Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityun parfum de liberté (ft. Valentine & Dexter) - Page 2
Le Deal du moment : -28%
-28% Machine à café avec broyeur ...
Voir le deal
229.99 €


un parfum de liberté (ft. Valentine & Dexter)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
un parfum de liberté
 
fiche par ©century sex  


Je savais qu’elle n’aimerais pas mon retour de question, mais c’était tellement amusant de l’entendre perdre patience, pour une fois que ce soupir bien sonore ne venait pas de moi. « Hum, sable? » Bingo. J’haussai les épaules pour la torturer d’avantage. «Peut-être, je ne sais pas.» C’était un jeu auquel elle serait toujours perdante et j’adorais se sentiment de domination, pour la première fois de ma vie je me sentais en contrôle à ces côtés, capable de lui tenir tête et d’influencer son humeur. « C'est un nouveau de mes rêves que tu es entrain de réaliser donc? » Nouveau? Je tournai la tête une fraction de seconde vers elle, cherchant dans ces traits la réponse à mon interrogation. Je devrais me résoudre à verbaliser le tout, son visage ne m’inspirait qu’une envie incontrôlable de l’embrasser tout entier. «Quel autre rêve aurais-je réalisé?» J’étais réellement perplexe, je ne demandais pas pour ravir mon ego, mais pour satisfaire ma curiosité. D’un geste elle ébranla toutes les fondations, les barrières que j’avais hissées invisiblement entre son siège et le mien. Les règles existaient pour quelque chose, pour une raison bien précise, chacun de ses contacts affectaient ma sensibilité. J’en perdais la tête à chaque récidive, avide de plus, désireux de trop. « On dirait bien que c'est mon destin. Tu sais que ce genre de marque est éternelle? » Déclara-t-elle en me provoquant et me charmant. Je l’attacherai ce soir si elle dépasse les limites de marquages, oui j’oserais. J'espérais qu’elle soit éternelle, que tous vois qu’elle n’était plus libre, de coeur et d’esprit, son corps encore trop balancé entre... je ne voulais même pas y penser. «Rappel moi de te mordre plus souvent, je ne peux prendre de chance à l’avenir.» Ma voix n’était plus aussi enjouée que précédemment, penser à ce triangle amoureux dans lequel je m’étais retrouvé par maladresse de coeur ne me faisait jamais plaisir, ça minait mes illusions à chaque répétition. Le sujet dévia rapidement sur ma naïveté et mes faiblesses, sur l’imaginaire beauté de son corps dévoilé au grand jour. Elle rit de ce rire qui contamine l’essence, un sourire se glissa sur mon visage, illuminant jusqu’à mes yeux d’ordinaire voilé par la présence de tous mes troubles. « Mon coeur, tu n'as aucune chance, mais je veux bien être sage et le porter une fois que nous serions en public. En privé par contre... je ne suis pas sûre de le garder. » Mon coeur... humphf. C’était ce que je possédais de plus précieux, le sien. Elle me fit grincer des dents, difficiles de rester calme devant de telles paroles glissées avec naturel. N’avait-elle pas la moindre pitié? «Tu rêves si tu penses que je vais te laisser être vu publiquement... de toutes manières je...» Je dû m’arrêter avant d’en dévoiler ma surprise. Je m’étais arrangé pour nous isoler, réellement le faire de la plus littérale manière. Nous serions deux, une plage, une chambre, seuls les étoiles pourraient être témoins de notre idylle. «Tu verras bien, j’ai penser à tout.» Finis-je pour ne pas lui laisser la chambre de profiter de mon écart de conduite. D’un écart à un autre je glissai, me voulant subtil, ma main vers sa cuisse, la possédant partiellement, suffisamment pour attirer son attention, imposer ma présence sur sa peau d’une douceur injuste. C’était de la torture, pour moi, pour elle, pour les quelques centimètres qui me séparaient toujours de son intimité. Il aurait fallut de peu pour... Arf! Je n’eus le temps de terminer cette pensée que déjà on coupait court à ma joie de l’éprendre. Ma main, fermement prise entre les siennes, fis son ascension jusqu’à son visage. Oserait-elle? Mon estomac se tordit d’avantage sous la simple idée. Non, non forcément elle... Et elle le fit. Je tournai la tête juste à temps pour la voir me sourire, elle avait reprit le contrôle si rapidement que je n’avais même la chance de me défendre. Elle plongea mon index dans sa bouche, me faisant gouter à la texture de ses lèvres et de sa langue, délicieuse sensation de plénitude, sentiment qui voyagea jusqu’à l’intérieur de mon pantalon. Torture. Un instant plus tard je sentais ses dents se refermer sur ma peau, j’en perdis le souffle... tout simplement divin comme sensation. Le sang me monta aux oreilles, je ne pouvais contrôler mon imaginaire, transposer ses images à ailleurs, à plus bas. J’avais honte d’oser, mais si hâte aussi que cela m’arrive... si ça avait à se produire un jour. Ma main retomba pour reprendre sa place sur sa cuisse, je dû lutter pour ne pas me libérer de sa douceur fantasmique, pour ne pas lui montrer ma faiblesse. Ce serait lui concéder la victoire que de rebrousser chemin. Mes doigts se contentèrent de se refermer contre sa cuisse, de se crisper, de s’injurier. Elle pourrait aisément sentir que j’étais tendu, de la tête au pieds maintenant. « Alors, on arrive quand? » Sa voix laissait transparaître l’impatience de sa personnalité. Je la reconnaissais parce que je ressentais la même tension, la même envie. Si je ne l’avais pas maintenant il me semblait ne jamais pouvoir y survivre. Ça brûlait, ça essoufflait. «Dans une éternité...» Soufflais-je en glissant ma paume contre sa cuisse, la laissant découvrir un peu plus de périmètre, relever davantage le rebord de sa robe satinée. Hum. «Alors c’est comme ça que ça va fonctionner maintenant? Je t’interdis une chose et tu la veux d’autant plus?» Je tournai la tête vers elle, j’observai son visage d’abord, puis ma main gisant sur elle, trop audacieuse à mon goût, la couleur de sa culotte dévoilée. «Alors ne m’embrasse surtout pas.» Dis-je en glissant ma langue contre mes lèvres. Je ne pouvais plus attendre, ma patience était fondu avec le reste de mes nouvelles résolutions. J’étais coincé entre deux voitures, perdu sur l’autoroute, à une vitesse que je ne pouvais décroître... oh il fallait qu’elle le fasse elle-même sinon je risquais l’accident. Fais-le...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il avait bel et bien décidé de ne pas cracher le morceau, continuant à ne me donner que des réponses vagues ou bien aucune. J'étais au bord de l'implosion, grognant intérieurement, brûlante de savoir, de l'avoir et je n'avais pas dis mon dernier mot, j'étais prête à tout pour obtenir ce que je souhaitais et en l'occurrence, je ne voulais que lui. «Quel autre rêve aurais-je réalisé?» A son tour d'attendre une réponse et je n'allais pas la lui donner comme ça, le copier me plaisait trop pour y résister. Je me pinçai les lèvres en faisant mine d'y réfléchir. « Hum, vraiment, tu ne vois pas de quoi je parle? C'est pourtant évident... » Tu es là. Je n'en étais pas encore à croire qu'il se retrouvait ici pour moi, je n'avais pas le luxe ou le prestige d'Harvard, mais j'espérais que d'une quelconque manière... si. On se provoquait l'un après l'autre, enjoués et complètements cruels, il en était venu à me mordre la main pour me réprimander de l'avoir toucher, laissant cette jolie empreinte que j'admirais le sourire au bord des lèvres, charmée de lui appartenir ainsi et de pouvoir m'en vanter, mais surtout terriblement amoureuse. Tel une bague que je porterais à l'un de mes doigts, j'exposais ma main face à moi, découvrant à quel point cela m'allait bien. «Rappel moi de te mordre plus souvent, je ne peux prendre de chance à l’avenir.» Son ton avait changé et vivement j'hochai la tête à plusieurs reprises, impatiente de lui rappeler, les mots sur le bout de la langue, j'attendrais le moment idéal pour le tenter. « Avec plaisir. » Approuvais-je avant de ranger ma main à mes cotés tout en pensant à toutes ses nombreuses autres fois où ses dents se poseront dessus. Délicieuse torture que d'y penser, je m'y perdais, l'imaginant ailleurs et partout sur mon corps. «Tu rêves si tu penses que je vais te laisser être vu publiquement... de toutes manières je...» Je reprenais mes esprits, de nouveau intriguée par ses mots, ce fameux mystère qu'il gardait sur le lieu de notre destination, j'en étais amusée par sa possessivité que j'adorais tant chez lui. « Ah oui?  » Il me faisait craquer, je lui avais demandé de s'évader avec moi et voilà qu'on partait pour un weekend où il avait tout prévu dans les moindres détails pour me faire perdre la tête. «Tu verras bien, j’ai penser à tout.» Comme toujours, Dexter avait ce talent. Il pensait à tout, désirant tellement faire plaisir à l'autre plus qu'à soit même, minutieux et perfectionniste, je savais dès la première minute en montant dans la voiture que j'allais passé un séjour magique, en sa présence s'était même inévitable. J'en grognais quand même mon mécontentement, encore une fois je n'avais pas la réponse que je souhaitais et ça me mettait hors de moi. « Tu m'énerves arg! » Lançais - je avant d'afficher une petite moue boudeuse, le regard orageux dans le sien. Il me faisait bouillir, pire, comme personne ne l'avait fait auparavant, il avait ce pouvoir, cette chose en lui qui nous liait d'âme à âme, jusqu'à inciter mon corps de nous lier de la même étincelle. Sa main parcourait ma cuisse, délicieuse torture et infini désir qui m'envahit de toute part. J'en voulais plus, tellement plus alors que nos deux personnes étaient coincés dans cette voiture, longeant l'autoroute... durant des heures d'après lui, il fallait bien que l'on passe le temps et j'avais mille et une idées, hum. Son doigt avait fini dans ma bouche, me laissant sur ma faim et ma frustration se faisait de plus en plus grande... Je le voulais, ardemment, follement, à un point où je n'imaginais pas survivre à l'échec. Il me le fallait, tout de suite et pour toujours. «Dans une éternité...» C'était sa réponse, mais je ne pouvais l'accepter, ni même m'y faire. Trop long, ma patience ne tiendrait pas et c'était tout de sa faute si j'en venais à céder. Sa main s'était glissée, avait pris plus de place contre ma peau, s'invitant de plus en plus haut, me coupant le souffle un instant, la poitrine gonflée de désir, je ne pourrais pas tenir plus longtemps. «Alors c’est comme ça que ça va fonctionner maintenant? Je t’interdis une chose et tu la veux d’autant plus?» Je ne voyais pas les choses de la même manière que lui, pour moi je le voulais lui alors, je le prenais tout simplement, du moins, il ne s'était jamais interdit à moi comme il le faisait actuellement, alors j'avouais que cela me déstabiliser et que ça m'incitait seulement à l'avoir d'avantage. Sa main releva le tissus de ma robe et il en arriva à dévoiler la couleur de ma culotte. «Alors ne m’embrasse surtout pas.» Arg! Il me cherchait, je ne voyais pas d'autres explications à me torturer ainsi, il me faisait perdre la tête et moi... Oh j'étais trop faible face à lui, je pouvais faire croire le contraire à tout l'univers mais devant cet homme et ses charmes, je m'avouais vaincue. « Surtout pas... » Soufflais je après lui avant de me rapprocher peu à peu de lui, mes lèvres des siennes... Je détachais ma ceinture qui me gênait plus qu'autre chose dans ce que je prévoyais de faire. Une de mes mains se joint à la nuque de Dexter, mes doigts se déplaçant à la racine de ses cheveux, l'autre elle, se posa fermement sur sa cuisse, m'y accrochant sous la force débordante de mon envie. « Continu de fixer la route... » Soufflais - je sur sa joue de manière à qu'il m'obéisse, je ne lui laissais pas vraiment le choix, si il tournait le visage c'était sur mes lèvres qu'il finirait, mais l'accident serait encore plus près. Mon nez frôla sa peau, si douce et parfumée de ma saveur préféré... à m'en monter à la tête, m'en faire trembler le coeur, papillonner le ventre, mes lèvres firent de même, cheminant le long de sa mâchoire pour finir au creux de son oreille. « J'ai tellement envie de toi... » Sans l'épargner, je chuchotais mes mots de manière suave. Ma main, glissa le long de sa cuisse, remonta lentement jusqu'à atteindre la poche de son jean ou je m'arrêtais judicieusement. « Tu me fais perdre la tête Dexter... » Mes lèvres avaient trouvé la texture de son lobe, mes dents s'y frottaient, je m'y brûlais de tout mon être. « Je ne te veux pas car tu me l'interdit... »Sous la douceur de milles baisers, je traversai la moitié de son visage pour rejoindre ses lèvres. En leur coin je les embrassai, longeai de ma main son torse, entortillai ses cheveux entre mes doigts. « Je te veux car je t'aime. » Finis par avouer les yeux clos, au bord de l'ivresse, prête à me donner et à m'abandonner toute entière à lui. J'avais envie de lui supplier de me faire l'amour, juste là, juste maintenant. « Je t'aime, je t'aime, je t'aime. » Je déposais mes mots entre chaque baiser que je lui donnais, de ses lèvres je descendis jusqu'au bord de son parfait visage, rejoignant à présent son cou pendant que ma main traversait la barrière, se glissait sous son haut, mourant sous chaque parcelle de sa peau que je découvrais, de son ventre à son torse, je savourais tout de mes doigts délicats. Je ne savais pas comment m'arrêter, j'étais perdue, gagnée par cette passion effrénée, le gout si particulier qu'il possédait, mes lèvres finirent en son cou, et je me jetais dans cet abysse avec douceur, insistant parfois avec ma langue, oh il fallait qu'il arrête cette voiture tout de suite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
un parfum de liberté
 
fiche par ©️century sex  


Que les coquinous qui ont le droit de lire. un parfum de liberté (ft. Valentine & Dexter) - Page 2 3997999705

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
un parfum de liberté
 
fiche par ©️century sex  


Meow. Vic
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
un parfum de liberté (ft. Valentine & Dexter) - Page 2 3997999705


[...] Je m'étais endormie sans m'en rendre compte, en l'espace de quelques secondes, de quelques minutes, que sais - je, mes seuls souvenirs étaient ceux de ces lèvres, de ces mots, de son regard, de sa tendresse, de l'orgasme... Oh j'étais fin prête à ouvrir les yeux pour le rejoindre. Doucement, un oeil après l'autre, je tentai de revenir. Mes doigts gesticulants, se saisirent du tissus qui couvrait ma peau et sans attendre je lâchais mes premiers mots. « Mon coeur? » Presque paniquée de ne pas le sentir à mes cotés, je me redressai rapidement pour le chercher et le trouvai sur son siège. La voiture était immobile et la nuit était tombée. Déjà? Combien de temps avais - je dormis? Grrr' mes souvenirs se battaient dans ma tête, m'infligeant sans cesse la même torture, la sienne. Mes bras s'entourèrent autour de lui, ma tête se posa sur son épaule et en plusieurs baisers dans son cou je lui fis comprendre mon manque de lui. « Tu m'as laissé dormir trop longtemps... » Soufflais - je contre sa peau. Mes mains glissèrent le long de son torse, appuyant fermement contre son corps pour mieux le sentir avant de resserrer mon étreinte autour de lui. « On est arrivé? » Mon regard vagabonda de droite à gauche pour tenter de voir quelque chose mais la nuit recouvrait tout, je revins sur lui, avant de m'en détacher pour rejoindre les sièges à l'avant du véhicule. J'escaladai entre les deux sièges pour poser mes fesses sur celui de droite, bien que l'idée de m'assoir sur lui me plaisait bien, hum... je changeai d'avis en dernière seconde, le regardant malicieusement avant de me jeter sur lui. Mes jambes d'un coté, mon dos contre sa vitre, je passais mon bras autour de ses épaules avant de me repositionner dans son regard tout sourire. « Hum, je suis bien mieux comme ça. » Mes lèvres, vinrent se plaquer doucement contre sa joue puis glissèrent le long de sa mâchoire jusqu'à rejoindre ses douces lèvres. « J'ai rêvé d'elles et... » Sans finir ma phrase, je me saisis de ses lèvres, des miennes, je l'embrassais tendrement. Reprenant vie en cet instant de paradis, je pouvais presque me reconnaitre dans ce parfum et j'adorais ça, comment mon amour pour lui faisait battre mon coeur, cette vive allure dans sous ma poitrine, cette frénésie qui guidait mon corps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
un parfum de liberté
 
fiche par ©century sex  


Je n’oublierai jamais ce sourire. Ce petit bout de bonheur qui s’éterniserait dans le temps et l’espace. C’était si beau, sans doute trop pour être supportable. Je photographiai ce souvenir pour me le garder précieux au fond du coeur, j’en aurai besoin les jours des pluies quand la réalité nous rattrapera enfin. L’extase en quelques mots, elle se replia sur elle-même en position foetale, aussi irrésistible qu’à son habitude. D’un regard elle m’avait déjà tout avoué ce qui ne pourrait jamais être dit. « Je t'aime le plus. » Cette petite voix traversa le silence mélodieusement, achevant mon coeur déjà assommé par ce surpoids de bonheur. Elle s’endormis sur ce dernier mensonge, me prêtant pour les prochaines heures à la route. Le sommeil ne me trouva jamais, j’étais trop excité par les perspectives avenirs pour me soumettre à la perte de conscience. C’était ça la vie en rose, la vie si belle que le fantasme en devenait réalité et que le rêve n’était plus qu’un gaspille de temps précieux. Je resterais éveillé les prochaines éternités que pour être certain de ne rien manquer de ses sourires. J’avais du mal à croire ce qui m’arrivais. Moi, l’homme le plus chanceux sur Terre. Les paysages se succédaient, laissant derrière les traits de l’hiver pour me mener à l’été. Le soleil s'essoufflait à l’horizon alors que je me laissais bercé par les respiration lente et réconfortante de la femme de ma vie. À maintes reprises j’aurais été qu’elle soit éveillée pour partager avec moi le délice des couleurs du couchée de soleil, je savais qu’elle adorait ce genre de spectacle... ce serait un rendez-vous pour demain. Le rose, le violet, l’orange l’attendrait toujours, comme j’avais pu l’attendre depuis ma naissance.

«Mon coeur? » Le silence était complet dans l’habitacle. La voiture était immobilisé depuis quelques minutes, j’attendais son retour parmi nous, sans le brusquer. Quand enfin ce souffle me parvint, c’est la terre sous mes pieds qui refusa d’attendre ma chute pour me rattraper. C’est en l’entendant que je réalisai juste à quel point elle avait pu me manquer déjà, alors qu’elle se tenait tout prêt. C’est dingue ce qu’elle pouvait me faire. Je tournai la tête pour la voir prendre éveille. Ce petit bout de miracle à la beauté étouffante se mouvait au ralentit il me semblait, mais toujours avec autant de grâce. Cette envie de la demander en mariage m'effleura les lèvres. Elle s’approcha de moi, mettant fin à mon régime, à mon impatience. Ces bras m’entourèrent amoureusement alors que ses lèvres me torturèrent la peau du cou. Oh elle savait exactement quoi faire pour me rendre fou. Je ne fis retenir le frisson, j’en tremblai jusqu’au plus profond de mon être. Ah, comme elle avait su me manquer. « Tu m'as laissé dormir trop longtemps... » Hum, ses mains continuèrent leur descente vers mon torse, me clamant tout entier comme elle était seule en droit de le faire. «Je ne pouvais me résigner à le faire, tu étais tellement... arf, indescriptiblement belle, mon amour. Je ne voulais pas brouiller le tableau.» L’oeuvre d’art qu’elle peignait d’elle-même sans même bouger. Si magnifique. J’en salivais rien qu’au souvenir en me promettant d’en profiter de nouveau cette nuit pour l’observer dormir. Ce qu’elle ignorait ne pouvait pas lui faire de mal. « On est arrivé? » Sa voix était brûlante sur ma peau, subtile dans sa tonalité, toujours à demi dans le rêve. J’aurais aimé qu’elle le devine d’elle-même, d’un regard, mais la noirceur lui enlevait le plaisir de la surprise. Je restai muet devant sa question. Elle refusa mon silence en se mouvant entre les sièges, en me rejoignant sur le mien en bonne tortureuse. « Hum, je suis bien mieux comme ça. » Ses bras se jouaient toujours autant de ma personne, me retenant des deux épaules. « J'ai rêvé d'elles et... » Elles s’échouèrent sur ma joue et puis plus haut, et puis plus bas... et puis sur les miennes. J’en soupirai de jouissance en l’embrassant en retour. Passion, amour et évidence. Mon souffle se mixa au sien avec aisance, à la maison enfin. Je glissai mes mains sur son visages, trouvant appui dans son cou pour la retenir encore éternellement à mon visage. J’étais en manque... en manque de tout. Je voulais lui faire l’amour, encore... toujours... c’était indécent. Ça me rongeais de l’intérieur, j’en durcissais d’anticipation et je... «Un rêve à la fois.» Dis-je le souffle court alors que je complétais mes réflexions dans mon esprit. D’abord le sien, ensuite le mien. Je la déshabillais déjà des yeux, lui donnant rendez-vous pour les prochaines heures, réservant son corps au mien. Mon fantasme, mon rêve, elle n’y échapperait pas. Pas une chance. Je glissais ma langue sur mes lèvres teintées de son parfum puis posai ma main sur la poignée. J’ouvrai la portière doucement, la retenant à moi pour ne pas qu’elle tombe dans le vide. La soulevant dans mon mouvement je pris pied à terre et la laissai prendre place à mes côtés. «Fermes les yeux s’il te plaît.» Un sourire se figea sur mes traits, j’avais attendu ce moment vraiment trop longtemps pour ne pas me réjouir de le voir arriver. «Qu’est-ce que tu entends?» La mer j’espère, les vagues s’écrasant contre la rive avec douceur et violence. Mes bras l’entourèrent entière, se faufilant sur ses hanches pour l’entraîner vers l’avant, vers cette petite cabane faite entièrement de beau exotique que j’avais loué pour le weekend, pour nous deux. «J’espère que c’était bien ce même rêve que tu souhaitais voir réalisé Valentine, j’aimerais n’avoir rien oublié, mais l’élément essentiel était, il me semble, que nous soyons seuls au monde.» Une fois devant la porte, je lâchai prise, lui permettant enfin d’ouvrir les yeux sur le monde que j’avais loué pour nous. Je m’accroupie sur le sol pour me saisir de la clé qui gisait sous le tapis dans l’entrée. Je n’attendis pas une seconde de plus pour la glisser dans la serrure et ouvrir la porte. J’écarquillai les yeux en découvrant le décore... c’était exactement comme je l’avais imaginé. Tout était blanc, tout était chaleureux, tout était romantique. À la hauteur de sa valeur à mes yeux. «Alors, verdict?» Je la regardai timidement, maintenant que ma surprise était entièrement révélée il ne me restait plus qu’à entendre son opinion. Je glissai mes doigts dans mon dos, les croisant comme l’aurait fait un enfant. Mon amour, j’espère que ça te plaît.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ma peau s'enflamma à chaque contact, de mes mains qui redécouvraient son torse, qui froissaient le tissus sur sa peau, si désireuse de lui arracher... à mes lèvres qui embrassaient ce qu'elles pouvaient, m'appliquant à savourer chaque parcelle de sa peau, chaque bribe de son parfum. C'était délicieux, addictif, je ne pouvais plus m'arrêter, mon envie ne s'éteignait pas et ne faisait que grimper en intensité, encore et encore. «Je ne pouvais me résigner à le faire, tu étais tellement... arf, indescriptiblement belle, mon amour. Je ne voulais pas brouiller le tableau.»  Des étincelles dans mes prunelles, le soleil dans mon sourire, le courant traversa mon corps tout entier, court-circuita mon coeur dans un battement trop intense. Je sentais le sang me monter à la tête, coloré mes joues d'un de ses roses reconnaissable, gênée, touchée, coupable et amoureuse. J'adorais sa façon de penser, sa manière de dire les choses, de me complimenter, de me contempler, il me rendait dingue et complètement folle de lui. Je me sentais entièrement désirée, aimée et sienne, tout en souhaitant que ça ne s'arrête jamais. Je l'avais rejoins à l'avant de la voiture, m'étais placée sur ses genoux et n'avait pas tardé pour rejoindre ses lèvres. Encore meilleur que dans mes derniers souvenirs. Ses mains attrapèrent mon visage précieusement, son contact m'avait tellement manqué, chaud et rassurant, il me berçait tendrement. Mon appétit de lui se réveilla de plus en plus, remplissant mon corps d'envie et de désir pour cette même et unique personne, je le désirais si fort qu'une vie ne pourrait suffire à assouvir ma soif, l'infini pourrait m'aller si on me promettait qu'il ne me quitterait jamais. «Un rêve à la fois.» Son souffle couvrit d'ivresse ma peau et je croisai son regard par la suite en me noyant à travers son envie que je ressentais tout aussi forte que la mienne, si ce n'était plus. Hum, j'adorais ça, le voir dans ses yeux, me voir dans ses yeux ainsi et toute nue. Mon sourire ne me quittait pas, lui indiquant le feu vert pour tout ce qu'il voulait. Il ouvrit la porte et nous fit descendre de la voiture, mes pieds se posèrent sur le sol sans m'éloigner de lui. «Fermes les yeux s’il te plaît.» On était donc arrivé? Sans poser de question j'obéissais, pour une fois. Ma hâte était trop grande et je ne pouvais plus attendre pour découvrir sa surprise, mais son intention me touchait tellement que je ne voulais en aucun cas gâcher quoi que ce soit. Mes yeux se plissèrent en toute confiance, me laissant guidée et faire jusqu'au moment où il m'autoriserait à tout découvrir. «Qu’est-ce que tu entends?» Oh, mon coeur jouait la musique dans ma tête, si fort et mélodieux, faisant vibrer tout mon être d'amour et de bonheur. Mais, en penchant plus l'oreille, je découvrais un son pas tout à fait inconnu, j'en avais rêvé, cette mélodie que j'adorais... ce bruissement dans l'air, ce rythme continu et à la fois différent pour chaque vague qui s'échouait sur la côte, je pouvais presque sentir sous mes pieds leur impact sur le sable qui frappait en cadence, en sentir la terre frissonner et la liberté dans l'air. « La mer! » Lâchais - je impatiemment, excitée et le sourire débordant. Il m'enlaça la taille et me mena quelques pas plus loin, je ne pouvais décrire ma joie, mon bonheur en ce moment si intense, c'était un rêve qui devenait réalité, qu'il réalisait. «J’espère que c’était bien ce même rêve que tu souhaitais voir réalisé Valentine, j’aimerais n’avoir rien oublié, mais l’élément essentiel était, il me semble, que nous soyons seuls au monde.» Le souffle coupé par ses mots, par sa perfection et son amour, je m'arrêtais sur place, ouvrant les yeux sur ce nouveau monde, le notre. Je tombais de haut, amoureuse, de l'endroit, du cabre, des couleurs, du ciel étoilé, de l'horizon abandonné dans la noirceur. C'était simplement merveilleux, meilleur que dans mon rêve et si proche à la fois, tout y était mais en mieux et surtout il était là, en chair et en os, près de moi en m'offrant tout ça et mon plus beau cadeau était bel et bien son coeur, mon plus cher et précieux trésor. J'étais sans voix, incroyablement touchée, là, où seul lui avait sa place, au plus profond de mon âme. Il ouvrit le petit cabanon tellement irrésistible, je m'empressais de le suivre à l'intérieur et d'en être éblouies mille fois plus. Oh, mon coeur allait bel et bien exploser. «Alors, verdict?»  Mes yeux se posèrent partout, sur les tissus, les meubles, la décoration, la lumière, le parfum de la pièce caressa mes sens, délicieux, romantique à souhait, tout avait l'air confortable et chaleureux, prêt à nous accueillir. Je fis quelques pas sur moi même, tournant en rond sur place pour tout regarder et ne rien manqué, mais le plus important arriva en fin. Je tournais les yeux pour le voir devant à moi, les yeux en face des yeux comme paralysés, et d'un coup de tonnerre la joie monta en moi, la foudre frappa mon coeur. Je déglutis, en sentant les larmes remplir mes yeux et me jeta sur lui sans attendre une minute de plus. « T'es incroyable. » Lâchais - je les bras entourés du plus fort que je pouvais autour de son cou. Mes mots avaient du mal à sortir, à la fois tellement séduite par l'endroit et par lui. C'était trop beau, un paysage idyllique, paradisiaque et tellement, tellement, magique. On ne pouvait entendre que le silence à travers les l'orchestre de la mer et j'adorais ça. J'adorais me retrouver là avec lui et uniquement nous sous l'univers. « Merci, merci, merci mon amour. C'est magnifique, encore plus beau que dans mes souvenirs. Je... » Ma phrase s'arrêta et je me réduisais mon étreinte autour de son cou pour lui faire face. Oh, quelques larmes avaient surement coulés, mais seul un grand bonheur pouvait se lire sur mon visage. Mes yeux capturant les siens, mes doigts vinrent glisser jusqu'à son visage pour le tenir en coupe entre mes mains, caressant ses traits et ses lèvres du bout de mes pouces. « Je t'aime tellement. » Dis - je avant de l'embrasser du regard dans la plus grande sincérité. « Tu n'as rien oublié, tu as pensé à tout et je ne pouvais pas rêver mieux, je suis au paradis. Merci Dexter, c'est trop... vraiment trop beau. » J'avais du mal à croire que c'était réel tellement la joie était immense, et je décidais de me confronter à la plus belle réalité qu'il soit, ses lèvres. D'un baiser, je ne touchais plus le sol mais j'étais chez moi. Mes lèvres s'agrippèrent aux siennes fougueusement, y mêlant toute ma passion décuplée à l'infini en ce moment magique. Je ne mettais jamais sentie aussi vivante et heureuse à la fois. C'était un souffle de vie qui me traversait le corps, de là à là, je le sentais en moi, émerveillant mes sens, mon être, réveillant chaque parcelle de mon corps. Je n'arrivais plus à quitter ses lèvres, prolongeant ce baiser d'une éternité puis d'une autre, mon corps se pressant au sien comme s'il le suppliait de fusionner. Mes mains descendirent le long de ses flancs, puis soulevèrent son t-shirt sans douceur, je lui arrachais comme une affaire inutile, en trop, entre nous, abandonnant ses lèvres une seconde pour lui sortir le vêtement. Puis les retrouvant aussitôt, mes mains remontèrent le long de son ventre, s'appliquèrent à ne rien manquer et à tout capturer pour ma mémoire. Et l'idée me vint soudainement, une envie trop forte, un désir, un fantasme, je lui soufflais sans quitter ses lèvres. « Et si on allait prendre un bain de minuit? » Je voulais faire trop de choses à la fois, mais voilà ce que je voulais le plus, me retrouver dans l'eau avec lui, seuls sous la nuit et les étoiles, nos corps dégoulinants de passion et d'amour. Sans attendre sa réponse, je poussais les bretelles de ma robe, les laissant tomber de chaque coté de mes épaules, je défis quelques fermetures avant que le tissus ne tombe sur le sol. Mon regard n'avait pas lâché le sien, l'invitant à m'aider à m'enlever le reste de mes vêtements, pendant que moi, hum... mes mains se glissèrent doucement à sa taille, passant quelques doigts dans le rebord de son jean tout en baisant son torse, ses clavicules, ses épaules... Ahlala, je ne pouvais définitivement plus m'arrêter.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
un parfum de liberté
 
fiche par ©century sex  

Le rêve éveillé. Nous y étions enfin, à l’apogée de notre idylle, au commencement des souvenirs. Elle était enfin mienne, je le voyais sur son visage, dans son humeur, elle se laissait apprivoiser pour la première fois depuis que je la connaissais. Si belle et si gracieuse, elle se laissait prendre au jeu que je lui avais inspiré. Deux battements de coeur plus tard elle avait déjà deviné. « La mer! » Un sourire craqua sur la longueur de mon visage. Ce n’était pas tant le mot que le ton, cette joie, ce souffle poussé avec excitation. Totalement contagieux. Sa réaction me comblait de la tête aux bouts des pieds. Je l’emportai jusqu’à l’endroit qu’occuperaient nos nuits, une maison à l’allure rustique qui tenait encore debout par miracle, par la force du vent qui poussait toujours également des quatre côtés. C’était beau et c’était ça. Elle découvrit les lieux sans patienter, curieuse de nature, une de ses meilleures qualités d’ailleurs. Quand elle se tourna enfin vers moi, c’est la Terre entière qui s’immobilisa pour laisser le temps nous rattraper. Ses yeux... son regard me criait une chose bien précise, bien nouvelle. J’étais la plus belle chose au monde, et en cette instant d’éternité je décidai d’y croire. Elle bondit sur moi, m’emprisonnant dans son emprise, de ses bras autour de mon cou. « T'es incroyable. Merci, merci, merci mon amour. C'est magnifique, encore plus beau que dans mes souvenirs. Je... » Ces yeux coulèrent leur bonheur. Ces larmes possédaient toutes les beautés du monde. Elle me lança de nouveau ce regard, capturant mon visage entre ses mains brûlantes.   Je la sentis sur mes lèvres, son pouce d’abord et puis ce souffle... « Je t'aime tellement. » J’aurais pu en mourir, j’aurais voulu que tout s’arrête ainsi. Le plus beau moment de mon existence, la raison de ma venu sur Terre. D’ici à la fin il n’y aurait jamais rien de mieux. Les larmes me montèrent aux yeux, lui criant je t’aime à mon tour, à ma manière. J’étais vulnérable, sensible à la beauté des mots et la beauté du moment. Je t’aime, je t’aime, je t’aime. « Tu n'as rien oublié, tu as pensé à tout et je ne pouvais pas rêver mieux, je suis au paradis. Merci Dexter, c'est trop... vraiment trop beau. » Je n’entendais plus rien sous le tonnerre de mon coeur en extase. Au paroxysme de son existence, il n’avait jamais autant cru en la sincérité de quelqu’un, dans ces yeux tout étaient clairs, il n’y avait que moi pour recevoir cet amour, ce miracle du destin. Elle mis fin au cours de mes pensées romanesques en embrasant mon corps, en me rappelant à ma soif, à mon désir intense toujours inassouvi. J’y mis rigueur et passion, je lui rendis en double pour ce qu’elle me donna... j’en perdis rapidement le Nord. Hum. Une étouffante chaleur vint se loger en mon centre. Je ne pouvais qu’exploser d’impatience. Elle m’arracha mon t-shirt, me libérant d’un fardeau de trop. Me permettant de mieux respirer. Ses doigts me caressèrent la peau avec amour alors que je lui offrais mon entier consentement. Prends-moi. Tout de suite. Je voulais lui dire, je voulais qu’elle se donne en retour, mais elle devança mes paroles.  « Et si on allait prendre un bain de minuit? » J’étais resté muet tout ce temps et maintenant je savais pourquoi. C’était pour donner plus d’impact à mes prochains mots longuement méditées.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)