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"On dit que les opposés s'attirent." [Anastasiya]

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Je venais de me prendre la gifle la plus phénoménale qui ne me soit jamais tombé dessus. Sans me retourner je filais entre les couloirs en poussant quelques élèves tant j'étais agacé. Je descendais les escaliers menant au grand hall afin de rejoindre le parking. Je n'avais pas envie de rester une minute de plus dans cette Université. Si elle avait envie de faire de ma vie un enfer, pourquoi rentrerais-je dans son jeu ? J'étais bien plus mature que cette fille là.
Cependant la laisser prendre le dessus et gagner serait trop facile pour elle. Sa victoire n'aurait qu'un goût de cendres. Je me mordais la lèvre inférieur en pleine réfection et m'arrêtais, debout, dans les escaliers. Non, la laisser gagner serait trop injuste. De plus, jouer avec elle rendrait les choses bien plus subtiles et intéressantes. Malgré son caractère elle dégageait quelque chose. Quelque chose de pas commun. Quelque chose que je n'arrivais pas encore à découvrir.

Dans un sursaut je rebroussais chemin et remontait les escaliers. Les couloirs étaient presque vides, chacun rentrait dans son cours respectif. Je n'avais pas cours de l'après-midi et j'avais vraiment envie de m'amuser avec la jeune Russe. Je passais par mon casier reprendre un nouveau paquet de cigarettes et sortait à l'extérieur du bâtiment. Glissant mon paquet dans ma poche arrière, je parcourais le parc d'un pas rapide. C'est en tournant mon visage sur la droite que je l'aperçu de nouveau. Je restais à la contempler quand elle me retourna un doigt d'honneur des plus gracieux. Je souriais légèrement, m’efforçant de ne pas rire. On verra qui aura le dernier mot de nous deux, beauté.
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Anastasya est perfide, artificieuse, vaniteuse, curieuse et manipulatrice mais son plus grand défaut, ce défaut indégniable qu'elle portait en elle: elle détestait perdre. Un echec pour elle était une échance de elle même et ça elle ne permettrait à personne ô grand jamais de franchir la limite. Cet abîme entre elle même, où dormait tranquillement son orgueuil.Si quelqu'un l'atteignait sur n'importe quel plan, recevrait les grandes foudres d'une russe, aussi effrayante qu'une lionne. Anya n'était pas une de ces grandes godiches de russes en petite mini jupe culotte, maigre comme un clou et qui ne comprend jamais rien. Non, elle était bien plus que ça. Une petite poupée russe possédant un visage d'ange et un sourire si naïf qu'on ne se douterait pas une seule seconde de quoi elle est réellement capable, elle profite un maximum de la situation! Elle n'aura aucun scrupule à s'en prendre au plus faible, ou à humilier publiquement. Par contre, qu'on ne s'avise pas à tenter quelque chose contre elle, car le retour de bâton pourrait être plus que terrible. Les colères de Anya sont absolument effrayantes...Mais ça le jeune fumeur, le découvra tôt ou tard.

Son regard pivota encore une fois vers la grande fenêtre; elle le sentait son regard et elle savait que tôt ou tard, ils s'affronteraient à main nus. Elle se délecterait de le voir souffrir comme un poison puissant ruisselant dans ses veines. Il la suppliera d'arrêter. A genoux. Mais Anya termine toujours ce qu'elle entreprend. Quand quelqu'un est dans sa ligne de mire, cette personne ne peut pas lui échapper. Arborant un sourire malsain, elle se détacha quelques minutes du cours pour ancrer son regard dans le sien où un combat charnel s'annonçait.
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Je mordais légèrement ma lèvre en souriant en ne cherchant pas à baisser le regard. Au fond, je sentais que ce jeu ne serait que pur parti de plaisir. De temps en temps j'aimais jouer à des jeux dangereux. Je n'hésiterais pas à la chercher, si elle m'en redemande. Ce serait le début d'une partie jusqu'à temps que la jeune Russe se calme. Jusqu'à ce qu'elle déclare forfait. Mais le fera-t-elle ? A vrai dire, j'en doutais. Alors sûrement était-ce le début d'un jeu sans fin. Je me défaisais légèrement de mon sourire peu à peu mais ne baissais pas les yeux pour autant. Ma respiration était calme mais mon coeur battait de plus en plus fort. L'adrénaline. L'adrénaline je connaissais bien ça. Un mélange de peur, de doute, d'excitation, d’appréhension. Il y'avait de tout pour donner cette sensation peu commune.

Je plissais légèrement les yeux. Quoiqu'il arrive, je ne la lâcherais pas. Mais il était certain que je ne coucherais pas ici. La cloche sonnait alors et marquait la fin des cours. Je fis un sourire en coin et une révérence ironique à la demoiselle avant de me retirer. J'allais au parking afin de rejoindre ma voiture avant de déguerpir de l'Université. J'avais repéré sa voiture, quand elle était arrivée. C'est sur, elle n'étais pas à plaindre. Je m'arrêtais un instant et fumais une autre cigarette. Je tirais dessus à plusieurs reprises et prenais le soin de jeter le mégot face au pneus avant de sa voiture. L'espace où elle était garé était parfaitement propre et vaste. C'est tellement dommage ! J'étais satisfait. Je ne savais pas si je devais l'attendre ici. Attendre une seconde gifle, alors, le sourire aux lèvres, je tournais des talons en me dirigeant vers ma voiture.
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La sonnerie stridente qui signalait la fin des cours, résonna dans la grande salle, Anastasya sursauta légèrement et détourna quelques secondes le regard pour entendre d'une oreille les instructions du professeur. Cependant, elle tourna aussitôt la tête pour reposer son attention sur le jeune homme. Elle ragea intèrieurement devant la speudo révèrence et le sourire provocateur qu'il affichait; cela ne présageait rien de bon. Elle plissa des yeux tout en suivant ses mouvements avant qu'elle ne le perde de vue.

La jolie russe se redressa aussitôt de sa chaise en attrapant son classeur d'une main. Elle laissa ses cheveux ondoyés tomber en cascade sous sa poitrine et avança d'une démarche sûr et distinguée. ‎Ses pas dansaient et claquaient sur le marbre du couloir, et on pouvait voir sa silhouette ondoyante et mouvante que dans l'ombre des arcades d'abord; il n'y avait que sa peau laiteuse qui brillait dans la pénombre. Une fois arrivé dans le grand hall, elle regagna le parking, ne se doutant de rien.

Néanmoins, elle fit de gros yeux en remarquant de loin le mégot. Elle accourut les cheveux au vent le regard aussi noir que du charbon.

« QUI A OSE ? »

Elle se tourna en cherchant sa proie du regard quand elle remarqua le sourire narquois s'affichait sur les lèvres du jeune garçon. Ses lèvres sifflèrent ses quelques mots avec froideur. Elle afficha un sourire malsain et sans plus attendre une seconde, elle retira sa chaussure à talon et lui lança en pleine tête. Dans le mille.

« TOI ! Tu as osé ! Attend voir ! »

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Je m'écartais à reculons de la voiture de la Russe aux cheveux blonds. Je souriais avec malice en me mordant ma lèvre et m'écartais. Sur la portière de sa voiture y était inscrit ce que je pensais être ses initiales. Cette fille n'était vraiment pas comme les autres. Peut être qu'un jour je découvrirais qui elle est. Je sortais mon téléphone portable afin de regarder l'heure. 18h06. C'était la fin de la journée. Je n'allais pas rester ici bien longtemps mais je me langissais de voir la réaction de la blondinette au visage de porcelaine. C'était bien la chose qu'on ne pouvait pas lui reprocher ; elle était d'une beauté époustouflante. Elle avait cet air froid mais innocent. Des yeux et des cils très clairs avec de longs cheveux blonds qui descendaient le long de sa taille.

Je la vis arrivée de loin. Ses talons claquaient sur le trottoir et elle toisait les étudiants du regard. Les plis de sa jupe lui donnait une silhouette gracieuse. Je me rapprochais doucement d'elle, à quelques mètres seulement. Ma voiture n'étais pas garé très loin de la sienne. Je m'appuyais contre ma portière en croisant les bras. Je la fixais alors qu'elle était de dos. Je la détaillais de nouveau de haut en bas. Je n'épargnais aucun détails ; rien ne m'échapais. Elle se précipitait à grands pas près de sa voiture et, à son habitude, criait avec son petit accent russe son mécontentement. Je riais doucement en baissant la tête. Je savais qu'elle allait reposé mon regard sur moi. Ce que je ne savais pas, c'est qu'elle m'enverrait son talon en plein dans ma tête. Forte heureusement, j'avais la tête baissée. Sa chaussure tombait alors devant moi. Je relevais le regard vers elle en pinçant les lèvres.

"Tu sais, tu n'aurais pas due faire ça."

Je m'accroupissais pour saisir son talon entre mes doigts. Je restais un moment à terre avant de me relever. J'avançais alors vers elle et passait à ses côtés, frollant sa jupe avec ma jambe. Je marchais alors à reculons afin de toujours lui faire face quand je m'adressais à elle.

"C'est vraiment dommage. Continuais-je. Bien que je ne doute pas de ton.. statut. Dis-je avec une pointe d'ironie en souriant en coin. Il n'est jamais pratique de rentrer avec une chaussure en moins."

Je souriais doucement en arquant un sourcil. Elle me fixait avec un regard furieux. Oui, j'allais surement en prendre de nouveau plein la figure. Mais, sincèrement, ca valait le coup. Je me retournais et jetais sa chaussure de toute mes forces. En plus que le talon se brisa une fois avoir touché le sol ; la chaussure tombait en plein milieu de la chaussée et une voiture ne manqua pas de l'écraser sans pitié.
Je me retournais vers la jeune fille en mordant ma lèvre, une petite moue sur le visage.

"C'est vraiment, vraiment trop dommage."
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Ne jamais foncer la tête première.

Son regard se décomposa en regardant son talon - qui avait une couter une petite fortune - se briser contre le goudron du parking. Il n'avait pas osé, encore une fois. Anya redressa la tête, son regard de tompaze s'assombrisait de minutes en minutes,ses pomettes étaient rosies et ses pupilles s'agrandissaient. Elle retira alors son deuxième talon, un sourire hautain sur le visage. Son regard se posa sur le jeune fumeur, sur sa voiture, sur le jeune fumeur et sa voiture. Alors sans plus d'attente, elle s'approcha de la voiture du jeune homme et à l'aide de son talon aiguisé elle brisa les deux vitres côtés conducteur en faisant le tour.

« C'est vaiment, vraiment trop dommage. »

- Elle afficha une petite moue mesquine et toujours en possession de son talon, elle fracassa la vitre arrière malgrè sa main en sang. Elle ne pleurait pas devant lui, c'était indégniable. Elle ravala sa fierté et d'une voix crue ajouta.

« On ne t'as jamais dit de respecter tes supérieures ? »

La jolie poupée jeta son talon aiguisé de sang sur le côté et s'approcha finalement de lui. Elle s'arrêta pour l'observer. Ses pieds brulaient du à la chaleur du goudron mais elle resta de marbre, ce sourire hautain encore accroché sur le visage. Finalement, elle le gifla aussi sévère que la première fois la joue du jeune homme.

« Tu n'aurais jamais du faire ça. Je vais m'occuper de ton cas. Ta gueule d'ange et toi, vous allez morfler. Parole de .. russe. »

Elle acheva sa réplique en croisant les bras contre son buste en le foudroyant du regard.
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Ma respiration était légèrement saccadée. Je la regardais faire et dire sans plus sourire, sans ne dire mot, sans rechigner. Elle resta un instant à me regarder avant de prononcer les même paroles que je venais de prononcer quelques secondes auparavant. Je savais qu'elle réagirait violemment, mais je ne savais pas jusqu'où elle pouvait aller. Elle s'empara de son talon, et, tout en gardant un oeil sur moi brisait les vitres de ma voiture. Les élèves qui sortaient tout juste de l'Université accouraient jusqu'ici. Ils formèrent une sorte de cercle vicieux dans lequel je me retrouvais enfermé, avec elle. Je restais alors, les bras ballant. Je crois même, que je m'attendais à bien pire. Je restais la bouche entre-ouverte un instant. Comme un nageur resté trop souvent sous l'eau à qui il manque de l'air et qui remonte à la surface pour reprendre sa respiration. J'étais estomaqué. Elle m'avait retiré tout sens. J'avais l’incapacité de dire quoique ce soit ou de faire le moindre mouvement. Je crois même que mon esprit était totalement vide et mon cerveau incapable de commander les moindres faits et gestes. Il n'y avait pas besoin de faire des études de médecines pour savoir ce que c'était ; de la frustration. Elle avait la main en sang mais ne s'arrêtait pas pour autant. Cette fille avait une soif de victoire et de reconnaissance qui n'avait aucune limite. Elle s'approchait vers moi, laissant quelques traînées de sang derrière elle. Une fois à quelques centimètres de moi elle me mit une autre gifle, me laissant une trainé de sang sur la joue et sur les lèvres. Je la regardais dans les yeux. Ma respiration posée et régulière se faisait entendre. Les quelques élèves présents murmuraient des choses à peine inaudible. J'avais perdu mon regard gris dans le sien, et j'étais incapable de dire quoique ce soit. Je passais ma main sur ma joue et la portait devant mon visage. Elle était baignée dans son sang russien. Je baissais le regard et remarquais que j'avais aussi des éclaboussures sur mon t-shirt. Je remontais doucement mon regard vers sa main, elle était salement amochée. J'avais des pratiques en chirurgie, mais je ne lui aurais pas proposé mon aide. Pas ce soir.
Je m'approchais un peu plus d'elle et murmurait près de son oreil:

"Tu veux jouer ? Bien.. Bien, on va jouer. Toi et moi. "

Je me reculais et replongeais mon regard dans le sien. Je regardais les étudiants, un à un. Le regard perdu.Je pinçais les lèvres et m'en allais en essuyant le sang sur mes lèvres d'un revers de main. Les élèves s'écartaient sur mon chemin avant de reposer leur regard sur toi. Ils se dissipèrent peu à peu, craignant ta colère.
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Elle se faufilait entre les gens en les poussant sur son passage et monta dans sa voiture. Elle jeta un coup d'oeil à sa main, qui était enflée mais surtout en sang. Pourtant, la douleur n'était pas si forte que la haine qu'elle ressentait. Anya activa la clé de contact et démarra rapidement en faisant grogner le moteur de sa chevrolet. Elle alluma la radio, laissant les paroles de la musique la calmer.

Oh - stop. With your feet in the air and your head on the ground.Try this trick and spin it, yeah.Your head will collapse.But there's nothing in it.And you'll ask yourself.Where is my mind [3x].Way out in the water.See it swimmin'.I was swimmin' in the Caribbean.Animals were hiding behind the rocks.Except the little fish.But they told me, he swears.Tryin' to talk to me, coy koi..Where is my mind [3x].Way out in the water.See it swimmin' ?With your feet in the air and your head on the ground. Try this trick and spin it, yeah.Your head will collapse.If there's nothing in itAnd you'll ask yourself

C'était bien la première fois qu'elle versait une goutte sang pour quelqu'un d'autant plus pour un homme. Elle les haissait. Tous autant qu'ils étaient. La jolie russe glissa une main dans ses cheveux, un réflexe habituel. Sa chevelure blonde se retrouva tâché de sang rouge. Elle gagnerait cette guerre.

Quelques minutes plus tard, elle se gara sur le parking de l'hopital en prenant la première place de libre et descendit rapidement pour rejoindre les urgences. Elle pénétra dans les locaux en cherchant du regard une personne qui pourrait éventuellement se bouger pour s'occuper de la jolie poupée.
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Je marchais donc à pieds jusque chez moi. Avec les tâches de sang sur mon t-shirt et mon visage, les gens me dévisageaient. Quelques uns me proposaient même leur aide, pensant que j'étais blessé. Alors je refusais poliment car je pense que la vérité les aurais encore plus troublés. Je n'allais pas être chez moi avant une bonne demi-heure et attendre le bus aurait encore été plus long. Tant pis, je marchais. Je ne savais pas comment j'allais faire, pour ma voiture. La faire réparée me coûterait une petite fortune et je n'avais pas assez d'argent pour ça. Le sang séché sur ma lèvre inférieur donnait un goût acide et répugnant dans ma bouche. C'est seulement vers 19h que je rentrais chez moi. Je fermais la porte derrière moi et m'appuyais contre en soupirant un grand coup. C'était le signe de toute la pression qui retombait et de la fatigue qui pointait le bout de son nez. Je laissais tombé mon sac à côté de moi et retirait mon t-shirt. Le plaçant devant mes yeux, j'examinais l’ampleur des dégâts. Le laver, même plusieurs fois ne rattraperait sûrement pas les tâches de sang. Je le roulais en boule entre mes mains et allait directement le mettre à la machine. Une fois celle-ci en route, je me dirigeais vers la salle de bain et pris une bonne douche. Durant la soirée, je n'avais pas eu le temps de me préparer de quoi manger et j'avais un peu mangé tout et n'importe quoi. J'en profitais pour m'avancer sur mon devoir de mathématiques. Je pensais en avoir finis avec les racines carrés et les probabilités, mais la médecine n'attends pas.
Un peu plus tard, vers 23h, je me connectais sur mon e-mail afin de vérifier si ma petite soeur y avait répondu. Joana me manquait énormément, et je n'avais pas encore le forfait pour communiquer avec elle alors les vieux e-mails étaient le seul moyen de communication. Mais le nouveau message dans ma boîte de réception ne provenait pas de Joana, mais d'une fille de mon ancien lycée avec qui j'avais un devoir commun à rendre.

"Salut Marwen ! J'ai vu ce qu'il s'est passé aujourd'hui, ce n'est pas très sympa de la part d'Anastasiya. Bref, si tu as besoin de quelqu'un pour te raccompagner ou faire des déplacements en attendant, je me porte volontaire. xoxo."

Je plissais les yeux en lisant le message, mon coude posé sur le bureau afin de retenir ma tête qui tombait de fatigue. Anastasiya. C'était le nom de la jeune Russe aux cheveux doré. Je me redressais alors en relisant le message à plusieurs reprises sans trop savoir pourquoi. J'ouvrais un second onglet en tapant le site de l'Université, je savais que le site possédait un trombinoscope, j'en serais un peu plus sur ma jeune partenaire de jeu. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais une sorte de crampe au ventre et je pouvais sentir mon poux au niveau de ma jugulaire. C'était une chose que je détestais ; sentir son sang passer dans ses veines. J'ouvrais le site de l'Université et entrepris alors ma recherche. Il ne me fallut pas plus de quelques petites dizaines de minutes avant de trouver.

Anastasiya Kataïev.
20 ans. Troisième année de droit.


C'était bien elle. Sur sa photo, elle portait une robe de mousseline blanche. Ses longs cheveux blonds ondulés étaient séparés d'une raie au milieu et retombaient en dessous de sa poitrine. Sur son visage ; pas une seule expression. Pas un seul sourire. Un regard froid. Des traits crispés. Je soupirais en me calant dans ma chaise un moment, les bras croisés. J'avais passé 20 minutes à fixer cette simple photo. C'est vers minuit que j'allais me coucher en éteignant mon ordinateur.

Le lendemain matin j'arrivais en retard à mon premier cours, tous les élèves étaient déjà rentrés dans leur classe respective. Quand le professeur me demanda mon motif je lui ai montré du doigt ma voiture qui se trouvait sur le parking que l'on pouvait voir de la fenêtre. Il a grimacer et a eu un regard compatissant avant que je ne rejoigne ma place. Je ne tenais pas. Je n'avais pas vu Anastasiya en arrivant et ne faisait que de regarder l'aiguille de la pendule, attendant la prochaine sonnerie comme en la redoutant aussi.

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Anastasyia ‎ marchait à pas lent, les doigts crispés sur son portable qu'elle dissimulait dans sa jupe couleur charbon, les lèvres incandescentes. Elle brûlait de nouveau, en un contraste étrange: la froideur de ses sentiments prenait le pas sur sa colère montante. Elle eut un rictus mauvais. Sans plus d'attente, elle agressa ouvertement un infirmier pour qu'il s'occupe d'elle, de la princesse de Russie. A la fois effrayé et outré, il s'occupa d'elle au plus vite. Son pouvoir charnel et son charisme l'aidait à obtenir tout ce qu'elle voulait et elle en profitait grandement. Le jeune infirmier pénétra dans une salle non loin d'un bloc opératoire suivit de Anya et commença silencieusement à la guérir.Elle y resta deux heures. Elle avait passé sa soirée à se faire recoudre une main et tout ça à cause d'un vaurien.Elle s'occuperait de lui en temps et en heure. Finalement elle rentra dans son dortoir, le visage cerné et s'écroula sur son lit en bois de chêne et s'endormit aussitôt.

Le lendemain, elle fut réveillé par les rayons lumineux du soleil qui berçaient toute la pièce. Sa main lui lançait quelque peu mais ne s'en formalisa pas et se redressa pour se rendre directement dans la salle de bain. Mal réveillée et buttant contre son bureau qui s'amoncelait autour d'elle , elle se dirigea du mieux qu'elle put vers sa salle de bain. P'tain, jura-t-elle lorsque son pied rencontra violemment la porte.Après s'être assuré qu'elle ne risquait pas de basculer à nouveau, elle poussa enfin la poignée de la salle de bain et entra dans la pièce avec un bâillement. Elle s'aspergea le visage d'eau et prit délicatement ses lentilles de contact pour les apposer doucement sur ses yeux. Clignant un peu des paupières, elle attrapa ensuite sa brosse à dent et chercha le dentifrice des yeux. Avec un nouveau soupir, elle se baissa et ramassa le tube, ne se demandant même pas comment il s'était retrouvé par terre. Tout en se frottant mollement les dents, elle posa les yeux sur le reflet que le miroir lui rendait. Grande, pas autant que son amie Adrianna, mais dépassant bien les 180cm. Mince, peut être un peu trop, mais sa silhouette lui donnait plus l'air élancé que réellement maigre. Une peau laiteuse et le teint éreinté, laissant ressortir le gris/bleu de ses yeux. Elle ouvrit les robinets et se baissa pour se rincer la bouche. Ensuite, elle retira sa nuisette et se glissa dans cabine de douche en butant contre la paroie.

Quelques minutes plus tard, elle sortit fraiche et resplendissante que d'habitude. Elle passa une serviette autour de son corps fétiche et se drigea vers son armoire. La chaleur était au rendez vous aujourd'hui, une robe serait plus convenable mais elle décida de se vêtir d'un short en jean court et d'un chemisier couleur nâcre. Elle sécha ses doux cheveux et décida de laisser à l'occasion sa longue franche pendre devant ses yeux.

10h30. Aujourd'hui, elle commençait les cours qu'en début d'après midi mais elle devait régler quelques papiers administratifs donc c'est d'un pas gracieux qu'elle s'orienta à l'acceuil pour aller à l'encontre de la secretaire.
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