie vraiment de ne plus y penser, d'arrêter de me poser des questions mais j'y arrive pas. Dès que je la voie, toutes les interrogations refont surface. Je ne sais jamais comment je dois faire, ce que je ressens réellement... J'aimerai tellement que ce soit si simple. » Tu soupiras légèrement. Pauvre femme. Après quoi, tu lui dis que même toi, tu n'étais pas convaincu à 100%, parfois. « En gros, tu essaies de me dire que j'ai pas fini de me poser des questions si jamais j'essaie de rentrer dans une case?! » Tu soupiras doucement avant de poser ton regard sur le haut de sa tête, un instant. « Mina. L'orientation sexuelle, ça ne se définira jamais que par trois choix, sache-le. Ce n'est pas toi qui est folle, c'est la société qui souhaite étiqueté les gens qui l'est, d'accord ? » dis-tu avec une voix douce et calme, même si tes propres propos te choquaient. Savoir que la société s'amusait à étiqueter tout le monde comme " hétéro ", " homo " ou " bi " te rendait tout simplement fou. Et c'est à cause de cette société que les gens comme Mina font une crise pas possible lorsqu'il " saute d'une case à l'autre ". Mais en fait, on oublie tellement que les relations amoureuses, les relations intimes, c'est bien plus que deux ou trois cases. C'est... d'abord et avant tout une question d'amour, de sentiment, d'attirance. Et tout ça ne peut pas être définit avec précision. Tu penses donc, au plus profond de toi, que toutes les personnes de la terre sont d'abord et avant tout humaine, mais s'il fallait les caser, tu serais prête à dire qu'en dedans, nous sommes tous bisexuels. « Je crois que dans le fond, je suis attirée par les deux sexes mais quand elle est près de moi, j'ai l'impression de toucher le nirvana. Cela me le fait un peu avec Andreas. Mon dieu, comment je vais faire avec ma relation?! Je sens que Wyatt va finir par m'interdire l'entrée à la Winthrop House pour cause de catastrophe ! Je n'arrête pas de sortir avec des rouges pour finir par les tromper... Je suis une vilaine fille ! Je devrais peut-être terminer ma vie dans un couvent?! Qu'est-ce que tu en penses? » Tu n'avais pas très bien écouté son récit, mais à entendre son ton de voix, tu te doutais bien qu'elle faisait des blagues. Cela dit, ça te dépitait un peu de voir à quel point elle semblait faire une montage avec quelque chose d'aussi... inexplicable qu'est l'orientation sexuelle. C'est comme se battre avec ses démons, avec ses peurs... C'est... inexplicable. « Arrête, Mina. » dis-tu d'abord, gentiment. Tu ne voulais pas la brusquer, tu ne voulais pas la mettre mal à l'aise ou quoi, mais après tu en avais un peu marre qu'elle soit là à se morfondre. Oui, c'était une femme bouleversé, ébranlé. Et oui, tu savais très bien comment faire pour l'aider - étant donné tes cours en psychologie - mais... tu n'avais pas, toi, cette psychologie féminine. Tu commençais donc à trouver qu'elle allait chercher son mal un peu trop loin. Tu pris une grande inspiration, avant d'ajouter : « Mina, essaie de penser d'abord avec ton coeur. Avec ton coeur et non pas ta tête. Si tu te sens bien avec cette Bambi, alors va-y. Fonce. Tant pis pour les autres. Dans la vie, il faut prendre des risques. » dis-tu en la serrant un peu plus fort contre toi, comme pour lui faire comprendre que malgré tes propos plus ou moins... agréable à entendre, tu l'aimais tout de même énormément et tu la respectais toujours autant.
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Je me sentais un peu idiote de l’embêter avec mes craintes. Charlie ne pouvait pas constamment être mon témoin de moralité. Il était avant toute chose, mon meilleur ami. Le problème, c’est qu’il était le mieux placé pour me guider dans la nouvelle tournure que prenait ma vie. Je me sentais perdu avec un maelstrom d’émotion toutes plus contradictoire les unes que les autres. Seulement, mon ami avait raison, savoir si je préférais les femmes, les hommes ou les deux ne me définiraient pas. Malheureusement, je savais qu’au regard des autres, la case que j’occuperai importerait. Nous étions dans une société où la tolérance était prônée mais autant se voiler la face, ce n’était pas le cas concrètement. Les mentalités étaient toujours aussi étriquée n’en déplaise aux bien pensants. Je savais que si je suivais la voie tracée par mon cœur, j’allais au-devant de biens des difficultés. Bambi ne m’aimerait jamais comme une amante mais uniquement comme une amie, sa meilleure amie. Les histoires d’amour ne se finissent pas toujours aussi bien que celle qu’il connaissait avec Emrys. En un sens, je l’enviais un peu mais pas plus que ça. Je n’étais pas du genre à regarder si l’herbe était plus verte qu’ailleurs car tous, à un moment donné, même si la relation paraissait idyllique, était confronté à son lot de problème. « Excuse-moi, je ne voulais pas t’embêter avec mes problèmes mais tu as raison, je ne devrais arrêter de me définir par rapport aux regards des autres »[/color][/b] murmurais-je en essayant de retrouver toute ma joie de vivre qui me caractérisait tant.

J’aurais réellement aimé avoir des réponses à mes questions mais sûrement pensais-je trop avec ma tête et pas suffisamment avec mon cœur. Néanmoins, je ne savais si je pouvais justement lui faire confiance. L’étreinte que m’offrit Charlie me fit réellement plaisir. J’avais conscience qu’il ne disait pas tout cela pour me faire du mal mais me permettre d’avancer et justement, je l’en remerciais. Je n’avais pas besoin d’un ami qui irait toujours dans mon sens ou qui acquiescerait même à mes plus grosses conneries. Au contraire, je préférais de loin qui me bouscule un peu car ce n’était que comme ça, que je pourrais avancer et arrêter d’être aussi centrée sur mon propre nombril. « Je vais tout avouer à Bambi mais aussi à Andreas. Je leur dois la vérité à tous les deux et puis, je n’ai pas envie de faire l’autruche » décidais-je avant de lui sourire, posant ma main sur sa joue avec un regard attendri. « Tu es vraiment le meilleur des amis Charlie » murmurais-je avant de secouer la tête. « Assez parlé de moi ! Comme nous sommes tous les deux ensembles… que penserais-tu qu’on aille se boire un café ou je ne sais pas… Oh tiens ! Je pourrais jouer et on pourrait faire les idiots en dansant dans le parc » plaisantais-je. Autant profiter de l’instant présent sans se prendre la tête, après tout, ce n’était pas ça qu’il essayait de me faire comprendre depuis l’instant même de notre rencontre ?! « Oh pendant que j’y pense, j’ai dessiné une ligne de boxer… Tu voudrais bien être mon testeur ? » lui demandais-je soudainement.

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« Excuse-moi, je ne voulais pas t’embêter avec mes problèmes mais tu as raison, je ne devrais arrêter de me définir par rapport aux regards des autres » Tu pris une grande inspiration et essaya de sourire du mieux que tu le pouvais en serrant très fort la jeune femme près de toi. Tu n'avais pas besoin de lui dire que ce n'était pas grave qu'elle te parle de tout ces problèmes. Tu étais très, très bien placé pour pouvoir l'aider, la conseiller et tout ça. Du coup, ça te faisait plaisir qu'elle t'expose tout ça. Même si au fond de toi, tu trouvais qu'elle dramatisait un peu trop. « Je vais tout avouer à Bambi mais aussi à Andreas. Je leur dois la vérité à tous les deux et puis, je n’ai pas envie de faire l’autruche » Tu souris et hocha la tête. Ça, c'était une bonne idée. Certes, ça pouvait faire mal de leur apprendre " la nouvelle ", mais c'était d'abord et avant tout la chose la plus logique à faire. Elle posa ensuite sa main sur ta joue et ajouta : « Tu es vraiment le meilleur des amis Charlie » Tu lui embrassas le front rapidement avant de te remettre à marcher lentement. « Assez parlé de moi ! Comme nous sommes tous les deux ensembles… que penserais-tu qu’on aille se boire un café ou je ne sais pas… Oh tiens ! Je pourrais jouer et on pourrait faire les idiots en dansant dans le parc » Tu lâchas un rire avant de répondre : « On peut aller boire un café, si tu veux ! Ça peut être une bonne idée ! ». Après quelques secondes de silence commun, la jeune femme t'annonça qu'elle avait lancé une ligne de sous-vêtements pour homme et te demandait d'être un mannequin. « T'es sérieuse ? » dis-tu avec de grands yeux impressionnés.
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Charlie était vraiment une personne extraordinaire et j’étais réellement heureuse d’être son amie. Je ne sais pas, j’avais l’impression de l’aimer autant que je pourrais aimer un homme –ou une femme ; mais sans l’attraction sexuelle. Je l’aimais d’un amour platonique. Aussi, son opinion comptait énormément pour moi et ses conseils étaient d’or tout comme ses paroles. Il était donc normal que je me tourne vers lui mais je ne pouvais pas toujours le prendre pour une page de journal intime. Bien au contraire. Le plus marrant tout de même, c’était que désormais, nous étions sensiblement pareils. Enfin, il était plutôt dans la peau du maître Yoda et moi, dans celle du jeune padawan. Dès fois, des conneries me passaient par la tête tout en les assumant dans un même temps. « Va pour le café alors ! » répondis-je avec amusement tandis que je lui attrapais la main pour le traîner vers un petit café que j’avais découvert non loin du parc. Il s’agissait en fait d’un petit salon de thé mais je trouvais l’endroit chaleureux et accueillant. J’espérais que cela lui plairait. D’ailleurs, je ne savais pas grand-chose de ses habitudes. Je veux dire que nous partagions beaucoup de choses mais je ne connaissais pas vraiment ses goûts. Je me promis de rapidement réparer cet oubli. Toutefois, pour l’heure, j’avais plutôt besoin de le convaincre d’accepter d’être le cobaye de ma nouvelle collection. « Bien sûr, tu sais très bien que je ne plaisante jamais avec la mode » répondis-je avec un grand sourire. « Tu serais un modèle parfait et puis, j’ai vraiment besoin d’avoir ton avis niveau confort, texture etc. Je ne peux pas les tester moi-même, je ne suis pas un homme ! » rigolais-je.
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« Va pour le café alors ! » dit-elle, joyeusement, avant de saisir ta main et te guider vers un café qu'elle connaissait sans doute mieux que toi. À dire vrai, tu ne te promenais pas vraiment dans les environs. Ces temps-ci, ta thèse prenait tout ton temps, malheureusement. Vous marchiez un instant en silence jusqu'à ce que vous entriez dans ce qui semblait être un salon de thé. Le décor était chaleureux, invitant. Qui plus est, tu savais que si Mina connaissait l'endroit, c'était forcément parce qu'il avait du swagg. Du coup, tu la suivrais n'importe où, lui faisant aveuglément confiance. Une fois assis à une table, la carte devant vous, elle finit par reprendre la parole - au sujet de sa ligne de boxers. « Bien sûr, tu sais très bien que je ne plaisante jamais avec la mode » Évidemment qu'elle ne plaisante jamais en ce qui concerne la mode ! « Tu serais un modèle parfait et puis, j’ai vraiment besoin d’avoir ton avis niveau confort, texture etc. Je ne peux pas les tester moi-même, je ne suis pas un homme ! » Tu ris légèrement, lui offrant un beau sourire avant d'ajouter : « Je serai ravie de jouer ce rôle pour toi, ma belle ! Tu sauras par contre que je suis très difficile en matière de sous-vêtements ! » rigolas-tu à ton tour.
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Créer des vêtements ou des sous-vêtements en l’occurrence était mon dada. J’étais véritablement passionnée par la mode sans pour autant être une fashion victime. Non, je m’éclatais bien plus dans la création ainsi que dans la confection pour avoir le temps de m’appesantir sur ma garde-robe personnelle bien que toutes mes tenues étaient de ma création –il fallait bien que je me fasse de la publicité ! « Oh great ! Tu me diras quand je pourrais prendre tes mesures ? Et puis j’espère bien que tu es difficile car les critiques sont toujours bonnes à prendre et puis, lorsque j’aurais ma propre marque, je sais que mes clients m’attendront au tournant donc, je veux me perfectionner durant mes études pour être fin prête » lui avouais-je montrant clairement mon ambition concernant mon avenir. En même temps, j’étais devenu au fil des mois, une Dunster jusqu’au bout des ongles : travailleuse et ambitieuse. « En parlant de marque, je me suis associée avec une cabot pour monter une sorte d’agence de mode. Il y a une autre styliste qui travaille avec moi à la création de la lingerie et des maillots de bain. On va profiter du spring break pour faire des photos… J’ai trop hâte si tu savais ! » lui appris-je avec un sourire des plus enjoués avant de commander nos deux cafés. « Sinon, quoi de neuf dans ta vie mon petit chat ? » lui demandais-je usant d’un petit surnom qui m’était venu tout naturellement.
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Tu étais très heureux de voir Wilhelmina aussi ambitieuse. En la voyant face à toi, tu avais toujours une petite pensée pour la jeune femme perdue que tu avais croisé au salon des Dunsters, quelques mois plus tôt. Depuis cette rencontre, tu t'étais donné comme défi de la rendre plus heureuse, plus fière d'elle-même. Tu l'avais aidé du mieux que tu le pouvais et tu étais bien conscient que tu n'avais pas été le seul à contribuer à son « nouveau bonheur ». Cela dit, tu ne pouvais pas t'empêcher d'être fier en la voyant si rayonnante. Oui, elle avait encore quelques petits soucis, de grandes craintes, des peurs et des doutes, mais... À qui cela n'arrive pas, en fait ? « Oh great ! Tu me diras quand je pourrais prendre tes mesures ? Et puis j’espère bien que tu es difficile car les critiques sont toujours bonnes à prendre et puis, lorsque j’aurais ma propre marque, je sais que mes clients m’attendront au tournant donc, je veux me perfectionner durant mes études pour être fin prête » Tu souris et laissa un petit rire percer le silence qui s'était tranquillement installé. Tu aimais la voir ambitieuse ainsi. Vraiment. « En parlant de marque, je me suis associée avec une cabot pour monter une sorte d’agence de mode. Il y a une autre styliste qui travaille avec moi à la création de la lingerie et des maillots de bain. On va profiter du spring break pour faire des photos… J’ai trop hâte si tu savais ! ». Tes yeux s'ouvrit plus grand, comme si tu étais surpris que son ambition la mène déjà aussi loin. Wow ! Elle t'impressionnait ! « Wow Mina ! Tu m'étonnes ! Je suis super fier de toi ! » dis-tu en secouant légèrement la tête, un sourire béa sur tes lèvres. Vos cafés finirent par arriver et tu en bus une fine gorgée. « Sinon, quoi de neuf dans ta vie mon petit chat ? » Tu soupiras légèrement. À part ta relation avec Emrys, il n'y avait pas grand chose de nouveau, honnêtement. « Eh bien, ma thèse avance tranquillement. Je suis plutôt fier de ce que j'écris, mais je pense que si je veux atteindre le titre de Docteur, je vais devoir redoubler d'ardeur et manger les bouchées doubles ! » dis-tu en soupirant légèrement. Oui, tu avais un certain retard à rattraper et ça t'emmerdait un peu, en fait. Tu étais fier de toi, mais tu aurais tellement pu faire plus à l'heure actuelle.
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