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J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken

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C'est le 8 août à Seattle, que les membres de la famille Oskarsen m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Juliet.  Je suis un oiseau qui vole en toute liberté et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'art dramatique en majeur et de philosophie en mineur depuis 5 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que modèle pour un magasin de vêtements en ligne. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowells ou les Mathers.
Juliet "Jay" Oskarsen

Looks alot like Kate Bracken

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle StupidBroccoli et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à oh... alors là, je ne m'en souviens plus, vous pouvez me taper.  Ce forum est toujours aussi awesome alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kate Bracken (je vends la mèche, elle vient tout droit de Being Human) comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moiiii & ma modestie légendaire. Je fais environ de 250 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Après deux mois d'anxiété intense et une longue cure pour fuir internet, me revoilà sur ILH avec un nouveau personnage ! TREMBLEZ HARVARDIENS ! hanwii (et puis la rouquine et le centurion me manquaient terriblement, je tenais à revenir J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 1001568715 )
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
Je dormais. C'est tout bête. J'aurais pu entendre l'explosion, mais vu les circonstances, il était impossible que je me réveille de façon aussi spontanée : J'avais passé la soirée dans un bar pour fêter le pot de départ d'un collègue. Beaucoup d'alcool, sommeil retrouvé à 5h du matin. Non, je confirme, il était impossible que je me réveille aussi facilement. Ma colocataire avait fini par intervenir à l'aide de son légendaire verre d'eau. Seulement, cette fois-ci, elle tremblait nerveusement. Et j'ai vite compris que cette journée allait s'annoncer haute en couleur, même si je venais de tout rater.

LOWELLS
Certains se piquent à l'héroïne. Je fais pareil mais avec l'art. Ou le théâtre si vous préférez. C'est le domaine dans lequel j'excelle le mieux, à défaut de me comporter comme une vraie peau de vache avec 90% de la population, les 10% restants correspondant évidemment à la troupe universitaire. Shakespeare disait que le théâtre formait un tout autre monde. Pas étonnant que son propre théâtre se nomme le Globe. Là-bas, on s'évade, on exprime nos passions, nos vices. C'est un monde de fou, un monde réservé aux fous. On s'oublie afin de faire entrer un personnage tiraillé, passionné ou même burlesque. On choisit nos directives, on se sert de notre corps comme pantin, on l'épuise pour mieux le renouveler. On décrypte un texte, on le transforme selon les nombreuses opportunités du monde actuel, selon la poésie que nous récite notre corps, puis on l'applique en ne tachant de pas lui faire perdre son essence d'origine. La mise en scène me bouleverse, m'inspire, et me permet d'extérioriser ma folie productive, et bien que mes parents aient tenté à de nombreuses reprises de me diriger vers une voie plus modeste, je n'ai jamais réellement changé ma position. Je suis têtue comme une âne. Je suis une passionnée.

MATHERS
Une vraie peau de vache, comme je l'ai si bien cité en haut. Je suis ce qu'on pourrait qualifier d'enfant sauvage, même avec une excellente éducation. Pour faire court, je suis insupportable. Vraiment. Terriblement. Fabuleusement. Mon caractère se ressent à plus de 10 km et il est rare de me savoir calme, ce que je ne suis absolument pas. Non. Selon les dires de mon cousin, je suis "impertinente, impudente, désabusée, espiègle et profondément sarcastique", et ce cousin-là me connait parfaitement bien puisqu'il est l'un des quelques membres de la famille à pouvoir me tolérer sans broncher. Au contraire, il adore ça le traître. En revanche, il a bien oublié de mentionner "alcoolique", mais gardons ça pour nous. Pour le reste, c'est plus que moi : j'aime me dire que je peux pourrir la journée entière d'un professeur ou d'un étudiant rien qu'en débranchant les écouteurs de son MP3 et voir l'expression de son visage s'effondrer peu à peu, j'aime interrompre une conversation entre deux homophobes pour leur informer que les Romains couchaient déjà ensemble comme des animaux en chaleur et que personne ne s'en souciait autant que maintenant. Enfin, j'aime sortir de mes cours et courir jusqu'à une nouvelle soirée afin de m'enfiler plusieurs bières, finir par vaciller presque gracieusement, refaire un remake de l'Histoire de la Vie du Roi Lion, et me réveiller dans le lit d'un étudiant, fille ou garçon confondu. La déchéance m'attire autant que ma passion pour les arts dramatiques : ça me fait vivre et m'empêche paradoxalement de perdre les pédales. Si un jour je deviens calme, il faudra certainement m'enfermer !
[/b]
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LE MONDE A LA TETE EN BAS


    Je tourne une première fois, et je retrouve mes yeux d'autrefois.
    Je tourne une deuxième fois, et le monde est à l'endroit.
    Je tourne une dernière fois, et le hasard veillera sur moi.


8 août 2012 - 14:28 - Objet : Nouvel article.
Un vieillard du quartier fantôme de Detroit m'avait un jour dit "On ne choisit pas sa famille mon petit". Pour être honnête, je n'ai que quelques bribes de cette soirée. Je venais de sortir d'un club underground. J'étais aussi soul qu'un polonais, et je m'étais mis en tête de retrouver la maison de Jack White. Et puis, il y avait ce vieillard, qui se trouvait être le bassiste du groupe que je venais d'écouter. Mais mon alcoolisme avait compris 'sans abri fixe'. Mais mon alcoolisme avait aussi compris qu'il était sacrement rusé. On ne choisit pas sa famille, c'est aussi évident que flagrant. Ce n'est pas comme si notre fœtus était parfaitement capable de s'étrangler spontanément avec son cordon ombilical en priant pour se réincarner en un autre fœtus, ou bien de crier du fin fond de sa poche qu'il ne veut pas naître. De plus, l'Effet Papillon et Esther m'ont définitivement convaincu qu'avoir ce genre de choix pouvaient très mal finir. Les pleurs inclus. Non, ça c'est clair qu'on ne choisit pas sa famille. Et heureusement. On fait avec, on s'adapte, on pleure, on se secoue, on pleure de nouveau, on se révolte, on se tait et on accepte. Je dis ça, mais moi je n'ai pas eu de problèmes avec ma famille. Enfin moi et moi seul. Mais moi, je suis un drôle de personnage. Moi, je trouve de la beauté partout, même dans la cruauté. Je ne suis pas un sociopathe, juste un infatigable optimiste.

Et c'est là que Jay intervient.

Qui est Jay ? Une partie bien édulcorée de cette famille que je n'ai heureusement pas choisi. Jay est une poésie décadente, une musique déstructurée, une danse abstraite et torturée. Jay, c'est un jour de canicule, une nuit sans nuage. C'est un poison exaltant pour lequel on accepterait de revivre pour mieux s'éteindre. Jay, c'est un tourment continuel et bénéfique.

Jay, c'est celle que j'ai adoré détester pour mieux aimer.

Si vous le voulez bien, je commencerais par la nommer "Elle" afin de ne pas vous perdre dans la lecture, car la situation est un poil plus compliquée qu'elle ne parait. Jay, c'est Juliet, une môme du fin fond de la Norvège... née à Seattle. Une faute de mes parents. Et des siens également. Peut-être aussi de la mienne, mais je n'avais que 4 ans à cette époque. Je ne savais pas encore que les insignes sur les poubelles de fast-food voulaient dire "merci". Je ne pouvais donc pas comprendre que prendre l'avion à 7 mois et demie de grossesse s'avérait être la pire des idées jamais envisagée. Pour faire court, une môme du fin fond de la Norvège avait pour la première fois ouvert les yeux dans une clinique américaine. Prématurée et visiblement un peu trop pressé. Avec un peu de recule, cela ne m'étonne pas.

Juliet Oskarsen, c'est comme ça qu'ils l'avaient appelé. Pas d'autre nom. Et c'était bien suffisant.

Un papa libraire, une maman peintre. Elle avait de la chance cette môme. Une vraie bibliothèque, de vraies pinceaux. Si seulement son chat n'avait pas eu la mauvaise idée de boire le contenu du verre dilué avec les couleurs du nouveau tableau de sa mère, celui-ci serait peut-être encore vivant. Repose en paix Basil. Elle a beaucoup dansé aussi cette môme. Elle faisait même du piano puis s'est essayée au chant lyrique. Et elle a adoré. Le théâtre, lui, était arrivé bien plus tard. Cette môme était encore trop timide pour se déchirer sur scène. Elle chantait, cela comblait déjà les trous. Espiègle, elle l'était aussi. Elle poussait ses camarades de maternelle dans la piscine gonflable du jardin afin qu'ils en sortent frigorifiés et qu'elle puisse profiter toute seule de la baignade. Un enfer sur patte. Le diable a beau porter du Prada, Juliet, elle, portait du prêt-à-porter et n'était pas moins cruel que celui-ci. Juliet nageait dans l’insouciance et en profitait au maximum, parce qu'elle comprenait le monde plus que quiconque et savait déjà ce que cela impliquait d'être un enfant. Elle vivait donc en toute liberté et profitait de chacun de ses jours d'existence afin de mettre en place toutes ses espiègleries. C'est cette Juliet que j'ai connue.

Elle est revenue à Seattle à l'âge de 4 ans, une nouvelle visite au pays de l'Oncle Ben pour elle. Puis à 6 ans. Puis à 7 ans. Puis chaque année pendant les vacances d'été. Elle aimait fêter son anniversaire à Seattle, cela se voyait dans ses yeux, dans son attitude, dans son espièglerie. Elle devenait plus agressive, plus assourdissante, plus enthousiaste. Son sourire s'agrandissait. Ce magnifique sourire. Ah, si vous saviez à quel point ce sourire a envoûté les personnes qui l'ont côtoyé. Si vous saviez. Parce que Juliet savait se faire entendre, et savait même se faire écouter. Elle n'était méprisable que lorsqu'elle souriait. Un vrai diable en attente de grandir. Un vrai de vrai. Sa faiblesse ? Les sentiments. Rien que ça. Même maintenant, c'est quelque chose sur laquelle elle reste parfaitement interdite et je ne lui en ai jamais voulu pour ça.

Tant que les sentiments n'interféreraient pas, Juliet restait fabuleuse.

Il s'appelait Marty. Il l'aimait bien. Peut-être plus que ça, je n'en sais trop rien après tout. Ce que je sais, ce qu'il lui tournait autour avec une discrétion stupéfiante. Il était brillant, mais un peu con. Le genre de gars que l'on verrait plus tard derrière un bureau d'avocat et qui ne pourrait s'empêcher de faire une blague sexiste toutes les dix minutes. Mais Juliet l'appréciait, aussi étonnant que cela ait pu paraître. Juliet appréciait ce qui, à mon sens, était un crétin pompeux et vaniteux. C'était terrible. Et leur relation l'était également. Ils avaient 15 ans, ils étaient jeunes. Ils étaient cons. Plus que la normal. Il ne se décollaient pas. Malheureusement, Juliet tient à une seule chose dans sa vie : son indépendance. Et elle s'est tout simplement enfuie, parce qu'elle en avait envie. Parce qu'elle voulait voir ailleurs.

Parce qu'elle s'ennuyait.

Elle s'appelait ensuite Frigga. Celle-ci nous venait tout droit de la Norvège. Sympathique, mais avec une jalousie presque maladive. Juliet avait fini par lui écrire un sonnet inspiré de Shakespeare pour annoncer leur rupture. Elle en avait ri pendant tout une semaine, la fourbe. Ce serait mentir de vous dire qu'elle allait mieux ainsi. Absolument pas. Juliet adorait Frigga mais elle venait d'atteindre un point de non-retour et son indépendance reprenait le dessus. Et puis, Juliet était, et est toujours, une magnifique peau de vache. Elle est instable et aime observer son monde pour mieux le déchirer impunément. Elle voulait souffrir afin de mieux comprendre comment cela fonctionnait. Elle voulait pousser le vice humain jusqu'au bout. Elle tenait réellement à voir l'imperfection imperfectible de l'être humain. Cette gosse était étrange, je vous l'accorde, mais si vous la connaissiez comme moi, vous seriez prêt à passer la soirée avec elle pendant chaque été.

Tandis que la demoiselle croulait sous ses devoirs de philosophie, elle tentait également de tendre sa main vers le club de théâtre de son lycée, soit la matière qui lui rapportait une centaine de points à chaque examen de fin de période. Elle aimait bien le lycée cette Juliet. Elle n'aimait juste pas qu'on la catégorise, qu'on la réduise à une simple fille espiègle et rancunière. Elle n'aimait plus trop son prénom non plus. Pendant l'une de nos nombreuses conversations téléphoniques, il a fallu que je mentionne une seule fois le surnom "Jay" pour qu'elle se décide, du jour au lendemain, à changer son prénom. Cependant, elle ne pouvait le changer comme ça, alors elle a demandé à tous ses proches de changer eux-mêmes leur habitude. Cela a pris du temps, mais ça a marché, et elle se sentait bien mieux.

Parce que Jay n'est pas une fille. Jay est un phénomène étrange. Jay est un hybride.

Vous savez ce que c'est d'avoir de la famille qui vit en Amérique ? C'est que vous avez non seulement l'avantage de parler mieux anglais que les autres mais également d'être un poil pistonnée. Enfin, Jay ne l'a pas été. Enfin, pas complément.  C'est bien pour ça que je dis un poil. Jay était brillante après tout. J'en ai perdu des débats philosophiques avec Jay. Beaucoup trop même. Et, à côté, les habitants de Seattle pensaient qu'il s'agissait d'une américaine. C'est beau. Et Harvard également l'a pensé. En fait, je crois que toute la planète terre l'a pensé. Sauf la Norvège, cela va de soi.

Je me retournais dans tous les sens afin de réussir mon cycle universitaire à Brown et Jay venait de se faire accepter à Harvard. A ce moment-ci, j'ignorais qui était le plus chanceux de nous deux.

Nous étions des chanceux.

Pour être honnête, je ne savais pas vraiment où cet article allait mener. Quand il s'agit de ma famille, je ne sais jamais vraiment quoi écrire. C'est terrible. C'est ambigu une famille. C'est étrange. C'est complexe. C'est pire que d'écrire la critique d'un film. C'est pire que tout ça. "On ne choisit pas sa famille", c'est un peu comme être condamné au final. Il faut juste espérer tomber sur la bonne. La mienne me satisfait. Étrangement. Avec des parents qui pensent encore que le thé apparaît sur leur table de chevet par magie et une cousine profondément espiègle qui refuse qu'on la féminise entièrement. Oui, je maintiens. Elle me satisfait pleinement.

Joyeux anniversaire sale môme !
PS : Ne me tue pas avant de rentrer de vacances, tu sais que ça fait au trafic.

Gabriel Berlinski.
The End
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Rhys Ackerman

Âge : 23
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Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
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Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
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J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t165819-rhys-ackerman-kim-taehyungRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t166603-rhys-ackerman-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t166159-meetsachussets-rackerman
Re-bienvenuuuuuue sur le forum J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 3850463188
Azy, la philosophie ça correspond aux Mathers t'sais, avoue tu veux nous rejoindre J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 3997999705 (a)
(Rhys Ackerman)



“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

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Bienvenue parmi nous & bonne continuation pour ta fiche J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 2511619667 J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 3850463188.
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Rebienvenue a toi alors J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 1616978029 J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 3850463188
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Rebienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche! ♥
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BIENVENUUUUUUUUUUUE J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 3850463188 bon courage pour ta fiche hanwii
amuse-toi bien parmi nous J. JAY OSKARSEN ► Kate Bracken 152426858
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bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. (:
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Re-bienvenue  hanwii 
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