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"On dit que les opposés s'attirent." [Anastasiya]

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Il est vrai qu'il y'avait bien plus passionnant, comme cours. Mais pour devenir chirurgien il fallait être patient et doué. Ce matin, le professeur nous réservait une "petite surprise". Il nous déposa alors un bac rempli d'eau chaude et rougeâtre où baignait nonchalamment le poumon droit d'un veau. Tout en nous expliquant notre devoir de la matinée, il nous déposait les matériaux nécessaires à la dissection. Je restais assis en regardant par la fenêtre de ma classe. Encore une fois, il faisait un temps radieux. Il commençait à faire un peu chaud dans la salle et je retirais ma veste en jean pour me retrouver en t-shirt. Je me levais en appuyant mes mains de part et d'autre du bac et en me penchant dessus.

"Vous avez 2h."

Je soupirais longuement. Disséquer n'était pas un exercice difficile pour moi. J'y étais habitué. Je me saisissais des gants en latex qu'il nous avait déposé et les enfilait. La dissection demandait une énorme concentration et une extrême minutie. Je pris le bistouris entre mon index et mon pouce et me mit à la tache. La salle se trouvait plongé dans un grand silence au bout de quelques minutes. Le fait que le poumon soit plongé dans de l'eau chaude était pour limité l'odeur désagréable de la chaire et du sang. Malgré cela, il y'avait toujours un petit fond. Plusieurs fois, quelques étudiants de mon cours, dont moi, tournaient la tête pour souffler un instant. Evidemment, nous avions le nez penché au dessus du bac. Nous nous ressaisissions au bout de quelques minutes et nous remettions à la tache. Dans l'amphithéâtre, une petite voix fibrille et bégayante s'élevait alors. Une jeune prodige de mon cours demandait à sortir un instant, ne se sentait pas très bien. Quelques élèves se retournaient alors vers elle. Pour les étudiants en médecine, c'était un peu plus compliqué. Nous devions tous passé une année ensemble et c'est seulement après une année d'apprentissage que nous nous séparerions pour choisir notre voie. Emilie, car tel était son prénom, voulait devenir gynécologue. Alors il est vrai que la dissection d'un poumon de bon matin ne l'enchantait pas. J'étais vraiment concentré sur mon travail alors que le professeur me demanda de sortir pour l'accompagner, au cas où elle ferait un malaise. Je relevais mon regard sur la pendule car je n'avais pas envie de perdre trop de temps. J'hochais doucement la tête et retirait mes gants. Alors que je me dirigeais vers la sortie, le professeur plaçait une autre paire de gants sur ma table.

"Appuie toi sur moi, je ne voudrais pas que tu fasses un malaise."

Je souriais à la jeune fille une fois dans le couloir. Mes paroles la firent sourire à son tour et elle plaçait son bras autour de mes épaules alors que je passais mon bras autour de ses hanches. Ses mains étaient moites et elles tremblaient un peu. J'avais proposé de lui passer un peu d'eau sur le visage. Le couloir était totalement vide.
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Etant, depuis quelques minutes, dans le bureau d'une secrétaire plus qu'insupportable à l'entendre piailler des paroles parfois incompréhenssible, elle commençait à ne plus supporter, elle était assise au bureau en face de la vieille pie à remplir des tonnes de papiers. Son père avait par garde oublié de signer les chèques pour l'établissement; de grosses sommes assez importante. Cependant, la famille de Anya était parti en vacance au Japon durant quelques mois alors son père avait demandé à sa fille de signer à sa place. Mais elle était en droit de refuser ce qui stresser d'avantage la secrétaire.

« Ecoutez ce n'est pas à moi de signer cette somme, mes parents le feront en rentrant c'est à dire dans quelques mois. Et puis je n'ai même pas de stylos sur moi, non vraiment je ne peux pas. »

Ses yeux brillaient toujours du même éclat mauvais en sifflant ses mots d'une voix moqueuse, mutine, aux doux accents moqueurs. Anya repoussa sa longue chevelure sur une seule épaule, cherchant à débarrasser son regard des mèches rebelles qui tombaient devant ses yeux de topaze. Elle eut une petite moue amusée en voyant l'air courroux de la secrétaire.

«Mademoiselle Kataïev ne jouait pas ce jeu avec moi ! Vos parents nous ont certifié que c'était de votre main que le chèque doit être signé ! Alors par pitié ne faite pas l'enfant et signez ! Tenez prenez ce stylo.»

Anastasiya essaya tant bien que de mal de résister pour ne pas lui éclatez de rire au visage. C'était jouissif de voir les gens à sa mercie et de la supplier. Elle laissa durer le petit manège durant quelques minutes et signa finalement. De toute manière elle devait signer si elle voulait continuer à avoir des avantages. Après tout son père payait une fortune cette école alors autant en profiter un maximum. Elle se redressa de sa chaise en jetant un air hautain à la secretaire et s'empressa de rejoindre le couloir pour rire à gorge déployée.Elle ferma les yeux en secouant la tête tout en se mordant la lèvre infèrieure, elle finirait par la tuer cette secrétaire. Mais enfin, c'était distractif. Elle s'avança d'un pas gracieux tout le long du couloir en jetant un coup d'oeil à sa montre: elle avait encore un peu de temps avant son premier cours mais comme le destin en avait décidé ainsi, elle rencontra sa proie. Elle croisa les bras en assistant à la scène et d'une voix aussi moqueuse elle lança froidement.

« Comme c'est mignon. Le remake de la belle et la bête. C'est qu'il est gentil le " fumeur ".»


Elle les regardait avec son air supèrieur en posant une main sur sa fine hanche. Elle n'avait certainement pas oublié la nuit dernière.
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Emilie, la jeune fille que j'accompagnais avaient les jambes qui titubaient légèrement. Si elle faisait un malaise, cela aurait été contraignant.

"Je suis vraiment désolée, je n'ai pas envie que tu rates le devoir par ma faute.."

Visiblement, elle avait due sentir que cela me mettait mal à l'aise. Mais je la regardais en lui faisant un petit sourire rassurant. Des devoirs de ce genre, il y'en aura d'autres ! L'infirmerie était encore assez loin alors je lui proposais de s'asseoir un instant. J'irais lui chercher du sucre et un peu d'eau seul, elle se reposerait, de plus. Je l'installais sur une chaise du couloir et m'accroupissait face à elle.

"Donne moi tes mains."

La jeune étudiante s’exécutait et j'attrapais ses mains avec délicatesse.

" Déplie tes doigts et poses tes deux mains à plat sur tes cuisses. Emilie me regardait un instant puis posait ses mains sur ses cuisses. Tiens toi droite ! Lui dis-je en redressant mon buste comme pour montrer à un enfant ce qu'il devait faire. "

On m'avait apprit quelques petites techniques en études et aux accompagnements pour toutes personnes qui seraient susceptible d'un malaise. Je restais accroupi un instant, m'assurant que je ne partais pas en la laissant dans un sale état. J'essayais de la rassurer un peu en lui disant de bien penser à sa respiration. C'est à l'instant où je me levais que j'entendis une voix.

« Comme c'est mignon. Le remake de la belle et la bête. C'est qu'il est gentil le " fumeur ".»

Une voix cristalline, crispée, moqueuse et froide. Je n'eu pas besoin de tourner mon visage vers mon interlocutrice pour deviner de qui il sagissait. Emilie oubliait alors sa respiration et regardait Anastasiya avec inquiétude. Elle me regardait moi, puis elle, elle puis moi. Je fis un sourire en coin en regardant Anastasiya. Mon regard s'attardait un instant sur sa main entaillée d'une cicatrice rosâtre puis je replongeais mon regard gris dans le sien. Il y'eu un petit silence et je me remémorais la scène d'hier soir. Anastasiya posait une main sur sa hanche et me regardait d'un air hautain. Je mordais légèrement ma lèvre en souriant et fis signe à Emilie de m'attendre ici. Je m'avançais vers la jeune Russe et passant à côté d'elle je lançais :

"Le fumeur a un prénom, tout comme toi, Anastasiya. "

J'accentuais sur son prénom et me dirigeais vers le secrétariat afin de demander d'appeler l'infirmière pour la jeune Emilie. Je n'étais même pas à quelques mètres de ma "malade fébrile" et de la jeune beauté russe.
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Elle posa son regard sur la jeune fille, une simplette de service qui baissa automatiquement son regard en la voyant. Elle affichait un sourire malsain, mais elle titlta face à ses paroles, n'en croyant pas ses oreilles: "Le fumeur a un prénom, tout comme toi, Anastasiya. " La jeune russe se retourna rapidement et s'avança à la hauteur du jeune fumeur qu' elle plaqua contre le casier gris métalisé: Elle deteste qu'on l'appelle par son prénom entier.

« Tu t'prends pour qui pour m'appeller comme ça ? Ne le refais plus jamais ! Tu entends ! Plus jamais ! »

Ragea t-elle contre le jeune homme. Décidément, le jeu prenait plus d'empleur et plus aucunes limites. Il devenait bien trop familier à son goût et elle se devait de lui faire comprendre certaines choses comme le fait qu'il devait se rabaisser plus bas que terre devant elle. Mais ce n'était que le début, le jeune homme esquissa un sourire au coin des lèvres, comme bêtement heureux. De sa main cicatrisée, elle lui attrapa la mâchoire.Elle s'apprêtait à lui offrir une réplique sanglante quand la jeune "Emilie" s'avança et ajouta timidement tout en baissant la tête.

« V..iens Marwen on s'en va. »

Un rire s'échappa des lèvres de la jolie poupée, un rire cristallin comme satisfaite de la réponse donnée.

« Tiens, tiens les langues parlent aujourd'hui, donc Marwen c'est ça ? Je vais t'apprendre ici le respect que tu te dois d'appliquer envers tes supérieures. »

Elle serra d'avantage sa bouche entre ses mains mais il continuait à sourire. Ce sourire aussi destructeur qu'une parole.
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La secrétaire, à qui je voulais m'adresser pour obtenir un peu d'aide pour la jeune étudiante était occupée avec un parent d'élève au téléphone. Je soupirais et lui fis signe que je reviendrais dans quelques minutes. Je me redressais et mettait mes mains dans mes poches en avançant vers les deux jeunes filles. Je me retint sincèrement de rire quand j'entendis les paroles d'Anastasiya. Je savais que pour rendre le jeu plus inintéressant il fallait que je m'obstine à lui faire face et à sourire niaisement. Je prenais goût à ce jeu plutôt dangereux vu la "tactique" de ma belle adversaire. Mais l'adrénaline ; j'adorais ça ! Elle s'avançait vers moi d'un pas décidé et rapide avant de me plaquer contre les casiers qui résonnèrent en un bruit sourd dans tout le couloir. Je mordais ma lèvre inférieur en souriant.

"C'est pourtant ton prénom, je me trompe ?"

Je souriais de nouveau alors qu'elle glissait sa main sur ma mâchoire. Je saisissais son poignet ; une façon de lui dire que le jeu ne s'arrêterait pas là. Je lui fis un clin d'oeil en lâchant un petit rire. Nous restions un instant à nous regarder les yeux dans les yeux. Les miens remplis de malice ; les siens de la fureur Russe que je commençais à connaître. Emilie se levait alors avec difficulté et s'accrochait à ce qu'elle pouvait pour ne pas tombée. Elle dit d'une petite voix douce de s'en aller. Je la regardais un instant avant qu'Anastasiya ne reprenne la parole. Je souriais en coin à ses paroles.

"Tel est mon prénom, tu vois."

Je restais un instant à la regarder. Au bout de quelques secondes, je posais mes mains sur ses épaules. Anastasiya était vraiment très fine et avait une taille digne d'une mannequin. En un retournement c'est moi qui la plaqua contre les casiers. Mon sourire disparu peu à peu et les traits de mon visage prenaient une forme plus "sereine". Emilie recula légèrement en arrière et de sa petite voix faible demandait à ce que cet affrontement cesse. Au loin, l'infirmière arriva d'un pas rapide et distingué. Je lâchais mon emprise sur Anastasiya et me reculais. Je soufflais comme pour reprendre mon sérieux et présentait à l'infirmière les symptômes d'Emilie avant que cette dernière ne s'en aille avec la jeune femme. Je tournais ensuite mon visage face à Anastasiya en replongeant mes yeux amandes dans les siens.
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Son regard topaze était plongé dans le regard ténébreux de Marwen; un regard qui la déstabilisait légèrement mais elle continua à accrocher jusqu’au bout. Ce garçon était indescriptible, lire en lui était une tâche bien difficile. Et ce sourire aussi niais collé sur ses lèvres insupportait la jolie poupée russe.

« N'essaye pas de jouer au plus malin, tu risques de te bruler. Tu connais cette expression pas vrai ? A force de jouer avec le feu, on finit par se bruler.»

Elle s'était rapproché du jeune homme pour lui murmurer ces paroles on ne peut plus sèrieuse au creux de son oreille. Un jeu commençait entre ces deux là et la partie ne faisait que commencer. Elle pouvait sentir son souffle contre ses lèvres, sa respiration se sacader et son coeur s'accélérait à son contact.

« Je ne suis pas n'importe qui, je te l'ai déjà dit. Déclare forfait Marwen, tu perdras. Tu es nouveau n'est ce pas ? Alors si tu ne veux pas que je te renvoie dans ta misérable ancienne école, arrête toi là. Tout ce que je commence, je le finis. Même si cela dure des années. Alors prends ces paroles au sèrieux, car je te laisse la chance de t'agenouiller et de me demander pardon.»

Son regard continuait à fixer le sien comme pour accentuer ses paroles. S'il décidait de s'agenouiller et de l'implorer de lui pardonner, le laisserait mais s'il faisait le contraire sa vie deviendrait un enfer. Elle se montrerait pire que garce, ce côté que les gens d'ici craignaient comme la peste.
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