charrys ✰ baby you light up my world like nobody else.

Mes mains sur ses hanches, situé juste derrière lui je soufflais à son oreille un mot doux pour apaiser son coté offusqué. Je le trouvais trop chou quand il était comme ça meme si ça me saoulait qu'il ne puisse pas simplement rire. Pourquoi fallait-il qu'il complique les choses ? Il pourrait simplement m'aider à ne pas augmenter ma peur de ne pas etre assez fort pour assumer tout ça. Et d'un coup, il me tua d'une phrase qui me fit rire tout en m'offusquant à mon tour parce qu'il se la jouait petit chef : « Lâche ta bonne femme et vient manger, homme. » Heureusement, il fit un clin d’œil signe de simple petit jeu et je jouais à mon tour, avançant vers la table finement dressée, me demandant encore comment il avait pu trouver tout ça. La richesse, ça fait des ravages ! Oui, femme ... je viens ! Je lui fis un clin d’œil et me mit à nouveau à rire en m'asseyant à table. je mettais la serviette sur mes genoux puis je repris : J'aime quand tu tentes de me dominer mais ça marche moyennement bien ! Je me marrais de plus en plus.

Il me servait et d'un sourire, je lui montrais que j'étais ravi de ce qu'il avait fait car ça me semblait bien bon. J'avalais un morceau et fit un bruit positif montrant que tout se confirmait, c'était délicieux. Je regardais simplement mon assiette, relevant par instant mes yeux pour le reluquer parce que faut le dire, c'est un canon mon gars. ! Je lui souris par moment puis tout à coup alors que je bois et qu'il semble bien avoir avalé sa boucher, il parle de ... dominant et j'ouvre grand les yeux parce que je sens qu'il va dire un truc chelou et étonnant de sa part. J'avale mon eau et bois encore parce que ma bouche est sèche tant la façon dont il a de se préparer m'effraie. Je lève un sourcil montrant l'étrangeté de ma peur puis il me demande si je veux tenter la ... la quoi .... oh la sodomie ? il a pas osé me demander ça. Ça ne fait pas le tour de mon cerveau que déjà je recrache l'eau que j'avais en bouche manquant de m étouffer et je dis sur un ton élevé sans vraiment le vouloir encore entrain de manquer d'air : Pardon ? Mon ton reste un peu arrogant. Je le regarde avec de gros yeux. Je ne sais pas comment réagir mais je montre mon étonnement. Je lui répond ensuite le vieux réflex depuis mon dernier voyage en Espagne, langue parlée couramment, quand je trouve un truc ultra-choquant mélangeant le tout dans ma langue natale signe de mon stresse d'un coup, un truc que je controle d'habitude : EN SERIO CHARLIE ?
είστε τρελός να με ρωτήσει αρέσει αυτό με... Ouais, là, c'est la panique totale ! C'est la toutale, bordel !

Et soudain, une main venait me contrôler naviguant direct sur ma peau pour me calmer. Il prononçait mon nom ayant déjà tout abandonné dans l'unique but que je me calme. je pétais pas un câble mais j'étais super choqué des mots qu'il avait tenu en fait en parlant de moi. Je me choquais aussi de cette réaction en réfléchissant bien. Je l'entendais malgré mon bouillonnement intérieur provoqué par la peur de la soumission d’être vu comme certains disaient le winthrop déchu, le ... ah je ne sais plus quoi penser mais lui me disait qu'il ne voulait pas me soumettre que ce n'était pas ça alors je sentais mon taux de colère baisser. je buvais un coup d'eau en espérant qu'il ne me ferait pas cracher celle-là aussi mais non, il se contenta de m'expliquer qu'il voyait pas ça comme de la domination sur moi, lui voulait savoir si je voulais tenter ce plaisir, le partager avec lui en inversant les rôles apparemment mais je pouvais pas m’empêcher d'avoir l'impression que si c'était moi qui était enculé ... bah ouais en gros, ça se dit comme ça non ? bah j'étais faible, vulnérable, une sale tapette alors que lui quand il l'était je le voyais pas comme ça parce que lui, il était beau en étant en dessous et je lui offrais de me sentir en lui enfin je sais pas mais lui je le vois pas comme un soumis mais si c'est moi si enfin je sais plus. je reste muet et enlève ma main d'en dessous de la sienne avant de répondre, fermé : en somme, tu me demandes si je veux que tu m'encules ? J'avais les bras croisés sur ma poitrine et je le fixais sans rien lacher.

Je le regardais s'étonner face à ce que je disais, à mes réactions mais comment voulait-il que je sois ? je me sentais juste mal de devoir répondre à un tel truc. Je restais si neutre au niveau de mes expressions qu'on ne pouvait me comprendre qu'en me connaissant.Bien sur il nia que ce n'était pas m'enculer qu'il voulait faire mais simplement me faire l'amour. Tout en me disant cela, il se mit à s'appuyer sur ses coudes et je ne pus m’empêcher d'avoir un sourire très simple en voyant sa belle frimousse, il était si beau mais je redevins aussitôt impassible ne voulant pas le laisser gagner face à sa demande étrange. Il prenait des pincettes et je trouvais ça mignon certes mais c'était tout de meme apeurant pour moi, je sais pas. Pour lui, ça ne devait pas être vulgaire forcément ! Ok, je lui accordais mais je restais tout de meme loin de lui et fermé, je pouvais pas y changer. Je vois ... disons que là, j'sais pas si je serais capable parce que ouais, en gros, je pense que tu veux prendre le pouvoir et meme si je veux te le donner, je sais pas si je suis capable vois tu ... Je me livrais clairement.

Il ne lâchait pas l'affaire et la conversation ne lui coupait pas du tout l’appétit ce qui étonnant quoique il était habitué avec ces cours donc je ne m'en formalisais pas. Je voulais vraiment ne pas me gâcher la soirée ni la sienne meme si ça semblait ne rien ressentir de mauvais. Je soupirais puis quand il commença à m'expliquer ce qu'il voulait, ça m'arracha un grand sourire. C'était beau ! Ouais, il me touchait étrangement trop et je souriais maintenant d'un coup, je laissais mon visage s'illuminait. Ce ne sera surement pas pour là, de suite mais je pense que je peux réfléchir à la question chéri ... Je posais ma main à nouveau sur la table, me calmant réellement. Je reprenais ma fourchette en inspirant. Je ne savais pas comment reprendre une autre conversation, je ne savais pas alors je me taisais, regardant mon assiette. Je brisais le silence après quelques minutes en me disant qu'il faisait pas être rancunier d'un froid mis pour une connerie à cause d'une de ses réactions ; je te le dis jamais mais ... tu m’impressionnes toujours Charlie ! C'était positif, je tenais à lui dire, j'en avais besoin, spontanément. Il ne comprenait pas forcément du positif mais si il cherchait à comprendre, il serait qu'il y avait un truc appréciable dans ma phrase parce que ouais, il m'impressionnait positivement par ce qu'il était en gros, je lui disais que je l'aimais.