charrys ✰ baby you light up my world like nobody else.

Il comprenait et à présent, tout revenait dans l'ordre, je devais juste réfléchir me faire à l'idée que surement bientot, je devais laisser sa queue me pénétrer et qu'il fasse ce qu'il voulait de moi parce que je le voyais comme ça et puis c'est tout. Il me fit lègèrement rire avec sa petite phrase pour conclure l'histoire. Le silence avait été long mais mon message ensuite était bien passé si bien qu'un sourire ému s'afficha sur le beau visage de mon cher copain qui semblait au bord des larmes. Je restais tout de meme assez fermé comme à mon habitude si bien que je n'eus pas grande réaction au premier instant de son fameux Je T'aime expressif bien que cela me touchait puis je laissais un sourire apparaitre. Je savais qu'il demandait rien mais je voulais faire 'effort, je voulais ne pas avoir peur de lâcher ce que je voulais alors je pris sa main et inspirant discrètement, je lui répondais en serrant fort sa main comme pour me rattacher à quelques choses comme si je passais l'étape de ma vie, je lui disais sincèrement : Je t'aime Charlie ... Je découvrais très vite à ma vision devenue trouble que mes yeux brillaient, parce que j'étais heureux de lui avoir dit meme si je rougissais de honte si bien que cela me confirma que je devais pas le dire trop souvent. Alors je me disais que ce soir était le soir où je me lâchais mais après, je resterais moi. Je voulais lui exprimer des choses pour fêter ce premier mois alors j'osais le tout pour le tout. Tu as fait de moi un homme bien meilleur Charlie ... oh je ne suis pas parfait je suis meme imparfait mais ma meilleure partie ... Je respirais avant de baisser le regard, honteux : c'est toi ... Je luttais contre mes dires, on le sentait à mon visage fermait qui voulait empêcher les mots de sortir ou la sincérité qui émanait d'eux de se montrer.

Oh bah j'aurai surement pas du me lâcher et lui dire mes plus grandes pensées. Je faisais un effort et voilà que des larmes venaient perler son visage : que mierda ! Pourquoi je lui fais ça ? Mon pauvre amour. Je reste impassible de peur d’aggraver les choses et je ne dis plus rien alors que peu à peu, je le sens de plus en plus touché. Il se leva précipitamment, si bien que j'eus peur qu'il s'en aille et me tourne le dos, honteux de pleurer mais au moment où j'allais me lever pour l'attraper, c'est lui qui me surprit en venant vers moi et me serrant dans ses bras. « Arrête, tu me fais pleurer, Em. Faut pas me dire des choses si belles ! » Il me serrait fort contre lui et touchée de son émotion, je le repoussais doucement et l'attira de tel sorte qu'il se retrouva assis sur mes genoux. Je pris son visage entre mes mains et lui offrit un baiser passionné, digne du cinéma. Je laissais ensuite mon front sur le sien et lui dit : Mais Charlie ... je ne le dirais pas souvent mais si je veux le dire, j'en ai tout les droits puisque c'est vrai ... Je souriais, un sourire coquin, fier d'avoir su dire au moins une fois les choses.

A présent sur mes genoux, mon mec me regardait avec fierté surement heureux de mes dires, de mon comportement qui faisait mentir bien du monde. Il était content, joyeux, heureux et ça, ça me rendait tout joyeux aussi. Ça faisait longtemps que je n'avais pas pris mon pieds à rendre la personne qui est en couple avec moi, heureux et que je n'avais pas réussi à le faire aussi. « Je sais, Em. Tu parles quand-tu-veux. Le mieux que je puisses faire, c'est de t'écouter. » Je caressais son beau visage, plongeant dans ses yeux en montrant tout l'amour que je ne savais pas réellement exprimer à chaque instant puis je le boosta pour qu'il se lève d'un coup de tape sur les fesses accompagnée d'un clin d'oeil très sensuel. Il repartit donc à sa place face à son assiette. Je pris le temps de manger un peu plus de mon plat. Je bus aussi une gorgée de mon eau de mon verre ; ça manquait de vin ou d'alcool simplement. non que je sois alcoolo mais pas loin si ça continue. Mon copain se remit à parler ne manquant pas de tenter de me tuer à nouveau d'un moment où j'allais m'étouffer en entendant ça : « Au fait... J'ai parlé de toi à ma mère... ». PAN. Mais il voulait t'achever ou quoi ce soir, je le regardais en me demandant quel était son problème ... pouvait-il laisser mon cœur se remettre des précédents événements ? apparemment, non. Je me montrait le visage occupé par une expression grave du à ce que son annonce provoquait chez moi. Ouais, c'était un peu comme un engagement quand on te dit qu'on a parlé de toi à sa mère alors je reprend la parole, calme pour une fois : Pourquoi donc ? Je me montrais très étonné.

Je ne comprenais pas vraiment l’intérêt qu'il avait à parler de moi à sa mère et je trouvais ça totalement affolant pour moi : j'avais l'impression qu'il cherchait la rencontre et ça faisait flipper. Cependant, il se voulait encore rassurant comme si il lisait en moi. Il semblait en avoir marre que je m’apeure de tout ou que je sois choqué de tout, je comprenais mais je me sentais si peu à la hauteur. « Parce que ma mère compte à mes yeux et elle a le droit de savoir que je suis heureux et pourquoi je le suis. » Ah c'était donc que pour ça ; pas de rendez-vous ou de truc comme ça ! Je souriais un peu plus et répondit : Ah c'est bien ... ça a du lui faire plaisir ... Dis-je sans vraiment de certitude parce que je ne savais simplement pas ce qu'on devait dire dans ces cas là. Sinon tu comptes partir au spring break ? C'est dans pas si longtemps tu sais ...