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un parfum de liberté (ft. Valentine & Dexter)

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un parfum de liberté
 
fiche par ©century sex  

J’avais passé la semaine à me morfondre sur mon sort, à me remettre en question. Il n’y avait eu la moindre occasion de me réjouir, de sourire à la vie alors que je venais peut-être de perdre l’amour de ma vie. J’avais agis en parfait idiot égoïste au nom de ma jalousie, lui avait montré une part de moi que je ne voulais jamais plus lui refaire subir. J’avais pris de nouvelles résolutions. Valentine pouvait les accepter ou non, elle n’avait pas d’autre choix que de respecter le mien. Ce qui importait par dessus tout c’était de la garder dans ma vie, celle-ci avait impérativement besoin d’une présence comme la sienne pour compléter mon existence misérable et solitaire. Je n’avais repris mon souffle perdu il y a quelques jours qu’en recevant ce message, cet espoir de survis, m’annonçant la fin de sa maladie. J’étais aussi bien soulagé qu’étonné d’avoir des nouvelles d’elle, mais je remerciais le ciel de m’avoir accordé cette seconde chance. Les choses seraient différentes cette fois. Dans son message était venu une requête, un goût de liberté qu’elle souhaitait partagé avec moi. Il ne me fallut pas longtemps avant d’établir mon plan de match, elle voulait quelque chose de complètement nouveau et je savais parfaitement où le lui obtenir. Perdu quelque part dans la mémoire d’une de nos conversations antérieures, au commencement de tous nos problèmes actuelles, il y avait eu cette échange de rêves et de romance qui m’avait tout de suite contaminé. J’allais donc lui offrir ce voyage tant espéré et lui en garder la surprise jusqu’à l’arrivée à destination. J’avais fait mes valises à la hâte, le téléphone à l’oreille, il me restait encore quelques détails à régler pour que tout sois parfait. Les étoiles semblaient s’être alignées hier soir pour me porter chance, tout ce que j’espérais prenait vie pour elle et pour moi, pour ce nouveau nous que je tenterais de faire vivre. Je trainai ma valise dans les rues du campus, choisissant de la rejoindre du moyen le plus efficace que je connaissais, à pied. L'hôpital universitaire était non loin de là, mais les quelques minutes de marches suffirent à me faire perdre patience et me faire gagner l’impatience de la retrouver. Je voulais voir son visage guérit de tous les maux, pouvoir la toucher enfin, mais modérément. Quand j’arrivai au quatrième étage, il ne me fallut que d’une seconde pour la trouver parmi la foule de gens qui embrassait leur retrouvailles. Je me jetai sur elle, déposant ma valise à mes pieds, lui tendant une main d’abord, nerveusement, puis optant pour la caresse rapide et inconfortable qui ne nous ressemblait en rien. Je repris ma place, gêné de me retrouver sous ses yeux, gardant en mémoire notre dernière interaction; «Je suis désolé pour la dernière fois.» Dis-je en la regardant droit dans les yeux, le plus sincèrement du monde. Je complétai de ma nouvelle résolution: « Je ne semble bon qu’à être ton ami, alors je m’y tiendrai à partir de maintenant. C’est une promesse.» J’hochai la tête, détestant ces mots à mesure que je les dévoilais. Je dû baisser la tête avant de trahir ma peine de devoir m’en tenir à notre amitié fleurissante. Il était hors de question de remettre comme je l’avais fait notre relation en péril. Ainsi c’était bien, c’était mieux, plus sécuritaire. «J’ai vu ta voiture dans le parking, je suppose que c’est Ken... tu as les clés ? On va d’abord passer par ta chambre pour faire ta valise, d’accord?» Le débit de ma voix était rapide et crispé de malaise. C’était étrange de retomber ainsi à la case départ, j’aurais voulu tout avoir, mais je me résignais aujourd’hui à son bonheur plutôt que le mien. Le sacrifice prouvait mon amour en soit, j'espérais au moins qu’elle puisse reconnaître mon intention.


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L'heure de ma sortie s'approchait, j'avais retrouvé mon énergie peu à peu au cours des derniers jours et aujourd'hui, par un certain miracle, je ne sentais plus aucun symptôme de cette maudite épidémie. Les médecins étaient du même avis que moi, il n'y avait plus de raison à ce que je reste ici. J'avais donc anticipé les choses en attendant que toute la paperasse se fasse pour ma sortie. Après tout ce temps enfermée, ces longs jours à être éloignée de mes proches, j'avais décidé de m'en éloigner encore plus, de m'enfuir loin d'ici et de changer d'air. A l'exception d'une chose, je voulais que Dexter m'accompagne, lui seul, je le voulais avec moi, comme complice et partenaire d'évasion, moitié de mon âme et partager avec lui chaque futur seconde qui allait s'écouler lors de ces prochains jours. Je lui avais donc proposé de partir avec moi, à l'aventure, quelque part et n'importe où il voudra, tant que j'étais avec lui, tant qu'on était rien que tous les deux loin de tout ce qui nous séparait. Car ma motivation première était bien celle là, j'avais ce désir, ce besoin de passer du temps avec lui, de le retrouver, de nous retrouver et je ne voulais le partager avec personne, d'où cet attrait à partir loin de tout, là où personne ne viendra nous chercher, ou nous déranger. Nos dernières rencontres s'étaient plutôt finis en malaise et je voulais rattraper tout ça, lui montrer sa valeur à mes yeux, lui prouver et en convaincre son coeur. J'étais toute prête à son débarquement, vêtue d'une simple robe confortable et fleurie, qu'une amie m'avait amenée en même temps que ma voiture. Je l'avais vu venir jusqu'à moi et rejoins en chemin, impatiente de revoir son visage, ses traits dont je ne me lassais jamais d'étudier dans leur perfection et leur beauté. J'étais à deux doigts de le prendre dans mes bras quand il fut le plus rapide. «Je suis désolé pour la dernière fois.» Je secouai doucement la tête en haussant les épaules, ce n'était pas si grave et j'avais déjà l'intention de ne pas rester sur ce souvenir. Son regard sincère s'ancra dans le mien et je ne pouvais de nouveau, désormais, plus m'en détacher. « Je ne semble bon qu’à être ton ami, alors je m’y tiendrai à partir de maintenant. C’est une promesse.» Une promesse qu'il me faisait en fuyant mon regard juste après avoir lâcher ses mots. Je n'avais pas envie de ça, pas envie qu'il soit juste un ami, même le temps que je sois pas tout à fait séparée de Kennedy, pour moi je l'étais et ce n'était pas le plus important que je sache ce que je voulais et qui j'aimais? « Merci de vouloir faire ça, mais... C'est pas ce que je veux Dex'» Dis-je aussitôt après lui. « Je veux que tu puisses m'embrasser quand tu en as envie. » Et que je le puisse aussi. Qu'un exemple à ce que je désirais et souhaitais pour le weekend à venir. J'étais touchée par son implication, son effort à respecter mes choix, mais j'avais fait les mauvais depuis trop longtemps, tout ce temps enfermée à l'hôpital, ses réactions, me l'avaient fait réaliser. «J’ai vu ta voiture dans le parking, je suppose que c’est Ken... tu as les clés ? On va d’abord passer par ta chambre pour faire ta valise, d’accord?» Je secouais négativement la tête de gauche à droite au début de sa phrase, puis enfouis ma main dans la petite poche avant de ma robe. « Une amie m'a préparée quelques affaires, normalement elles sont dans le coffre alors, il n'y a plus que ma voiture qui nous attend. » Dis - je en secouant les clés dans le vide avant de refermer mes doigts dessus. Je fis un pas vers lui, déposai une main sur son torse et ma deuxième, vint se glisser délicatement contre sa joue, caressant doucement de mon pouce sa peau. Mon regard ne perdit pas le nord et retrouva ses lèvres, cette bouche qui hantait mes jours et mes nuits depuis bien trop longtemps. J'en perds le sourire en me rappelant la dernière fois, le retrouve l'étincelle au fond de yeux en m'ébréchant l'âme de son parfum. « Prêt? » Soufflais-je contre ses lèvres. J'avais réduis consciemment l'espace entre lui et moi, ne lui laissant pas vraiment la chance de voir autre chose que moi et en quelques secondes, à cette distance, je fus la première à céder. Retrouvant ce paradis sur ses lèvres. La pulpe des miennes vint s'accrocher à la sienne, se pressant avec envie et dans une généreuse passion, je l'embrassai le coeur au bout des lèvres. Cela dura le temps de m'en assouvir, sans étancher complètement ma soif qui me semblait éternelle. Un grognement m'échappa et je m'en décollai l'esprit convaincu que j'allais pouvoir les retrouver à ma guise dans les prochaines heures. « Alors qu'elle est notre destination jeune homme? » Le sourcil levé et intriguée, j'avais l'impression de rêver, lui et moi, seuls... je me demandais quand même le nom de notre destination, je pouvais faire confiance à Dexter pour ça, il avait toujours bon goût et connaissait mieux cette partie de la planète que moi, mais ma curiosité ne s'éteignait jamais.
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Elle accueillit nonchalamment mes excuses, les chassant d’un haussement d’épaules, d’un secouement de tête. Que ce soit lassitude ou négation, je ne tenais pas non plus à revenir sur les évènements passés. J’avais la ferme conviction de pouvoir faire mieux cette fois, d’être présent sans prendre toute la place, sans la coincer par mes demandes irrésonnables. Je ne gaspillerais pas cette deuxième chance à l’harmonie et je nous préfèrais de loin franc amis en accord qu’amoureux en conflit. Aussi pénible soit-il de s’avouer vaincu par les circonstances, je me consolait par ce voeu de longévitude que je pronconçais au nom de notre nouvelle amitié amplement platonique. Rien ne serait simple, sous son regard d’azur je me sentais déjà faiblir dans les genoux, comme épris par un nouveau séisme de passion. Si belle et si désirable, mais tellement inateignable. « Merci de vouloir faire ça, mais... C'est pas ce que je veux Dex'. Je veux que tu puisses m'embrasser quand tu en as envie. » J’arquai un sourcil, elle faisait sans doute référence à une de mes plaintes précédentes, plainte qui n’avait plus sa place dans cette relation. J’haussai les épaules pour lui répondre alors que tout ce bousculait dans mon esprit. Je ne voulais pas qu’elle se force à m’aimer comme elle semblait le faire aujourd’hui. Il n’y avait rien de pire que de savoir qu’une personne changeait qu’après demande. L’idée de ses lèvres contre les miennes seraient toujours teinté de regrets, de questionnements, je ne pourrai jamais plus savoir si elle le faisait pour moi ou bien pour nous. Pour changer l’ambiance je lui parlai de sa voiture et de sa valise, sujets qui paraissaient parfaitement neutres. « Une amie m'a préparée quelques affaires, normalement elles sont dans le coffre alors, il n'y a plus que ma voiture qui nous attend. » J’entendis le cliquetis des métaux se frotant l’un contre l’autre, ma main tentée un instant de les lui prendre au vol. Je ne me sentais plus en droit à une telle familiarité, j’avais eu cette aise auparavant, puis j’avais tout gâché en voulant une chose qu’elle ne pouvait ni ne voulait m’offrir. Elle s’approcha sans prévenir, mettant fin à la régularité des battements de mon coeur. Elle glissa ses mains sur moi, capturant mon entière attention. Oh comme j’aurais voulu avoir la force de lui dire d’arrêter, de lui dire qu’elle me faisait du mal. De mon torse, à ma joue, tout s’enflamma à son passage, trop faible pour retenir mon corps de réagir à sa présence. « Prêt? » Je voulu l’interroger, mais elle mis fin drastiquement au cours de mes pensées en portant ces lèvres aux miennes, en violant le gage que je venais de lui faire. Ne m’avait-elle pas entendu lui dire que nous n’étions qu’amis à présent? Elle pressa et fit durer le baiser. C’était du vol et au fond j’espèrais qu’elle le savait. Mes lèvres ne dansèrent pas avec les siennes comme elles avaient pu le faire avant, j’en étais traumatisé jusqu’à nouvel ordre. Elle se recula enfin, sans doute inconsciente de ma non-participation. Je l’observai, au bord de la brisure. « Alors qu'elle est notre destination jeune homme? » Je ne savais même plus quoi lui répondre. Une main se porta à l’entre de ma bouche et en essuya ses effluves du revers, elle n’avait pas le droit, pas comme ça, pas jamais. «Ne m’embrasses plus d’accord, j’en ai pas envie.» C’est ma manière la plus polie de crier au vol. Je n’avais toujours voulu que de la romance, j’avais fait d’elle ma Juliette dans tous mes rêves et aspirations, mais aujourd’hui j’avais ce goût amer sur les lèvres, un goût que je n’arriverais à chasser qu’en l’oubliant…. Je secouai la tête pour changer de sujet de nouveau. «Tu devras attendre pour connaître notre destination, mais c’est un endroit qu’on a déjà visité tous les deux, il y a bien longtemps.» Il me semblait avoir vécut une éternité entre nos échanges sur ordinateur et nos fiascos de tête-à-tête. Rien ne s’était produit comme je l’avais imaginé, j’étais loin d’être aussi irrésistible que je me l’était imaginer et c’était loin d’être habituel pour moi de croise ainsi en mes capacités. Je ne ferai pas l’erreur deux fois. Je suis minable. Je suis nostalgique de ce temps où elle avait l’excuse de la distance pour me repousser, maintenant c’était tellement plus blessant de ne toujours pas avoir ce que je désir. «On a quelques heures de route à faire alors il vaut mieux y aller. »Nous aurions entièrement le temps de nous chamailler dans la voiture, mais j’espèrais secrètement qu’elle s’endorme en chemin, je n’avais été aussi gêné en sa présence auparavant. Je fis les premiers pas vers l'ascenseur, espérant qu’elle me suive, traînant ma valise avec lourdeur. Je jetai un dernier coup d’oeil au environ, le manque de couleur, la froideur de l’endroit me donnait à tout coup la chaire de poule. Je ne pu m’empêcher d’être soulagé de l’avoir de nouveau en ma possession. «Je ne veux plus jamais que tu reviennes ici.» Je tendis une main, par réflexe, vers elle, attrapant la sienne pour qu’elle me rejoigne à l’intérieur de la cabine. Les portes se refermèrent sur notre passage et ma paume refusa de quitter la sienne, traîtresse de ce qui me trottait réellement dans l’esprit. Et c’est ainsi que nous échangeâmes ce nouveau baiser.
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Je n'avais qu'à peine remarquer le non retour au baiser que je lui donnais, prenant mon plaisir sur ses lèvres égoïstement sans savoir si c'était son souhait, mais je le supposais. J'avais tord. D'un revers de main il s'essuya les lèvres, presque dégouté de ce qu'il avait du subir. «Ne m’embrasses plus d’accord, j’en ai pas envie.» Ses paroles vinrent affirmer mes doutes. Pas envie? Il voulait vraiment qu'on soit ami maintenant? J'avais du mal à l'admettre, à l'accepter, après tout ce qui c'était passer au paravant, tout ça pour en venir à écouter aujourd'hui ce que je lui avais stupidement proposé hier? Je soupirai longuement, cachant mes lèvres entre mes dents, puis repensai aux règles, pas de ça, c'était interdit, pensai-je un court instant avant de continuer dans ma lancée, je laissai ma langue couvrir ma langue inférieure, me nourrissant de la moindre parcelle que je lui avais volé. Sans regret, cruellement, je décidais de tout faire pour lui que son envie change, du non à l'encore. « D'accord. » Dis-je sèchement, je n'allais pas l'embrasser, plus le faire avant qu'il me supplie un nouveau baiser. «Tu devras attendre pour connaître notre destination, mais c’est un endroit qu’on a déjà visité tous les deux, il y a bien longtemps.» J'haussai les épaules, ma moue boudeuse bel et bien en place sur mon visage. « J'attendrais alors, aucun soucis. » Sans poser de question sur la suite, je me laissais y répondre toute seule en essayant de trouver à quoi il faisait référence. On avait visité bien des choses, en commençant par nous même, de la plus jolie manière qu'il soit. Mais de là à deviner de quoi il parlait... hum. «On a quelques heures de route à faire alors il vaut mieux y aller. » J'aurais assez de temps pour essayer de trouver réponses à ma questions, j'avais déjà quelques idées pour le faire avouer, mais j'attendrais d'être seule avec lui. Il entama le pas et je le suivis le pas rapide, pressée de sortir de cet endroit et je n'aurais pas pu mieux rêver que de m'en enfuir avec lui. «Je ne veux plus jamais que tu reviennes ici.» Dit-il. Je lançais un regard en arrière, faisant mes adieux à ce lieu que je maudissais jusqu'à son odeur. « Je ne veux pas non plus je t'assure. » Soufflais après lui, la seconde d'après, je sursautais légèrement à la sonnerie des portes de l'ascenseur, ou bien était - ce le contact avec sa main? J'étais surprise des deux et adorer l'effet d'une seule. Je fis un pas dans la cage, mains tendrement liées et j'attendis que les portes se referment pour reprendre mon souffle. Je me penchai vers l'avant pour atteindre le tableau de commandes et j'appuyai avec hâte à plusieurs reprise sur le bouton qui nous mènera directement à la sortie. Etages après étages, nous descendions peu à peu et je cherchais déjà un moyen de lui faire perdre la tête. « Au faite, t'as pris une chambre séparée ou ensemble? » Osai-je librement demander. Mon visage se tourna vers lui en arquant un sourcil, intéressée par la réponse, mais préparant d'avantage le terrain pour la suite. « Tu sais Dex'... y'a un truc que je t'ai jamais dis... » Je me pinçais les lèvres, mon regard se fondant dans le sien comme à son habitude comme ci il avait trouvé sa maison, ce lieu sacré unique au monde où il se sentirait toujours chez soi et préférait être. La sonnerie du deuxième étage se fit entendre et je plongeais à son oreille pour y souffler mes mots. « J'ai peur du noir. Toute seule, je peux pas... j'ai un genre de doudou que j'emmène partout où je dors, mais là... » Je m'arrêtais à la dernière sonnerie et à l'ouverture des portes, faisant le premier pas vers la sortie tout en l'entrainant avec moi, toujours mains embrassées. Une fois dans le hall d'entrée, nous stoppant, je me tournai vers lui, une moue légèrement gênée. « Pas le temps d'aller le chercher tu vois... alors je compte sur toi pour l'être ces nuits et garder mon secret d'accord? S'il te plait? » Mes dents capturèrent ma lèvres inférieure et la mordillèrent sans négligemment, pendant que mes yeux lui sortaient le grand numéro, cils battants et azur étalé. Je ne lui laissais pas plus de temps pour me dire non et reprenais le chemin vers la sortie, poussant les portes de celles ci.
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Elle me provoquait sans subtilité alors que j’avais déjà verbalisé ma faiblesse. Elle clamait ses lèvres de sa langue et de ses dents, gestes que je désirais faire à sa place, goûter sa peau, la croquer pour lui imposer ma présence, y laisser ma trace comme on le faisait de notre plus précieuse possession. « D'accord. » Si sèche par rapport à son habituelle tonalité mielleuse. Sa désapprobation ornait son visage, l’ombrageait de quelque chose qui ne lui allait pas bien pour une fois. Valentine ne méritait que de sourire.  Elle ne montra ensuite aucun enthousiasme face à notre éminent départ, la destination ne lui inspira pas la moindre curiosité. J’étais déçu, moi-même plutôt fier de ma surprise. Je me laissai à la poursuite du prochain ascenseur, la sentant sur mes talons, avouant à son tour qu’elle déplorait les lieux; « Je ne veux pas non plus je t'assure. » Je grimpai dans l’acenseur, sa main embrassée contre la mienne, à sa juste place. Le contact suffit à faire fondre la froideur de mon humeur, un léger sourire trouva sa place au coin de mes lèvres. Je l’observai appuyer et ré-appuyer sur le bouton indiquant le rez-de-chaussée, irrésistible créature. Un haut le coeur me fit crisper les doigts entre les siens quand nous débutâmes notre descente. Elle restait ma seule sécurité en ce monde, l’unique certitude, l’unique constante que je n’étais pas prêt à dénaturée.  « Au faite, t'as pris une chambre séparée ou ensemble? » Je ne pu me retenir de sourire à pleines dents cette fois. Elle avait réussie à me piéger en une seule question. «Une seule, et un unique lit également...» Je penchai la tête, me sentant rougir des oreilles au nez. Je n’avais même pas réfléchis en réservant la chambre, mon désir  inconscient dominant mes intentions sincères d’être plus sage et plus chaste cette fois. Je relevai la tête, le visage en flamme, elle arqua un sourcil. Si belle. « Tu sais Dex'... y'a un truc que je t'ai jamais dis... » Ses yeux caressèrent les miens, leur firent l’amour comme elle savait si bien le faire, me coupant le souffle et le désir d’exister ailleurs qu’au creux de son coeur. Elle me regardait toujours comme si j’étais l’unique personne au monde qui méritait d’être vue. Elle s’avança rapidement, ses lèvres à la bordure de mon oreille. J’en pouvais déjà plus. « J'ai peur du noir. Toute seule, je peux pas... j'ai un genre de doudou que j'emmène partout où je dors, mais là... » Elle ne pu finir sa phrase que déjà nous étions arrivé à destination, faisant subir à mon coeur déjà tremblotant une nouvelle secousse. J’étais littéralement pendu à son discours, attendant la suite avec soif et appétit qu’elle avait réussi à éveillé en si peu de temps. Oh comme je suis faible. Elle me traîna hors de la cabine, mon sac frôla le sol en un bruit sourd, je ne pouvais entendre que les battements de mon coeur qui reprenait rapidement vie. « Pas le temps d'aller le chercher tu vois... alors je compte sur toi pour l'être ces nuits et garder mon secret d'accord? S'il te plait? » Elle se mordilla de nouveau la lèvre, une provocation telle que je dû intervenir. Je tendis une main vers son visage, coinçant son menton entre mes doigts et le tirant vers le bas pour défaire l’emprise de sa mâchoire sur ma propriété. J’avais déjà perdu à tous les niveaux, elle m’avait, j’étais trop faible pour ne pas me laisser tenter. «Seulement si tu promet de garder tes mains en haut de ma ceinture.» Soufflais-je les yeux toujours rivé sur sa bouche. Une image valait bien mille autres mots. J’étais bouche-bée devant sa technique, complètement séduit de nouveau d’être tombé pour elle. Je secouai la tête en la suivant vers l’extérieur, me faisant violence pour ne pas poser la main sur elle. L’envie était à l’appel. Elle va me rendre dingue. «Le premier qui arrive à la voiture peut conduire!» Criais-je avec déjà plusieurs pas d’avance. Je me ruai vers la place du conducteur, déjà vainqueur. Je lui souris narquoisement, fier de ma ingéniosité alors qu’en fait je profitait de son état fragile de patiente qui sortait à peine de l’hopital. «On dirait que quelqu’un à perdu la forme. Désolé, je ne peux, de bonne conscience, laisser une handicapée prendre le volant.» C’était bon d’être nous de nouveau. Je tendis un bras vers elle, me servant sans retenu à l’intérieure de sa poche où je l’avais vu glisser ces clés un peu plus tôt. Dans ma hâte j’ouvris la porte pour me glisser sur le siège, le volant sous le menton. Je sursautai en me rendant compte que j’oubliais un élément essentiel gisant maintenant sur le sol à côté de la porte. Je glissai la clé au bon endroit, fis démarer le moteur, puis j’ouvris la fenêtre, sortant ma tête juste assez pour la voir. «Chérie, tu serais un amour de bien vouloir mettre mon sac dans la valise, merci, c’est gentil.» Je clos la fenêtre, l’observant d’un air faussement supérieur, l’excitation me coulait maintenant dans les veines.
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Il m'avouait avoir choisi une seule chambre à l'unique lit où nous passerons nos nuits, peut-être même nos jours, hum. Mon sourire s'était étalé d'un coup de pinceau sur mon visage, complètement heureuse de savoir ce détail. Il ne pouvait pas bien longtemps cacher ses réelles intentions et ça me rassurait de le savoir, de voir qu'au fond, il gardait la même envie, le même désir de ma personne. Son attitude pouvait me faire douter, je pouvais même arriver à en douter toute seule, souvent bien trop surprise par ce rêve éveillé qu'il transformait en réalité. Comment croire en tout temps que cet homme était mien? Je n'arrivais pas à m'y faire, c'était trop beau, tellement trop beau pour être vrai. Pourtant, il me prouvait si souvent que j'avais tord. Ses doigts attrapèrent mon menton et d'un mouvement simple il décrocha mes lèvres de mes dents, celles ci empoisonnées par sa cruelle essence, se mourant de ne pas rejoindre les siennes. «Seulement si tu promet de garder tes mains en haut de ma ceinture.» Souffla t-il, son regard perçant, déshabillant et brûlant la texture de ma bouche, oh embrasses moi, souhaitais-je si fort qu'il devrait l'entendre. Je fis semblant d'acquiescer ses dires, d'un hochement de tête fiable, mais mon sourire malicieux commença à se montrer sur le coin de mes lèvres. Tss. Il ne s'imaginait pas à quel point j'allais le torturer, mes mains n'allaient peut-être pas passer le bas de sa ceinture, mais je le ferais brûler des pieds à la tête, en usant d'autres choses, je le prenais au mot et m'en amusais. «Le premier qui arrive à la voiture peut conduire!» Complètement perdue dans mes pensées et mes plans, je réalisai trop tard que la course avait déjà commencé, tout en le voyant s'enfuir devant moi. Arg! Je partais de suite après, tentant de le rattraper mais en vint. J'arrivais trop tard, la place que je convoitais déjà prise par lui. «On dirait que quelqu’un à perdu la forme. Désolé, je ne peux, de bonne conscience, laisser une handicapée prendre le volant.» Je détestais perdre, mais en quelque sorte ce n'était pas le cas, non car évidemment... « T'as triché! » Criais-je après lui. Lui fusillant du regard ses longues jambes, habillement entrainées. Mes bras se croisèrent sous ma poitrine, le menton repliait et le regard ailleurs, luttant pour ne pas fondre dans le sien. « Je suis en pleine forme, tu verra je te ferais regretter d'avoir insinuer le contraire! » Cette fois ci, je n'hésitais pas à l'affronter du regard, y mêlant un petit je ne sais quoi excitant. J'allais le faire regretter, tellement, en prendre le plus grand plaisir et lui montrer l'état de ma forme à ses cotés. Je revivais complètement, respirant d'air nouveau, de cet oxygène que je passerais des heures à inspirer sur ses lèvres. Je soupirai d'impatience et une de ses mains se glissa dans la poche de ma robe comme ci tout lui appartenait depuis toujours, mon corps ne bougea pas d'un poil, frissonnant juste de l'intérieur de le savoir si près un instant. La seconde d'après, il m'avait volé mes clés, s'était immiscé dans ma voiture, à ma place, la porte refermée et le moteur démarré. Son joli visage s'échappa à travers la vitre et il s'adressa à moi l'air supérieur. «Chérie, tu serais un amour de bien vouloir mettre mon sac dans la valise, merci, c’est gentil.» GRR! Il me rendait dingue. « Tu m'énerves! » Grognais-je aussitôt après ses dires, debout à coté de sa portière, je lançai un regard vers son sac et me résolu à exécuter sa demande.  Mes pas se posèrent lourdement jusqu'à rejoindre son sac, je tournai mon visage vers lui, le regard froissé et les lèvres bombées d'orgueil. Il savait bien s'y prendre ça c'est sûr. Je m'avouais vaincue pour le moment, mais je me donnais l'imagination pour prendre ma revanche, il n'avait pas encore tout gagné nan! Rapidement, j'ouvris le coffre, ramassai son sac et le déposai à l'arrière de la voiture étrangement... vide! « Oh, oh. Je crois qu'on a un problème. » Soufflais - je plus pour moi même en remarquant aucun autre bagage que le sien, mis à part mon petit sac à main. Je levai le regard un instant vers lui avant d'attraper ce dernier et de faire claquer violemment la cinquième porte de la voiture. Un sourire s'était immiscé sur mes lèvres, de ceux qui cache une jolie idée derrière. J'allais rien dire pour le moment, me laissant l'opportunité de lui voler tous ses vêtements une fois sur place, tant pis pour lui et puis pas le temps de faire demi tour. Je m'éclipsai jusqu'à l'avant, ouvris la portière, l'humeur soudainement changée et animée par cette idée qui venait de me traverser l'esprit. J'allais adorer porter ses t-shirt hum. Je m'installai à la place passager, excitée d'enfin prendre la route. « Alors tu va me dire où on va? Je vais pas arrêter tant que j'aurais pas au moins un indice, et un vrai hen! » Dis - je, le corps à moitié tourner vers lui. J'avais décidé que je passerais tout le chemin ainsi, à le fixer, à le dévorer complètement du regard sans lui laisser le plaisir d'y échapper. Je me torturais toute seule évidemment, je ne savais pas combien de temps j'allais pouvoir résister sans lui sauter dessus, mais nous verrons bien qui craquera le premier et j'avais totalement confiance en mes charmes. Un de mes mains s'élança vers le poste de radio et je l'allumais sans faire attention à ce qui se jouer, juste une manière d'attirer son attention vers autre chose. La seconde d'après, je me penchais cette fois vers lui. « Je crois que t'as oublié quelque chose Dex'...» Soufflais - je doucement. Mon corps se pressa contre le sien, de manière à atteindre l'extrémité de la voiture, sa vitre, ou plutôt ce qui se trouvait juste à coté. « Ta ceinture! » Dis-je en lui tirant et en le bouclant contre son siège. Coincé pour les prochaines heures avec moi, je n'allais pas le laisser m'échapper comme ça. Je fis semblant de soupirer de lassitude, et levai les yeux au ciel avant de reprendre ma place sur mon siège.

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« T'as triché! » Douce musique à mes oreilles qui me décocha un franc sourire. «Ne sois pas si mauvaise perdante.» Rajoutais-je pour lui offrir une nouvelle raison de s’énerver contre moi. Elle était si belle en ces temps, j’adorais pouvoir l’influencer de toutes les manières qui soient. Elle me fusillait des yeux, croisant ses bras pour mettre en évidence les courbes parfaites de sa poitrine. Mon regard caressa une seconde sa beauté féminine, c’était impolis, mais je n’étais qu’humain. « Je suis en pleine forme, tu verra je te ferais regretter d'avoir insinuer le contraire! » Oh? J’arquai un sourcil, prêt à être surpris sur le champ, impatient même d’en avoir la suite, mais il n’était pas tout à fait sage d’abuser de tout déjà alors que le voyage ne faisait que débuter. Je me glissai à l’intérieure de la voiture, démarrant, empressé de nous mettre en route. Après requête, elle me grogna; « Tu m'énerves! » et j’en souris. Elle s’exécuta malgré son visible mécontentement, j’en profitai pour l’observer sans qu’elle ne le sache, à travers le rétroviseur. Je n’avais jamais rien vu de plus beau, de plus désirable, de toute ma vie. J’en mordis mes lèvres, n’ayant subit aucun interdit venant de sa part en la matière. Après quelques secondes elle me revint enfin, parfumant l’habitacle entier de son parfum aphrodisiaque que j’associais toujours avec la luxure. Tout pour me rendre dingue. « Alors tu va me dire où on va? Je vais pas arrêter tant que j'aurais pas au moins un indice, et un vrai hen! » Je tournai la tête pour la voir entière, le regard provocateur et mystérieux, je n’étais pas convaincu de vouloir qu’elle sache. La surprise habillerait tellement mieux son visage, il me semblait, si elle était directement confronté à la réalité du rêve que j’avais voulu concrétiser au mieux. «C’est comme si tu me demandais de déballer ton cadeau de Noël à ta place. De toutes manières tu ne te mérites aucun indice, jeune femme.» Je mourrais d’envie qu’elle insiste, ce jeu était amusant. Pour une fois j’avais main mise sur une information qui me donnait l’avantage, la force d’avoir le dessus sur elle. D’un geste elle alluma la radio, je suivis son mouvement des yeux, quittant son fin visage un instant, l’instant de trop.  « Je crois que t'as oublié quelque chose Dex'...» Son souffle vint s’écraser contre la peau de mon cou, elle envahis complètement mon espace, s'accroupissant sur mon siège pour se saisir de quelque chose, oh comme j’aurais voulu que ce soit mes lèvres... Sa poitrine se presse contre mon torse, me coupant le souffle juste assez pour retenir la Terre d’entamer sa rotation. « Ta ceinture! » Un instant plus tard j’étais fermement bouclé à ma place, retenu sur la longueur du tronc à ma place sécuritaire. Elle soupira, leva les yeux au ciel et se rassis. Je l’affrontai du regard, déclarant sans réellement y réfléchir; «Ne pense pas que j’ignore ce que tu essaies de faire... arrêtes ça ne fonctionnera pas.» Le dire même était admettre ma défaite, j'espérais qu’elle ne relèverait pas cette vérité. Je tournai la tête vers l’avant, posant les deux mains sur le volant tout en appuyant sur les pédales pour mettre la voiture en mouvement. Ses yeux me brûlaient la peau, je pouvais tout sentir. «Sois sage et ne me regarde pas comme ça.» Soufflais-je, désespéré. Je m’engageai sur la route, laissant dans notre dos le maudit hôpital. «On en a pour longtemps encore, tu devrais peut-être essayé de dormir», déclarais-je une intention bien clair derrière la tête. Son sommeille me garantissait quelques heures de répits, de garantit. Il était épuisant de devoir agir comme si elle ne m’affectait pas, je la voulais, je la voulais, je la voulais comme si ma vie en dépendait. Sa voix à elle seule suffisait à me retourner l’estomac, à mettre en vol une douzaine de papillons affamés. Je ne faisais que penser à ça, à sa victoire sur ma faiblesse et mon incommensurable amour pour elle.
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«C’est comme si tu me demandais de déballer ton cadeau de Noël à ta place. De toutes manières tu ne te mérites aucun indice, jeune femme.» Je grognai silencieusement après ses propos, je n'abandonnais pas, ma patience allait relancer le sujet mais bien décidée à profiter pleinement de mon cadeau, j'allais me régaler de chaque minute du chemin jusqu'à l'arrivée, observant la route que nous prendrions, le paysage et surtout... « Je ne pouvais pas rêver meilleur cadeau de Noël en tout cas. » Lui, il était la meilleure chose que je pouvais avoir sur Terre. Le sourire débordant, j'étais heureuse. Même si tout n'allait pas pour le mieux entre nous encore, cela partait pour et se retrouver était si bon, un goût de paradis dont je ne me lassais pas. J'en profitais pour lui faire perdre la tête, saisissant la moindre occasion, abusant du premier prétexte que je trouvais. Sa ceinture de sécurité pas encore attachée et je me jetais sur lui pour le clouer à son siège sans subtilité. «Ne pense pas que j’ignore ce que tu essaies de faire... arrêtes ça ne fonctionnera pas.» Je me sentis bouillir de l'intérieur, ça marchait donc? Ma langue avide, le chercha sur mes lèvres une fois de plus sans en trouver son remède, mes yeux se posèrent sur le fruit de ma passion et innocemment je pris la parole après avoir boucler ma ceinture. « Je ne vois pas de quoi tu parles... » Nop, pas du tout. Du moins c'est ce que j'aurais voulu lui faire croire. « Mais ça veut dire que ça fonctionne pour le moment hum? » Même s'il me disait que non, je ne m'arrêterais pas de sitôt, j'aurais même plutôt du mal à le croire, je le connaissais assez pour savoir ses faiblesses et comment en abuser malicieusement. A vrai dire, c'était une de mes activités favorites, je prenais un malin plaisir à le torturer, au fond, c'était juste tout de sa faute. Il commença à faire bouger l'engin et je l'admirais faire, ces simples gestes, sa manière de glisser ses mains sur le volant, son air sérieux quand il fixait son regard sur la route, tout me plaisait, me faisait tomber d'avantage pour cette irrésistible créature. «Sois sage et ne me regarde pas comme ça.» J'adorais qu'il puisse sentir et ne pas supporter mon regard inquisiteur. Je ne m'arrêtais pas, au contraire, je prenais ça pour une motivation de plus à continuer, et pour tout avouer, c'était un vrai plaisir que de poser mes yeux sur lui. « Pas ma faute si mes yeux sont autant amoureux de toi que je le suis. » J'haussai une épaule, avouant mon crime et l'assumant complètement, je ne pouvais pas faire autrement que de nourrir mon envie de l'avoir. Nous quittions le parking de l'hôpital et je le remercierais jamais assez de me faire quitter cet endroit, j'avais passé les dernières semaines à étouffer dans une cage qui n'avait rien pour me plaire. «On en a pour longtemps encore, tu devrais peut-être essayé de dormir» Un nouveau détail sur la route et ma curiosité se bouscula au bout de mes lèvres. « Pas envie de dormir du tout, va falloir me supporter longtemps encore. » Affirmais-je le sommeil bien comblé ces derniers jours. J'avais eu l'occasion de me reposer pour les dix prochaines années au moins et à présent je ne voulais que profiter de chaque instant à ses cotés, la peur au ventre de ne plus pouvoir en vivre. « Et la route sera longue donc, hum.. on va quitter l'Etat? » Impatiente d'avoir un bout de réponse, j'essayais de faire le lien, de trouver le rapport avec tout ce qu'il m'avait dit et ce que je savais déjà, mais en vint, je choisissais de continuer à insister. « Y'aura du sable ou de la neige? Pourquoi je mérite pas un indice au faite? » Continuai-je. Je ne le lâchais pas du regard, ma tête braquée vers lui, appuyée sur le dossier de mon siège. Je mourrais d'envie de le toucher, de glisser ma main contre la sienne, d'entremêler mes doigts aux siens, de le sentir là et partout à la fois. Subtilement cette fois, je répondis à mon désir. Ma main se déplaça délicatement de mon siège au sien sans qu'il ne puisse le voir, bien trop focaliser sur la route. Je survolai le tissus de son siège pour atteindre celui de son jean et m'y stoppa, la main paisiblement posée sur sa cuisse, comme ci elle avait trouvé sa place. Le contact me fit frissonner de l'intérieure mais je n'en montrai rien, noyant mon geste, le faisant passer pour un contact naturel. Logiquement j'étais déjà entrain d'abuser de sa première règle du jour, ne pas passer en dessous de sa ceinture, j'avais peur qu'il me repousse mais tant pis, parfois on ne pouvait simplement pas lutter contre ses envies. « Dis, je pourrais mettre mon nouveau bikini alors? » Le sourire au coin des lèvres, je disais ça simplement pour lui imposer l'idée de moi en petite tenue, vu que je savais d'avance que je n'aurais aucun de mes vêtements pour l'occasion.  
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Elle semblait décidé à me faire flancher et jusqu’ici chacune de ses tentatives préparait le point culminant qui s’imposait avec évidence, je craquerais. Elle me rendait dingue, mon amour à son égard me rendant d’autant plus sensible à ces attentions que j’aurais voulu savouré dès le premier jour. Nous joyions cette partie de tennis sur table, une fois c’était à mon de la séduire, la seconde c’était son tours. Je voulais lui dire qu’elle s’exerçait en vain, déjà experte dans le domaine, mais le fait de lui refuser ce qu’elle voulait la ramenait à moi d’une manière que je n’aurais jamais pu soupçonné. Je n’étais pas prêt à rebrousser chemin vers les jours où m’interdisait de l’embrasser. Nous avions la fier allure d’un couple, l’idée seule me ferait sourire pour la prochaine décennie. « Je ne pouvais pas rêver meilleur cadeau de Noël en tout cas. » Et moi donc, je poussai ce long souffle de contentement, les yeux river sur la route, sécuritaire et sérieux. J’avais sa vie à protéger maintenant et ma conduite en redoublait de droiture, elle pourrait m’accuser de conduire trop lentement, je lui répondrais que c’était pour faire durer le plaisir. Et quel plaisir étais-ce! Des ailes avaient déjà poussées dans mon dos. La kidnapper sans qu’elle ne se rende compte de ma fraude, délicieux sentiment. J’entendis le cliquetis de sa ceinture attachée alors qu’elle venait de suavement me clouer à mon propre siège. Tortureuse. « Je ne vois pas de quoi tu parles... Mais ça veut dire que ça fonctionne pour le moment hum? » Je ne pu m’empêcher de rire, évidemment je ne pouvais pas répondre sans la présence de… «Si mon avocat était là il te dirait que tu … » Je me retins de dire ce que j’avais réellement en tête. Mon imaginaire c’était laissé quelques libertés, voyageant au-delà de l’expérience et posant une hypothèse sur la beauté de son corps dénudé, sur la plénitude de nos âmes embriquées de la manière la plus littérale. Si seulement elle savait… «Tu m’énerves.» Complètais-je en lui mentant à demi. Elle me mettait hors de moi de la meilleure des façons, je n’avais jamais ressentie tel passion pour quelqu’un auparavant, en amitié comme en amour… dingue d’elle jusqu’aux bouts des orteils. Un moment plus tard je me sentis brûler, ardemment, cruelle torture alors que je ne pouvais lui rendre la pareille. Je lui demandai poliment d’être juste, un jour mon tours viendrait de me vanger et elle le regrettera. « Pas ma faute si mes yeux sont autant amoureux de toi que je le suis. » Humphf. Je me sentis déconfir de l’intérieur, et dans ce moment de pire extasie je dû échapper la seule vérité que je tenais dans mon coeur. «Je t’aime aussi.» Ça glissais sur ma langue comme un poème d’un des Grands, c’était tout ce que je croyais, plus fort que mon existence même, je l’aime, je l’aime à en mourir de peur de ne pouvoir le redire. Au moment de poésie suivis une nouvelle tentative pour m’amadouer à ses charmes. Encore une fois, mes pensées s’y adonnèrent avec plaisir, salaces au possible. « Pas envie de dormir du tout, va falloir me supporter longtemps encore. Et la route sera longue donc, hum.. on va quitter l'Etat? » Un grognement m’échappa instantanément, pourquoi ne lâchait -elle pas l’affaire? Clairement j’étais plus fort qu’elle, je résisterais. « Y'aura du sable ou de la neige? Pourquoi je mérite pas un indice au faite? » Je pouvais toujours sentir ses deux saphirs me transpercer la peau, elle n’écoutait jamais rien de mes ordres, j’avais pourtant été poli. «J’ai l’audace de croire que l’on se dirige exactement là où tu en rêves. Alors répond toi-même. On quitte l’État? Neige ou sable? » J’échappai à sa dernière question par volonté, répondre à celle-ci me trahirait directement, mettrais fin à ces tentatives qui me faisait sentir comme l’homme le puis désiré sur Terre. Encore une première. Un instant plus tard je me sentis transporté dans un autre monde, sa main glissant sur ma cuisse. Le contact m’acheva, me brûla, me tordis le ventre d’envies surdimensionnés et inquisiteurs qui s’emparaient de ma sagesse et la rongeait jusqu’à n’en laisser le moindre restes. Impulsivement, avant de perdre la tête et d’en oublier de bien conduire, j’attrapai sa main entre la mienne, la relevai jusqu’à mon visage et croquer sa chair sans insister sur la douceur. Le goût salé de sa peau me fis saliver davantage. «Je vais devoir t’attacher maintenant, c’est ça?» Dis-je un sourire sur les lèvres, savourant les dernières effluves de son parfum sur ma langue. Je laissai sa main reprendre sa liberté, contre toutes attentes, j’avais encore survécut à sa provocation. Elle exagérait, elle gagnait. « Dis, je pourrais mettre mon nouveau bikini alors? » Ma langue glissa contre mes lèvres. Merci Valentine pour cette belle image, je te le revaudrai. À ce stade je me dis que cela ne servait à rien de me priver des quelques détails savoureux. «Hypothétiquement, si tu avais l’occasion d’enfiler ce fameux bikini… quelles seraient mes chances de te résister?» Ainsi vêtu de sa robe, je mourrais déjà d’ardentes envies de la saisir toute entière, de glisser sur elle, sous elle, en… En arrivant sur l’autoroute, je pu enfin libérer ma main qui gisait sur le changeur de vitesse et tenter ma chance de son côté. Mes doigts, avides d’elle, se faufilèrent contre sa cuisse dénudée, un simple frôlement d’abord, puis c’est ma paume entière qui s’écrasa sur sa peau. Hum. Je ne dis rien pour justifier mon geste, le faisant passer, tout comme elle l’avait judicieusement fait, pour naturel. Auto-torture.
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J'adorais ça. Complètement, le mettre hors de lui, l'énerver, le rendre totalement fou de moi, c'était un plaisir que je ne pouvais décrire mais si délicieux que j'en savourais chaque minute jusqu'à la dernière. De son sourire à son rire, passant par ses soupirs contagieux, à mon tour je perdais la tête, contaminée par cette passion aussi ardente que tendre. «Je t’aime aussi.» Il m'envouta de cette voix qui berçait mes nuits, faisant dériver mon coeur dans un compte à rebours cadencé et mon sang se scella, tambourinant dans mes veines comme un torrent en fusion. Mourant dans une mélodie reine, mon souffle se perdit, ma gorge se chauffa et je le contemplai de mes abysses à l'ascension infinie. Oh... Je t'aime tellement. Mon sourire faillit en se précipice, hypnotisée sous la douceur de ses mots, irradiée sous la chaleur de nos coeurs mielleusement épris. Je ne pouvais me retenir plus longtemps à l'assommer de questions, une première puis les autres suivirent et je craignais que ma curiosité ne prenne jamais fin jusqu'à destination. «J’ai l’audace de croire que l’on se dirige exactement là où tu en rêves. Alors répond toi-même. On quitte l’État? Neige ou sable? » Il me répondait par une autre question, presque en devinette... Arg! Il m'énervait. J'en grognais de manière mutine,  avant d'y réfléchir rien qu'un peu. Dans un soupire j'avouais être sous son charme et je tentai de retrouver ce fameux rêve dont il semblait tant connaitre. Je lui en avais déjà confié à plusieurs reprises par le passé, lui, les avaient réalisés à m'en combler et à m'en faire rêver d'avantage. De la mer à la montagne, je nous voyais partout et ensemble à la fois. « Hum, sable? » Lâchai-je avant de me pincer les lèvres. « C'est un nouveau de mes rêves que tu es entrain de réaliser donc? » Après être venu jusqu'à moi aux Etats - Unis, je ne voyais pas ce qu'il pouvait faire de mieux, mais mon beau Dexter me surprenait toujours, à m'en faire imploser d'amour, j'en soupirais d'avance. Ma main tendrement logeait sur sa cuisse, il la saisit pour la mener à sa bouche. Cruel. Je le regardai faire et ne fut pas déçue du spectacle... Ses dents se plantèrent dans ma peau sans douceur et pourtant j'y prenais le plus grand plaisir, le reste de mon corps en devenait même jaloux de ne pas avoir le même destin. Je mordis dans la chair de mes lèvres, retenant ma brûlante envie de lui faire pire, oh... tellement pire.  «Je vais devoir t’attacher maintenant, c’est ça?» Dit t-il en me redonnant l'usage de ma main qui ne voulait pas quitter sa bouche. L'idée me fit sourire, qu'il y pense, encore plus, étirant mes lèvres de chaque coin de mon visage. « On dirait bien que c'est mon destin. » Soufflais - je en reprenant ma main, j'examinai la partie qui avait eu la chance de passer sous son marquage, glissant mes doigts sur l'empreinte « Tu sais que ce genre de marque est éternelle? » Tout sourire, j'arquai un sourcil en sa direction, avant de reposer ma main sur le bord de mon siège, finalement fière de ma technique, j'arrivais à le faire craquer, il en venait à me mordre... hum, mon imagination me torturait à me faire deviner ce qu'il ferait si... «Hypothétiquement, si tu avais l’occasion d’enfiler ce fameux bikini… quelles seraient mes chances de te résister?» Mon rire raisonna mélodieusement dan l'habitacle, il me faisait craquer à croire qu'il avait encore une seule chance de résister. Sa première erreur était d'être monté dans cette voiture, ou bien avant, dès lors qu'il avait déposé ses deux perles précieuses sur moi comme aucun autre ne l'avait encore fait. « Mon coeur, tu n'as aucune chance, mais je veux bien être sage et le porter une fois que nous serions en public. En privé par contre... je ne suis pas sûre de le garder. » Finis-je en susurrant mes mots. Ma langue passa sur mes lèvres et soudainement alors que je m'étais laissée aller dans l'admiration du paysage et dans l'indication des panneaux, sa main vint à ma rencontre. Insufflant une tendresse folle sous son passage, d'un frôlement puis d'une caresse, sa paume s'écrasa contre ma peau. Lourdement, tout mon corps tomba un peu plus, grisé d'un simple contact qui pourrait paraitre naturel mais en vérité, pour moi, c'était beaucoup plus que cela. Tout mon être désireux comme jamais, brûlait d'envies, esclave de lui, me poussant à l'inavouable. Une éternité que je pense ne plus avoir été touchée, caressée, là où on ne pense qu'à être délicatement effleurée. Du bout de mon coeur, du bout de ma peau satinée, il me faisait revivre. Mes lèvres se tordirent sous la douleur de vouloir trop fort un de ces baisers tendre et à la fois passionné, de recevoir sa douce chaleur et sa fraiche rigueur. Embrasse moi, mange moi, fais de moi ce que tu veux... pensais - je sans pouvoir m'arrêter. Et c'est dans l'idée d'être contagieuse que je fis la suite. De mes deux mains, j'attrapai la sienne délicatement installée sur ma cuise découverte, pour l'amener comme il l'avait précédemment fait avec la mienne, à ma bouche. Mon regard croisa le sien et dans un sourire, je plongeai son index doucement dans cette dernière, le faisant frôler mes lèvres, puis l'installant confortablement sur ma langue gourmande. Ma lèvre supérieure se referma sur lui, mes paupières suivirent le geste pour me plonger dans l'insoucieux plaisir fougueux que cela me procurait. Orgasmique. Mes dents se préparèrent à le croquer à leurs tours et doucement en le retirant de ma bouche, je les plantais en l'extrémité de son doigt. Mon regard s'ouvrit sur son visage, le coeur battant comme jamais au bord de l'implosion, je lui rendis sa liberté en reposant sa main sur ma cuisse, lui laissant le plaisir ou la cruelle torture, de s'imaginer le contenu de mes désirs. « Alors, on arrive quand? » Dis - je, impatiente de pouvoir lui sauter dessus.
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