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remember who the real enemy is. ~ diamantika

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Finalement, bien trop fatiguée pour se battre avec qui que ce soit – ou quoique ce soit d'ailleurs, par exemple elle avait arrêté de s'occuper de sa frange, elle avait un peu marre ce cet espèce de balai au dessus des yeux – et certainement pas avec un humain. Enfin une humaine. La jeune femme n'aimait pas le conflit, elle le savait nécessaire parfois, mais si Joan pouvait éviter de s'embrouiller avec les gens pour des conneries, alors elle allait faire un effort. Lindley déposa les armes, elle se détendit et sourit doucement. « Tu as raison, je lui en parlerai ! Il faudra qu'on se trouve un moment, mais avec le Spring Break ça va remettre ça à dans un long moment... » Frances rit en regardant le blonde se plaindre de la pluie. « Pas vraiment, je passe ma vie dans les cours et les révisions en ce moment, mais ça joue sur mon moral ! Si seulement il faisait beau, ça me motiverait... »
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Ah c'est vrai, le spring break, j'avais déjà hâte d'y être, hâte de pouvoir porter les nouveaux maillots que j'avais acheté pour l'occasion, hâte de profiter des îles et surtout hâte de pouvoir fêter mon anniversaire, car, c'était le dix mars et le dix mars nous serions à Punta Cana, si elle n'est pas belle la vie. « Ouai t'as raison, on fera cette sortie juste après le spring break, si bien-sûre aucune de nous ne crève d'ici là. » Car nous ne savons jamais quand l'heure vient de quitter la terre vers je ne sais quel autre endroit. Contrairement à moi, la brunette n'avait rien de spécial à faire, donc cette pluie ne lui faisait ni chaud ni froid, alors qu'à moi, elle me laissait un goût amer au bout de la langue. C'est soudainement de là que me vient une idée assez folle, comme moi d'ailleurs. « Et si on retirait nos chaussures et qu'on rejoignait la pluie ? J'ai toujours voulu voir ce que ça faisait de marcher pied nu sous une pluie ! Alors cap ?. » C'était le défi d'une Eliot à une Quincy, allait-elle se défiler ? Ou était-elle également aussi folle que moi pour accepter ?.
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Joan sourit, se moquant gentiment de Diamantika. Pourquoi l'une d'elles devraient disparaître ? La jeune femme n'aimait penser à ce genre de choses, c'était trop déprimant, noir, moche, bouuuh. En temps normal, elle était plutôt optimiste mais lorsqu'on commençait à aborder le sujet d'une mort proche, la brune angoissait immédiatement. Elle avait suffisamment entendu sa mère lui dire que la Terre allait bientôt disparaître à cause de la société de consommation, et maintenant elle avait envoyé sa fille à Harvard et elle adorait manger des bonbons chimiques qu'elle interdisait à sa fille. C'est fou comme les gens peuvent changer, ou alors sa mère était juste une sale menteuse. D'ici qu'elle se re-marie avec son père... « Je m'inquiète pas pour ça, on sera encore plus vivante dans deux semaines ! » Puis, Lindley regarda en riant son amie. Si elle était d'accord pour se ridiculiser ? Mais carrément ! « Allez on y va. » Joan quitta ses chaussures sur le champ. « Je te préviens je t'attends avant d'y aller je veux pas que tu me fasses un faux plan Kovalevski ! »
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Bien que je n'étais pas du tout pessimiste, je savais néanmoins qu'il fallait profiter de la vie, comme si chaque jour était la dernière. C'est ainsi que ma mère me le répétait sans cesse depuis mon plus jeune âge et au fur et à mesure que je grandissais, je comprenais pourquoi elle n'arrêtait pas de me le dire. J'esquissais un sourire quant à sa réponse assez positive. « Je n'en doute pas le moindre du monde !. » Mais sait-on jamais. Pour ma part, j'aimerai quand même d'abord me marier et avoir des enfants avant de pouvoir monter dans les cieux. Joan accepta le défi et se déchaussa en me faisant savoir qu'elle n'allait pas y aller sans moins au risque que je lui fasse un coup dans le dos, ce qui me fit éclater de rire, elle me connaissait très bien faut l'avouer, mais toutefois, pas cette fois, j'avais vraiment envie de marcher sous la pluie. Alors je me déchaussais immédiatement déposant mon sac, attrapant la main de Joan et courant comme une cinglé sous la pluie. Je m'arrêtais, lâchant la main de la demoiselle, avant de tourner autour de moi-même les bras tendus de chaque côté de mon corps. « Alors ! Qu'est-ce que tu en penses Joan ?. » C'était palpitant et je sentais l'adrénaline monter petit à petit, presqu'envie de revenir à l'âge de mes cinq ans. « Je crois qu'on vient de faire sortir une nouvelle mode là !. » Car certaines personnes nous imitaient, eux aussi voulait voir ce que ça faisait et à en juger par leurs rires, ça leur était agréable.
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La jeune femme avait un peu l'impression de redécouvrir Diamantika. Attention, Joan ne serait pas Joan si elle faisait totalement confiance à Diamantika Kovelski et tous les gens de son … espèce. Les gens à qui tout réussissaient à peu près en fait. Enfin, elle disait ça mais la brune n'avait pas la moindre idée de comment vivait Diams, ses habitudes, ses goûts, ses relations, si elle était en couple, mariée, quatre gosses, promise à un vieux milliardaire new yorkais. La Quincy se faisait peut-être une idée totalement fausse de la blonde, et ce ne serait pas la première fois qu'elle se tromperait sur quelqu'un. D'habitude c'était plutôt dans l'autre sens, les personnes qui comptaient le plus pour elle, les gens qu'elle admirait finissaient toujours par la décevoir. Hé oui pauvre petite Joanie. Là c'était plutôt dans le bon sens. Les deux filles couraient donc sous la pluie, pieds nus, elles faisaient du bruit. De vraies gamines. Les enfants, tellement moins compliqués, ça se fout de l'âge, de la classe sociale, du niveau d'étude, BREF. Elle allait encore se lancer sur un débat social blabla. Fais dodo Joan ma petite sœur. « Et oui ! On est star ou on l'est pas. On crée les modes, les autres copient ! »
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J'étais peut-être peste par moment, garce sur les bords, mais je savais aussi m'amuser en laissant tout cela derrière moi. J'avais beau être énormément friqué, ce n'était pas pour autant que je m'en vantais à cœur joie. Si je me vantais, c'était soit par amusement, soit face à quelqu'un qui me provoquait, je ne vais pas donc pas crier sur tous les toits que je suis riche, au contraire, je restais simple d'esprit et ne parlais jamais de l'argent de mes parents. Joan et moi avions fini par courir sous la pluie, c'était vraiment bien et nous avions même incité des curieux à nous rejoindre de leur propre chef, ils voulaient savoir ce que ça faisait, maintenant ils étaient servis. « Mais grave !. » Disais-je avant d'entamer une petite danse, j'animais avec mes mouvements souples, agiles et gracieux, sourire aux lèvres et le regard brillant d'une joie de vivre sans pareil. J'avais un style de danse très souple qui faisait onduler mon corps de telle sorte que je n'avais pas besoin de musique pour accompagner l'ardeur de mes mouvements. Puis j'éclatais finalement de rire après ma petite prestation. « Sayez, je vais être prise pour la cinglé d'Harvard !. » Et je m'en fichais, mais totalement. J'ouvris mes paumes de mains, accueillant la pluie et lorsque ce dernier se remplaça assez dans mes mains, je balançais au visage de Joan « Elle est plus gouteuse que l'eau de la mer non ?. » Soufflais-je en lui tirant la langue par la suite.
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Joan n'aimait pas les coincées comme on les appelle si gentiment. Les gentilles filles elle n'y croyait pas. Par exemple les Quincy qu'elle connaissait – rappelons que c'est la maison des gentils petits agneaux – n'étaient pas des saintes-nitouches, pas des dévergondées non plus, mais elles avaient toutes un côté barge pas désagréable. Quelque chose qui les rendait humaines. La jeune femme ne croyait pas aux filles tout le temps gentilles comme elle ne croyait pas que le Père Noël pouvait faire le tour de la planète en une seule nuit. Malgré sa réticence à se lier à des Eliots à cause de leur mauvais côté, la jeune Lindley arrivait à imaginer leur part d'humanité. Le sentiment de supériorité qui émanait d'eux était … un sentiment, exact chef. Pour ressentir quelque chose, il faut être humain n'est-ce pas ? Bon d'accord, elle attendait encore de les voir être amoureux, compatissants, doux. C'est à ce moment-là que la réflexion Joanienne devient chiante et qu'on bascule sur l'action. Joan passa sa langue sur ses lèvres mouillées avant de rire. « En effet rien à voir avec de l'eau de mer sale et salée. » Quelqu'un avait un jour dit que les filles étaient compliquées, pourtant il y avait là deux jeunes femmes, opposées par leurs caractères et leurs convictions, pourtant amies, pieds nus dans la rue, un jour de pluie. Diamantika et Frances avaient un petit plaisir simple, juste pour le bonheur de faire un truc débile ensemble.
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Je venais d'arroser mon amie avec un peu d'eau de pluie et fut heureuse de constater que nous étions aujourd'hui sur la même longueur d'onde. Je fis un tour sur moi-même, bah quoi le ridicule ne tue pas, faut savoir se lâcher de tant à autre, oublier les bonnes manières et tout ce qui va avec. D'ailleurs, mon regard tomba sur la poitrine de Joan, sa chemise lui collait à la peau et on voyait à travers, mais le plus surprenant c'est qu'elle n'avait pas mise de soutif aujourd'hui. La pauvre, ses tétons et même ses seins se voyaient carrément. J'éclatais de rire, avant de sauter dans ses bras et de la plaquer contre moi pour rester dans cette position le temps de lui murmurer à l'oreille. « Joan, je crois que t'as oublié de mettre un soutif, résultat, on voit carrément tes seins, mais encore plus tes tétons... » Disais-je avant de rire et de reprendre. « Dès que je m'éloigne de toi, tu caches ta poitrine avec tes bras et je passe devant toi, le temps qu'on se réfugie dans un endroit à l'intérieur pour sécher. » Je murmurais ces derniers mots avant de reculer rapidement et laisser Joan se cacher la poitrine. Comme prévu, je marchais devant elle jusqu'à l'intérieur et en passant, j'attrapais mes affaires ainsi que celles de Joan et nous nous dirigions ensuite vers une classe vide.
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Comment ça elle n'avait pas de soutient-gorge ? Pas possible c'était quoi cette histoire, la jeune femme était sure d'en avoir mis un. Aussitôt Diamantika évoqua la possible nudité des seins de Joan que celle-ci plaque ses bras, entourant sa poitrine, le visage rouge écarlate. S'il y avait bien une chose qu'elle ne supportait pas c'était le pointage de ses attributs féminins. Voilà comment la mettre mal à l'aise, décidément, cette blonde blondeur était bien plus intelligente qu'elle ne le laissait présager. « Non c'est pas vrai ! » Frances décida finalement de prendre ça à la rigolade en suivant en courant la Eliot. Finalement, les deux jeunes femmes atteignirent une salle de classe visiblement déserte. Lindley avait l'impression d'avoir dix ans et d'être dans la cour de récréation de son école primaire. Très mature tout ça dites moi. La brune tira son tee-shirt en avant et vérifia la présence – ou non – de soutient-gorge. « Bien sur que si j'en ai un ! »
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J'étais complètement morte de rire, comme quoi, on était vraiment sur la même longueur d'onde lorsqu'on laissait notre petite querelle de côté. Ça me faisait vraiment plaisir de passer ce petit moment avec la Quincy sans nous prendre par les cheveux, si je pouvais le dire ainsi. Une fois dans cette fameuse classe vide, Joan tira son tee-shirt afin d'inspecter qu'elle avait bien un soutif, oui, elle en avait bien un, mais alors il devait vraiment être léger pour laisser voir ses tétons. « Il doit vraiment être léger pour laisser tes seins dominer alors !. » Je riais avant d'enlever mon tee-shirt et de le déposer bien étalé sur l'une des tables pour qu'il sèche un peu. Je m'approchais de la demoiselle un large sourire diabolique aux lèvres. Elle ne devait pas savoir ce que j'avais en tête, mais elle me regarda bizarrement. Je passais ma main sur sa poitrine et malaxa rapidement ses seins juste pour la provoquer en faisant mine de vérifier leurs grosseurs. « T'as de la poitrine dit donc ! Juste là où il faut et ils sont moelleux waaaaawwwwww !. » Goshh, si on nous surprenait on nous collerait surement l'étiquette de deux lesbiennes. J'éclatais de rire en terminant par lui faire de petits chatouilles sur ses hanches avant de reculer et de m'asseoir sur une table.
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